Archive for the ‘Philosophie’ Category

Different.

samedi, octobre 12th, 2019

Ce qui me ferait tuer…
Les connards avec le bras gauche pendant à la fenêtre de la portière, signe d’une crétinerie crasse; les enculé(e)s avec la main gauche à midi sur le volant -probablement que la main droite gratte une demi paires de couilles ou un vieux clito.
Les possesseurs de véhicules utilitaires de couleur blanche, jamais nettoyés.
Les saloperies qui ne savent pas respecter une priorité, quand bien même le code de la route est le plus simple du monde (c’est d’ailleurs pour cela qu’il est, dit-on, “universel”, c’est bien le seul). Bordel qu’il faut être un putain d’enculé de connard de fils de pute pour ne pas être capable de le respecter, bordel de foutre.

C’est, démocratisation de la bagnole faite, le meilleur moyen de se rendre compte qu’il est aisé pour un demi intello qui s’y croit (un politique, donc) de conduire un troupeau de blaireaux tels que tous ceux-là qui se croient capables de maîtriser un engin motorisé à une vitesse au moins cent fois plus rapide que celle à laquelle leur corps gras et gros, pataud, dépourvu du moindre réflexe cérébral ne pourrait jamais les propulser.

Et il faut se soumettre aux règles qui s’appliquent à ceux-là, bordel. C’est triste. Et c’est très heureux que je n’ai pas de progéniture, je ne saurais pas comment leur expliquer qu’ils existent.

PS: et si tu rajoutes à tout ça le bruit (des échappements libres) et l’odeur (du diesel des faux pauvres)… je t’explique pas le bordel environnemental que tu te prends dans la gueule, dans les oreilles et dans les poumons.

La tête de zemmour sur une pique littéraire.

mardi, octobre 1st, 2019

Eric zemmour est un esprit malade dans un corps chétif, que les bienséants antisémites pourraient qualifier de petit juif crochu.
Bien sûr, il en a l’air. Pourtant, sa consistance est faite de haine pure. Haine dérivée de la peur de l’autre, la xénophobie de celui, différent de soi, qui renvoie par effet miroir toutes les problématiques psychologiques que l’être renferme.
Eric zemmour souffre atrocement; et notre société, si puritaine et pourtant aussi souffrante que lui, lui permet d’exprimer cette souffrance sans culpabilité devant le plus grand nombre à de viles et néfastes fins.
Notre société malade se gave de la pathologie des esprits faibles pour se rasséréner et se dire “à quoi bon?”.

Rays

dimanche, septembre 29th, 2019

Exposition
« Naked pictures of a disintegrated world »

Création transitionnelle 2018/2019.

 

Il faut d’abord regarder l’image, se plonger dedans, et ensuite lire son titre, qui fait partie de l’œuvre.
C’est très important car c’est un livre.

A ce moment-là, révulsion ou contemplation font de vous, aussi, ce que vous êtes.

“La création artistique prend peu à peu la place des rêves ou les complète : elle est d’une importance vitale pour le bien-être de l’individu et par conséquent de l’humanité. ”
“Artists are people driven by the tension between the desire to communicate and the desire to hide.”

Donald Woods Winnicott.

 

Qu’est-ce que la photo, l’image, sinon un roman vu de l’intérieur, par son créateur?

Voici ce que je dis de moi, à travers mes appareils et ce que reflète la lumière. Les mots indispensables torturent les images et c’est bien comme cela qu’il faut faire.

Camille Claudel disait : « (…) c’est comme ça que je fais quand il m’arrive quelque chose de désagréable, je prends mon marteau et j’écrabouille un bonhomme. » alors qu’elle était déjà dans un état qui la mènerait aux tréfonds de la folie des hommes et de la famille, l’asile et l’enfermement.

Installation

mercredi, septembre 25th, 2019

Un petit aperçu du travail qui a pris plus de deux heures à deux personnes pour installer l’exposition…

La journée avait bien commencée avec, en plein chargement des œuvres, la visite d’un sympathique contrôleur de la redevance audiovisuelle!
Bon, à la manière de Juan Branco, tu peux toujours y aller pour me chercher des poux dans la tête, je ne sais pas mentir (ça, c’est pas très bon, en fait ^^), et du même coup, quand c’est déclaratif, ben je ne fais pas comme balkany, chirac, pasqua, cahuzac, longuet, dsk, (j’arrête là, la liste est longue des verrues de l’humanité), je déclare tout bien (comme un con, diront les véreux)!
Incroyable non? Ben oui, j’ai eu comme grand-père un homme droit et qui de plus était inspecteur des impôts.
Bref, j’espère juste que la personne que je n’avais pas à faire rentrer chez moi était bien ce qu’elle prétendait être. Je le pense, j’ai beau être “malade”, je suis très loin d’être un idiot.
Et puis comme Juan Branco cité ci-dessous, je n’ai pas peur de la connerie humaine, elle me réconforte à la limite 🙂 [c’est pas vrai, hein, je nous vois crever si stupidement…]

“Un dernier mot sur l’adresse: elle a été laissée en conscience.

Vivre dans la peur, c’est commencer à leur ressembler. La lutte que nous menons est saine. Nous n’avons rien à craindre de personne, si ce n’est d’eux, qui savent déjà parfaitement où nous trouver.

Fin du sujet.”  in https://twitter.com/anatolium/status/1176557925738958848

Bref, une journée où chacun des ‘agent smith’ fait son boulot pour gagner sa maigre pitance, certains avec plus de bonheur que d’autres 😉

Heurt de la mort

lundi, septembre 16th, 2019

Petit tigré libre a rendu son dernier souffle il y a quelques minutes. Déjà les mouches vertes s’affairent autour des yeux et de la gueule. C’est pas la Syrie, non. C’est pas ces terres, jamais si loin, qui empestent la mort, la pourriture des corps, gueules et bouches ouvertes dans une ultime tentative de respirer l’air vicié; yeux sans expression d’aucune vie, corps boursoufflés d’eau de la noyade…
Mais c’est kif.
Alors aux vivants qui puent la merde de leurs propos et de ce qu’ils pensent être des idées, aux religieux guerriers, aux politichiens haineux, aux faux philosophes français, à toute cette lie de la bêtise, je veux bien creuser un trou et répandre la chaux vive.

Hier, sentant la fin proche, il était venu sans crainte comme le font ceux-là, se faire caresser la tête, accepter une seringue d’eau, et encore, mais non… même les sardines odorantes n’avaient qu’occasionné une simple bouchée réflexe. Déjà les nécrophores voletaient.
La mort a une odeur puante, un son sifflant et râleux, un regard qu’on n’oublie pas, une démarche chaotique qui signifie la fin.
Je la souhaite à ceux qui ne savent que détruire le vivant sans même une contrepartie, à ceux qui jouissent de la souffrance des autres; ce sera leur lot.

La dotance – interlude

mercredi, août 14th, 2019

Bon, moi, je dis dotance plutôt que n’importe quel autre mot parce que ça correspond à gifted, en anglais, et que tous les autres machins, ben c’est de la merde.
Mais, les gens ne sachant pas créer de mots, je les leur fournis 🙂
Et puis douance ou dotance, hein, même racine pour ceux qui s’y entendent en linguistique. Et surtout ça rime avec souffrance pour ceux qui n’ont pas un cerveau symétrique.

Rapide, concis et bien fichu:

Pour les quelques secondes de neurosciences et d’imagerie, ainsi que d’explications succinctes:

L’accent

dimanche, juillet 28th, 2019

Non, on ne parlera pas de l’accent anglais de merde de macron le gérontophile, le guignol dont il usurpe le nom tel un BHL ou n’importe quel autre crétin médiatique souffrant du vide sidéral de sa pensée au point de faire croire qu’il en a une, non.
On parlera de ce que signifie la domination dans l’humanité.
La domination politique est celle de personnes qui ne peuvent se défaire d’une réalité qu’elles croient réelle.
Il en va de même pour celle que l’on inflige aux plus faibles, les enfants.
La population, communément appelée le “peuple” est tels ces enfants avec lesquels on joue jusqu’à ce que je jouet soit brisé. Peu importe, il y en a encore… plein!

C’est dégueulasse. Mais ce jeu-là perdure depuis que, disons, l’animal parle.

PS: contre la crasse de l’humanité, contre sa structure institutionnalisée dans le vecteur de venin que sont les médias de masse…

 

Chomsky for non english speaking people (like 99% of the frenchies)

samedi, juillet 27th, 2019

https://la-bas.org/la-bas-magazine/entretiens/une-heure-avec-noam-chomsky-5620

Nature morte

dimanche, juillet 14th, 2019

You almost had a naked self-portrait, but it’s gonna be a nature morte 😉
Cheers.

Dramatic

mercredi, juin 12th, 2019

Catching a rainbow usually makes the first shoot perfect, as the rainbow fades away quickly, like a dancer.
That also means you had already the polarizing filter on the camera if you want to make it a bit dramatic.
Otherwise you go post-production (anyway you will have to develop the picture, as usual) and work out the photo to make it fit your desire.

You’ll find out or just buy the great movie ‘Parada‘. I love it. It’s an intelligent dramatically life-like movie. And you will Roll Over (the) Floor Laughing.
That’s what matters in dark ages.

Psychose

lundi, juin 10th, 2019

Une famille où l’on ne raconte pas.

Ma mère avait 23 ans quand elle m’a mis au monde et elle n’était pas prête à avoir un enfant.
Elle ne voulait pas d’enfant, au moins pas à ce moment-là.

Elle n’a pas su surpasser la difficulté d’un nouvel être humain qui venait s’imposer vivant dans sa jeune vie.
Qu’est-ce qu’on sait à 22 ans des hommes et des bébés mâles?
Elle, pas grand chose, c’est certain.

Mais dans une famille très religieuse, c’est “comme ça”. La vie fonctionne ainsi, sans que l’on ait à dire sa volonté propre. Alors que le désir et la volonté des êtres humains est justement ce qui les différencient de ceux qu’ils appellent les animaux.

L’animal n’a qu’un instinct de survie.

Il ne pense pas, il ne philosophe pas, il n’aime pas. Il vit d’instinct, se sustente, se nourrit et se reproduit.
Seul l’Homme profite de la vie parce qu’il sait qu’il va mourir.

Pour cela, il lui est encore difficile de s’épargner la souffrance. Il vit souvent dans la peur, quand l’amour fait défaut.
L’Homme qui a peur souffre. L’Homme qui n’est pas élevé comme un humain, qui ne reçoit pas d’amour quelles qu’en soient les raisons, ne peut se développer sainement.
Il grandit dans la peur. Il développe une panoplie de symptômes communs mais propres à chacun, à chaque individualité.
A travers ses symptômes, aussi douloureux peuvent-ils être, se trouve les solutions de sa reconstruction.

C’est d’y faire face, de prime abord, qui est le plus difficile.
Puis c’est ensuite de ne pas renier ce qu’il vit qui est un barrage.
C’est aussi la confrontation avec ceux qui ne savent pas ou qui croient savoir -ce qui est bien pire- qui vient créer un empêchement.

La colère.

La colère qu’on a contre soi-même, de s’être fait berné. D’avoir été impuissant parce qu’on n’était rien qu’un nourrisson, puis un bébé, puis un tout jeune enfant… et que le monde c’est celui que les parents, mais surtout la mère donne à voir.
Quand ce monde est dépourvu d’amour vrai, quand il n’est qu’une scène de théâtre dont on s’aperçoit qu’elle est très mal jouée et que les acteurs ne peuvent rien transmettre. Quand on grandit dans un tel monde… comment savoir que l’on n’est pas responsable de ce que l’on ressent?

Maman, tu n’as pas su. Tu ne sauras jamais, c’est fini. C’est fini pour toi, mais c’est également fini pour moi. Bien d’autres souffrent, mais ce qui est important pour moi, c’est moi.
Pas d’amour dans ces bras. Ont-ils même servi à autre chose qu’à faire des moulinets inutiles?

C’est triste.

Pour faire des Hommes bons, il faut des mères aimantes. Ce ne peut être une règle, évidemment.
Il y a un espoir de pouvoir retourner les pires situations, quand l’ubris est connue, comprise et sublimée.

Le tramadol te faisait faire des cauchemars… Je ne savais pas que dans les substituts d’opiacés, des anti-douleurs, se trouvait la clé des cauchemars…
Mais les opioïdes, la morphine pourtant peu dosée, tu as pris soin de la rendre à la pharmacie… des fois que ma douleur ait pu être atténuée, n’est-ce pas? Cette douleur que tu m’as insuflée, quand bien même de façon inconsciente. C’est peut-être cela que tu expiais chaque dimanche en allant au pardon de la messe messianique…
“Mon dieu!” qu’il est bon de fauter et de se voir pardonner par une illusion, n’est-ce pas?
mais ce ne sont pas de toxines dont j’ai eu besoin et qui semblent bien pauvres, c’est d’amour quand je n’étais qu’une petite chose gigotante.

https://www2.series9.io/film/mapplethorpe
Et c’est pas pour des enculés de tarlouzes de merde, ce genre de film, n’est-ce pas.

PS: un film doublement gratuit puisque la licence globale n’existe pas (au profit des enculés d’hadopi, haha) et que donc, personne ne paye rien, même pas un ou deux euros le mois, pour avoir un accès global aux arts graphiques.
Exactement comme moi qui paye mon NDD et serveur pour vous montrer un site et mes créations photos, sans aucune publicité.
Et, de rien, hein.

‘Feminism’ for the 99%

mardi, juin 4th, 2019

https://www.franceculture.fr/oeuvre/feminisme-pour-les-99-un-manifeste

Une liberté

mardi, juin 4th, 2019

“Toute information figurant sur sa plate-forme est accompagnée d’une source brute qui permet à chacun de la vérifier et de s’en emparer, ce qui supprime les privilèges que la caste journalistique s’est octroyés.

Un tel pari sur l’intelligence collective renverse les principes de notre temps. Au-delà de l’effet de révélation immédiat, il permet l’émergence d’un regard critique partagé, éloigné de toute forme de connivence. Devenu une sorte de métamédia, WikiLeaks écrase toute concurrence et suscite d’intenses jalousies.”

https://www.monde-diplomatique.fr/2019/05/BRANCO/59876

The french dictature (EN subs)

samedi, juin 1st, 2019

The structural system of neoliberal capitalist pseudo democratia is made out of oligarchic power.
System has people to serve it. Killing (make them out of order-ing) those ones won’t change the system, but it’s a first step to decent life.
Let’s make them drink few liters of roundup from monsanto, as they say it’s very safe, for example.

Minettes!

mercredi, mai 29th, 2019

Colette Renard – Les Nuits D’Une Demoiselle

Chatte nue.

mardi, mai 28th, 2019

Lèche ma chatte, redneck.

jeudi, mai 23rd, 2019

L’art est forcément politique

mercredi, mai 22nd, 2019

Marisa Papen. Photo by Gary Breckheimer.

Très belle série de noir et blanc.
Marisa Papen et son équipe, et son (ses) photographes font vraiment un excellent travail.

https://www.marisapapen.com/stories/the-day-after-purim-by-gary-breckheimer

[Hey! brice willis de nice, tavu tavu? c’est un détail de nu didonc, hein? pov’ guignol]

Les pattes

lundi, mai 20th, 2019

On m’a cassé les pattes alors que je n’en avais pas encore.
Ça ne se voit pas, mais ça se sent. Ça fait peur aux gens. Ils se disent “je ne le comprends pas”, “il y a quelque chose qui ne va pas”.

Le fait d’avoir les pattes cassées n’a qu’un intérêt qui n’en est évidemment pas un: il permet de reconnaître les salauds et les salopes. J’entends par là les maltraitants et les maltraitantes, les toxiques, les profiteurs et les profiteuses, les méchants et les méchantes.
Ces individus sont en effet ceux qui aiment à profiter des plus faibles, pour compenser leur inaccomplissement définitif.

J’aime bien les mots d’argots parce qu’ils se rapprochent de la vérité vécue des victimes. L’argot devrait être réservé aux victimes pour qualifier ceux qui commettent  des exactions.
Ce sont des mots forts qui permettent à la fois d’exprimer la colère ressentie par une injustice et de qualifier l’auteur de cette injustice avec une certaine exactitude, qui plus est compréhensible par tous.
Dans un monde technologique de science-fiction, un monde évidemment sans liberté, on verrait les salauds/salopes se balader avec en guise d’auréole au dessus de la tête le mot “salaud” ou “salope”. Personne n’aurait le droit de les appeler ainsi, mais ils auraient leur bonnet d’âne pendant une période variable, afin que chacun puisse savoir que ce sont là des parias.
Dans la vraie vie, hélas, c’est le contraire, ce sont évidemment les justes qui sont accusés d’en vouloir à ceux qui savent par trop bien manipuler les masses.
Ce sont les victimes qui doivent combattre les mauvais, et en général elles n’obtiennent jamais réparation. On le voit de plus en plus dans la société néo-libérale qui élimine les services publics: la justice n’a plus les moyens de rendre la société vivable. A défaut de laisser la loi du plus fort (et donc du plus con) s’exercer, cette société fait le lit de la loi du plus riche. Quand on voit le gamin Lagardère on se demande qui, du plus fort ou du plus riche, est vraiment le plus con…

Les gens dits “normaux” avec une intelligence moyenne voire basse trouveront toujours des moyens de réfuter les évidences. Ils penseront que, même condamné par la justice par exemple (alors que c’est en général déjà un miracle quand cela arrive avant la mort de l’inculpé), tel ou telle homme ou femme politique trouve encore grâce à leurs yeux.
Que justement la condamnation efface, en quelque sorte, le mal accompli.
Telles les racailles qu’ils ne peuvent pas sentir, ils se comporteront pourtant comme elles, glorifiant ceux qui ont défié le droit et qui se trouvent finalement auréolés d’une condamnation.

Le commun semble rassuré par ce genre de monde à la ramasse qui marche sur la tête.

Aphorisme #001

samedi, mai 18th, 2019

Quand une mère n’aime pas son enfant, qu’elle ne lui parle pas, qu’elle ne le considère pas…
Voici comment l’enfant voit le monde, parfois toute sa vie:

Tumeur vulvo-vaginale. Photo d’écran.

Bon appétit les broutte-minous! 🙂

PS: pour ceux qui ne jurent que par les conneries pour débiles, du style la patrie, le drapeau, l’armée, la police, etc, reportez-vous sur les paquets de cigarettes dont le graphisme est fabriqué par l’état français. Montrez-les bien à vos gosses, aussi.
Et apprenez à penser, surtout 😉