Archive for the ‘Philosophie’ Category

La femme n’existe pas*

samedi, juillet 17th, 2021

Le salon est en effet un lieu d’artifice ; c’est nous qui l’avons vou-lu, et nous en sommes bien punis. La sujétion des femmes ; l’idéal qui leur est imposé dès le berceau, et qu’elles portent, ainsi qu’un cilice, avec tant de constance ; leur tendresse maternelle et condescendance vis-à-vis de la vanité et de la fatuité des hommes ; leur art de la mani-pulation – l’art de l’esclave civilisé parmi les barbares bon enfant – sont autant d’ingrédients pénibles qui contribuent à fausser les liens entre les êtres. Ce n’est que lorsque nous abandonnons ce lieu de dis-traction et d’artifice que s’établissent de véritables relations, ou que les idées peuvent se mesurer en toute honnêteté. Au jardin, sur la route ou la colline, ou bien en tête-à-tête et à l’abri de toute interruption, se présentent des occasions où nous avons beaucoup à apprendre de cha-que femme ; il n’en est pas de meilleur exemple que la vie conjugale. Le mariage est une longue conversation, entrecoupée de disputes. Les disputes importent peu ; elles ne font que souligner la différence ; le coeur héroïque de la femme la poussant tout de suite à hisser haut ses couleurs. Mais dans les intervalles, presque inconsciemment et sans désir de briller, c’est la matière même de la vie qui est tournée et re-tournée, les idées sont débattues et partagées, les deux personnes adaptent de plus en plus leurs opinions pour accommoder l’autre, et au fit du temps, sans aucun son de trompe, tous deux se guident mutuel-lement vers de nouveaux mondes de la pensée.
FIN

 

in:

Robert Louis Stevenson [1850-1894]
écrivain écossais
(1877) [1999]
Une apologie des oisifs
Un document produit en version numérique par Claude Ovtcharenko, bénévole,
Journaliste à la retraite près de Bordeaux, à 40 km de Périgueux Page web. Courriel: c.ovt@wanadoo.fr
Dans le cadre de la collection: “Les classiques des sciences sociales”
Site web: http://classiques.uqac.ca/
Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque
Paul-Émile-Boulet de l’Université du Québec à Chicoutimi
Site web: http://bibliotheque.uqac.ca/

* https://journals.openedition.org/glad/pdf/1369

Le nirvâna comme indivi-dualisme “pur”

samedi, juillet 10th, 2021

L’été me glace le gland

mardi, juillet 6th, 2021

Un t-shirt poché
Pour un vagin éthéré


Un V terré
Comme vent d’été

F.H.P. Lornet (V 4…)


T-shirt mis en vente à 50 euros, 100 euros pour un t-shirt porté par l’artiste et non lavé, 10 millions pour une livraison à la CIA et consorts, gourmands d’ADN (#parano_coquins!)

Pandora par Hésiode raconté par Vernant

mercredi, juin 30th, 2021

Je suis partial, j’aime les théogonistes antiques 🙂

HÉSIODE – Pandora, la première femme, par Jean-Pierre VERNANT (BNF, 2005)
https://www.youtube.com/watch?v=jR1AOyT-klg

Prétendre à la non-aliénation

lundi, juin 28th, 2021

En tant qu’artiste, la liberté est encore totale. L’esprit ne peut être aliéné que par lui-même, en général avec l’aide d’Autres, eux-mêmes contents de leur aliénation, ou du moins qui en tirent quelques bénéfices, bien sûr, sans le savoir.
Imaginerait-on un philosophe, pire! un psychanalyste se mettre à nu, se laisser aller à la colère, se métamorphoser telle la chenille, chrysalide puis papillon pour enfin mourir en beauté? Non.
Et bien l’artiste est ce qui pourrait sembler manquer à ceux-là.
Des genitalia en gros plan? qui, semblerait-il, sont l’outrage le plus “dément” de notre période, l’artiste le peut. Et peu importe la raison qui ne regarde que lui et son inconscient.
Des meurtres fantasmés? de ceux qui font qu’on emprisonne des populations entières, l’artiste le peut également.
Penser. Utiliser ce qui fait l’humain dans un chaos organisé. Voilà ce qui fait l’artiste.
La lie de l’esprit est envahissante, le pulsionnel, bien qu’indispensable, est devenu la brute réalité acceptée par le nombre. Brutal.
Les moyens de diffusion de cette excrémentielle merde sont légion, ils sont effectivement partout, aujourd’hui, même lorsqu’on regarde ce qu’on croit être des étoiles et qui ne sont que les jouets volants d’un milliardaire.
Heureusement, il y a l’art sublime, tant qu’il reste; l’artiste, tant qu’il vit.
Hélas, parmi ceux-ci se faufilent des imposteurs, que l’on dit “maîtres”, en plus.
Mais voilà, il en est ainsi de la vérité mêlée de réalité, on n’en cueille pas les fruits sans dommages, on ne les atteint pas sans effort.

Beware…

vendredi, juin 18th, 2021

Back to some stencils. Sexy test.

président mort

vendredi, juin 4th, 2021

Chier sur la tombe de macron et de sa pédocriminelle d’épouse, la salaude bourgeoise.

 

The four me

lundi, mai 17th, 2021

On me disait, banalité de limités, que je me prenais pour le savant regardant les fourmis, parce que je tentais (ô désespoir) de prendre de la distance à propos de conflits armés de par le monde. C’était le sujet.
A y réfléchir, vraiment, le format de la discussion des plateformes privées ne laisse aucune marge; c’est une dictature des uns contre les autres.
Que vaut l’attraction vers le brandissement d’un panneau ou d’un morceau de tissu quand on peut essayer grâce à ses capacités intellectuelles d’envisager la résolution de ce qui se passe ici et maintenant surtout, mais aussi ailleurs?
Faut-il se prendre pour un émissaire, un dirigeant mondial politique, au lieu de savoir et de connaître ce que l’on vit réellement, ici et maintenant?
Pour autant, il n’est pas nécessaire d’oublier ce qui se trame de par le monde, mais jamais comme cause imminente du mal-être vécu; jamais.
Ce serait croire aux ombres de la fameuse caverne, quand bien même elles seraient numériques, en couleurs, avec audio et vidéo d’une qualité qui ne permettrait pas qu’on les différencient de la réalité perçue. Et voilà qu’on peut également se questionner sur ce qu’est la perception, qu’elle soit celle des individus ou d’une société. Le cartésianisme est un carcan.

https://blog.leclubdesjuristes.com/libertes-mesures-prises-pour-lutter-contre-propagation-covid-19-lindividualisme-subordonne-logique-sante/

https://blog.leclubdesjuristes.com/les-libertes-et-les-mesures-prises-pour-lutter-contre-la-propagation-du-covid-19-une-accoutumance-aux-regimes-dexception/

https://blog.leclubdesjuristes.com/les-libertes-et-les-mesures-prises-pour-lutter-contre-la-propagation-du-covid-19-sanctuariser-le-noyau-dur-des-libertes/

 

La guillotine

lundi, mai 10th, 2021

Ce qui me pousse à désirer la guillotine pour tous les gouvernants, dirigeants et dominants.
On pourrait dire un juste retour naturel du mal infligé aux populations mondiales, car en effet, le sentiment est probablement mondial.
Le capitalisme associé à l’hubris de l’humanité, mais qui ne précipite que pour une infime partie de celle-ci, mène au désastre que l’on connaît.

L’apparition d’un virus covida est le catalyseur de cette chimie.

Les éléments, les ingrédients étaient prêts, ils se sont précipités et ont précipité dans une alchimie diabolique. Comme tous ceux qui ont conscience et dénoncent les perversions humaines, à l’échelle mondiale, planétaire, chacun peut se rendre compte que l’argent et la domination totale qu’il permet, en est le principal détonateur.
Si l’on revient sur la situation de la France, un pays extrêmement riche, dont certains citoyens sont parmi les plus fortunés milliardaires du globe, possédant l’arme totale, nucléaire, une terre fertile et permettant facilement l’autarcie, il est frappant de s’apercevoir que les politiques mises en place par les voraces de l’argent ne lui permettent pas de soigner une petite poussée de patients dans ses hôpitaux, en raison d’un système de santé défaillant.
Cette défaillance est due à la doctrine capitaliste dont le seul but est de faire peser sur la masse des faibles le faux bonheur de quelques ultra riches.

Entre 2020 et 2021, seules les vies de la population la moins fortunée sont passées de vie à trépas. Une année complète à n’être plus rien. Le désastre économique, social et psychologique et médical viendra par la suite.
Mais on ne rattrape pas une année de vie. Ces vies brisées, anéanties, sont le seul fait des dominants et des gouvernants.
Personne n’a voulu priver les autres, et surtout les enfants, des visages et des émotions. Personne n’a voulu s’enfermer pour des prétextes fallacieux, en lieu et place d’une raisonnable et rationnelle gestion d’une maladie somme toute très peu mortelle en regard de toutes les autres.
Et surtout, seuls les dominants et les gouvernants, par bêtise et fatuité, ont refusé les soins à ceux qui en avaient besoin: retrait de médicaments peu chers et les seuls efficaces pour tenter de soigner, dispositions amenant à l’affaiblissement des défenses immunitaires naturelles du corps et des esprits, distribution, dans une logique capitaliste, de l’argent nécessaire à la société (systèmes sociaux et médicaux) aux industries non indispensables (aviation).

Une gestion de la population telle un troupeau de l’ère biblique, avec des méthodes de tortionnaires, le confinement, et probablement l’extermination désirée.
Cela, c’est le président macron qui en est le seul responsable, pour la France, décidant seul avec les pleins pouvoirs d’un dictateur immature, s’appuyant sur un conseil nommé par lui, dirigeant par décrets autoritaires et sous état d’urgence, avec une cour d’idiots utiles et autoritaires autrement appelés ministres ou majorité parlementaire, et soutenu par ces mêmes milliardaires qui l’ont hissé au pouvoir dans un décor de carton-pâte.

On ne reviendra pas sur le temps perdu, il est passé, et la colère d’aujourd’hui ne sera que fortifiée par les suites sociales catastrophiques des années suivantes.
La vie, par son inarrêtable cheminement, possède intrinsèquement une résilience que l’on pourrait appelée automatique. A quel prix?
L’Humanité, son essence, sa nature, se laissera-t-elle posséder et détruire plutôt que de faire table rase des parasites qui prétendent la gouverner et la conduire à sa perte à leur profit?

L’assassinat des dominants serait un trauma terrible pour bien des âmes, mais faut-il renoncer à l’Humanité pour n’en sauver que quelques cuistres?
Guillotine.

Politique du troupeau

samedi, avril 10th, 2021

Le berger, assis sur la force de ses chiens de troupeau, va bientôt décréter que si l’on a la piqûre, on peut sortir brouter l’herbe verte, mais que si on ne l’a pas, on reste à l’étable, confiné. A tout jamais, car il y a autant de piqûres que de dangers.
On note que l’on ne sera toujours qu’autorisé à brouter l’herbe, à consommer et à travailler jusqu’à ce que ce corps finisse en gigot dans l’assiette d’un berger ou d’un de ses congénères.
Le berger établit les lois pour qu’elles le servent.
Le troupeau a un semblant de conscience et éprouve donc de la peur. Il sait qu’il va mourir, peu importe de quoi. Il sait que les vieux du troupeau meurent statistiquement plus vite et plus nombreux que le reste du troupeau plus jeune.
Mais si l’on insuffle la peur de mourir parmi tous les membres du troupeau, de façon réelle mais manipulée…
Alors on crée une nouvelle échelle de manipulation, une manipulation presque totale, basée sur la peur et sur les chiens de troupeau, afin de servir uniquement les bergers.
“… dans la vallée de la mort, etc.”

À George O.

Demain, c’est le printemps…

vendredi, mars 19th, 2021

Demain c’est le printemps… et plus personne ne le verra, pendant longtemps.

Après le confinement, quand ça ne marche pas, il y a l’extermination…
Curieusement, il sera plus aisé d’exterminer les quelques-uns, rupins et putards, que l’entièreté de la population.
Ce sera bien. Ce sera au couteau, manuel… @miky 😉

Nu de dos

mardi, mars 9th, 2021

Le président pervers

dimanche, février 28th, 2021

manu rotchild (“fils de pourriture”, signification symbolico-phonétique) macron est le président pervers, bien plus que le psychopathe donald trump.
C’est un enfant psycho-sexuellement traumatisé qui se prend pour un dieu. Rien que de normal en psychopathologie.
Mais il détient le pouvoir grâce à l’entregent (l’entre-jambe?) de sa marâtre.
Ce n’est qu’en cela qu’il existe bel et bien une “exception cultureuse” française… si dramatique.

Suburban poster

vendredi, février 26th, 2021

En me baladant dans les banlieues sombres et insalubres (of course), je suis tombé sur l’expression de la colère terrible qui sourd dans nos contrées.
J’en ai fait de mémoire une reproduction assez fidèle, bien que j’aie ôté les résidus de déjections projetées contre les photos qui l’accompagnaient.
Les conséquences des restrictions totales des libertés des citoyens d’aller et venir  et de rencontrer qui ils veulent n’apparaissent encore que très peu au jour en cette fin de février 2021.
Cependant…

Connaître la réalité covida

samedi, février 20th, 2021

Pour connaître la réalité au sens large, il faut d’abord connaître SA réalité à soi. C’est douloureux, long et très difficile.
Ensuite on peut espérer approcher, sans jamais l’atteindre, la vérité.

Plandemic.
https://plandemicvideo.com/

Fouché (anesthésiste réanimateur), Pavan (mathématicien enseignant chercheur), Carré (anesthésiste) <- ceux à voir, les trois premiers entretiens intégraux sans mise en scène (2h30).

NEW HOLD-UP+ LE BONUS
https://www.youtube.com/watch?v=ujWehztwa88

Aphorisme

jeudi, février 18th, 2021

M’est venu cet aphorisme: L’amour ne coûte rien et pourtant il vaut plus que tout.
Je n’ai pas cherché à savoir s’il existe déjà car je m’en moque; il importe que je l’ai pensé.
Il résume convenablement à mon avis ce que ce brave Coluche disait de Freud et de la théorie psychanalytique: “a que y’a le cul a que y’a le fric”, dans une proposition erronée.
En effet, s’il y a bien le fric (et de nos jours, c’est exponentiellement criant) le cul est un raccourci peu à propos pour ce qui aurait dû être appelé l’amour, l’affection, la sensibilité, l’affect, la bienveillance, l’empathie, la sympathie. Bref, un “tas” de sentiments dont le “cul”, réalisation physique dans la sexualité génitale adulte de l’être humain, est un point de détail.

Alors, de cet aphorisme, que signifie-t-il? Car c’est un peu fourre-tout.
Et bien il met en relation d’opposition l’argent et les biens matériels, nécessaires mais vains, avec ce qui fait l’humanité, l’amour, pris dans son sens le plus générique qui soit.
Evidemment, on sait que l’humanité est également dotée de la possibilité de la plus grande perversion. Ainsi, ces deux objets sont souvent confondus, mélangés, embrouillés afin de créer un moyen de domination.
Quelles en sont les causes? Multiples et variées, dirais-je, mais toutes proviennent de l’élaboration de chaque être humain par son éducation et la vie qu’il a eu pendant son développement infantile, de sa procréation à… quelquefois à tout jamais, hélas.
Il y a pourtant des échappatoires, telles les névroses de vie, qui permettent, à moindre coût, selon une stratégie psychique d’économie, de survivre en regardant les trains passer. Celle-ci est la moins pire et la plus facile.
D’autres stratégies emploient la perversion et s’appuient sur les faiblesses des premières, elles s’en nourrissent et ne se préoccupent pas de savoir qu’elles meurent bien vite faute de courage. Il y a tant, peu importe donc.
Et il y a… autre chose.

manu macron ou la casse sociétale

mardi, février 16th, 2021

Il a pris la France pour la mettre à genoux, telle une vieille femme de sa connaissance, qu’il a même épousée.
Cependant, la République est figurée sous les traits d’une femme jeune et éprise de liberté, pas comme sa vieille rombière, malade mentale, qui ne pense qu’à changer pour des millions les tapisseries et la vaisselle d’un logis qu’elle ne mérite pas, afin d’y laisser une trace de son odeur pestilentielle.
C’est la mort déguisée qui rôde sur l’innocence de la jeunesse qu’elle détourne et avilit afin de compenser ses défaillances primordiales.
Quant à son pantin, il décharge son incapacité à gouverner sur la population, tantôt imitant les autres, tantôt prétendant être au devant des initiatives.
Il affaiblit, pense-t-il, la volonté de puissance (qu’il n’a pas, outre ses manigances et ses manières détournées) d’un peuple, de concert avec ses pairs par un hasard malheureux aussi débiles que lui.
On en est là.
Les intellectuels sont dépassés par l’ampleur de l’escroquerie, car ils sont déjà vieux et à l’abri du besoin.
La terreur instaurée par les dominants du monde entier sur les populations, en ce début de seconde décennie du XXIe siècle, est inédite.
Son ampleur est planétaire.
Le prix à payer pour ceux qui l’ont instaurée sera celui du sang.

Traumatologie du fascisme français à partir de 2020

dimanche, janvier 10th, 2021

Similitude des traumas entre violence sexuelle et privation de libertés essentielles à l’humanité.

La domination qui s’exerce sur la majeure partie de l’humanité par des faits de couvre-feu, d’incarcération domiciliaire, de contrôles miliciens et policiers, de restrictions diverses et multiples concernant les arts, le sport, la vie en général à l’exception de l’alimentation, est une folie menant, plus elle dure, à la plus sûre réussite des dominants sur les populassières.
En France, par exemple, les dominants petits comme les ministres vivent sur les deniers de la population, sans rien produire sinon des ordres d’obédience orgasmique, avec 30 000 euros par mois en moyenne, alors que la moitié de la population active vit avec environ 1200 euros mensuels, le smic.
Si l’on se rapporte à la philosophie psychanalytique d’Alice Miller, la pédagogie noire, qu’elle dénonçait dans l’éducation des enfants, est aujourd’hui mise en pratique à une échelle mondiale sur l’entièreté des populations.
Injonctions paradoxales infinies, culpabilisation de chaque individu (coupable d’être potentiellement porteur de la mort pour autrui) sont les ressorts politiques, et uniquement politiques, de la domination de la bourgeoisie capitaliste issue de la révolution française, en ce qui concerne la France.
Non seulement la population n’y voit que du feu, dans sa grande majorité, prise par la peur de mourir ou par le sentiment fallacieux d’être ainsi protégée de la mort, mais elle s’écharpe entre elle à ces sujets.
Il n’y a rien d’autre qui soit plus plaisant aux dominants qui peuvent ainsi, au prétexte infondé d’un virus finalement absolument peu grave en regard de la peste ou d’ébola, jouir orgasmiquement de leur toute-puissance sur des foules immenses.
Dire ce qu’un être peut faire, quand il peut ou doit le faire, jouer de lui comme d’une bête, d’un animal, ainsi que ces dominants le font avec les enfants, sexuellement, est une jouissance perverse incommensurable.
En France, brigitte trogneux, l’épouse du président de la république, est de ceux-ci. Elle jouit follement, dans son hyménée (hymen né?) déjà vieilli et ménopausé, de ce qu’elle a dû apprendre dans sa famille de bourgeois richissimes: pour parvenir à faire ce que les hommes font, joue de ton vagin. Elle a mis en action, au mépris des règles de l’humanité, sa séduction au profit de son envie de pouvoir et de pénis: quoi de plus facile que de séduire un jeune garçon de 15 ans, alors qu’elle a autorité sur lui en tant que professeur?
Laissons là ces besognes sexuelles de bourgeoise de province qui ont pour le moins fort bien réussies.

Ceux qui aiment s’appeler eux-mêmes “la classe” politique, émargeant à plusieurs dizaines de milliers d’euros mensuels -le détail a son importance- se vautrent dans une sexualité perverse et ce ne sont pas seulement quelques brebis galeuses. Alors qu’ils sont adultes et responsables de leurs actes, en plus d’attributions qui mettent en jeu la vie de millions de leurs concitoyens, ils font fi de la plus simple morale. Il est vrai que la morale n’est pas judiciarisée, comme cela est arrangeant quand on a déjà tous les autres moyens à disposition.

Un ponte de sciences politiques, olivier duhamel, école de putards, aimait se faire sucer le chibre par son propre beau-fils âgé de 13 ans. Que voilà une belle initiative de dominant. Deux femmes autour de lui en sont mortes pour préserver le secret de monsieur et la bourgeoisie de pouvoir parisienne.
Il s’agit donc ici d’histoires de familles de la grande bourgeoisie (si on peut encore l’appeler ainsi). Un des fils Kouchner, Antoine, aujourd’hui professeur à l’Université Diderot à Paris, a été victime de la pédocriminalité de son beau-père duhamel, politologue (on a presque envie de rire si ce n’était désespérément tragique) à l’école de sciences politiques qui forment journaleux et putards de fransse…
Lui, Antoine, ne dit rien, c’est sa sœur jumelle qui livre un secret, connu depuis des dizaines d’années et qui a probablement coûté la vie à deux femmes, d’une manière ou d’une autre, un secret honteux pour le perpétrateur qu’est olivier duhamel.
Bien sûr, l’argent qui coulait et coule toujours à flot constant dans ces milieux a opportunément masqué l’ignominie de cet homme par ailleurs respecté bien qu’irrespectable en permettant à chaque protagoniste de tirer partie de la fortune de ceux qu’il faut bien appeler des nantis, pour le meilleur (les criminels) et pour le pire (les victimes).
Ainsi vont les perversions des dominants, qui s’abattent sur les plus faibles, leur propre progéniture étant une cible privilégiée.

Aparté: d’où parlé-je? Je parle depuis la chambre placard interdisant toute sortie d’aisance et obligeant au spectacle au moins auditif d’une génitalité d’adultes, parentale, à un enfant entre ses 3 ans et ses 16 ans. Voilà d’où je parle. Au moins.
Ceux qui en sont affligés ou apeurés s’échappent vite; ils ne comprennent pas, inconsciemment, l’absence chez moi de ‘neurones miroirs’ dont eux sont pourvus puisqu’ils n’ont pas eu à subir une torture psychique handicapante au plus haut point. Certains ont développé une intelligence qu’on dirait mathématique ou scientifique, rien de bien extraordinaire sinon que leur énergie peut être canalisée vers ces matières, puisqu’elle n’est pas occupée à combattre ce qu’ils ne connaissent pas. La plupart n’ont que peu d’intelligence, disons qu’elle est moyenne et suffisante pour se sustenter. Rares sont ceux qui peuvent comprendre et sympathiser. L’empathie est inutile voire contre-productive pour tous les protagonistes.

Violence nécessaire…

lundi, décembre 7th, 2020

Pierre-Henri Castel – Le mal qui vient : essai hâtif sur la fin des temps

-https://www.youtube.com/watch?v=-OuzBtTyebo

 

 

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mercredi, novembre 25th, 2020

In Johann Chapoutot, Libres d’obéir, 2020 ed. Gallimard. ISBN 978-2-07-278924-3