Archive for the ‘incestuel’ Category

Ciivise

lundi, février 12th, 2024

Comment la Ciivise a-t-elle pu voir le jour? Comme la “Commission Indépendante sur l’Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants” a-t-elle pu être créée sous ce qu’il faut bien appeler le règne d’un pervers narcissique de président de la République et de son épouse pédocriminelle incestuelle?
C’est peut-être bien là que se trouve l’origine de cette création qui n’aura vécu que trois ans (la Ciivise est aujourd’hui entachée de viol, de manipulation et d’humiliation perverse de la part de sa nouvelle présidente, une médecin aux mœurs pour le moins discutables en matière d’expertise traumatique, elle aime à refaire les gestes liés aux traumas sexuels…). Il est probable que ces organismes privés tels que mckinsey ou blackrock ou je-ne-sais-quoi encore aient été influencés, avec leur “ADN” à deux neurones, par l’histoire perverse du couple devenu présidentiel par leur truchement et un hasard triste.
Finalement, un couple pervers refusant la différence des générations, forniquant entre adulte et enfant, devenu plus bestial qu’humain (alors qu’aucun animal ne fornique avec ses petits…) et présidant à la destinée de 70 millions de personnes (les Français) est une source d’inspiration pour toute entité néo-libérale capitaliste ayant pour but de faire de l’argent et des écrans de fumée.
Peut-être était-ce là un écran de fumée que la Ciivise, pour ces idiots qui se prennent pour des cerveaux et qui servent qui un “état”, qui un “ami”, qui “une nation”, qui “un objet supérieur” tel les attali et autres pseudo cerveaux profiteurs de la misère des populeux pour continuer d’amasser richesses et vanités.

La folie aura donc quand même montré le juge Durand et sa parole impeccable à tous, alors que le totalitarisme, par ailleurs, devient la norme suite au covidisme, une nouvelle religion médico-totalitaire.
La plupart des citoyens, quelles que soient leur catégorie, sont devenus idiots. Médecins s’accrochant à leur statut mais devenus débiles (étymologiquement parlant), fonctionnant en mode automatique, aux ordres. Politicards pervers concourant pour le prix du plus pervers. Citoyens noyés et mourants dans un flot de stupidités déversées en continu sur les écrans dont bien peu savent se désasservir.

Témoignage ciivise

mardi, septembre 19th, 2023

J’ai témoigné auprès de la ciivise (Commission Indépendante sur l’Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants) en répondant aux questionnaires (auxquels on pourrait apporter des améliorations, comme ne pas restreindre à une seule réponse les périodes, proposées, pendant lesquelles ont eut lieu les violences, par exemple) et en appelant au téléphone.
Je l’ai fait parce qu’il semblerait que cette commission soit sur le point de disparaître fin 2023, après seulement deux ans de service, et que le nombre de témoignages est peut-être un argument afin qu’elle perdure.
Je l’ai fait pour moi parce que je tiens à ce que soit rendue publique mon histoire de chambre placard et que les pervers narcissiques et leurs complices soient montrés du doigt, ostracisés et mis au ban puisqu’ils n’avoueront jamais leur psychopathie, trop heureux de jouir du mal qu’ils font aux autres (“qu’ils viennent me chercher” a dit un pervers narcissique, à tendance histrionique, bien trop connu).
Je l’ai fait et le rends public pour les enfants qui vivent sous le joug de tels pervers et qui ne vivront peut-être jamais la vie que les personnes normo-névrosés (cf. Stoll/Hurni) pensent être “normale”.
Je le fais enfin car le déni est constitutif de la psychè humaine et que je n’aurais ni réparation ni indemnisation pour ce que j’ai vécu pendant la matinée de ma vie, comme Jung appelle la première moitié de la vie. Or, chacun le sait, les chances sont maigres de commencer une carrière après 50 ans, de se constituer un patrimoine afin de terminer sa vie le mieux possible, sachant que les conséquences de la maltraitance sexuelle infantile, le pire des traumatismes psychiques (Bilheran), handicapent lourdement ceux qui en sont les victimes (Salmona) tant physiquement que psychiquement; le pire étant que pour les normo-névrosés, ces handicaps ne sont pas visibles (ce qui explique en partie qu’ils n’y croient pas, tout comme la peur et le déni dont ils sont les proies consentantes).

Mais je le fais avant tout pour moi, car tout paranoïde que je suis condamné à être, je sens bien qu’il ne restera peut-être que le pire de cette commission voulue, hélas, par le fou pervers (Racamier) président: peut-être fera-t-on quelques moulinets à propos de ceci ou de cela, mais je crains que la page 69 (ça ne s’invente pas) du rapport préliminaire de la ciivise , concernant “L’éducation à la vie affective et sexuelle” ne soit prétexte à l’établissement délirant de la perversion généralisée des petits d’hommes, voulue par l’OMS (organisation mondiale de la santé), et qui mènera facilement l’humanité au totalitarisme mondial.

Les normo-névrosés objecteront que ce ne sont là que conjectures (ils jugent avec ce qu’ils savent), tout contents d’être gentiment assis dans la vie, maison, crédit, enfants, loisirs et zou! (les “tout-va-bien”).
Hélas, du point de vue de ceux qui ont vécu la “logique” d’un tel système au niveau individuel et nucléaire — au sens sociologique, et qui ont lu, qui se sont abreuvés de connaissances en plus de leur savoir expérimental et observationnel, l’humanité en prend, hélas, le triste et malsain chemin.

Il y a bien des degrés dans les traumatismes psychiques et leurs funestes conséquences, de la même façon qu’une coupure au doigt n’est pas une jambe cassée, encore moins un cancer, pas plus qu’une mort  par balle; tous pourtant étant des traumas physiques.
La perversion narcissique (Racamier) engendre les pires traumas sexuels infantiles, l’incestuel étant le pendant psychique de l’inceste et du viol et le meurtriel étant le pendant psychique de la mort physique.

Ceci est ma modeste contribution à l’humanité en espérant éviter la vanité de notre condition.
Le témoignage est la seule rédemption du survivant.

Perversion et suicide

mercredi, août 2nd, 2023

La politique est la gestion de la société et des individus qui la compose, les citoyens (habitants de la cité). Le mot politique provient du grec ‘polis’ (la cité) et concerne donc tous les humains; même si bien peu s’en soucient, la politique, elle, fait son affaire de tous, ne serait-ce que par l’imposition et les taxes, mais évidemment dans tous les domaines qui régissent la vie sociale.
Pour ma part, l’expérience douloureuse et meurtrielle d’une enfance massacrée par une parentèle psychopathique me fait ressentir ce qu’est la réalité de la psychopathie perverse narcissique (cf. Racamier). L’arrivée au pouvoir en France d’un tel personnage, accouplé incestuellement avec une femme de l’âge de sa mère à l’âge de 14 ans, est un retour du refoulé sans commune mesure avec les petits traumas dont souffrent tous les humains.
Ayant vécu l’incestuel maternelle et la perversion paternelle (la complice du pervers est également sa victime), la résurgence de ce mode opératoire dans la vie politique de tout un pays semble être la persévérance du Mal.
Subir depuis sa naissance la perversion psychique et matérielle, jusqu’à sa majorité est pour moi bien plus grave que quelques années en camps de concentration, qu’un viol ou une torture ponctuelle, sans toutefois ignorer la gravité de ces faits, qui sont eux pénalement répréhensibles.
La perversion morale (narcissique donc) est d’une toute autre nature car elle prend l’apparence de la normalité et brouille, surtout chez les enfants mais également dans tout l’entourage, la perception que l’on peut en avoir. Le déni est provoqué par la perversion qui injecte le poison ainsi qu’un faux antidote chez les personnes qui la côtoient.
Tant que les pervers moraux trouvent des victimes complaisantes (n’oublions jamais que les victimes adultes ont, soit, une faille narcissique, mais qu’elles sont complices du pervers même malgré elles), leur vide intérieur n’apparaît pas, ils ne tombent pas en dépression et ne se suicident pas.
Le suicide étant la solution à un débordement de souffrances (psychiques et/ou physiques) impossibles à supporter, il peut être conscient comme on le voit dans l’euthanasie (la bonne mort, étymologiquement) ou inconscient et marqué par des comportements dits à risques mortels: toxicomanie, sports extrêmes, etc.
J’en ai fait l’expérience inconsciente en ingérant 7 à 9 comprimés d’un puissant benzodiazépine fortement dosé qu’un patient psychotique m’avait refilé, à l’âge de la majorité environ. Heureusement et malgré la surdose provoquant une insuffisance cardiaque possiblement mortelle, je me suis réveillé après deux jours de coma, passé inaperçus au sein de la maison familiale. C’est dire si l’attention donnée aux enfants était existante…

Les traumatismes sexuels, infantiles, répétés de façon constante pendant des dizaines d’années, sont les plus graves et marquent bien sûr l’existence réelle des syndromes post-traumatiques graves qui induisent des incapacités sociales et interpersonnelles connues des seuls spécialistes, hélas (et de ceux qui en souffrent, qui les vivent).
Ma comparaison personnelle va au délire de la famille fritzl en Autriche, dont les membres survivants se trouvent (et se trouveront toujours, hélas) en institution, tellement le traumatisme est grand dans l’inceste réel et procréatif et la manipulation perverse du père, nazi confirmé si l’on peut dire, et la complicité inconsciente de la mère.

Donc, oui, les pervers doivent être ostracisés afin de tâcher d’équilibrer la société qui souffre tant de leurs actions malfaisantes. S’ils en viennent à la dépression, comme le suggère Racamier à propos des fous pervers (macron en est un cas d’école), puis au suicide, c’est parce qu’ils se refusent à toute remise en question et à tout travail thérapeutique.

Promotion du suicide pour les pervers: OUI

mardi, août 1st, 2023

Bon, heureusement qu’il y a les livres et chez soi (comme ici 😉 tant que la “justice” des gouverneux ne m’aura pas emmerdé, mais bon, c’est public, je les attends).
Pour rappel, côté sombre des livres, il y a matzneff, pédocriminel comme brigitte trogneux, toujours en liberté, duhamel aussi qui s’est fait sucé le pénis par son beau-fils de 14 ans, toujours en liberté grâce à la prescription… et combien d’autres salaudes et salopards qui mériteraient de rester enfermés jusqu’à la fin de leurs “jours”, ces sombres merdes.
Je maintiens que le taré fou pervers (définition par Racamier ici) va devoir se suicider et que ça fera du bien à une énorme majorité de lucides. Quand bien même cela fait partie de ce qu’on ose appeler “humanité”.
Et donc, je me barre du truc de robots (le délire censureur robotique est arrivé instantanément) dès que j’ai accès à ce compte.
Comme disait quelqu’un en parlant du Net: “ils ont cassé notre jouet”. Tu m’étonneras, Sarah.

Encore l’incestuel et la différence

samedi, juillet 22nd, 2023

Je ne sais plus chez qui j’ai lu, d’Eiguer ou de Caillot, peut-être de Racamier ou d’autres encore , que l’incestué, et l’incestuelisé plus encore, ont un “sentiment d’être différents des autres”.
Il me semble que ce n’est pas là un “sentiment de”. C’est hélas une lésion psychique, certes quelque peu réparable, mais indélébile. C’est justement là que s’établit le tabou fondamental du bipède parlant, et de ce fait symbolisant sinon sublimant ce qu’il prend pour réalité, mouvements, actions (en gros le “quelque chose” plutôt que le “rien”).
Bilhéran parle de “témoins”, un stade que je place après ceux de victimes/survivants qui viennent simultanément comme le font l’antœdipe et l’œdipe dans la vie du petit d’homme.
Il y a une différence fondamentale entre celles et ceux qui ont une “ouverture” sur le trauma qu’ils peuvent intellectualiser pour l’approfondir, et en général font profession de thérapeutes, et ceux qui le vivent dans le temps, la durée, la chair, l’âme.
Ces vies ne sont pas comparables.

brigitte noguès et françoise trogneux…

jeudi, juillet 13th, 2023

Non, rien.

Nœud fou pervers et réactions

lundi, juillet 10th, 2023

Le nœud pervers est à considérer parmi des individus adultes, bien qu’il trouve évidemment de précoces racines dans la période de la puberté.
La folie perverse, comme la définit Racamier, est l’état le plus maximal de la perversion narcissique qui ne s’applique dès lors plus à une cellule familiale ou de petite taille, mais à une échelle nationale ou supra-nationale. La puissance acquise par le pervers, qui se trouve ainsi à la tête de corps armés, et qui détient également la puissance administrative et donc de coercition sur les populations, est telle que la fuite vers la mort et le thanatos est inéluctable. Au mieux, dit Racamier, un échec politique cuisant (ou un deuil puissant, ajouterai-je) peut amener le fou pervers à la dépression et au suicide ( http://www.lornet-design.net/la-folie-narcissique-racamier/ ).

La perception par les populations de la folie narcissique diffère en raison de leur éducation et de leur instruction, mais peut se résumer à deux réactions notables: la colère et la violence, provoquées par les provocations et humiliations répétées du pervers (parfois jusqu’aux agirs mortels) ou la perversion sexuelle, dans le cas d’un bénéfice (une participation à la toute-puissance du pervers, une sorte d’appartenance à son ‘groupe’) et d’une personnalité plutôt névrotique.
Dans le premier cas, la réaction est négative, elle coûte (comme tout commerce avec un pervers d’ailleurs) à celui sous son emprise car personne n’aime conserver un sentiment de colère et une envie de violence trop longtemps. Or, les agirs du pervers sont incessants: la nature de sa folie demande qu’il aille chercher toujours plus loin, de façon plus humiliante voire débilitante, dans les recoins des âmes qu’il ne peut comprendre.
La colère ne semble pouvoir s’apaiser qu’avec la disparition du pervers, des agissements qu’il commettait et du champ de ses manipulations.
La réaction névrotique perverse sexuelle qui pourrait sembler plus positive, au moins à en juger par son acceptation sociale plus répandue, est cependant surtout une réaction perverse par nature. L’excitation produite par la domination du pervers engage ses acolytes ou collaborateurs ainsi que ses victimes-complices (voir Eiguer) à s’essayer à ce qui leur vient à l’esprit: l’utilisation du corps sexuel comme échappatoire inconsciente.
Il n’y a pas de mouvement de perversion narcissique qui irait d’un adulte pervers moral à un autre qui le deviendrait également. Racamier (voir ouvrage cité dans le lien supra) établit sans aucun doute la genèse de la perversion narcissique dans la période qualifiée d’antœdipe. On peut donc facilement faire coïncider la nature perverse choisie par un jeune enfant avec sa première décennie de vie, voire sa petite enfance.
Un pervers trouvera des collaborateurs eux aussi pervers ou compatibles, dont il profitera des failles existantes, mais il ne transformera pas la nature psychique des autres. Il la pervertira selon ses besoins et le terrain qu’il trouvera chez eux.

Dans le cas d’un chef d’état, le problème social que pose l’établissement d’un tel noyau pervers au sein d’un gouvernement réduit considérablement les moyens d’action pour réduire au maximum la capacité de nuisances d’un tel individu. La solution saine et évidente, l’évitement, la fuite, l’ostracisation (encore qu’il pourrait tirer jouissance d’un tel épisode) est impossible puisque la vie sociale est régie par la vie politique et les décisions, prises par le pouvoir… qui est au pouvoir.
Il y a également à déplorer la lenteur, l’inertie de la vie politique à l’heure d’une propagande totale et constante: la société thermo-nucléaire électrique du XXIe siècle nous permet d’être en contact avec le monde entier, en direct et à tous endroits. Il n’est que plus aisé pour ceux qui détiennent les canaux d’informations (aujourd’hui les grand groupes capitalistes néo-libéraux et les milliardaires) d’instiller dans les esprits connectés une sorte de virus mental en les occupant à autre chose qu’à la pensée critique.

Les populations étant plutôt saines concernant leur vie privée et intime autant que sexuelle, en majorité, la réaction perverse sexuelle est évacuée et il reste la réaction violente dont la seule issue semble la disparition de l’origine du mal, le pervers et son noyau constitué.

Naissance

jeudi, mai 4th, 2023

Quand on naît à une nouvelle vie, lorsque l’on est un nouvel être
Point n’est besoin de garder ses amis anciens, car ce sont eux qui vous gardent.

Tous les autres disparaissent.

A

mercredi, octobre 19th, 2022

J’ai été furieux et plein de rage ma vie durant.
J’ai découvert pourquoi et cela n’appartient qu’à moi.
Mon âme a-a-aaa-apaisée à présent me guide vers moi.

Night owl

dimanche, septembre 25th, 2022

 

Cuistre

jeudi, juin 30th, 2022

 

Quel petit con, cet emmanuel macron. Un vrai gosse, hein? brigitte trogneux?

Being whole life* victim and survivor of an NPD parent

samedi, mai 28th, 2022

Trauma is constituted of repetitive shit. A “simple” rape at 20 years old is actually nothing compared to a traumatic experience that has been lasting for more than 20 years, including the pre born shit.
Having been the victim of an NPD parent, in my case a fucking father, is killing ‘softly’ the soul of ANY human being.
But what’s occupying me at the moment is the: why do symptoms can reverse and come back?
I had a great time living, probably the first of my life (considering I’m 48 yo) during february and march 2022. Then I had  serious illness (flu or 22’s name covida) and after that symptoms of what I call nolife or brain normal functions interruption.
As of today, I’m back to life and fighting instead of struggling. That means anything “normal” is “normal”, sometimes even a pleasure (always consider that in symptomatic periods anything “normal” is just a pain emerging from a nowhere memories).
So it’s like all psychoanalysts call the “too much” or “too few” mirror of what’s happened in education during childhood.
There is NO balance. I’m ok with with the mirrored too much, as it kind of compensate the nightmare I’m living in since even before being born.
The history of a NPD of course goes back to even before œdipian state, they have NO œdipian period. That is not safe at all, it’s insane.
As to counter effect this, those people, unconsciously, put on a life strategy and begin to look for victims.
As to my insane father, that was probably my mother at first, but I soon, being born became the one preferred victim.

Tout

jeudi, mai 12th, 2022
Je vais lire TOUT ce blog. C’est le mode d’emploi de ma (jusqu’à présent assez) triste vie.
Et ensuite, si j’ai encore quelque vie, quelques forces, si j’y parviens même… ça va chier dans l’ventilo, j’apporterai ma pierre à l’Humanité (carrément).

https://perversionnarcissiqueetpsychopathie.wpcomstaging.com/

 
Paul-Claude Racamier, « L’incestuel », in Vocabulaire de psychanalyse groupale et familiale, tome I, CPGF, Paris, 1998, p. 164.
Jean-Claude Guillebaud parle dans le même sens de l’inceste dans Le Principe d’humanité : « Le père qui possède sexuellement le corps de son enfant cède à un désir inhumain… Il brise le cours du temps. Il efface la parenté. Il interdit à la victime de prendre place dans la chaîne des générations. L’inceste est le cousin germain du génocide en ce qu’il aboutit à détruire l’individu en détruisant son lien de parenté. Ce qu’il violente, en somme, ce n’est pas seulement le corps de l’enfant, ou l’un de ses organes, c’est très exactement ce qui fonde son humanité. »
A lire en conclusion de l’article « La dimension anthropologique de l’inceste », sur le site de l’association AIUS. Pour rappel : l’incestuel désigne quant à lui un « équivalent d’inceste » encore plus maléfique que l’inceste génitalement accompli.

Pas mieux.

mardi, mai 10th, 2022

« L’assassinat d’âme est, de toute évidence, à mettre en rapport avec ce noyau de perversion narcissique qui s’exerce par le père à l’endroit de son fils et qui a pour fin l’attaque et la destruction de la vie psychique de Daniel-Paul afin de se libérer soi-même de ce qui pourrait être source de folie.[4] »

in:

https://perversionnarcissiqueetpsychopathie.wpcomstaging.com/2018/03/01/le-meurtre-de-lame-ou-meurtre-psychique-et-la-perversion-narcissique/

Avoir vécu dans une famille de psychopathes

vendredi, mai 6th, 2022

Je disais récemment à quelques connaissances un point de ma vie dont je n’ai jamais parlé, et j’ai été surpris par la force du déni d’autrui face à l’inconcevable que l’emprise d’une famille dysfonctionnelle m’avait fait taire pendant… toute ma vie (une bonne moitié si je suis pessimiste).
Je leur demandais si leur père, à la fin des repas pris en famille et à de multiples reprises, leur léchait l’oreille au moment du dessert en disant “oh le petit biscuit” ou même en verlan “oh le petit kiss buis”.
Car cela je l’ai vécu à l’âge de la pré-adolescence/adolescence, en plus de la chambre placard pendant toute mon enfance, cette chambre de laquelle je ne pouvais sortir qu’en traversant celle du couple de mes parents.
Cet acte incestuel du léchage d’oreille se faisait devant ma mère et ma sœur, assises en face de nous. Ma mère n’est plus là pour en parler car l’emprise de la perversion narcissique de mon père l’a tuée. Elle est morte d’un cancer rare et agressif en 6 mois: un cancer dit de la selle turcique (encore un détour) qui ne concernait certainement pas l’os de la base du crâne décrit par ce terme, mais bien le cerveau dit limbique (ou émotionnel), siège des émotions, comprenant les amygdales, l’hippocampe, le thalamus, l’hypothalamus, etc.
Oui, car l’emprise toxique du pervers narcissique, de mon père donc, avait trouvé une proie, pas très assurée mais pleine de vie, qui chantait dans une chorale et aimait s’exprimer et exprimer son énergie de vie.
Ça me fait sourire d’entendre que la plupart des gens, et parmi eux de grands pontes médiqueux, dire que le cancer (ou toute manifestation symptomatique corporelle) ne peut être dû au vécu ou à la psychè. Mais bref, l’ignorance est le moteur de la connaissance, probablement…
Ma mère s’est laissée prendre par la maladie psychotique de mon père, soumise qu’elle était à une forme de modèle du couple dirigée par ses croyances religieuses: on ne divorce pas et dieu nous sauve. Je ne crois pas que de prier à l’église chaque dimanche de sa vie lui ait été d’un grand secours, sauf à rester justement dans le déni de la réalité triste et finalement mortelle qu’elle vivait, elle, et faisait vivre aussi à ses enfants qu’elle n’a guère protégés.
Elle est morte après une vie de labeur (6H-18H) dont le fruit économique a été accaparé entièrement par son manipulateur d’époux aux fins de retaper une ruine pendant 25 ans, alors qu’ils venaient d’avoir deux enfants.
Mais non content d’aspirer tous le fric qui aurait pu bénéficier au bonheur des enfants et de la famille dans son entier, il privait également d’amour, car le pervers narcissique est un être vide et ne connaît pas l’amour.

Chacune des personnes à qui je me suis ouvert s’est réfugié dans un déni confortable afin de ne pas avoir ne serait-ce qu’à imaginer ce qu’elles ont ressenti, déjà, comme terrible. Le déni est instantané, au moment même où le cerveau sent qu’il est des choses terribles qu’il ne voudrait pour rien au monde vivre, ni même entendre. L’un disant que finalement, ce père incestuel et pervers avait permis que l’on répète dans une cave (quel luxe!), l’autre imaginant que ces léchages d’oreille étaient affectueux.
Je suppose que ce même principe de déni (ou quelquefois de complicité avec les perpétrateurs et perpétratrices d’actes criminels) s’applique lorsque les viols physiques et sexuels sont dits: on cherchera à minimiser en parlant de règlement de compte, de tenue excitante, jusqu’à même accuser la victime d’avoir incité au crime et bien sûr d’avoir aimé ça.
La victime devient, plus que LE pervers, LA perversion incarnée.

C’est délirant (j’allais dire “proprement”…), SALEMENT délirant.

Alors voilà, j’ai vécu toute ma croissance dans une famille dont le père est gravement malade (mais cette psychose est socialement acceptée -par les cons flippés de leur race 🙂 ), la mère sous emprise et trop occupée à se protéger elle-même pour protéger ses enfants.

Voilà la raison qui m’a rendu à peu près asocial, alors que je n’ai que de l’amour depuis ma naissance, comme chacun. Évidemment, si l’amour inconditionnel de l’enfant que j’ai été pour ses parents a été trompé depuis le tout début, ça laisse des cicatrices à jamais visibles.
Je pense même que j’ai pu utiliser des techniques perverses narcissiques, je les connais toutes, forcément.

Récemment, même, alors que je suis analysant depuis plusieurs années, je croyais avoir rencontré une potentielle relation sociale de mon âge, un gars de famille algérienne, à l’abord facile… Mais voilà, “à l’abord facile”…
Une personne qui ricane plus qu’elle ne s’exprime par la parole (3 mots, 30 secondes de ricanements, 5 mots, 30 secondes de ricanements, etc).
Une personne qui te suit quand tu vas faire tes courses et que tu la rencontres (par hasard? des fois, on se demande si elle n’attend pas cachée au coin d’une rue, tellement elle est vide et perverse de machiavélisme), n’achète rien, mais essaye de te toucher, justement en public, quand tu fais le geste de prendre sur un étale un produit.
Oui, un adulte qui t’accompagne et qui mime ton geste afin de te toucher physiquement en public, tel un bébé qui veut palper le visage de sa mère quand elle le porte à sa poitrine.

Le pervers narcissique est un enfant, un bébé qui est resté dans la toute-puissance. J’ai vu mon propre père trépigner comme un gamin alors qu’il avait près de la cinquantaine (je ne sais plus pour quelle raison).
Je vous assure que c’est terrifiant, car c’est l’expression de la maladie incurable. C’est pire qu’un mongolien assoiffé de sang avec une tronçonneuse tel que dépeint dans certains films.

Mais voilà, la ruse diabolique de ces malades psychotiques, c’est de savoir séduire certains pour en accabler d’autres, et ainsi, de créer la confusion la plus totale, confusion dont chacun s’éloigne bien vite lorsqu’il n’est pas déjà sous emprise.

Il y a plusieurs pervers narcissiques de tous sexes dans ma familles, curieusement tous nés après la seconde guerre mondiale, lors de ce que je qualifie de poussée capitaliste et manipulatrice. Les esprits s’entre-nourrissent de toutes les perversions.
Bien sûr il faut prendre en compte la psychologie des familles, les histoires inter-générationnelles et le contexte socio-économique (le contexte au sens le plus large tout court, en fait). C’est indispensable dans toute démarche rationnelle et scientifique.

Alors voilà, chez la victime que j’ai été, chez le survivant que je suis, s’est installée une peur que je qualifie de névro-psychotique, d’état-limite.
Je n’en ai pris véritablement conscience qu’après la mort subite de ma mère d’un cancer fulgurant, l’envie d’en finir vite qu’elle avait trouvé, justement, en étant bénévole pour la ‘ligue contre le cancer’ depuis les quelques années de retraite dont elle a pu profiter.
Elle est morte à 67 ans, connard de macron avec ta retraite à 65 ans.

Aujourd’hui je n’aurai de cesse de combattre et de prévenir, à mon humble niveau, les manipulations perverses qui s’accumulent dans toute notre société, que ce soit dans un cabinet notarial de Dijon, qui, par feignasserie et suffisance n’a toujours pas bouclé la succession de mon grand-père (pas bien grosse, mais accointé avec l’évêché qu’il a servi pendant des dizaines d’années -d’où la religiosité de cette famille ET de ma mère) plus de 18 mois après le décès! que ce soit en débusquant les attitudes toxiques et perverses de quiconque croisera ma route, ou les systèmes eux-mêmes pervers narcissiques, tels que les pseudo-démocraties (ce ne sont que système de domination et de pouvoir avec une façade qui laisse croire au choix) dont on voit bien, en particulier en France, que le couple présidentiel n’est lui-même qu’une histoire de domination d’une pédocriminelle brigitte trogneux, abusant de son statut d’adulte et de prof (ça fait DEUX circonstances aggravante au regard du droit pénal) sur un enfant, manu macron, tout jeune queutard de 14 ans.

L’épisode de délire paranoïaque des année 2020 – … (nous sommes en 2022 à l’heure où j’écris) dû à l’apparition d’un virus très contagieux, mais non inquiétant pour la société humaine, en cela qu’il ne s’attaque qu’aux faibles (plus de 60 ans, immuno-déprimés, obèses, cancéreux, etc, bref, des gens déjà gravement malades ou en fin de vie) montre à quel point, à l’aide des progrès techniques de surveillance (écoute téléphoniques, vidéos, empreintes numériques de toutes sortes, géolocalisation constante, fichiers de police, etc), la perversion narcissique s’impose comme un mode de domination sur la planète entière, du niveau le plus petit, la famille nucléaire, jusqu’à la “gouvernance” mondiale par les entités d’argent, en passant par toutes les strates de toutes les dimensions de l’organisation sociale (petites et grande entreprises, organisations syndicales, partis politiques, administrations étatiques de tous niveaux, etc).

Grâce au Tao, grâce à MON tao, grâce aux Toltèques, ma colère va s’apaisant et mon combat va constant, l’un comme l’autre se nourrissant d’une énergie que je désire pure et saine. Je vais jouer ma musique, créer mes images, n’en tirer que bien peu, mais cela me convient. Et si d’aventure il y a mieux, alors je me dirai merci, car je le mérite. Et si d’aventure il y a mieux, je serai également redevable envers l’univers et je serai heureux d’en faire partie.
Et j’aime.

L’exception bourgeoise française

lundi, septembre 6th, 2021

En effet, ce n’est pas à brigitte trogneux, professeur de l’enfant emmanuel macron, puis épouse du même macron (!), que cela aurait pu arriver, en France, n’est-ce pas?
Rappelons à toutes fins utiles que brigitte trogneux, alors professeur de 39 ans a engagé une relation avec un de ses élèves, âgé de 15 ans, avec qui elle s’est par la suite mariée, et qu’elle a propulsé dans les sphères de l’oligarchie capitaliste, et donc du pouvoir, par son entremise.
Pourquoi le premier époux de brigitte trogneux, André-Louis Auzière, est-il mort à 68 ans d’une cause que la famille voudrait bien voir rester cachée (probablement un cancer, maladie “sans cause” dit-on!)… Alors que son épouse, mère de ses trois enfants âgés d’environ 15 ans également à l’époque, s’est laissée aller à la perversion de la domination sur un enfant mâle?
La perversion narcissique de brigitte trogneux (au sens de Racamier) est quasiment totale et elle l’a choisi délibérément à l’âge adulte. C’est un beau parcours dont chaque citoyen peut mesurer aujourd’hui les conséquences pour sa vie, même s’il s’en défend ou le nie farouchement…
“Une belle histoire d’amour” (incestuelle, bien sûr), dirait mimi marchand de paris match, actuellement en prison…

“Krystal Jackson, 39 ans, a été arrêtée vendredi par les détectives de l’unité des crimes sexuels du shérif du comté de Fresno, aux États-Unis.
L’enseignante californienne est actuellement derrière les barreaux, après avoir été arrêtée pur avoir violé un garçon de 14 ans à trois reprises.

Elle a été incarcérée à la prison du comté de Fresno pour quatre chefs de viol, communication avec un enfant pour commettre un crime et de rencontre avec un enfant à des fins obscènes, entre autres.
Sa caution est fixée à 215 000 $.
L’enseignante faisait partie de l’école d’étude indépendante Mountain View, à Reedley, en Californie.”

https://www.tvanouvelles.ca/2021/09/04/une-professeure-arretee-pour-viol-sur-un-eleve-quelle-voyait-en-session-individuelle

manu dans l’cul*

lundi, août 2nd, 2021


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-https://www.youtube.com/watch?v=KKOESy_yq3w
@Damien Saez – Manu dans l’cul

#metooincestuel

mardi, janvier 19th, 2021

[Puisque je ne me retrouve dans aucun de ces putains d’hache tagueule, je crée le mien, en me basant sur les recherches de Racamier]

Je ne suis plus un enfant, je ne dois plus rien à personne.
Surtout pas à ceux qui ont profité de l’amour inconditionnel de leur enfant, mes parents.
Etant donné la durée de la relation non pas incestueuse, mais incestuelle (au sens de Racamier), on peut dire qu’il y avait une grande perversité psychopathologique à l’égard des enfants de la part de mes parents.

La violence sexuelle que j’ai subie, à caractère d’incestualité, est bien pire que ce que j’appelle les « petits viols » dont on parle à présent souvent, comme l’on fait Vanessa Spingora, Camille Kouchner en parlant de son frère, Sarah Abitbol, Flavie Flaman, ainsi que toutes les actrices du mouvement #metoo.
Sans diminuer l’importance du trauma que toutes ces personnes ont subi, il est aisé de s’apercevoir qu’elles ont toutes eu une carrière, un métier, un revenu et que le moment traumatique est intervenu après la période de latence décrite par Freud.
C’est un très grand avantage pour se reconstruire.
Dans mon cas, je n’ai plus (un temps on faisait semblant) ni vie sociale, ni professionnelle, c’est une suite d’échecs et d’isolements dus au conséquences terribles du syndrome post-traumatique.

Pour ma part, il n’y a pas eu de période de latence, dépourvue de sexualisation. J’étais enfermé dans la chambre placard -vaste à faire bien des jaloux ! et propice à l’excuse- et j’avais le spectacle auditif de la sexualité adulte sans possibilité d’y échapper.

Dans ces cas-là, la culpabilité qui se développe avec la réitération sans fin du trauma est acméique, paroxystique.
J’espère que ce sentiment mortel va se transmettre à qui de droit, car la peur, la psychose, la honte, la culpabilité et au final, la mort, doivent changer de camp.

Je n’ai eu aucun secours, de personne. Personne ne s’est posé la question d’une timidité excessive du petit enfant que j’étais, personne ne s’est affligé de ces ongles rongés parfois jusqu’au sang, si petit. C’est pourtant un signe de stress majeur, ô combien visible et qui doit alerter. Seule ma grand-mère s’en est émue, mais surtout pour le manque d’esthétisme de ce handicap par trop visible.

Mais cela n’est rien. Ce n’est rien comparé au gâchis de la vie entière du beau jeune homme que j’étais, qui voulait, vainement peut-être, devenir quelqu’un, profiter de la vie, en prendre sa part comme tout un chacun.
Cela n’est pas possible lorsqu’on est rongé par une culpabilité extrême que l’on  n’arrive même pas à identifier. On « est » fou, à la place de ceux qui ont mal agi, et peu importe qu’ils l’aient fait en conscience ou non.

La solution, c’est de s’autodétruire, sans même savoir pourquoi, avec toutes sortes de toxines, même celles censées désinhiber ou garantir une joie de vivre momentanée.

Je ne reviendrai pas en arrière pour vivre autre chose. C’est évidemment impossible.
Attendre quoi que ce soit de la « société » ou de l’ « humanité » est une foutaise.
La domination, consciente ou pas, est la règle et s’applique à tous, un peu moins quand le pouvoir de l’argent ou des relations vient arrondir les angles ; mais c’est la règle du règne animal humain.
Il y a quelques chanceux, une majorité heureusement, dont la plupart ne se rendent même pas compte de la chance qu’ils ont de subir un peu moins que d’autres.
Oui, il y a un sacré paquet de connards et de salopes, c’est vrai. Quoi qu’ils fassent, ils passent dans la vie comme des mirages, tantôt à leur profit, tantôt à celui des autres.