Archive for the ‘Philosophie’ Category

Kiss my ass @ OK Corral

dimanche, mars 17th, 2019

This is what you can call a cold revenge.
Some like 20 years ago I’ve been part of a pseudo artist work that ended in a bad manner (not for him of course), thanks to the pseudo artist himself, a bit like the story with Roberta de Clitoris.
Let’s make clear the very end: a 100 box instead of the 10% of the 6K previously promised (which is 600 box) for quite some amount of work with quite some hardware and at any time of day and night.
What reminded me about this story is the picture of some graph play on words tagged in a Cartier shop in Paris last saturday, during the 18th week of ‘yellow jackets’ protest (with some great destruction of riches’ symbols): it says “Pas de Cartier pour les bourgeois” which actually means “no mercy for the bourgeois” in with ‘mercy’ is ‘quartier’ in french which is pronuonced just like the famous luxury trademark ‘Cartier’.
The déchu artist I won’t name him (but you’ll easily find who he is…) was- as an ‘artist’ I mean-so, was at the time, early 2000’s, making me work on my computer to scan and develop photos and make some graphic artwork for him, of course as ‘tests’ (meaning non payed or ‘for the fun’ of it, for the most part of it …).

I’ve been through some pages about the guy’s new work as a gallery manager, after he left his pseudo artwork. I quote him:
“Deux ans plus tard, il raccroche ses ambitions artistiques. “J’ai eu un moment de lucidité, dit-il. Parfois, il est bon de persévérer, et parfois, non.” “( in  )
“À l’origine il y a un changement brusque, existentiel : arrêter d’être artiste, faire les choses autrement, changer de vie. C’est un choix égoïste, pas politique. Je l’ai fait pour moi, pas contre le système. Et ça n’a rien à voir non plus avec le marché dont je ne connais alors rien, et dont je ne me soucie pas. Cela a plus simplement à voir avec une crise de lucidité un peu plus aiguë et longue que d’habitude : je ne suis pas un grand artiste, je ne vais pas le devenir et je vais crever de désespoir et d’amertume si je m’entête une minute de plus dans cette voie.” ( in  )

As an art historian with quite some background, as an artist myself, and as an ex acquaintance, I can say: AT LAST!
But that’s not really my point here. He owes me 500 plus the 100 of interests. I don’t care much about such a money, but now, he will know that the past is NEVER forgotten, however people can live through some high difficulties. Furthermore, I know HE likes much money though… “I mean, we’re across the street from the Carlyle!” ( in  )
What I care about is not being taken for an idiot.
Having passed by a quarter analysis doesn’t make you someone. Knowing you’re bad and making profit out of it using people’s weaknesses is really common.
That’s not a character trait. It’s just going deeper into the ‘sickness’ of humanity.

I wish him good luck in ‘la petitesse’ of his life. It’ll all end like ‘petits fours dans les raouts’: shit.
Plus, you can also give back the money and stop manipulating people with a stupid smile, thanks!

Farewell!

Complice

dimanche, mars 17th, 2019

C’est vrai ça,quoi! La réjouissance n’est que pour lui! [‘ré’ parce qu’il n’en a jamais assez, le cuistre]

Quel plaisir de voir le Fouquet’s attaqué, démoli, saccagé, en feu!
Il aurait bien aimé que ce soit la Rotonde, en fait. Haha. Le jaloux qui trépigne.

C’est égal, c’est inadmissible, cela ne doit plus advenir, il en décide ainsi – l’impuissance est terrible pour qui ne la supporte pas.

Qui sont donc ceux-là qui, vivant d’expédients, osent emmerder sa majesté qui prend quelque menu repos sur les hauteurs enneigées, après avoir vendu sans répit armes et bagages aux banques et aux dictatures? Il se donne tant de mal afin que ruisselle sa majestueuse fiente qu’il prend pour de l’or, et que les gueux devraient prendre pour argent comptant… Alors, contents?

Comme le dit Lordon (et d’autres) nous sommes dans le 1984 d’Orwell, où les mots n’ont plus prise avec la réalité tout en disant leur exact contraire: “la guerre, c’est la paix”, etc.
Pour que tout cela cesse, les causes, comme les conséquences, le psychopathe (et tous ses sbires) doit se retirer, et l’on aura, avec quelque chance, une opportunité de retrouver une marche saine. A tout le moins on aura l’espace de penser sans devoir subir les hérésies stériles des moulins et des venteux (avec un ‘a’ si vous voulez).
Qu’il persiste dans la fatuité de sa folie et un funeste destin ne peut que lui être promis, sans même qu’il soit souhaité pas plus que souhaitable.

Fin du grand débat, début du grand débarras ! Frédéric LORDON Bourse du Travail Paris 14/03/2019:
https://www.youtube.com/watch?v=wjYwlNN0DlI

On vient te chercher chez toi

vendredi, mars 8th, 2019

C’est l’une des chansonnettes poussées gaiement dans les manifestations politiques des gilets jaunes contre toutes les injustices: “emmanuel macron, ô tête de con, on vient te chercher chez toi”. Le bon sens populaire près de chez vous 🙂

Pour peaufiner ma petite analyse présidentielle je voudrais citer un passage du livre “La Manipulation affective dans le couple: Faire face à un pervers narcissique” de Pascal Couderc et Pascale Chapaux-Morelli paru aux éditions Albin Michel.
On y découvre un portrait saisissant et fort ressemblant aux profils psychologiques des hommes de pouvoir -tous les dominants, en fait, en particulier de certains des premiers magistrats français, et qui sied à merveille à l’actuel président français.
Attention, ce genre de lecture n’est pas à conseiller aux consensuels de tous poils 🙂

 

“Le Tout-Puissant

Le Tout-Puissant (son envergure vaut bien des majuscules…), que nous choisissons de peindre sous les traits d’un homme bien que nombre de femmes aient ce type de personnalité, est celui qui pense être le centre du monde et croit pouvoir agir sur ce dernier en monarque suprême. Ne dit-on pas : « Dieu Tout-Puissant » ?

Le Tout-Puissant est resté dans ce que l’on nomme le « Moi idéal », soit le Moi narcissique du petit enfant pour qui le monde, c’est lui-même, et son modèle, également. Les autres ne sont pas pris en compte ; il reste centré sur lui et se nourrit de lui-même, contrairement au pervers narcissique qui cherche l’autre pour s’en nourrir. Le Tout-Puissant n’a que faire de l’autre et ne saurait s’en nourrir : il est déjà plein de lui-même et se considère comme étant riche de toute la substance du monde ! Il a en commun avec le pervers narcissique cette constatation : l’autre ne peut avoir le même statut que lui à ses yeux. Tous deux se considèrent comme supérieurs…

Si le pervers narcissique manipule par l’envahissement, la dépréciation, l’isolement et la destruction, le Tout-Puissant manipule, lui, par la tyrannie. Très exigeant non seulement envers lui-même, mais aussi envers les autres, son entourage, ses collègues, il peut ressembler au pervers narcissique. Toutefois, le Tout-Puissant n’est pas pervers, il n’a pas l’intention ou le besoin de détruire. Il anticipe donc moins par rapport à l’autre : ce qui l’intéresse, c’est dominer. Il est donc aussi plus conscient et plus stratège. La destruction de l’autre est présente malgré tout, mais en tant que conséquence de ses agissements plus que comme objectif. La destruction intervient « de surcroît » car elle est nécessaire pour asseoir la tyrannie.

Toute cette force qui se dégage du Tout-Puissant laisse évidemment penser que justement il est profondément vulnérable sur ce point. C’est un grand impuissant et son comportement exprime une attitude défensive : il domine par peur d’être dominé… On ne critique pas le Roi : il règne, et l’homme Tout-Puissant veut rester intouchable. Il est dans l’angoisse de la perte de son pouvoir (et en cela il se différencie du pervers narcissique, lequel, rempli de néant, est avide d’acquérir de la substance par « objet » interposé).

Le Tout-Puissant manipule donc pour installer son pouvoir et rendre sa tyrannie « opérationnelle ». Il passe ainsi le plus clair de son temps à prouver aux autres que ce qu’il accomplit est mieux fait, que ses idées sont les meilleures. Par essence, il est ambitieux, souvent hyperactif. Il déteste évidemment être pris en faute ou en flagrant délit d’imperfection. Son orgueil, alors blessé au plus haut point, l’amène à réagir par l’attaque : il accuse en retour (éventuellement de tout autre chose) pour détourner l’attention de sa propre culpabilité. Si, par exemple, on lui fait remarquer qu’il laisse traîner ses vêtements, il répond : « J’ai, moi, rangé tes chaussures de tennis pas plus tard qu’hier ! ». Comme personne n’est parfait, il trouve toujours comment « déplacer » le reproche et le faire translater vers l’autre.

« Mon mari est un homme intelligent, et il se met en quatre pour la famille… mais il nous écrase un peu ; je trouve qu’il s’impose trop, confie Ghislaine, 48 ans, employée de bureau. Auparavant, je ne m’en rendais pas compte, mais maintenant ses reproches m’étouffent ; il n’arrête pas de critiquer. D’après lui, ce que font les autres est toujours mal fait. Il est trop perfectionniste. Il a tout le temps de quoi redire. J’ai l’impression d’être constamment prise en défaut, comme coincée contre un mur. Avant, j’essayais de le contenter et de lui faire plaisir. Depuis quelques mois, je ne le supporte plus. Pourtant je l’aime… mais il exa gère. Il dirige tout, fait la loi sur tout. Quand nous partons en vacances, il prépare d’abord une liste de ce que chacun doit faire : moi, mon fils, sa sœur. On dirait qu’il dirige sa petite armée. Après, il fait un “check” de tous les points de sa liste pour vérifier que tout a été fait dans les règles – vous savez, comme les pilotes à bord des avions avec leur check-list. Notre fils, Vincent, est en général chargé de changer les piles des boîtiers d’arrosage automatique, pour le jardin, de préparer les vélos que nous chargerons ensuite derrière la caravane, ainsi que le matériel à emporter pour les éventuelles réparations. Eh bien, je crois que depuis cinq ans qu’il a cette haute responsabilité, il n’a jamais réussi à faire ce que son père lui demandait. Mon mari repasse derrière et pointe du doigt les “erreurs” ou ce qu’il juge comme tel. Les bicyclettes ne sont jamais assez bien nettoyées, les pneus pas assez ou trop gonflés. Les boîtiers d’arrosage sont mal réglés et Vincent oublie – selon mon époux – les trois quarts de ce qu’il faut emmener : trois paires de rustines au lieu de cinq, une huile spéciale, etc. Cette année, Vincent s’est soustrait à ces contraintes. Mon mari l’a traité de fils ingrat, de dégénéré… »

Ce genre d’homme (ou de femme) agit d’égale façon avec son conjoint. Le Tout-Puissant se comporte ainsi avec toutes celles et tous ceux qui l’approchent.

Ce type de personnalité provoque dans l’entourage, soit un réflexe de rejet et de rébellion, soit un état de dépendance et d’assujettissement, selon les circonstances et le caractère des individus. Le Tout-Puissant choisit généralement un conjoint qui l’admirera et saura lui obéir mais, comme il aime flatter son ego et exhiber une compagne de choix, il peut aussi s’attacher à une personne « remarquable », dotée d’une certaine personnalité, auquel cas il s’expose à des obstacles dans l’affirmation de sa tyrannie…”

Auteur: Pascal Couderc.
Source: https://www.pervers-narcissique.com/episode-11-la-manipulation-ordinaire/

 

Il y a ceux-là.

mercredi, mars 6th, 2019

Il y a ceux et celles qui, jamais ennuyés d’une quelconque façon qui dépasserait une démangeaison légère ou une poussière dans l’œil, se targuent de ne pas être des intellectuels.
C’est encore heureux!
Rechignant à la lecture d’un Lordon, expliquant fort bien, avec son biais inimitable, la philosophie -indigeste pour moi- de Spinoza à sa sauce, ils préfèrent se plonger dans les lectures viciées d’un prix à l’accession au monde des millionaires tels les Houelbec à sa mémère, les Piketti à son Duce, prêts même à défendre d’indéfendables idéologues tels que Finkelkraut à sa choucroute, Onfray mieux d’se barrer (à la Vogonstyr) ou encore des bhl aux initiales finalement fort proches de celles de magasins fourre-tout pour consommateurs décérébrés.
Il y a ces gens-là, mais parmi eux, on peut encore affiner les catégories.
Certains sont véritablement des cuistres. En dehors des apparences, ils ne désirent absolument rien. Une pseudo culture rassasiée d’Inrockuptibles banquiers, aux ordres d’une bienséance trash-chic tragique, de magazines en vogue leur faisant dégouliner un soupçon de ce qu’il faut absolument savoir pour remplir le vide de leurs vies et les soirées sociales obligatoires.
D’autres s’épuisent à la conquête d’apparences strictement vidéo-sociales, comme si ce qu’on voyait était l’unique et vrai reflet d’une vérité partagée, enviée, et finalement absolue.
D’autres encore, et ceux-là sont peut-être sauvables, s’accommodent d’un saupoudrage des précédents vices pour masquer quelques questionnements dont ils repoussent l’idée même jusqu’à un hypothétique plus tard. Plus tard.
Pourtant tous ces gens-là ont une chance dont ils ne seront jamais pleinement conscients.
Est-ce, au final, une chance que d’être et de rester aveuglé tels les imbéciles heureux que l’on rencontre parfois -au détour d’un coin de rue, au hasard, pendant une manifestation des gilets jaunes, telle une peste vicelarde- en se persuadant qu’il n’y a pas plus grand bonheur?
Ceux qui profitent éhontément de la masse de ces ignorants savent bien, quelquefois inconsciemment – en témoignent leurs lapsus- que leur salut à eux est dans cette masse informe que revêt la bêtise, si commune à l’humanité. Ceux-là sont les dominants, quels que soient leurs moyens.
Et pourtant!
Et pourtant il existe une sorte de force qui poussent les malchanceux à se dépêtrer de l’ignorance qui caractérise le plus grand nombre.
Cette force c’est la souffrance et la douleur, dans leur infinité de formes et de chemins. Cette force, c’est l’unique chose admirable concernant l’humanité.
Cette force, c’est le majeur tendu sur un poing fermé, seul dépassant de la surface où l’Être se noie.

Tasty humans

mercredi, février 20th, 2019

Not sure any of all those hysterical cretins can understand any humor, specially in my decadent democraturic country.

A need for a first amendment

mardi, février 19th, 2019

https://en.wikipedia.org/wiki/First_Amendment_to_the_United_States_Constitution

There’s a great need of something ressembling the first amendment of the US constitution in a small country that lives in a constant domination of any kind of cretins and keep doing so after sabotaging ANY little step of enlightment through ages.
Maybe something better than the first amendment could be found, but as always, human condition is so well done that it will stay the same for eternity.

Sad tasty humans.

Monster love

mardi, janvier 8th, 2019

Ain’t got no money…
Got my pretty tail 😉

This is the caterpillar of the now famous butterfly appearing in “The silence of the lambs” movie.
Shot on some potatoes plants at home. The damn beast eats quite a lot but I’ve let it do. No harm. Thanks for the pics buddy worm 😉
It is said that the butterfly itself has a cry like one would have read in Edgar Allan Poe short novel “The sphinx” (here in french audio, here in english text).
I wouldn’t believe it if I had not heard myself the cry of the caterpillar…
That’s a audio/video bonus of the cry, when someone -me- shake the branch the damn beast sits on 😀
A weird defensive “tak tak tak” sound.

About the photo title itself, one will look at this below video of Nina Simone song (and of course read carefully the lyrics):
[sz-video url=”https://youtu.be/L5jI9I03q8E”]

Just like in Poe’s novel, my aim is not the main subject, but what I can tell through some commonly ‘common’ said pictures.
If one jumps freely from an idea to antoher, it’ll get soon to a famous Dali photography.
And will find a bit of its meaning too (and how it was created with women’s bodies).

Then, do not stop.
And let’s stay friends, girlfriends 😉

Les bouffons ont peur de la guillotine

jeudi, janvier 3rd, 2019

https://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2019-01-01-Le-Temps-des-bouffons

Il est remarquable de voir avec quelle peur les puissants s’attaquent à ceux qu’ils ne considèrent que comme leur jus de vie.
Ils ont peur. Peur de la guillotine qui leur est promise, peur de perdre véritablement la tête sans que ce soit à leur profit, peur de ce qu’ils avaient oublié être la source de leurs richesses éhontées, de leur domination crasse, de leur petit monde crétin.
Alors on arrête, on engeôle, on tâche de faire propre en s’offusquant d’un bâtiment sali et de commerces qui doivent fermer pour que la populasse puisse elle aussi avoir une petite place. “Ça ne durera pas, il faut que ça cesse” s’époumone-t-on dans les ministères, entre ordre et suggestion.
Mais non, ça ne s’arrêtera pas. Et la peur est toujours là, maintenant à demeure, minant un système à l’agonie, renversé par les outils même dont les dominants pensaient qu’ils faciliteraient leur toute-puissance éternelle.

« Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. »

— Henri Laborit, Mon oncle d’Amérique

 

 

Sans titre.

lundi, décembre 31st, 2018

https://lvsl.fr/il-y-a-une-coexistence-simultanee-de-la-verite-et-du-mensonge-dans-le-systeme-mediatique-dominant-entretien-avec-ignacio-ramonet

D’homme politique, il n’y en a qu’un…

mardi, décembre 18th, 2018

Et c’est Ruffin.

https://www.youtube.com/watch?v=NS33E3KJ1mo

[sz-video url=”https://youtu.be/NS33E3KJ1mo”]

PS: même le Canard, qui s’y essaye, a du mal à le mettre en boîte 🙂

 

State of the bordel

vendredi, décembre 7th, 2018

Je m’apprêtai à disserter sur la vulnérabilité de la nudité, mais finalement, ce sera pour plus tard.
Il y a plus urgent, môssieur le président.

A l’aune de la révolte populaire déclarée en France depuis plusieurs semaines maintenant par le mouvement dit des gilets jaunes, on se rend compte que le changement de la société induit par la communication à travers le réseau Internet est bel et bien en cours, tel que l’avait prévu Benjamin Bayart, plus au fait de l’actualité contemporaine de nos civilisations que ne l’est Emmanuel Todd, pourtant assez clairvoyant sur la psychologie de ce mauvais président élu par une minorité en France.
Tel un enfant sans tabou, comme j’essayais de l’expliquer par ailleurs, Todd dit du premier magistrat qu’il est “limité intellectuellement”, qu’il “a un rapport partiel à la réalité”, qu’il est un “président irresponsable moralement et civiquement”, et pour finir qu’il “a une personnalité inquiétante de rigidité”.
Evidemment, ceux qui n’entendent que peu de choses à la matière psychanalytique m’ont opposé la liberté de consentement entre adultes pour expliquer la relation entre un jeune ambitieux et sa presque symbolique môman bourgeoise.
C’était moi qui choquait ces braves esprits plutôt que ce que je dénonçais alors. Ils s’arrêtaient tous aux faits, qui devaient certainement les rendre perplexes inconsciemment, et préféraient ne pas entendre ce que signifiait la mise en lumière d’une attitude tout à fait intime et pourtant publique: le caractère autoritaire et la personnalité pathologique d’un homme sans limite qui avait accédé au pouvoir.
Car il s’agissait bien à la fois d’expliquer et de dénoncer ce que tout être sensé comprend aisément: la volonté de toute-puissance d’un enfant gâté et sans limite ne s’exprime pas seulement par ce qu’il dit, lorsqu’il parle de “ceux qui ne sont rien”, des “réfractaires” ou encore “des fainéants”. Elle s’exprime par son histoire et ses actions.
En faut-il encore pour justifier le départ souhaité et souhaitable d’un tel personnage qui, il faut le rappeler, est à la tête d’une armée certes moribonde mais toutefois nucléaire? [ Todd dit que ce président “est en recherche de guerre civile”…]
Tiens, pour se divertir, on lira et relira (la langue est ardue, on le sait) un récent Lordon en trois volets, commentant ses écrits et ses positions face à ce qu’elles génèrent d’incompréhension et de mécompréhension, surtout. Ce sentiment ne m’est pas inconnu et apporte, à ceux qui s’en rendent compte, à quel point il n’y a pas de contrôle, quelles que soient les outils utilisés, le premier étant le langage.

A propos [digressons un poil] de compréhension sinon d’entendement, je me demandais si c’était le fait d’une certaine éducation, d’une certaine instruction, que se mettaient en place les comportements de pensée.
J’y ai cru un instant, mais de courte durée. Il y a autre chose…

Female french voice, superb ;)

lundi, novembre 19th, 2018

C’est une libertine,
Avec n’importe qui elle s’acoquine
C’est une vraie femelle,
Une authentique rebelle

🙂

[sz-video url=”https://youtu.be/q0HT5JbNVQo”]

Sample from:

[sz-video url=”https://youtu.be/kH6Bzk6Uv4E”]

Une autre photo encore plus obscène (série de 2 photos, 2/2)

vendredi, octobre 26th, 2018

Qu’il est bon de parler et d’écrire, n’est-ce pas?
Dans les infra des trous de lapins, on ne se modèle pas.
La femelle n’est peut-être finalement pas si maline que ça, en plus de son handicap physiologique… 🙁
Heureusement, la vie n’apporte qu’espoirs. Et désillusions cruelles ^^.
N’empêche…

 

Le premier volet et la photo 1/2: http://www.lornet-design.net/une-photo-obscene-serie-de-2-photos-1-2/

L’écho (des bushes) poignait

mardi, octobre 16th, 2018

Outre ce bon mot titulaire pour qui saisit l’humour forcément franco-anglais qui m’assaille…
🙂

Il semblerait que quelques échos poignent (ndla: ya pas de subjonctif, j’utilise un bête indicatif).
Et là, je me rends compte à quel poing, si j’ose siquer de la sorte 🙂 , j’ai sous-estimé le doux mot de S…bip concernant mon étude de nu.
Mais cependant, on peut noter, outre le propos d’icelle quelque peu convenu, qu’une certaine circonspection est toutefois de mise.

C’est heureux.

Soyons d’autant plus patient que le temps s’écoule aussi lentement qu’il n’existe évidemment pas…

Aphro

jeudi, octobre 11th, 2018

Pour commencer à se faire une idée…
L’érotisme, vision ou peinture du monde?
https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-2eme-partie/lerotisme-vision-ou-peinture-du-monde-0

NRA

vendredi, septembre 28th, 2018

On disait que la nuit, on n’y voyait que pouic.
On y voit simplement d’autres choses, invisibles le jour.

Et ça vaut pour un NRA comme pour tout le reste.

Nus 2018 onwards

vendredi, septembre 21st, 2018

http://www.lornet-design.net/nus-2018-onwards/

Des femmes désobligeantes.

lundi, septembre 17th, 2018

Je connais trois femmes désobligeantes. Au moins 🙂
L’une que j’ai connue et avec qui j’ai eu une relation amoureuse autant que sexuelle. Une autre, dont la relation amicale pourtant déjà longue s’est faite uniquement sur le web. Et enfin une troisième récemment rencontrée IRL.
Ces trois femmes ont pour trait commun d’avoir été assez chanceuses, fortunées, et laissées en liberté par une éducation dont elles ne semblent penser que du bien.
Ces trois femmes se refusent à présent à tout dialogue.
Une fois éliminé un contexte peut-être peu propice (un moment inopportun, de maladie ou de menstrues, que sais-je encore?), il semble quand même qu’une mauvaise foi les habite, si j’ose dire, et qu’il est assez difficile de l’en déloger.
A défaut de sphincter vaginal, ces individus ferment leur esprit et leur capacité de communication, pensant trouver ailleurs, à plus soumis ou plus névrosé, le plaisir d’une discussion qu’elles n’auront évidemment jamais avec ce type d’interlocuteurs.
Quel est donc le ressort de ce mécanisme?
Il est semble-t-il assez simple. Le développement infantile s’est en général bien passé, bien que de légères névroses soient forcément apparues, et le confort de vie, ainsi que quelques “facilités” (prenons-les plutôt comme la résultante de cette vie facile et confortable, sans être celle de pacha-tes ) ont permis l’accession à quelques fonctions dont elles se contentent.
Un salaire décent, ou une rente, un travail menant l’illusion d’une fonction sociale, bref, le petit bonheur – sans la chance.
Car la chance n’est pas de naquire avec une cuiller en argent dans le bec, même si l’argent est un puissant anti infectieux, ce qui aide bien, comparativement à ceux qui bouffent des PCB et autres dérivés chimiques du pétrole dès leur plus jeune âge, mais de s’émanciper du triste sort que réserve l’humanité à chacune de ses composantes.
Et c’est là que le BB… *

[sz-video url=”https://youtu.be/16AydmuVX2U”]

 

 

* (bât blesse)

 

 

It’s all up to you, women.

lundi, septembre 17th, 2018

Freedom is choice.
You can choose to have ‘a’ man, raise some children, and work like a slave. Have some affairs, like your ‘perfect’ husband does too… and hashtag ‘me too’, too!
You can choose not to talk too.
You can also choose some’ different.

UP TO YA’LL! 🙂

Du corps.

mercredi, septembre 12th, 2018

Le corps lui aussi peut être très douloureux, j’en sais foutre quelque chose et la plupart des toubibs me font doucement rigoler. Leur approche de ‘physicians’, comme on dit en anglais, est fort réductrice. Cela concerne surtout et bien sûr la médecine occidentale, concentrée sur l’argent, et dont la pharmacopée repose essentiellement sur ce but ultime de la connerie.

Mais passons puisqu’avec un cerveau qui fonctionne, à présent, à la vitesse de la lumière (le débridage fait des envieux et des circonspects ^^) et avec la base de données déjà conséquente disponible rien que sur le web public, on parvient facilement à s’occuper de son petit corps d’amour.

Pour entretenir le corps, il faut le faire bouger et faire du sport. J’ai décidé de m’y remettre, après une bonne vingtaine d’années de repos.
On s’aperçoit alors que le corps rouille 🙂
Après seulement une heure trente d’entraînement fort jouissif, je me retrouvai deux jours après avec un déplacement léger (une petite fracture maybe?) au niveau de la jonction de la C9 avec l’arc costal. Probablement le résultat soit d’un forçage volontaire au sac, soit conséquence d’une prise au sol ou de l’attaque pour faire tomber l’adversaire avec un coup d’épaule dans le ventre suivi d’un plaquage frontal. On ne saura jamais puisque lorsqu’on est échauffé, on ne sent absolument rien.
Rien de grave, mais ça empêche de tousser et de dormir sur le côté concerné, et cela pendant au moins une semaine. Prescription d’antalgiques et de très forts anti-inflammatoires.
La trauma léger mais sensible de la partie proximale du sterno-cleido-mastoïdien droit est traitée en même temps (suite à étranglement au sol).

Bon, rien que de très normal lorsque l’on est assez motivé et que l’on est bien échauffé. Oui, je me répète.

Déchirure des ligaments deltoïdiens du pied gauche avec tuméfaction. On note le gonflement de la cheville comparativement à celle restée saine. Les cicatrices de piqûres de puces sont récentes.

Le problème vient ensuite et rouvre des plaies bien plus anciennes.
Par exemple lorsqu’on ramasse une pièce de monnaie tombée à terre, en pliant bien les genoux, et que subitement, le disque intervertébral L5/S1 se déplace pour faire hernie, comme il y a 10 ans (et qu’on soulevait 80 kilo dans la même position).
Bonheur!
Je pense que j’ai dû effrayer les deux personnes présentes tellement j’ai souffert. C’est une douleur violente de nature électrique (le nerf) qui prend toute la jambe, on ne sait pas si on pourra se relever… on y arrive avec les mains 🙂
Et donc on boîte. Un ptit tour chez ma rebouteuse préférée et le tour est joué, le nucléus n’étant pas sorti du disque.
Mais voilà! une douleur du nerf sciatique engendre une faiblesse… on marche avec un pied en canard… et lorsqu’on veut filer répondre au téléphone qui sonne, qu’on prend un faux appui bien mâle… On se déchire carrément les ligaments de la cheville.
Tout s’enchaîne 🙂

Alors, plutôt immobilisé, on se rappelle le bistouri qui s’enfonçait dans le pectoral pour y enfoncer un drain de belle taille (1 cm de diamètre extérieur environ) jusqu’à ce qu’il touche la parois dorsale interne, afin de mettre en route la pompe à vide… que cette connasse d’infirmière n’a mis en route que 24 heures après la pose du drain… ya des gourdasses, non? Mmmm!
Heureusement que c’était une jolie blonde à qui j’ai pu écraser la main pendant le coup de bistouri sous anesthésie très locale. On sent rien, en fait… juste le sang qui coule sur le côté du tronc 😉
On se rappelle la pleurectomie, suite à la récidive de l’hémipneumothorax, mais surtout la douleur incroyable (la plèvre est fort bien innervée, alors que les poumons, aucunement) en salle de réveil. Le bonheur des quelques gouttes de morphine SEULEMENT une fois la journée (les salopards!) qui éteignaient la douleur pour une heure ou deux… Et ces antalgiques de merde qui ne faisaient aucun effet sur une douleur saignante, pour le reste de la journée.
La médecine française et la gestion de la douleur par des médecins qui sont souvent des personnes qui ne tombent jamais malades (j’ai connu un prof angiologue qui était terrassé et apeuré car pour la première fois, à 50 ans, il avait dû passer une journée au lit, mal de gorge, tête, bon une bonne crève quoi… mdr, la tafiole 🙂 ).
Le souci, c’est que ces médecins sont persuadés d’être dominants et de mieux savoir que les autres, puisqu’ils gagnent beaucoup d’argent et qu’il faut les révérer.
Oui, la connerie s’immisce dans tous les domaines de l’humanité, comme je le disais, elle en est hélas consubstancielle.