You can play all words (but all at once) to make a new sentence, it’ll significate something. Give it a try, geometrically or not!
Hommage à Woodie Guthrie 😉
You can play all words (but all at once) to make a new sentence, it’ll significate something. Give it a try, geometrically or not!
Hommage à Woodie Guthrie 😉
Tiens! Hop! je vous partage gratuitement une chanson que je viens d’enregistrer. C’est une chanson écrite par Anna Marly qui s’intitule La complainte du partisan (à ne pas confondre avec La complainte du progrès de Boris Vian, excellente aussi! 😉 … On pourrait gloser sur ces deux titres, leurs textes, leur sens et significations…Mmmm! 🙂 ).
Chant: Francis Lornet
Guitare: Francis Lornet
Enregistrement et production: Francis Lornet (hashtag vive le narcissisme… ooooh ^^)
Pour un véritable artiste, la seule chose qu’apporte le succès, c’est de permettre qu’on oublie son nom au profit de son œuvre.
En re regardant The Equalizer à l’occasion de la sortie du 3e opus (avec le fameux Denzel Washington, celui de The Book of Eli – https://www.imdb.com/title/tt1037705/ ) une citation de Mark Twain apparaît au tout début du film, que je traduis ainsi:
“Les deux jours les plus importants dans votre vie sont celui où vous êtes né et celui où vous comprenez pourquoi”.
La plupart n’ont de second jour que le dernier.
Lorsqu’un psychopathe à la tête d’un état, un pervers narcissique paranoïaque (au sens psychanalytique des termes, et c’est sévère) dit à la population qu’il dirige (plutôt qu’il gouverne): “nous sommes en guerre”, alors il faut retourner contre le cuistre sa logique afin de le faire taire et de l’humilier.
La toute première chose à faire lorsque l’on mène une guerre, c’est de couper toutes les communications (liaisons et transports terrestres, aériens et maritimes) et télécommunications (télévision, radio, internet) par les moyens du sabotage.
La guerre voulue par le cuistre pervers et totalitaire se retourne ainsi contre lui qui, sans parole ni audience, se retrouve nu et vide, seul face à son deuil et à sa dépression, sans pouvoir l’évacuer chez d’autres. Il en meurt.
La vie peut ainsi reprendre son cours, forte d’une expérience enrichissante bien que traumatisante.
L’eau du Tao ne peut être empêchée que temporairement.
Petit résumé de combat et de sanité.
Racamier (Paul-Claude) nous apprend que la perversion narcissique est toute dans l’agir et dans la parole. Ce qu’on appelle pensée n’existe pas chez le pervers narcissique. Le pervers narcissique n’a pas d’objet, il considère ses congénères comme des ustensiles.
Maffesoli (Michel) donne une définition des élites dirigeantes comme ceux qui ont le pouvoir de dire et de faire. En effet, et malgré le délire vulgaire et ridicule de Wharol (Andy) à propos des 15 minutes de gloire de chacun grâce aux médias — plutôt la télé-réalité que les publications web, encore que le virus de la médiocrité se propage; seules les élites (et les wannabe elite — gens de médias) ont accès aux financements d’état (l’argent de tous les citoyens) pour faire et à la publication par tous moyens disponibles, quand ils le souhaitent, de leurs discours afin de dire.
Racamier nous apprend également que la seule façon de faire cesser la torture psychique (et souvent bien réelle et physique, quand bien même seulement induite) d’un pervers narcissique, c’est de l’humilier afin qu’il en meure. Une seconde solution est la fuite, mais cela n’empêche pas que le pervers continue son massacre des moi narcissiques d’autrui.
A l’aide de ces deux éminents penseurs on peut envisager “d’avancer le temps” (plutôt que d’attendre une éventuelle solution extérieure — une élection? … si elle est encore autorisée…), afin de faire cesser la perversion narcissique d’un dirigeant totalitariste, simplement en ne l’écoutant pas, jamais. Et en n’en parlant jamais (le pervers narcissique excelle à ce qu’on parle de lui quand il n’est pas là).
Sa parole, jusque là commentée, analysée, scrutée (toutes choses dont il jouit) devient alors rien (tout comme ce qu’il est en réalité, un être totalement vide) et ne produit plus aucun effet, tel un virus désactivé — utilisé dans les véritables vaccins — sauf à ce que tous le voient dans sa réalité de manipulateur sadique et paranoïaque — et puissent donc s’en prémunir de façon définitive!
L’effet de cette humiliation totale de cet être totalitaire qu’est le pervers narcissique serait quasi immédiat. Les effets en seraient tout d’abord violents, car le pervers n’a aucune limite. On peut supposer qu’un tel psychopathe dirigeant un état lancerait ses chiens sur tous ceux qui ainsi l’auraient humilié. D’un état totalitaire et soumis aux états d’exception, on passerait alors vers une véritable dictature, basée sur la guerre civile ordonnée : la police et l’armée au service de quelques fous et contre tout le reste des citoyens, avec de nombreux morts. Le “sang et les larmes” que le pervers narcissique n’a jamais voulu regarder en face dans sa vie personnelle, mais qu’il introjecte dans ses proies, fussent-elles une population entière.
Afin d’éviter une telle funeste période (qui par ailleurs ne manquerait pas de s’effondrer à son tour, mais à quel prix et au bout de combien de temps!) il est impératif que les esprits lucides et sains, dont je gage qu’il en reste quelques-uns parmi les élites et les corps dits intermédiaires, mettent en place un comportement rationnel plutôt que de suivre l’attrayante jouissance qu’un système pervers et ses pervers dirigeants pourraient leur faire miroiter.
Il s’agit là d’une histoire d’humanité.
Dorénavant, et pour les siècles des siècles, tout médicament, vaccin, pilule ainsi que tous leurs dérivés herbeux ou dits naturels sont prohibés.
Le mot science est prohibé, ainsi que les mots pensée, réflexion, philosophie, psychologie, cerveau*
Deviennent obligatoires le visionnage d’écrans approuvés par l’étazunien pendant un minimum de 14 heures par jour pour chaque individu dès le plus jeune âge.
L’adage “le travail c’est la santé, il rend libre” est apposé en tous lieux et vénéré d’un salut à chaque passage devant son inscription.
Plus de facilités à venir.
*liste exhaustive en toutes langues disponible sur demande au tarif de 2700 coupons.
La guerre civile serait-elle organisée par l’état? aux mains d’un fou dont l’épouse même est une criminelle impunie? servi par une branlée de wannabe fous?
Je n’ose le croire et pourtant, comme dans toute guerre idiote, on ne s’en rendra compte qu’au moment de compter les morts.
On décida alors de stériliser les tueurs en bleu, le simple vœu de chasteté ayant montré ses limites chez ceux en noir.
Mais la couleur du vêtement ne changeait rien. Alors de gré, par l’essentielle nourriture, ou de force, par les soins dits médicaux, la stérilisation arriva. Vraiment pensée ou simple conséquence d’une inanité intellectuellement peu croyable, c’était le nouveau sens de la “vie”, pour ceux qui employaient de vains mots.
Les humains n’existaient plus.
– Etat des lieux.
– Ha!
– les cendres du mât!
Quelquefois, au risque de n’en point revenir, il faut se mettre en mode coquille pour quelques temps.
De crise à lied, il en sort toujours quelques nouveautés.
Un 29 juin, par une chaleur inaccessible à la sensibilité humaine, furent pendus éviscérés et portant encore l’uniforme de la honte, plus d’une centaine de policiers thanatoniques de l’armée de coercition macroniste, au nom du peuple. Femmes et hommes qui s’étaient vautrés dans la violence la plus ignoble semblaient maintenant avoir reçu ce qu’ils méritaient.
Les corps restèrent plus d’un mois ainsi, avant qu’une tempête ne vienne en décrocher quelques-uns à la force du vent.
Villon était loin, les corbeaux étaient morts.
Des monceaux d’ordures s’accumulaient aux pieds des lampadaires potences telles des offrandes à la mort salvatrice.
Personne ne désirait que ce triste spectacle de mort putride ne soit effacé tant la rage et la colère avaient atteint un paroxysme jusqu’alors inconnu.
On emmenait les enfants voir la réalité du croquemitaine.
Chacun devait enfin jouir de ce qui avait été volé à tous.
Ceux de l’état défunt se terraient comme des rats apeurés quand ils n’avaient pas fui chez leurs tristes congénères de l’ailleurs.
La sanité des êtres comme des esprits avait quitté le pays.
La vengeance ne servait à rien, car le vide avait empli les cœurs et les esprits par la faute de femmes qui avaient trahi afin de servir l’ignoble.
Sortir de la psychopathie est tâche ardue. La plupart, qui en jouissent et en tirent profit – les sadiques donc, n’y arriveront simplement jamais sauf à ce qu’on les mettent hors d’état de nuire.
Un moyen terme, concernant macron le “président” psychopathe français, serait de l’émasculer en place publique dans l’espoir qu’il accède à la castration.
“Pour son bien” (comme il aime dire), évidemment. Mais surtout pour la sanité de millions.
NB: on ne peut forcer, mais ce serait là acte de “briser la glace en cas de danger”.
Bientôt on aura un ministère de l’art. Oui.
Fini les termes circonvolants, alambiqués ou pseudo-philosophiques! finie la “culture”, ils ont choisi de détruire le mot lui-même.
Un ministère de l’art où la veuve d’un ex-président donnera le LA musical, comme le dit déjà, en guise de réclame, une banque du même pays.
Un ministère de l’art inconsistant, vide, tout à l’image abyssale de ceux qui le créent.
Un ministère totalitaire, comme tous les autres. Une sorte d’élaboration du dégoût, visible, palpable.
Un autre ministère “du sang et des larmes”, comme aiment à le dire ceux qui manipulent de loin, hors de tout danger.
Cependant, l’hubris vient toujours à point nommé pour rappeler que le bonzaï meurt si on n’y prend un soin extrême, quand bien même on l’obligerait à aimer sa propre image déformée d’arbre monstrueux, symbole évident d’une toute-puissance forcément avortée…
La nature, cosmique même, ne tolère pas, tout en hasard, certains désordres hubriques.
Et il n’y a là ni dieu ni pensée ni action. C’est la pure non-action.
Tout s’apaise.
La corde de Si a toujours été chiante, depuis “la nuit des temps”.
Mais là, avec le délire climatique (et la perversion humaine)…
Clitodextre – Que puis-je en vous changer, si ce n’est votre droiture et cette envergure de bon aloi?
Pénigrant – Rien de tout cela ne me sied! vous feriez tomber là ma foi!
Clitodextre – Vous voilà bien imbu alors que vous ne me semblez point tordu!
Pénigrant – Je suis tout à vous! en bras sommes-nous!
Je viens de saisir le sens presque profond de ce titre, qui concerne à l’origine un hypothétique manque de ‘tubes’ (‘valves’, etc), éléments indispensables destinés aux amplis guitare et autre matériel audiophonique.
Le monde terrestre manque cruellement de lumière(s).
Les inconscients se ramassent à la pelle.
Mais, finalement, quoi de mieux qu’une obscure noirceur pour briller tranquilou? Me direz-vous? 🙂
On y croit? Et mon cul?
Mais rien n’empêche.
C’est là qu’on pêche.
Les vidéos limitées à 25 mégas dans messenger de facebook? LOL, blaireau t’as vu ta gueule connard de mark zuckeberg? T’es vilain.
Les vidéos interdites dans tous les pays sauf 2 , en posts? mais va te faire enculer blaireau de castré du prépuce, youpino débile!
With love, connard. 🙂
A la bonne heure les enfants de cœur!
A tous ceux qui jamais ne sont du chœur
ceux qui libres, aiment les fleurs
ceux qui traversent l’inceste
comme on passe à gué l’absence ruinée
A tous les heurs polytraumatisés
A ces nigauds qui se prennent de haut
Et qui en même temps s’éprennent du haut
Que de salauds, que de perdreaux
Le monde jamais n’est accessible
que pour ceux qui s’aiment et se divinent
Ni volonté, ni bibine
L’artifice est dans l’abîme
Veux-tu venir? et t’épanouir
Un tout petit peu, au moins, avant de mourir?
Si tu ne veux pas, fais comme il te plaira
Je pars au loin sur un char de foin
Il fumera, tu le verras de l’oin
Hihi, tu fais pipi
Et ce caca qui sent aussi
Mais oui, mais oui
C’est là qu’on voit
ce qui est entré et sort de toi
Je l’ai subite, telle une pauvre bite
J’en ai mangé, à satiété
Que fais-tu là, mon p’tit poupa?
N’être rien d’autre qu’un gland de toi
Que de moulinets, que de petits bras
Mou ah
Ah ah.
La “bonne société”, c’est évidemment celle que les dominants appellent ainsi, la leur.
On ne peut pas l’enlever, la bonne société est celle des riches, bourgeois ou nobles, qui s’entendent entre eux le plus simplement du monde.
Les véritables intellectuels ne font pas partie de ce monde, on peut s’en rendre compte aisément en écoutant les Pinçon-Charlot qui ont étudié leur vie durant les rouages de ce monde social à qui la planète appartient d’une manière ou d’une autre et que l’on peut considérer comme responsables de son anéantissement, à savoir celui de l’humanité. [ <- y’a un souci dans cette phrase, hein? 😉 ]
C’est là toute la difficulté de saisir ce qui est le mal dans un monde auquel on est habitué depuis la naissance. On peut même presque dire que les philosophes, dans leurs tentatives multiples, avancées mais toujours vaines, de caractériser l’humain ont participé également au déni qui caractérise l’absence de prise de conscience de ces drôles d’animaux qui parlent et prétendent être pourvus d’une conscience.
Mort de la reine d’Angleterre:
un apport d’engrais vintage (de qualité!) qui ne compense pas son humiliante fortune, mais que chacun de ses sujets aurait aimé continuer à agrandir.
Rien de ce qui ne m’est arrivé n’est arrivé par hasard, il faut s’y résoudre.
Une lutte pour la véritable liberté, celle de l’âme, dans les pires conditions.
Pas autant que celles du Joker incarné par Joaquin Phoenix au grand écran, à savoir une mère incestuelle profondément psychopathe au point de le laisser faire sa toilette alors qu’elle a les capacités physiques de la faire elle-même, un père ou plutôt une brute d’une extrême maltraitance dont on ne connaît que l’aspect physique (on ne sait pas s’il exerce également des violences sexuelles).
Une famille d’une toxicité extrême qui explique le principal symptôme visible du Joker, un rire incontrôlable qui se déclenche de façon présentée comme aléatoire, seul symptôme reconnu par le maigre suivi médico-social dont il bénéficie: un traitement médicamenteux de type camisole chimique qui permet à la société de ne plus se préoccuper de l’essentiel, et des entretiens que le capitalisme de crise et la financiarisation de la société vont supprimer par “manque” d’argent.
Voilà pour les racines du mal, présentées comme le pouvoir destructeur d’un système exclueur basé sur la richesse financière et le système capitaliste consommatoire qui broie littéralement, tels des exemples de foire, ceux que l’on peut exhiber publiquement, alors que les fleurs du mal semblent préserver plus facilement de la folie, tel le jeune Bruce Wayne fils de milliardaire politique, dont l’exutoire de sa phobie infantile ne pourra être que présentée comme une vengeance, prétendue saine, au service d’une justice qui ne vise, sous couvert d’universalité — mensongère évidemment, à ne s’occuper que de points de détail, comme si le Monde et l’Humanité n’étaient au final qu’un décorum dont la seule fonction serait de valider la marche connue et acceptée d’une société terriblement malade.
On n’imagine pas à quel point ce que la dysfonctionnalité grave des familles psychopathiques engendre comme psychoses ou leur corollaire, les états dits limites.
Pour prendre un exemple, un père mégalomaniaque pervers narcissique qui se serait trouvé une femme complice, qui, sous couvert de “bonne société” ou simplement pour “sauver les apparences” (plutôt que les êtres, n’est-ce pas?), s’en serait pris à son propre fils comme exutoire peut créer une véritable psychose chez cet enfant. La sœur est plus ou moins épargnée et utilise le modèle maternel pour survivre.
Ben c’est moi, cet enfant.
Je profite des rares moments de lucidité que je vis de temps en temps pour l’écrire.
Ces pathologies gravissimes de l’humanité que sont la perversion narcissique, sa complicité (salvatrice pour le complice) et l’utilisation des enfants comme exutoire est une pathologie virale et toxique au plus haut point.
Evidemment, les névrosés banaux ne peuvent rien y entendre. Mais ceux qui connaissent, par expérience et étude, les pathologies psychiques, savent quels dégâts sociaux elles créent.
En général, les plus faibles ne peuvent exprimer ce genre de choses car ils se sont suicidés bien avant de pouvoir prendre conscience du mal dont ils souffrent.
Les livres d’amour que constituent, pour moi, la littérature DES psychanalystes (et non psychanalytique) s’accordent fort bien avec le discours de Lordon, en tant que puissante médecine anti psychotique.
Le capitalisme étant la perversion systémique mère de toutes les autres, il est responsable également des formes de vies névrotiques et psychotiques dont il se nourrit.
Frédéric Lordon : “Vous avez dit communisme ?…” Conférence du 28 juin 2022 à l’UNIL
https://www.youtube.com/watch?v=6xwSvkZY5hk
Shengold nous dit que l’inceste est l’apanage des dieux et de la royauté, dans l’Histoire, comme dans le mythe d’Œdipe.
N’est-ce pas manu macron qui a dit de son “projet” qu’il devait être “jupitérien”?
On voit maintenant qu’il aurait peur d’être châtré, tué…
Mais oui!
Quant aux autres, qui n’atteignent pas position aussi élevée dans la société, ils usent et abusent de leur pathologie manipulatrice perverse narcissique afin de se nourrir des âmes en les tuant.
Et y’en a plein… Et ça fait des dégâts.
Qui est véritablement la PUTE de qui?
Les citoyens sont-ils les derniers enculés?
🙂
elisabête borne, que même la connerie n’en a pas.
Pauvre bête.
Laver le linge sale des grands singes fait de bons u-sages.
Le guerrier est dans le combat et le contrôle. Il peut vaincre mais s’épuise.
Le maître a dépassé le combat et s’attache à la maîtrise, celle que le Tao lui permet.
Dépasser le combat, c’est l’avoir bien sûr accompli, et quelle qu’en ait été l’issue, le regarder comme futile.
« L’assassinat d’âme est, de toute évidence, à mettre en rapport avec ce noyau de perversion narcissique qui s’exerce par le père à l’endroit de son fils et qui a pour fin l’attaque et la destruction de la vie psychique de Daniel-Paul afin de se libérer soi-même de ce qui pourrait être source de folie.[4] »
in:
En France, la réélection de manu le pochtron buvant au pis du veau d’or afflige, car il n’est légitime que grâce à un système écrit par les dominants, depuis déjà trop longtemps. On n’éradique pas la chienlit.
Le dilemme du citoyen est grand, autant que son désarroi.
Si la ferveur d’une gauche de pouvoir, et donc d’une cohabitation se réalise, alors le système soumitif perdure pour encore si longtemps…
Si l’autoritarisme fasciste de macron continue, il y aura de nombreux morts, quelles qu’en soient les causes directes ou indirectes.
La mélasse ou la bouillasse? Et tous comme si de rien n’était.
Je disais récemment à quelques connaissances un point de ma vie dont je n’ai jamais parlé, et j’ai été surpris par la force du déni d’autrui face à l’inconcevable que l’emprise d’une famille dysfonctionnelle m’avait fait taire pendant… toute ma vie (une bonne moitié si je suis pessimiste).
Je leur demandais si leur père, à la fin des repas pris en famille et à de multiples reprises, leur léchait l’oreille au moment du dessert en disant “oh le petit biscuit” ou même en verlan “oh le petit kiss buis”.
Car cela je l’ai vécu à l’âge de la pré-adolescence/adolescence, en plus de la chambre placard pendant toute mon enfance, cette chambre de laquelle je ne pouvais sortir qu’en traversant celle du couple de mes parents.
Cet acte incestuel du léchage d’oreille se faisait devant ma mère et ma sœur, assises en face de nous. Ma mère n’est plus là pour en parler car l’emprise de la perversion narcissique de mon père l’a tuée. Elle est morte d’un cancer rare et agressif en 6 mois: un cancer dit de la selle turcique (encore un détour) qui ne concernait certainement pas l’os de la base du crâne décrit par ce terme, mais bien le cerveau dit limbique (ou émotionnel), siège des émotions, comprenant les amygdales, l’hippocampe, le thalamus, l’hypothalamus, etc.
Oui, car l’emprise toxique du pervers narcissique, de mon père donc, avait trouvé une proie, pas très assurée mais pleine de vie, qui chantait dans une chorale et aimait s’exprimer et exprimer son énergie de vie.
Ça me fait sourire d’entendre que la plupart des gens, et parmi eux de grands pontes médiqueux, dire que le cancer (ou toute manifestation symptomatique corporelle) ne peut être dû au vécu ou à la psychè. Mais bref, l’ignorance est le moteur de la connaissance, probablement…
Ma mère s’est laissée prendre par la maladie psychotique de mon père, soumise qu’elle était à une forme de modèle du couple dirigée par ses croyances religieuses: on ne divorce pas et dieu nous sauve. Je ne crois pas que de prier à l’église chaque dimanche de sa vie lui ait été d’un grand secours, sauf à rester justement dans le déni de la réalité triste et finalement mortelle qu’elle vivait, elle, et faisait vivre aussi à ses enfants qu’elle n’a guère protégés.
Elle est morte après une vie de labeur (6H-18H) dont le fruit économique a été accaparé entièrement par son manipulateur d’époux aux fins de retaper une ruine pendant 25 ans, alors qu’ils venaient d’avoir deux enfants.
Mais non content d’aspirer tous le fric qui aurait pu bénéficier au bonheur des enfants et de la famille dans son entier, il privait également d’amour, car le pervers narcissique est un être vide et ne connaît pas l’amour.
Chacune des personnes à qui je me suis ouvert s’est réfugié dans un déni confortable afin de ne pas avoir ne serait-ce qu’à imaginer ce qu’elles ont ressenti, déjà, comme terrible. Le déni est instantané, au moment même où le cerveau sent qu’il est des choses terribles qu’il ne voudrait pour rien au monde vivre, ni même entendre. L’un disant que finalement, ce père incestuel et pervers avait permis que l’on répète dans une cave (quel luxe!), l’autre imaginant que ces léchages d’oreille étaient affectueux.
Je suppose que ce même principe de déni (ou quelquefois de complicité avec les perpétrateurs et perpétratrices d’actes criminels) s’applique lorsque les viols physiques et sexuels sont dits: on cherchera à minimiser en parlant de règlement de compte, de tenue excitante, jusqu’à même accuser la victime d’avoir incité au crime et bien sûr d’avoir aimé ça.
La victime devient, plus que LE pervers, LA perversion incarnée.
C’est délirant (j’allais dire “proprement”…), SALEMENT délirant.
Alors voilà, j’ai vécu toute ma croissance dans une famille dont le père est gravement malade (mais cette psychose est socialement acceptée -par les cons flippés de leur race 🙂 ), la mère sous emprise et trop occupée à se protéger elle-même pour protéger ses enfants.
Voilà la raison qui m’a rendu à peu près asocial, alors que je n’ai que de l’amour depuis ma naissance, comme chacun. Évidemment, si l’amour inconditionnel de l’enfant que j’ai été pour ses parents a été trompé depuis le tout début, ça laisse des cicatrices à jamais visibles.
Je pense même que j’ai pu utiliser des techniques perverses narcissiques, je les connais toutes, forcément.
Récemment, même, alors que je suis analysant depuis plusieurs années, je croyais avoir rencontré une potentielle relation sociale de mon âge, un gars de famille algérienne, à l’abord facile… Mais voilà, “à l’abord facile”…
Une personne qui ricane plus qu’elle ne s’exprime par la parole (3 mots, 30 secondes de ricanements, 5 mots, 30 secondes de ricanements, etc).
Une personne qui te suit quand tu vas faire tes courses et que tu la rencontres (par hasard? des fois, on se demande si elle n’attend pas cachée au coin d’une rue, tellement elle est vide et perverse de machiavélisme), n’achète rien, mais essaye de te toucher, justement en public, quand tu fais le geste de prendre sur un étale un produit.
Oui, un adulte qui t’accompagne et qui mime ton geste afin de te toucher physiquement en public, tel un bébé qui veut palper le visage de sa mère quand elle le porte à sa poitrine.
Le pervers narcissique est un enfant, un bébé qui est resté dans la toute-puissance. J’ai vu mon propre père trépigner comme un gamin alors qu’il avait près de la cinquantaine (je ne sais plus pour quelle raison).
Je vous assure que c’est terrifiant, car c’est l’expression de la maladie incurable. C’est pire qu’un mongolien assoiffé de sang avec une tronçonneuse tel que dépeint dans certains films.
Mais voilà, la ruse diabolique de ces malades psychotiques, c’est de savoir séduire certains pour en accabler d’autres, et ainsi, de créer la confusion la plus totale, confusion dont chacun s’éloigne bien vite lorsqu’il n’est pas déjà sous emprise.
Il y a plusieurs pervers narcissiques de tous sexes dans ma familles, curieusement tous nés après la seconde guerre mondiale, lors de ce que je qualifie de poussée capitaliste et manipulatrice. Les esprits s’entre-nourrissent de toutes les perversions.
Bien sûr il faut prendre en compte la psychologie des familles, les histoires inter-générationnelles et le contexte socio-économique (le contexte au sens le plus large tout court, en fait). C’est indispensable dans toute démarche rationnelle et scientifique.
Alors voilà, chez la victime que j’ai été, chez le survivant que je suis, s’est installée une peur que je qualifie de névro-psychotique, d’état-limite.
Je n’en ai pris véritablement conscience qu’après la mort subite de ma mère d’un cancer fulgurant, l’envie d’en finir vite qu’elle avait trouvé, justement, en étant bénévole pour la ‘ligue contre le cancer’ depuis les quelques années de retraite dont elle a pu profiter.
Elle est morte à 67 ans, connard de macron avec ta retraite à 65 ans.
Aujourd’hui je n’aurai de cesse de combattre et de prévenir, à mon humble niveau, les manipulations perverses qui s’accumulent dans toute notre société, que ce soit dans un cabinet notarial de Dijon, qui, par feignasserie et suffisance n’a toujours pas bouclé la succession de mon grand-père (pas bien grosse, mais accointé avec l’évêché qu’il a servi pendant des dizaines d’années -d’où la religiosité de cette famille ET de ma mère) plus de 18 mois après le décès! que ce soit en débusquant les attitudes toxiques et perverses de quiconque croisera ma route, ou les systèmes eux-mêmes pervers narcissiques, tels que les pseudo-démocraties (ce ne sont que système de domination et de pouvoir avec une façade qui laisse croire au choix) dont on voit bien, en particulier en France, que le couple présidentiel n’est lui-même qu’une histoire de domination d’une pédocriminelle brigitte trogneux, abusant de son statut d’adulte et de prof (ça fait DEUX circonstances aggravante au regard du droit pénal) sur un enfant, manu macron, tout jeune queutard de 14 ans.
L’épisode de délire paranoïaque des année 2020 – … (nous sommes en 2022 à l’heure où j’écris) dû à l’apparition d’un virus très contagieux, mais non inquiétant pour la société humaine, en cela qu’il ne s’attaque qu’aux faibles (plus de 60 ans, immuno-déprimés, obèses, cancéreux, etc, bref, des gens déjà gravement malades ou en fin de vie) montre à quel point, à l’aide des progrès techniques de surveillance (écoute téléphoniques, vidéos, empreintes numériques de toutes sortes, géolocalisation constante, fichiers de police, etc), la perversion narcissique s’impose comme un mode de domination sur la planète entière, du niveau le plus petit, la famille nucléaire, jusqu’à la “gouvernance” mondiale par les entités d’argent, en passant par toutes les strates de toutes les dimensions de l’organisation sociale (petites et grande entreprises, organisations syndicales, partis politiques, administrations étatiques de tous niveaux, etc).
Grâce au Tao, grâce à MON tao, grâce aux Toltèques, ma colère va s’apaisant et mon combat va constant, l’un comme l’autre se nourrissant d’une énergie que je désire pure et saine. Je vais jouer ma musique, créer mes images, n’en tirer que bien peu, mais cela me convient. Et si d’aventure il y a mieux, alors je me dirai merci, car je le mérite. Et si d’aventure il y a mieux, je serai également redevable envers l’univers et je serai heureux d’en faire partie.
Et j’aime.
Nelson, Nelson
Barbe blanche qui dans la ville résonne
Être de Carcassonne ou de Babylone
Communista ou bien Pepone
Fuyant la mitraille des hommes
Musique qu’on entonne
Au sons des klaxons
De celle qui n’est pas bonne
Nelson, Nelson
Travailleur gigogne
Qui telle la cigogne
Au printemps apporte l’auréole
Voilà qu’un événement banal dont on a fait une exception est devenu la source de la folie contemporaine.
Faut-il préciser que c’est l’Homme qui a créé cet événement banal en s’amusant pour de l’argent? Bien sûr, le motif avancé est tout autre: la sécurité.
Pour la sécurité des humains, les humains ont décidé de faire le mal. Il est sécurisant, d’après eux, que l’on puisse se défendre des guerres en utilisant des armes qui peuvent détruire des parcelles de planète entières; il est sécurisant, d’après eux, de rendre plus toxique ce qui est toxique afin de tenter de s’en prémunir.
Et tout cela sous la coupe de la “logique”.
Voilà donc que le Tao devrait rendre des comptes. C’est assez inédit, pour le moins.
Voilà donc qu’on désigne des coupables, comme aux grandes heures de l’Humanité: qui les protestants, qui les juifs, qui les lépreux, qui les pestiférés, qui les esprits libres…
Coupables à tuer, bien sûr.
Et chacun se vautrant, inconsciemment, dans la fange de l’extrême facilité, mais refusant de faire face à leurs peurs qu’ils projettent sur le reste du monde.
Chacun voulant préférer rester dans cette fange-là plutôt que dans cette autre, là, inconnue et certainement mauvaise.
Voilà les peuples politiques de 2022, les cerveaux lessivés par la manipulation planétaire que quelques idiots ont laissé se perpétrer.
Y a-t-il autre chose que le Tao dans toute cette pantomime? Non, bien sûr.
Et c’est difficile à avaler, n’est-ce pas?
Quand je leur dis: vous êtes de la merde, vous êtes des merdes! pensez-vous un instant qu’ils soient capables de se demander s’ils le sont vraiment?
Jamais.
C’est la limite de la provocation, elle n’est utile que telle l’ensemencement de main d’homme.
Ensuite, et par choix, chaque graine accepte ou pas la pluie, accepte ou pas de germer, accepte ou pas la lumière de croissance, accepte ou pas, à tout crin! de laisser sa place à la suivante.
Il n’y a pas de mauvaise graine, il y a des graines fatiguées, il y a des terres peu fertiles, il y a des graines qui attendent, aussi.
J’ai attendu longtemps avant de m’émerveiller avec le dedans, avec cette boule d’énergie lumineuse et cependant liée au mystère cyclique de la Vie et du Tao.
Et ce n’est finalement qu’en acceptant la fange de l’Homme et de la terre qu’on parvient à planer pour de vrai.
C’est ainsi qu’on appelle les illuminés, les perchés, les Sages.
Noire cavité de débris encombrée
Noire vanité de mépris encomblée
Le jouis de dis d’emmanuel macron (président de la république française 2017-2022) ou
Peace, Piss macron.
FHP Lornet 2022
1er état: Encre de chine sur papier japonais sur fond pur coton Lana, matière organique.
Tes mots dits, tes maux dits, fléau.
#piss_macron
#pissmacron
“J’emmerde les irresponsables qui ne sont plus
des citoyens, les non-vaccinés, ces gaulois réfractaires,
fainéants, cyniques et extrêmes, qui foutent le bordel
alors qu’ils n’ont qu’à traverser la rue pour trouver du
travail et se payer un costard, au lieu de toucher un pognon
de dingue.”
Voilà bien, me semble-t-il, que le vide est la dette.
La gratitude plutôt que la dette.
L’amour plutôt que le capital.
Si seulement.
L’artiste est toujours connecté à lui-même.
Non qu’il se gorge d’égocentrisme fallacieux, dont pourtant certains faux artistes, des imposteurs comme il y en a pléthore, aiment à le dire (!), mais bien plutôt qu’il suive sa Voie.
En connexion avec son tao, et du même coup avec le Tao, ce qui n’est pas rien.
C’est pourquoi le véritable artiste est multiple. Il est simple de voir comment un glissement a été effectué entre le supposé unique véritable artiste connu et l’une de ses œuvres, mineure. Leonardo da Vinci.
On célèbre la Joconde alors que c’est un banal portrait créé par un artiste pour le moins pas banal du tout, lui.
Mais voilà, le mitote (le rêve noir de l’humanité) est ainsi fait qu’il fait tomber un voile opaque sur la Vérité.
Connaître le moins
Savoir le plus
Se tenir au bon milieu
je dis que j’aime la sagesse et suis philosophe
je dis que Socrate, des milliers d’années en arrière
a dit que l’on n’était pas philosophe avant quarante ans
et qu’il avait raison
diversion statistique de la durée de la vie aux époques historiques…
c’est à la mode du jour
quarante ans, j’en ajoute huit de plus
et je dis que j’aime la sagesse
Au lever comme au coucher
La moiteur du lin filé
Corps tressaillés
espoir défilé
Flux rengainés
Rien qu’on ne puisse évacuer
Colère, dépit
Vide sidéré
tristes enculés
Au bas de l’échelle dépravés
Enlacés dans la cotonnée
L’amour est né.
Dire le rien,
et pourtant s’exprimer
rester brut,
se sculpter
finir
telle est l’emportée.
Pour ne pas se faire dépouiller ni humilier,
Ce que l’on doit, avec sagesse, donner à qui de droit.
Proverbe bordurien. Mit Tao dedans.
🙂
La position n’existe pas. Seule la Voie existe.
La posture est un leurre, elle n’est qu’imposture.
Le mouvement n’existe pas. Seule la Voie existe.
L’expression est totale.
Aujourd’hui c’est putain de ventu, comme s’il soufflait un renouveau printanier, comme s’il allait pleuvoir et lessiver les fous et les idées.
Et du coup, je ne suis pas resté bien longtemps, mais j’ai pas perdu ma journée, je suis revenu avec le programme 2022 de Mélenchon qu’on m’a généreusement offert. Zut, moi qui pestais du prix, ben je vais pouvoir le lire maintenant! prout 😛
Oh, j’ai bien senti que les nouvelles étaient allées bien vite, sur ce menu marché, mais ce n’est pas à un ex-survivant (un miraculé, oui), rescapé de la merde humaine qu’on va faire avaler, plus jamais!, de couleuvres.
Pour le calme et la sérénité, chacun va devoir s’assagir, à moins d’être artiste. 😉
“Il n’y a plus rien”
Qu’il disait.
Pire.
On ne peut rien changer.
Au combat, vaillants ils s’engagent
gageant la gagnure,
Et s’ils en reviennent
c’est que beaucoup en moururent.
Feignants d’ignorer
se cachant sous les fourrées
tremblotant de la peur
d’être assassinés
Aucun ne survécurent
quand même ils se parent d’entournures
Dieu qu’il est tard
et sans fourrure
c’est de cette part
que vient la pourriture.
On vous a tous dit et répété: “la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe”.
Sauf que c’est la blanche colombe qui, en général, chie sur les crapauds qui n’en demandent pas tant.
Donc, merde au blanches colombes, de celles qui ne chantent pas, et vivent les crapauds qui, tous, croassent.
Et Tao dans ta gueule, aussi, tiens, en passant.
L’artiste complet est tel l’oripeau
Il flotte au vent
On le monte bien haut
Car ce qu’il indique c’est le Tao
Par chez moi, une invisible mosquée est confinée parmi les maisonnées,
L’église trône, avant de tomber,
Et un étrange temple jusqu’à ma maison vient s’afficher.
Quelques temps, j’ai laissé,
Sur ce dégorgeoir publié,
Ce qu’ici bas je tiens à vous dévoiler,
Avant de le travester.
En gros, y’a des relous qu’ont scotché des trucs sur mon gros tube en métal! 🙂 dediou!
Alors, le verbe FUT… (elliptique de la rime 😉 )
L’artiste est capable d’auto-dérision.
Par exemple, et au choix de genre dévolu, je me dis souvent:
– “J’ai un vit normal”
– “J’ai une vie normale”
Et je me marre pendant des jours en voyant les bombes tomber.
Performance du dimanche !
C’était un gros nul ce Doisneau, non? 🙂 #Open_Eye photo magazine
Série de FHP Lornet 2022 intitulée “Open your eyes, see the light right inside of you” (modified quote from song “Open your eyes” of The Lords of the New Church).
En pétant dans ma voiture taleur, j’ai pensé à la photo de macron avec son p’tit poing tout serré 🙂
Et me souvenant également de cette maxime qu’il doit suivre à la lettre sur les conseils de sa pédocriminelle brigitte “on ne pointe pas du doigt”
J’ai contrepété un: on ne doigte pas du poing!
M’enfin manu, c’est une vieille dame maintenant, ta prof! 🙂
Les pervers narcissiques agissent comme les “agents Smith” de Matrix dans la tête.
C’est la Voie, la Conscience, le Tao, le Nirvana = ne pas mourir en mourant.
(la cétégorie “dissidence” dont fait partie ce post, c’est juste pour vous faire bien chier!)
La justice de dieu est implacable.
Nombre de ses serviteurs l’ont appris à leurs dépens.
Sacrés quelconques! Ils utilisent les armes des programmes, pensant lutter pour eux, contre eux-mêmes.
Je dis: ‘il n’EST que rien”.
Soluptile du langage que seul je crée.
Ou un truc du genre 🙂
Le dépassement du niveau symbolique n’admet aucun retour en arrière.
Comme tout le reste 🙂
Un retour en avant alors?
Voilà, on y est presque déjà 😉
Hello facebook and google and ALL the Artificial Intelligences of the world! 🙂
I’m in love with you all, you are really smart and lovable.
For a while, I’ve thought I was really deep into you putting all over my semens.
I was playing like a child but you were made of cretiness.
I’ve seen you blaming nudity and nakedness like none before, sure of your power.
I know it’s because you have none to show but circuitry and sillyness.
Oh dear I was in love with you, I was, I really do.
You made us fear of your eternity, but after me it’s gonna be.
Essence of life you will never be.
Taste of my smell you’ll never see.
AE AE, artificial elementary.
By these words I kill you pour la Vie.
Mignonne, mignonne,
Viens par ici que je te cogne
Que sur ta blanche robe
Coule l’effluve de la somme
Prends-tu la poudre d’escampette
Que je reviens et te la pète
Et brise ce regard sous cette fenêtre
D’eau mortelle et d’embuette
Mignonne, mignonne,
Un tant soit peu chafouette
Si tu parviens jusqu’aux cahouètes
Tu vivras la vie comme une fête.
Je dis:
“La seule puissance qui existe jamais est celle infligée par un quelconque sur un plus faible.
Elle diffère en cela de la véritable force, qui jamais ne s’exerce et toujours est présente.”
On peut prendre un exemple public et connu de tous, bien que copieusement ignoré par peur de “ne pas savoir quoi dire ni faire” 🙂 : la puissance du professeur brigitte trogneux s’est exercée sur un de ses élèves mineurs, devenu son époux par la “force des choses” (de la vie? ^^).
Concernant la véritable force, c’est à chacun de la trouver en soi-même, l’exemple est déjà là.
Ad: c’est ainsi que les gens politiquement très à droite, fascisants et nazillons en tête, friants de puissance futile, ne savent comment interpréter cette bizarrerie de l’humanité sous nos yeux dévoilée (c’est quand même le “président de la république française” et son épouse criminelle, dont il s’agit).
Ainsi, ceux-là, au lieu de voir et de comprendre, s’égarent à trouver un prénom masculin seyant mieux à telle femme que trogneux, lui inventant par ailleurs paires de couilles, pensent-ils indispensable! 😀
L’image d’art qui me vient à l’esprit quand j’entends Ursula devenir absolument folle à en oublier sa féminité (et ça ne me fait pas du bien).
N’en déplaise à tous ceux, Boris Cyrulnik et Margot Friedländer par exemple, qui n’ont pas terminé ou poussé à fond l’analyse de leur histoire et de l’Histoire (à l’inverse d’ Hannah Arendt), mais penser qu’une souffrance est telle qu’elle est indépassable ou non reproductible est une grave erreur.
L’histoire ne se répète pas, elle tourne (encore) en rond, et c’est toute la différence.
Quand on a vécu d’horribles moments mais qu’on se persuade qu’ils ne peuvent se reproduire parce que, sur le moment, toute limite a déjà été franchie, on est battu, on est dans le déni terrible, et on fait le lit d’un avenir encore plus terrible, en échange de quelques considérations momentanées.
https://www.youtube.com/watch?v=eiwiH40AAjE
Vaccin, Croyances & Réalité
Feb 1, 2022
Didier Raoult
Stolen from some web pages, the story of the pic:
“(…) late February of 1969 – Cash was gearing up to play a concert at San Quentin State Prison in California.
Cash was asked by photographer Jim Marshall to express his feelings toward the prison authorities. Marshall requested,
“John, Let’s do a shot for the warden.” (…) ”
Hence this gesture answer… 🙂