Les décors sont entièrement fabriqués en carton, en miniature, telles des maquettes. Ces décors étaient exposés côté ‘Salon de l’Asie’ et présentés, ainsi que l’œuvre en elle-même, par Pi San, le réalisateur.
La conférence internationale sur la web 3d s’est déroulée dans une faculté de médecine. C’est joli une fac de médecine parisienne rive gauche. C’est en vraie pierre de taille, robuste, décoré de statues en ronde-bosse, de bas-reliefs honorifiques à la gloire des grands qui sont passés par là et qui ont lâché quelque fortune pour le bien commun 🙂 . Présentation sommaire de la conférence en vidéo.
Web3D 2011 Paris
Vanité
Les salles et amphithéâtres s’articulent autour d’une cour à galerie agréablement végétalisée et ponctuée de deux fontaines: idéal pour s’en griller une petite sans devoir s’exiler trop loin alors que le buffet n’attend que vous !
Une copine m’attendait depuis un moment, de marbre devant cette effervescence momentanée.
Tout le gratin de la 3D web s’était donné rendez-vous pour divulguer lors de passionnantes conférences les avancées technologiques permettant un espoir renouvelé dans l’utilisation de cette vieille technologie, jusqu’alors phagocytée par les solutions propriétaires et la mauvaise volonté de certains monopolisants.
L’enthousiasme des intervenants principaux (Alain Chesnais, président de l’ACM -Association for Computing Machinery- , et Neil Trevett, président du groupe Khronos) ainsi que leurs discours distanciés contrastaient assez fortement avec d’autres interventions, plus focalisées et techniques (je n’en ai pas compris le dixième ou presque 🙂 ).
Tous les intervenants ainsi que la plupart du public sont des universitaires, des ingénieurs, des industriels, des entreprises, des organisations d’état, bref la vraie vie de l’argent et de la technologie 🙂 .
Tout comme dans la vie des démocraties d’aujourd’hui, où ce ne sont pas les peuples qui décident, mais les financiers via les politiques, le monde de la web 3d est soumis aux besoins des industries, et fait peu de cas des utilisateurs, sauf à obtenir un contenu gratuit. J’exagère à peine 🙂 .
Cependant, les technologies ouvertes issues de ces relations techno-économiques restent accessibles aux utilisateurs et leur permettent de créer des contenus tout en apprenant à s’amuser de certaines difficultés. C’est tout de même grâce à l’élaboration de langages ouverts comme le VRML et le X3D que Lornet-Design a pu créer sa démo.
Dijon 3D @ Web3D 2011 Paris
Lornet-Design a donc présenté son humble projet “Dijon 3D” lors de la session “web 3d showcase”, en retard d’une heure sur le programme.
Le web 3d artshow qui précédait a mis en lumière l’utilisation exclusive de Second Life par les artistes présents, qui ne semblaient pas se rendre compte des questions que cette utilisation exclusive peut soulever.
L’élaboration de standards ouverts pour la web 3d permet aux utilisateurs, quels qu’ils soient, de créer et de divulguer de façon libre et accessible, sans être assujettis à des formats propriétaires, et sans être tributaires d’un service privé souvent limité dans le temps, comme l’a souligné Nicholas Polys (Virginia Tech). C’est bien de cela qu’il s’agissait lors de cette conférence. Les artistes étaient donc totalement à contre-courant, dans le mauvais sens du terme.
La petite histoire de la présentation de Dijon 3D:
Pour présenter une démo il faut un ordinateur portable. Le Dell Inspiron 9100 de Lornet-Design, équipé d’une carte graphique ATI Radeon Mobility 9800, ne supporte pas le x3dom en raison d’accords stupides entre Dell et ATI à l’époque de sa construction (en 2004). Les drivers ne sont plus développés car Dell obligeait ses utilisateurs à passer par Dell pour les mettre à jour. Résultat: il faut racheter un ordinateur. Stupide lobbying.
Je demandais donc à Alain Chesnais, car très sympathique il m’apparaissait, s’il pouvait me prêter un PC capable d’afficher du x3dom. Il utilise un Mac. Ok, compris. Mac affiche x3dom sans souci, c’est cross-platform, mais je me dispensais de le lui rappeler. Il me dirigea vers Anita Havele, executive director du Web 3D Consortium, fort charmante, qui me dirigea vers Johannes Behr (Fraunhofer Institute) tout à fait disposé à me prêter son Mac 🙂 … C’est ainsi que je rencontrai Yvonne Jung, talentueuse et sympathique ingénieur informatique chez Fraunhofer Institute, les créateurs du x3dom et de Instant Reality.
Le moment venu, Johannes était hélas occupé, mais se fit fort de me diriger vers un étudiant stagiaire chez EDF qui me prêta son ordinateur pour faire ma présentation. Je l’en remercie encore. J’apprenais par la suite que l’image 3D de la cathédrale Notre-Dame de Paris sur l’affiche de la conférence est de son fait.
Affiche Web3D 2011 Paris
C’est donc avec un certain stress que j’abordai ma présentation, du fait du retard accumulé sur le programme (je ne voulais ni m’imposer ni prendre sur le temps d’autres communications, pas comme certains…) et parce que je savais que mon discours tenait en 10 minutes, sans compter le temps de la manipulation. Mais bon, la démo est en ligne, vous pouvez manipuler vous-même, c’est facile.
Du coup j’ai dû couper à la hache mon discours en direct, ce qui le rend peut-être un peu biscornu.
Je passerai sur les rencontres d’ordre privé, un dîner avec un véritable artiste 3D, arrosé d’un excellent Bordeaux, la veille de la conférence au “café des artistes”, ainsi qu’une rencontre du troisième type, fugace et déstabilisante, à la « 2001 » :). Et ce n’est qu’ensuite, une fois revenu derrière mon clavier, que je me suis aperçu que j’avais également rencontré sans le savoir, la célèbre et talentueuse Wildpeaks (le site est en flash ^^).
Je n’ai pas assisté à toutes les conférences, mais lors de celles où j’étais présent, je me suis abstenu de taper mes mails sur mon mini ordi, afin de ne pas emmerder mes copains de banc d’amphi avec un tac-tac-tac de clavier chiant, histoire de faire croire que j’étais un busy man. Il était déjà assez difficile de comprendre l’anglais souvent approximatif, quant à l’accent, de certains communicants. Quand j’ai eu envie de lire mon Canard préféré, je me suis retiré dans la salle de pause. Je n’ai pas non plus twitté les trucs et les machins en direct. Et pour cause, je n’avais ni ipod, ni ipad, ni tablet, ni ordinateur portable sur moi, encore moins de minitel, tout juste une antiquité mobile que j’avais éteinte.
En guise de conclusion provisoire, on peut dire que cette conférence internationale sur la technologie web 3D a mis en évidence plusieurs axes de réflexion et de développement: d’une part, la gestion de données massives, surtout concernant la géolocalisation “sociale” et militaire (le consortium web 3d travaille beaucoup avec l’Etat américain), d’autre part la prééminence de l’Internet mobile et sa suprématie future. Le tout étant bien évidemment concerné par l’élaboration de standards visant à faciliter le développement, la création et la commercialisation rentable de produits destinés à l’utilisateur.
Il manquait cependant dans les discours, en guise d’ouverture, un questionnement sur l’éthique liée à ces nouvelles technologies: la géolocalisation est un moyen très efficace pour tracer la vie de tous les citoyens du monde, équipés de multiples “sensors” (censeurs ? 🙂 ), l’Internet mobile est “révolutionnaire”, mais plutôt dans le sens ou le pouvoir peut à nouveau, et grâce à la naïveté des citoyens-utilisateurs, reprendre le dessus par sa puissance de contrôle.
Ces questions sont d’une importance cruciale, comme le rappelle par ailleurs Benjamin Bayart, et l’éducation à l’utilisation des nouvelles technologies est indispensable.
Il reste que j’ai été honoré de participer à cette conférence internationale sur la technologie web 3d, où j’ai beaucoup appris, et de pouvoir présenter mon projet de ville 3D « Dijon 3D ».
La première scène de Dijon 3d présentée à la fois en x3d et x3dom sur le site dijon.tourisme-3d.com a fait l’objet d’un article sur le blog des créateurs du x3dom. Lornet-Design remercie toute l’équipe x3dom qui travaille avec énergie à l’élaboration et au perfectionnement de cette nouvelle technologie !
Le système global que servent aveuglément les individus broie l’Humanité.
La démocratie indirecte souffre de ses intermédiaires compulsifs et vénaux.
On ne fera jamais table rase. Aujourd’hui, l’écoute est un vain mot, l’irresponsabilité une règle de nantis.
La souffrance demeure grandissante, et Gaïa est difficilement atteignable. C’est pourtant là que nous sommes tous amenés à finir.
Lornet-Design lance un nouveau site pour illustrer sa vision en 3d de la ville de Dijon.
Pour ces débuts, seules des images et une vidéo de la rue Stéphen Liégeard et de la rue des Forges à Dijon sont accessibles, en attendant une solution satisfaisante et “universelle” pour présenter une véritable 3d aisément navigable. Les langages VRML et X3D seraient à même de satisfaire ces besoins, mais ils sont encore tributaires de plugins. Java reste la meilleure façon d’afficher une véritable 3d multi-plateformes (entre autre grâce à Jmonkey). Une collaboration avec un programmeur talentueux est en cours… Le site de Dijon en 3D par Lornet-Design.
Voici un aperçu en vidéo de l’île 3D créée par Lornet-Design: Islanda 6000 U.
Cette île présente deux côtes et une pointe rocheuses. Une forêt s’adosse sur les grandes falaises de l’est, alors qu’à l’ouest une pointe rocheuse menace les bateaux en perdition. Au sud, des falaises affaissées accumulent les galets roulés par la houle incessante et mâchés par les déferlantes. Trois plages permettent l’accostage facile des bateaux luxueux qui s’aventurent parfois sur Islanda 6000 U…
Même déserte, Islanda 6000 semble être habitée. Un curieux destin attend ceux qui s’aventurent sur son sol…
Lornet-Design connaît bien Internet : il en est issu.
Internet n’est pas seulement un moyen de communication ou de commercialisation, c’est aussi une machine à émulsions et on y trouve quelques perles rares (dépêchez-vous, l’ivraie est en train de supplanter le bon grain) .
Avant de se lancer dans un ambitieux projet de web 3D, Lornet-Design s’attaque à l’élaboration d’une scène 3D VRML représentant une île. Traitée comme un décor de jeu vidéo dans lequel quelques interactions multi-utilisateurs seront possible , cette scène est un élément d’un scénario plus global…
C’est à la fois un challenge graphique et une approche de la programmation VRML qui permet de partager les animations à plusieurs : grâce à un serveur une animation déclenchée par un des participants est visible pour les autres et entraîne des conséquences visibles par tous 🙂 .
L'île eau, une île en 3D VRML multi-utilisateurs
L’île eau est un travail de maîtrise. Toutes proportions gardées, cette île 3D fait appel à différentes technologies de pointe (bien sûr 🙂 ) : le multi-texturage, les événements partagés, les animations 3D et sonores ainsi qu’un gameplay simple mais efficace.
Pour suivre le déroulement de la création et remercier par la même occasion l’aide précieuse apportée par les Rêvemonde angels, je vous propose un lien : live creation of a 3d multi-user VRML island
A bientôt pour la campagne de promotion.
Vous vous êtes enfin décidé à avoir votre propre site web, vous avez été convaincu par les arguments que Lornet-Design vous a apportés dans son billet “créer un site web, pourquoi?” .
Il est temps de choisir un prestataire qui saura comprendre vos besoins et réaliser une prestation de qualité : agence de communication, web agency (en anglais ça fait toujours mieux), studio de création graphique ou graphiste indépendant ?
Un rapide tour des tarifs que vous aurez trouvés sur la toile vous rendra encore plus perplexe : un site web à 300 €, oui ça existe :). Mais achèteriez-vous une voiture à 300 € sans roues ni moteur, si c’est pour l’utiliser professionnellement en toute sécurité ?… J’en doute. Internet est un formidable outil de communication et une mine de connaissances sans cesse grandissante, mais comme partout ailleurs, il existe des arnaques.
Voilà pourquoi il est judicieux de trouver des éléments de réponse à ses questions avant de commander un site à n’importe qui.
Un site Internet, c’est une vitrine qui doit être travaillée et pensée dès sa conception: vos clients mais aussi vos concurrents auront un oeil critique sévère sur votre nouvel outil de communication et de publicité. Votre site doit vous satisfaire graphiquement et plaire à vos clients, vous devez être assuré que la partie code respecte les normes et que le référencement est effectué manuellement et avec soin. Ce sont les ingrédients indispensables pour générer des visites et les transformer en affaires.
L’artiste indépendant travaille tel un artisan d’art, avec passion. Il prend le temps d’étudier les demandes et les besoins de ses clients pour produire un site web adéquat à l’activité et aux marchandises que ses clients veulent mettre en avant.
Le graphiste indépendant propose une solution réfléchie pour l’image du site et sa mise en page, il connaît d’expérience le comportement et les attentes des internautes. C’est cette expérience de la toile qui permet au graphiste indépendant de ne pas se laisser aller aux effets de mode : un site institutionnel, un site officiel donne son propre ton, a sa propre personnalité même s’il utilise les toutes dernières technologies. La sobriété et la constance sont un gage de qualité et de rentabilité. Grâce à la qualité graphique et ergonomique du site qu’il crée, le graphiste freelance permet à ses clients de bonifier leur réputation. Grâce à un code propre et respectueux des normes, le webmaster indépendant s’assure le respect de ses confrères en même temps qu’il participe à la création d’un web de qualité.
Le graphiste indépendant est un artiste : Lornet-Design, titulaire notamment d’une maîtrise en histoire de l’art, se sert de son bagage universitaire et littéraire pour utiliser au mieux les techniques de référencement et connaître la sémantique indispensable à la rédaction des textes qui constituent un des éléments essentiels d’Internet aux yeux des moteurs de recherche.
En dehors de toute création “pure” telle qu’on peut la voir dans l’art contemporain (surtout l’art conceptuel et le ready-made) où tout devient de l’art pour peu qu’il y ait une idée ou un discours souvent pompeux derrière, de solides connaissances en histoire de l’art permettent au graphiste indépendant de créer en s’appuyant sur les fondations de l’humanité.
Les capacités de réflexion et de recherche acquises à l’université sont un moyen indispensable pour comprendre les comportements des internautes et les stratégies de e-marketing qui, une fois mises en place profitent à la notoriété d’un site, d’une marque, d’une entreprise, et participent de sa visibilité et de sa prospérité.
Lornet-Design, créateur de graphismes intelligents et novateurs à Dijon, mettra tous ses talents au service de votre image.
A quoi ça sert un site Internet ? Pourquoi créer un site web ? Voilà les questions rituelles que se posent les commerçants et les entreprises traditionnels qui ont peu ou pas de connaissances informatiques. Lornet-Design, graphiste et créateur de sites Internet à Dijon donne une meilleure réponse à ces questions cruciales !
Pour les commerçants de détail la question d’ouvrir un site Internet peut être plus compréhensible si elle est tournée autrement : pourquoi avoir pignon sur rue, pourquoi exercer son métier dans un magasin, pourquoi avoir une vitrine ?
Et voilà que tout à coup les réponses deviennent évidentes : un commerce de détail sans visibilité des clients est assurément voué à l’échec.
Le commerce traditionnel a besoin d’une vitrine physique et les commerçants savent bien que l’emplacement de leur boutique est un des paramètres cruciaux pour la réussite de leurs affaires. Un site Internet c’est d’abord une vitrine, un moyen de communication à distance qui permet d’exposer les marchandises ou les services, le savoir-faire, les qualités et les connaissances du professionnel, tout comme le sont une vitrine physique et un emplacement choisi pour un magasin. L’avantage de la vitrine électronique d’un site Internet c’est bien sûr de pouvoir ouvrir son commerce sinon au monde entier, au moins de ne pas restreindre sa clientèle au seul marché local.
De plus, cette vitrine sur le monde doit renseigner le client sur l’ambiance et la qualité des prestations commerciales par une conception étudiée (la mise en page) et un graphisme soigné et adéquat (images, photos, couleurs, typo, charte graphique…).
Voilà donc les avantages d’un site Internet vitrine: montrer son savoir-faire et ses marchandises et se faire connaitre du monde entier, augmenter potentiellement sa clientèle et ses affaires, et soigner son image et sa réputation.
Mais la vitrine Internet joue aussi le rôle d’une vitrine de magasin traditionnelle: elle attire le client qui, en voyant les produits, se découvre un besoin ou une envie d’acheter. Un site Internet est également un moyen de se placer sur le chemin du client, de lui permettre de trouver ce qu’il cherche ou ce dont il a besoin. Grâce aux moteurs de recherche, Internet est un moyen rapide, efficace et économique pour obtenir sans efforts une liste de commerces qui proposent aux clients, potentiels acheteurs, l’objet ou le service qu’ils recherchent.
Un site Internet de vente en ligne permet quant à lui d’effectuer les transactions directement en ligne: l’acheteur paye en ligne par carte bancaire ou tout autre système de payement, et dès réception du payement, le commerçant ou l’entreprise se charge de délivrer le service ou le produit acheté. C’est un excellent moyen de contourner une période de crise ou de travaux qui empêche le client de se rendre physiquement à la boutique. L’acheteur peut aussi préférer ce mode de commande car il lui épargne de coûteux déplacements, les embouteillages et la foule lors des fêtes.
Cela n’enlève rien de la relation privilégiée client-commerçant, car ce dernier doit continuer à prodiguer conseils et renseignements à ses clients, que ce soit pendant la transaction (par mail ou téléphone) ou en amont lors de la création du site, de la rédaction des textes et de la création des images et des widgets. Le site web, dans sa conception et son graphisme est un reflet du commerçant et de la passion qui meut son activité.
Evidemment, il faut que le site web soit correctement référencé afin d’être bien positionné dans les résultats des moteurs de recherche.
Le référencement d’un site Internet est le moyen par lequel un site web est visible et mis en avant dans les résultats des moteurs de recherche. On peut comparer cela au choix d’un emplacement judicieux pour un commerce (une rue très passante) ou à la réputation d’excellence d’une entreprise. On peut également le comparer au choix d’une niche commerciale, au soin apporté dans la communication graphique et sémantique de toute activité commerciale.
Le référencement est donc un élément très important dans la mise en place d’une stratégie commerciale électronique, appelée également e-marketing, tout comme l’apparence visuelle et graphique du site. Le référencement sera plutôt destiné aux moteurs de recherche, alors que la conception graphique devra satisfaire l’oeil des internautes et constituer un écrin pour les produits présentés.
Quoi qu’il en soit, tous ces facteurs font partie de la stratégie marketing de l’activité commerciale.