Archive for juin, 2019

Aux bourreaux des bureaux

jeudi, juin 27th, 2019

On ne meurt pas du manque d’amour. On meurt de ce qu’on met en place pour y remédier.
Les idiots disent qu’on ne vit pas d’amour et d’eau fraîche. Ils n’y entendent rien. Je vais leur expliquer.
Avec l’eau, ô précieuse, la vie existe et nous est permise.
Avec l’amour, tout le reste vient.
C’est irréductible.

Sans titre (pour A.)

mardi, juin 25th, 2019

Pilot

mardi, juin 25th, 2019

“Why is it,” Jonathan puzzled, “that the hardest thing in the world is to convince a bird that he is free, and that he can prove it for himself if he’d just spend a little time practising?
Why should that be so hard?”

Richard Bach, Jonathan Livingston Seagull a story, 1970.

Easy

dimanche, juin 23rd, 2019

Lo que no se ve

jeudi, juin 13th, 2019

Dramatic

mercredi, juin 12th, 2019

Catching a rainbow usually makes the first shoot perfect, as the rainbow fades away quickly, like a dancer.
That also means you had already the polarizing filter on the camera if you want to make it a bit dramatic.
Otherwise you go post-production (anyway you will have to develop the picture, as usual) and work out the photo to make it fit your desire.

You’ll find out or just buy the great movie ‘Parada‘. I love it. It’s an intelligent dramatically life-like movie. And you will Roll Over (the) Floor Laughing.
That’s what matters in dark ages.

Psychose

lundi, juin 10th, 2019

Une famille où l’on ne raconte pas.

Ma mère avait 23 ans quand elle m’a mis au monde et elle n’était pas prête à avoir un enfant.
Elle ne voulait pas d’enfant, au moins pas à ce moment-là.

Elle n’a pas su surpasser la difficulté d’un nouvel être humain qui venait s’imposer vivant dans sa jeune vie.
Qu’est-ce qu’on sait à 22 ans des hommes et des bébés mâles?
Elle, pas grand chose, c’est certain.

Mais dans une famille très religieuse, c’est “comme ça”. La vie fonctionne ainsi, sans que l’on ait à dire sa volonté propre. Alors que le désir et la volonté des êtres humains est justement ce qui les différencient de ceux qu’ils appellent les animaux.

L’animal n’a qu’un instinct de survie.

Il ne pense pas, il ne philosophe pas, il n’aime pas. Il vit d’instinct, se sustente, se nourrit et se reproduit.
Seul l’Homme profite de la vie parce qu’il sait qu’il va mourir.

Pour cela, il lui est encore difficile de s’épargner la souffrance. Il vit souvent dans la peur, quand l’amour fait défaut.
L’Homme qui a peur souffre. L’Homme qui n’est pas élevé comme un humain, qui ne reçoit pas d’amour quelles qu’en soient les raisons, ne peut se développer sainement.
Il grandit dans la peur. Il développe une panoplie de symptômes communs mais propres à chacun, à chaque individualité.
A travers ses symptômes, aussi douloureux peuvent-ils être, se trouve les solutions de sa reconstruction.

C’est d’y faire face, de prime abord, qui est le plus difficile.
Puis c’est ensuite de ne pas renier ce qu’il vit qui est un barrage.
C’est aussi la confrontation avec ceux qui ne savent pas ou qui croient savoir -ce qui est bien pire- qui vient créer un empêchement.

La colère.

La colère qu’on a contre soi-même, de s’être fait berné. D’avoir été impuissant parce qu’on n’était rien qu’un nourrisson, puis un bébé, puis un tout jeune enfant… et que le monde c’est celui que les parents, mais surtout la mère donne à voir.
Quand ce monde est dépourvu d’amour vrai, quand il n’est qu’une scène de théâtre dont on s’aperçoit qu’elle est très mal jouée et que les acteurs ne peuvent rien transmettre. Quand on grandit dans un tel monde… comment savoir que l’on n’est pas responsable de ce que l’on ressent?

Maman, tu n’as pas su. Tu ne sauras jamais, c’est fini. C’est fini pour toi, mais c’est également fini pour moi. Bien d’autres souffrent, mais ce qui est important pour moi, c’est moi.
Pas d’amour dans ces bras. Ont-ils même servi à autre chose qu’à faire des moulinets inutiles?

C’est triste.

Pour faire des Hommes bons, il faut des mères aimantes. Ce ne peut être une règle, évidemment.
Il y a un espoir de pouvoir retourner les pires situations, quand l’ubris est connue, comprise et sublimée.

Le tramadol te faisait faire des cauchemars… Je ne savais pas que dans les substituts d’opiacés, des anti-douleurs, se trouvait la clé des cauchemars…
Mais les opioïdes, la morphine pourtant peu dosée, tu as pris soin de la rendre à la pharmacie… des fois que ma douleur ait pu être atténuée, n’est-ce pas? Cette douleur que tu m’as insuflée, quand bien même de façon inconsciente. C’est peut-être cela que tu expiais chaque dimanche en allant au pardon de la messe messianique…
“Mon dieu!” qu’il est bon de fauter et de se voir pardonner par une illusion, n’est-ce pas?
mais ce ne sont pas de toxines dont j’ai eu besoin et qui semblent bien pauvres, c’est d’amour quand je n’étais qu’une petite chose gigotante.

https://www2.series9.io/film/mapplethorpe
Et c’est pas pour des enculés de tarlouzes de merde, ce genre de film, n’est-ce pas.

PS: un film doublement gratuit puisque la licence globale n’existe pas (au profit des enculés d’hadopi, haha) et que donc, personne ne paye rien, même pas un ou deux euros le mois, pour avoir un accès global aux arts graphiques.
Exactement comme moi qui paye mon NDD et serveur pour vous montrer un site et mes créations photos, sans aucune publicité.
Et, de rien, hein.

Postérité

mercredi, juin 5th, 2019

Aux incultes.
Aux esprits de trous.
A moi.

Des mères de toi

mardi, juin 4th, 2019

Les mères sont avant tout des femmes, et surtout des êtres humains aussi salauds et donc salopes que peut l’être ce ‘genre humain’.

https://www.europe1.fr/societe/exclu-e1-violee-pendant-son-enfance-elle-attaque-letat-tout-ce-que-jai-subi-est-incomprehensible-3699869

PS: une fois n’est pas coutume, c’est un lien… dont chacun saura ce qu’il y a à en penser.

‘Feminism’ for the 99%

mardi, juin 4th, 2019

https://www.franceculture.fr/oeuvre/feminisme-pour-les-99-un-manifeste

Une liberté

mardi, juin 4th, 2019

“Toute information figurant sur sa plate-forme est accompagnée d’une source brute qui permet à chacun de la vérifier et de s’en emparer, ce qui supprime les privilèges que la caste journalistique s’est octroyés.

Un tel pari sur l’intelligence collective renverse les principes de notre temps. Au-delà de l’effet de révélation immédiat, il permet l’émergence d’un regard critique partagé, éloigné de toute forme de connivence. Devenu une sorte de métamédia, WikiLeaks écrase toute concurrence et suscite d’intenses jalousies.”

https://www.monde-diplomatique.fr/2019/05/BRANCO/59876

Hadopi = gaspi

lundi, juin 3rd, 2019

Alors ce machin, c’est 4 millions (sûrement plus) d’argent public dépensé par an, pour pantoufler 40 copains des rupins, et ça sert à rien, sauf à entretenir les susdits rupins (je viens de résumer Crépuscule de Branco, là, non? 🙂 )

En plus ils en sont très fiers, ces cons!

https://www2.series9.io//film/colette

PS: il y a des millions de sites comme ça, hein, au cas où vous prendrait l’envie d’essayer de faire quoi que ce soit de stupide -puisque vous ne savez rien faire d’autre.

 

The french dictature (EN subs)

samedi, juin 1st, 2019

The structural system of neoliberal capitalist pseudo democratia is made out of oligarchic power.
System has people to serve it. Killing (make them out of order-ing) those ones won’t change the system, but it’s a first step to decent life.
Let’s make them drink few liters of roundup from monsanto, as they say it’s very safe, for example.