On disait que la nuit, on n’y voyait que pouic.
On y voit simplement d’autres choses, invisibles le jour.
Et ça vaut pour un NRA comme pour tout le reste.
Je connais trois femmes désobligeantes. Au moins 🙂
L’une que j’ai connue et avec qui j’ai eu une relation amoureuse autant que sexuelle. Une autre, dont la relation amicale pourtant déjà longue s’est faite uniquement sur le web. Et enfin une troisième récemment rencontrée IRL.
Ces trois femmes ont pour trait commun d’avoir été assez chanceuses, fortunées, et laissées en liberté par une éducation dont elles ne semblent penser que du bien.
Ces trois femmes se refusent à présent à tout dialogue.
Une fois éliminé un contexte peut-être peu propice (un moment inopportun, de maladie ou de menstrues, que sais-je encore?), il semble quand même qu’une mauvaise foi les habite, si j’ose dire, et qu’il est assez difficile de l’en déloger.
A défaut de sphincter vaginal, ces individus ferment leur esprit et leur capacité de communication, pensant trouver ailleurs, à plus soumis ou plus névrosé, le plaisir d’une discussion qu’elles n’auront évidemment jamais avec ce type d’interlocuteurs.
Quel est donc le ressort de ce mécanisme?
Il est semble-t-il assez simple. Le développement infantile s’est en général bien passé, bien que de légères névroses soient forcément apparues, et le confort de vie, ainsi que quelques “facilités” (prenons-les plutôt comme la résultante de cette vie facile et confortable, sans être celle de pacha-tes ) ont permis l’accession à quelques fonctions dont elles se contentent.
Un salaire décent, ou une rente, un travail menant l’illusion d’une fonction sociale, bref, le petit bonheur – sans la chance.
Car la chance n’est pas de naquire avec une cuiller en argent dans le bec, même si l’argent est un puissant anti infectieux, ce qui aide bien, comparativement à ceux qui bouffent des PCB et autres dérivés chimiques du pétrole dès leur plus jeune âge, mais de s’émanciper du triste sort que réserve l’humanité à chacune de ses composantes.
Et c’est là que le BB… *
* (bât blesse)
Le corps lui aussi peut être très douloureux, j’en sais foutre quelque chose et la plupart des toubibs me font doucement rigoler. Leur approche de ‘physicians’, comme on dit en anglais, est fort réductrice. Cela concerne surtout et bien sûr la médecine occidentale, concentrée sur l’argent, et dont la pharmacopée repose essentiellement sur ce but ultime de la connerie.
Mais passons puisqu’avec un cerveau qui fonctionne, à présent, à la vitesse de la lumière (le débridage fait des envieux et des circonspects ^^) et avec la base de données déjà conséquente disponible rien que sur le web public, on parvient facilement à s’occuper de son petit corps d’amour.
Pour entretenir le corps, il faut le faire bouger et faire du sport. J’ai décidé de m’y remettre, après une bonne vingtaine d’années de repos.
On s’aperçoit alors que le corps rouille 🙂
Après seulement une heure trente d’entraînement fort jouissif, je me retrouvai deux jours après avec un déplacement léger (une petite fracture maybe?) au niveau de la jonction de la C9 avec l’arc costal. Probablement le résultat soit d’un forçage volontaire au sac, soit conséquence d’une prise au sol ou de l’attaque pour faire tomber l’adversaire avec un coup d’épaule dans le ventre suivi d’un plaquage frontal. On ne saura jamais puisque lorsqu’on est échauffé, on ne sent absolument rien.
Rien de grave, mais ça empêche de tousser et de dormir sur le côté concerné, et cela pendant au moins une semaine. Prescription d’antalgiques et de très forts anti-inflammatoires.
La trauma léger mais sensible de la partie proximale du sterno-cleido-mastoïdien droit est traitée en même temps (suite à étranglement au sol).
Bon, rien que de très normal lorsque l’on est assez motivé et que l’on est bien échauffé. Oui, je me répète.
Déchirure des ligaments deltoïdiens du pied gauche avec tuméfaction. On note le gonflement de la cheville comparativement à celle restée saine. Les cicatrices de piqûres de puces sont récentes.
Le problème vient ensuite et rouvre des plaies bien plus anciennes.
Par exemple lorsqu’on ramasse une pièce de monnaie tombée à terre, en pliant bien les genoux, et que subitement, le disque intervertébral L5/S1 se déplace pour faire hernie, comme il y a 10 ans (et qu’on soulevait 80 kilo dans la même position).
Bonheur!
Je pense que j’ai dû effrayer les deux personnes présentes tellement j’ai souffert. C’est une douleur violente de nature électrique (le nerf) qui prend toute la jambe, on ne sait pas si on pourra se relever… on y arrive avec les mains 🙂
Et donc on boîte. Un ptit tour chez ma rebouteuse préférée et le tour est joué, le nucléus n’étant pas sorti du disque.
Mais voilà! une douleur du nerf sciatique engendre une faiblesse… on marche avec un pied en canard… et lorsqu’on veut filer répondre au téléphone qui sonne, qu’on prend un faux appui bien mâle… On se déchire carrément les ligaments de la cheville.
Tout s’enchaîne 🙂
Alors, plutôt immobilisé, on se rappelle le bistouri qui s’enfonçait dans le pectoral pour y enfoncer un drain de belle taille (1 cm de diamètre extérieur environ) jusqu’à ce qu’il touche la parois dorsale interne, afin de mettre en route la pompe à vide… que cette connasse d’infirmière n’a mis en route que 24 heures après la pose du drain… ya des gourdasses, non? Mmmm!
Heureusement que c’était une jolie blonde à qui j’ai pu écraser la main pendant le coup de bistouri sous anesthésie très locale. On sent rien, en fait… juste le sang qui coule sur le côté du tronc 😉
On se rappelle la pleurectomie, suite à la récidive de l’hémipneumothorax, mais surtout la douleur incroyable (la plèvre est fort bien innervée, alors que les poumons, aucunement) en salle de réveil. Le bonheur des quelques gouttes de morphine SEULEMENT une fois la journée (les salopards!) qui éteignaient la douleur pour une heure ou deux… Et ces antalgiques de merde qui ne faisaient aucun effet sur une douleur saignante, pour le reste de la journée.
La médecine française et la gestion de la douleur par des médecins qui sont souvent des personnes qui ne tombent jamais malades (j’ai connu un prof angiologue qui était terrassé et apeuré car pour la première fois, à 50 ans, il avait dû passer une journée au lit, mal de gorge, tête, bon une bonne crève quoi… mdr, la tafiole 🙂 ).
Le souci, c’est que ces médecins sont persuadés d’être dominants et de mieux savoir que les autres, puisqu’ils gagnent beaucoup d’argent et qu’il faut les révérer.
Oui, la connerie s’immisce dans tous les domaines de l’humanité, comme je le disais, elle en est hélas consubstancielle.
Il est nombre de gens, bien que toutefois exceptionnels, qui sont très conscients du pouvoir qu’a l’esprit sur le monde, à commencer par le corps que l’esprit habite (…) tout autant que les actions qu’il commande.
Cependant, ceux-là mêmes qui semblent “savoir” de quoi l’esprit est capable sont souvent dépourvus face à leurs propres névroses.
Pour parvenir à s’en défaire, alors qu’il leur faudrait accueillir l’Autre avec entrain, ils s’en défont. Qu’il s’agisse de leur volonté propre ou bien encore d’une attitude qu’ils adoptent et qui, inévitablement, va repousser le lien.
C’est encore ici une des malices de cette domination qui s’exerce entre chaque être humain et qui rend la vie en société si difficile.
Il est si douloureux de s’en apercevoir.
Celui qui ne dépense pas ses jours sur le théâtre des rêves, demeure l’esclave des jours.
Gibran Khalil Gibran.
“(…) Que disait Veblen ? Que la tendance à rivaliser est inhérente à la nature humaine. Chacun d’entre nous a une propension à se comparer aux autres, et cherche à manifester par tel ou tel trait extérieur une petite supériorité, une différence symbolique par rapport aux personnes avec lesquelles il vit. Veblen ne prétendait pas que la nature humaine se réduit à ce trait, il ne le jugeait pas d’un point de vue moral, il le constatait. S’appuyant sur les nombreux témoignages des ethnographes de son époque, il constatait aussi que cette forme de rivalité symbolique s’observe dans toutes les sociétés. (…)”
https://www.monde-diplomatique.fr/mav/99/KEMPF/16157
J’ajouterais bien que dans une société physicianiste (basée sur la potentielle force physique en particulier, sur le corps en général), la différence symbolique décrite ci-dessus trouve naturellement son pendant dans la réalité des rapports de domination du mâle sur la femelle.
Ce qui est fort embêtant, vu que la femelle est plus intelligente, en général, que le mâle…
“On ne doit pas s’approcher et nager aux côtés d’un animal qui est à pleine maturité sexuelle”
Sauf s’il vous y autorise ou vous y invite.
Compris?
Ou bon dieu de merde, au choix.
J’ai regardé le twitter de Milo taleur, et j’y ai vu une image complètement débile: elle, nue de dos avec un tablier pour seul vêtement, posant la question de savoir si “on” avait faim… Auquel cas, on pourrait voir d’autres photos en devenant membre de son site, c’est à dire en payant.
…
Ah, de l’art donc. Et répétitif, en plus.
Non que ce ne soit pas agréable d’admirer un corps de femme, mais il semble manquer de consistance cérébrale.
Et c’est un grave problème lorsqu’on proteste et se revendique d’un féminisme actif.
Pour moi, cela signifie que l’on est assez intelligent pour être aussi con que celui qu’on combat.
Oui, ça m’embête un peu 🙂
Ça ne va pas dans le bon sens.
C’est un peu comme Ardouin Lupinette, le méchenchonchien qui ne peut exister qu’en croyant fermement que ceux qui pourraient bien être plus vindicatifs que lui sont tout simplement des opposants de l’extrême autre bord.
Une pathologie peu grave de psychose, mais fort embarrassante pour les relations sociales. Elle se caractérise par un ricanement un peu hystérique manifestant une sorte de contentement tout autant qu’une supériorité moqueuse, à tout bout de champ.
C’est d’un ridicule pour celui qui s’en aperçoit alors que l’auteur y croit dur comme fer, ancré dans ses certitudes d’antan.
C’est là que la sagesse vient buter, contre les esprits fermés qui croient à leur ouverture incommensurable.
Identiquement avec certaines femmes qui furent braves et ouvertes d’esprit à la vingtaine trentaine et qui, un peu plus tard, sous le joug de maladies diverses ou de raisons sociales, comme “la famille”, la “tribu”, les “enfants”, le “il faut bien”, etc, se font délibérément plus idiotes qu’elles ne le sont vraiment.
Tous ces gens-là passent des heures chaque jour à discuter de banalités et de choses sans importance, mais trouvent toujours le prétexte à ne pas répondre à ce qui les interpelle pour de bon. Quel gâchis!
C’est là qu’est la névrose: savoir qu’on n’aime pas ce qu’on vit, mais en tirer toutefois du plaisir. Et donc, continuer!
Et au prix de refuser, d’expédier, de disperser ceux-là même qui pourraient vous apporter un changement…
Terrible, non?
Non, aussi bien ces pauvres hères que ses proclamées “élites”. Je ne les supporte plus.
De ceux qui s’occupent à faire beaucoup de bruit une fois à la retraite alors qu’ils pourraient presque oublier le bruit quotidien de l’usine, vous savez, ceux qui vous emmerdent à longueur de journée avec des “travaux” inutiles et bruyants.
De même, ceux qui, à peine sortis de l’œuf, font de l’emmerdement par le bruit un plaisir censé compenser à la fois l’absence totale de réflexion et le manque curieux de prétentions.
Une calamité.
Tant il est vrai qu’au lieu de faire l’amour au moins une fois par jour, ils ont trouvé mieux (lol) en jouant de la disqueuse ou de la perceuse… En faisant vrombir les moteurs qui les empoisonnent et les feront crever, décalqués sur un mur ou écrasés dans un amas de tôles…
Et ces braves gens croient que leurs “élites” sont “déconnectées”? Mais mort de rire, les gueux.
Ils ne sont pas “déconnectés”, ils sont AILLEURS.
Et ça les amuse de venir vous faire une grimace de temps en temps et de vous prendre pour des crétins – ce que vous aimez être, il semblerait- depuis le poste de tévé.
Alors, oui, c’est l’heure du ménage pour moi.
La plupart des matrixiens croient que l’on ne change jamais. Ces braves. Oui, EUX ne changeront jamais, car ils ne le désirent tout simplement PAS.
Mais leur idiotie n’a d’égal que leur petitesse d’esprit et leur lenteur cérébrale.
Chacun croit qu’il est supérieur aux autres, du médecin au notable administratif, du patronet à la femelle cadre, du petit programmeur avec quelques facilités à la dominatrice qui sait s’entourer en croyant que, ni vu ni connu, elle peut profiter, tous!
C’est à vomir.
Et pourtant, dans cette masse informe et puante de bêtise populassière, il y a quand même quelques gens biens.
Mais ils sont SI rares!
“Macron est un psychopathe” dit ce psychanalyste. C’est faux, c’est un névropathe. J’ajouterais de la pire espèce.
Un ami vient de me faire parvenir cette vidéo qui confirme mon analyse de ce triste personnage, mais vue sous un angle un peu différent, et presque plus saillant, si j’ose dire, que le mien.
Une analyse terrible, s’il en est, et en rital (avec des sous-titres pour les autres).
Edit: je n’avais pas vu que la vidéo est hébergée sur la chaîne des tarés égalité très conciliants mon cul sur la commode.
Merci de simplement, et encore une fois, ne regarder QUE la vidéo et de faire l’impasse la plus totale sur son contexte crétin. En théorie, on doit toujours et surtout se préoccuper du contexte, mais là… à moins que ce ne soit une petite blagounette que m’aurait fait mon “ami”…
Il est vrai que je ne suis pas d’accord avec ce “professeur” ( http://www.liberation.fr/checknews/2017/05/05/qui-est-le-professeur-adriano-segatori_1652278 ) lorsqu’il parle de pédophilie concernant Trogneux.
C’est fort embêtant, tout ça… je ne dis pas merci à mon “ami”.
Je me tâte de virer ce post… même si ça me fait un lien interne en moins.
Edit 2: j’ai finalement changé de chaîne youtube, c’est ainsi plus propre. La vidéo a été publiée la première fois sur le site destra.it ( voir tout de même ce que l’intéressé pense de son analyse et des réactions qu’elle a suscitées en italien ) , ça donne un contexte.
Edit 3: non, ça n’est pas plus propre en fait, car c’est la chaîne youtube d’un… ( http://www.charentelibre.fr/2013/07/05/municipales-le-fn-sort-du-boisdilemme-a-droite,1844564.php )
Il sont décidément partout!
Til min kære. 😉
PS: https://en.wikipedia.org/wiki/Louise_Bourgeois
Who is Arachné in greek mythology (in french 😉 )?