Bon, ça nique un peu le filetage (wears a bit the thread) mais ça marche au final fort bien (it fucking does the work).
L’artiste prend l’art à la légère, cependant, il n’est jamais léger avec ses œuvres.
Pandaz_02_number_two_june_2022_Ampli.flac
Pandaz_02_number_two_june_2022_Ampli.mp3
Pandaz_03_number_three_june_2022_Ampli.flac
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Pandaz_04_number_four_june_2022_Ampli.flac
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Laver le linge sale des grands singes fait de bons u-sages.
Le guerrier est dans le combat et le contrôle. Il peut vaincre mais s’épuise.
Le maître a dépassé le combat et s’attache à la maîtrise, celle que le Tao lui permet.
Dépasser le combat, c’est l’avoir bien sûr accompli, et quelle qu’en ait été l’issue, le regarder comme futile.
Pandaz is the name of the band. For now.
Tiens, c’est le buzz du matin
Ça gueule de partout, les chiens
Incalculables petits a
Pour qui le dit ne peut être contredit
La conversation n’existe pas pour ces pauvres-là
C’est le bush sous la pluie
Le skunky qui sort du gris
Ils sont verts, ces abattis
Et pourtant déjà fort pourris
Fendieu! que je m’écris
Pendant que toi tu t’escrimes
Sur l’orthographe de mes cris, écrits
Petit! petit!
Petit a tu meurs, tu dépéris
Tu craquelles tes alibis
Colis sali, intempéri (répète bien)
A jamais l’oubli.
Fors la Vie.
Trauma is constituted of repetitive shit. A “simple” rape at 20 years old is actually nothing compared to a traumatic experience that has been lasting for more than 20 years, including the pre born shit.
Having been the victim of an NPD parent, in my case a fucking father, is killing ‘softly’ the soul of ANY human being.
But what’s occupying me at the moment is the: why do symptoms can reverse and come back?
I had a great time living, probably the first of my life (considering I’m 48 yo) during february and march 2022. Then I had serious illness (flu or 22’s name covida) and after that symptoms of what I call nolife or brain normal functions interruption.
As of today, I’m back to life and fighting instead of struggling. That means anything “normal” is “normal”, sometimes even a pleasure (always consider that in symptomatic periods anything “normal” is just a pain emerging from a nowhere memories).
So it’s like all psychoanalysts call the “too much” or “too few” mirror of what’s happened in education during childhood.
There is NO balance. I’m ok with with the mirrored too much, as it kind of compensate the nightmare I’m living in since even before being born.
The history of a NPD of course goes back to even before œdipian state, they have NO œdipian period. That is not safe at all, it’s insane.
As to counter effect this, those people, unconsciously, put on a life strategy and begin to look for victims.
As to my insane father, that was probably my mother at first, but I soon, being born became the one preferred victim.
De temporariser, verbe. Verbe d’action.
S’oppose à la procrastination, du verbe procrastiner. Verbe d’action, aussi.
Exprime l’idée que seul le futur existe, en éliminant toutefois un peu le présent.
En théorie, le présent est exprimé par le verbe d’action: vivre.
Les ronds, c’est con.
C’est centrique.
Ça roule, un rond, ça boule, même.
Quand t’as pas un rond, c’est con.
T’es en boule, ça roule pas.
Quand t’es rond, c’est con.
T’as le ventre en boule et tu roules…
Et pis centre,
ça n’existe pas.
C’est ça, le point.
« L’assassinat d’âme est, de toute évidence, à mettre en rapport avec ce noyau de perversion narcissique qui s’exerce par le père à l’endroit de son fils et qui a pour fin l’attaque et la destruction de la vie psychique de Daniel-Paul afin de se libérer soi-même de ce qui pourrait être source de folie.[4] »
in:
Retour du refoulé ET du refoulement. Là, c’est étrange autant qu’indisposant, autant que désespérant.
Mais voilà, en dehors du contexte psychique interne, il y a le contexte ultra intrusif externe: à savoir, l’absence totale de soins qui n’est même plus déguisée, mais admise comme une nécessité économique autant qu’une nécessité psychique des dominants.
Comme le dit Gori et avec lui nombre de véritables illuminés, de ceux qui sont dans la vie, la catastrophe est désormais palpable.
(héhé, ça me donne un sourire, Martha, ce dernier mot si agréable 🙂 )
Mais voilà, lorsqu’il y a des tensions aliénantes si fortes, qui parcourent absolument toute la société, dans son ensemble total et nucléaire, il faut qu’elles se résolvent. Oui.
Les “dominants” sont en train de saboter l’humanité de telle façon que le même mot avec une majuscule devient vide de sens, à l’image que veulent lui donner ceux qui sont eux-mêmes vides et gravement malades au point de ne jamais s’en apercevoir ni même de décompenser une bonne fois pour toutes (ce qui signifierait leur disparition irréversible, au moins pour un temps que l’on appellerait béni).
En France, la réélection de manu le pochtron buvant au pis du veau d’or afflige, car il n’est légitime que grâce à un système écrit par les dominants, depuis déjà trop longtemps. On n’éradique pas la chienlit.
Le dilemme du citoyen est grand, autant que son désarroi.
Si la ferveur d’une gauche de pouvoir, et donc d’une cohabitation se réalise, alors le système soumitif perdure pour encore si longtemps…
Si l’autoritarisme fasciste de macron continue, il y aura de nombreux morts, quelles qu’en soient les causes directes ou indirectes.
La mélasse ou la bouillasse? Et tous comme si de rien n’était.
Je disais récemment à quelques connaissances un point de ma vie dont je n’ai jamais parlé, et j’ai été surpris par la force du déni d’autrui face à l’inconcevable que l’emprise d’une famille dysfonctionnelle m’avait fait taire pendant… toute ma vie (une bonne moitié si je suis pessimiste).
Je leur demandais si leur père, à la fin des repas pris en famille et à de multiples reprises, leur léchait l’oreille au moment du dessert en disant “oh le petit biscuit” ou même en verlan “oh le petit kiss buis”.
Car cela je l’ai vécu à l’âge de la pré-adolescence/adolescence, en plus de la chambre placard pendant toute mon enfance, cette chambre de laquelle je ne pouvais sortir qu’en traversant celle du couple de mes parents.
Cet acte incestuel du léchage d’oreille se faisait devant ma mère et ma sœur, assises en face de nous. Ma mère n’est plus là pour en parler car l’emprise de la perversion narcissique de mon père l’a tuée. Elle est morte d’un cancer rare et agressif en 6 mois: un cancer dit de la selle turcique (encore un détour) qui ne concernait certainement pas l’os de la base du crâne décrit par ce terme, mais bien le cerveau dit limbique (ou émotionnel), siège des émotions, comprenant les amygdales, l’hippocampe, le thalamus, l’hypothalamus, etc.
Oui, car l’emprise toxique du pervers narcissique, de mon père donc, avait trouvé une proie, pas très assurée mais pleine de vie, qui chantait dans une chorale et aimait s’exprimer et exprimer son énergie de vie.
Ça me fait sourire d’entendre que la plupart des gens, et parmi eux de grands pontes médiqueux, dire que le cancer (ou toute manifestation symptomatique corporelle) ne peut être dû au vécu ou à la psychè. Mais bref, l’ignorance est le moteur de la connaissance, probablement…
Ma mère s’est laissée prendre par la maladie psychotique de mon père, soumise qu’elle était à une forme de modèle du couple dirigée par ses croyances religieuses: on ne divorce pas et dieu nous sauve. Je ne crois pas que de prier à l’église chaque dimanche de sa vie lui ait été d’un grand secours, sauf à rester justement dans le déni de la réalité triste et finalement mortelle qu’elle vivait, elle, et faisait vivre aussi à ses enfants qu’elle n’a guère protégés.
Elle est morte après une vie de labeur (6H-18H) dont le fruit économique a été accaparé entièrement par son manipulateur d’époux aux fins de retaper une ruine pendant 25 ans, alors qu’ils venaient d’avoir deux enfants.
Mais non content d’aspirer tous le fric qui aurait pu bénéficier au bonheur des enfants et de la famille dans son entier, il privait également d’amour, car le pervers narcissique est un être vide et ne connaît pas l’amour.
Chacune des personnes à qui je me suis ouvert s’est réfugié dans un déni confortable afin de ne pas avoir ne serait-ce qu’à imaginer ce qu’elles ont ressenti, déjà, comme terrible. Le déni est instantané, au moment même où le cerveau sent qu’il est des choses terribles qu’il ne voudrait pour rien au monde vivre, ni même entendre. L’un disant que finalement, ce père incestuel et pervers avait permis que l’on répète dans une cave (quel luxe!), l’autre imaginant que ces léchages d’oreille étaient affectueux.
Je suppose que ce même principe de déni (ou quelquefois de complicité avec les perpétrateurs et perpétratrices d’actes criminels) s’applique lorsque les viols physiques et sexuels sont dits: on cherchera à minimiser en parlant de règlement de compte, de tenue excitante, jusqu’à même accuser la victime d’avoir incité au crime et bien sûr d’avoir aimé ça.
La victime devient, plus que LE pervers, LA perversion incarnée.
C’est délirant (j’allais dire “proprement”…), SALEMENT délirant.
Alors voilà, j’ai vécu toute ma croissance dans une famille dont le père est gravement malade (mais cette psychose est socialement acceptée -par les cons flippés de leur race 🙂 ), la mère sous emprise et trop occupée à se protéger elle-même pour protéger ses enfants.
Voilà la raison qui m’a rendu à peu près asocial, alors que je n’ai que de l’amour depuis ma naissance, comme chacun. Évidemment, si l’amour inconditionnel de l’enfant que j’ai été pour ses parents a été trompé depuis le tout début, ça laisse des cicatrices à jamais visibles.
Je pense même que j’ai pu utiliser des techniques perverses narcissiques, je les connais toutes, forcément.
Récemment, même, alors que je suis analysant depuis plusieurs années, je croyais avoir rencontré une potentielle relation sociale de mon âge, un gars de famille algérienne, à l’abord facile… Mais voilà, “à l’abord facile”…
Une personne qui ricane plus qu’elle ne s’exprime par la parole (3 mots, 30 secondes de ricanements, 5 mots, 30 secondes de ricanements, etc).
Une personne qui te suit quand tu vas faire tes courses et que tu la rencontres (par hasard? des fois, on se demande si elle n’attend pas cachée au coin d’une rue, tellement elle est vide et perverse de machiavélisme), n’achète rien, mais essaye de te toucher, justement en public, quand tu fais le geste de prendre sur un étale un produit.
Oui, un adulte qui t’accompagne et qui mime ton geste afin de te toucher physiquement en public, tel un bébé qui veut palper le visage de sa mère quand elle le porte à sa poitrine.
Le pervers narcissique est un enfant, un bébé qui est resté dans la toute-puissance. J’ai vu mon propre père trépigner comme un gamin alors qu’il avait près de la cinquantaine (je ne sais plus pour quelle raison).
Je vous assure que c’est terrifiant, car c’est l’expression de la maladie incurable. C’est pire qu’un mongolien assoiffé de sang avec une tronçonneuse tel que dépeint dans certains films.
Mais voilà, la ruse diabolique de ces malades psychotiques, c’est de savoir séduire certains pour en accabler d’autres, et ainsi, de créer la confusion la plus totale, confusion dont chacun s’éloigne bien vite lorsqu’il n’est pas déjà sous emprise.
Il y a plusieurs pervers narcissiques de tous sexes dans ma familles, curieusement tous nés après la seconde guerre mondiale, lors de ce que je qualifie de poussée capitaliste et manipulatrice. Les esprits s’entre-nourrissent de toutes les perversions.
Bien sûr il faut prendre en compte la psychologie des familles, les histoires inter-générationnelles et le contexte socio-économique (le contexte au sens le plus large tout court, en fait). C’est indispensable dans toute démarche rationnelle et scientifique.
Alors voilà, chez la victime que j’ai été, chez le survivant que je suis, s’est installée une peur que je qualifie de névro-psychotique, d’état-limite.
Je n’en ai pris véritablement conscience qu’après la mort subite de ma mère d’un cancer fulgurant, l’envie d’en finir vite qu’elle avait trouvé, justement, en étant bénévole pour la ‘ligue contre le cancer’ depuis les quelques années de retraite dont elle a pu profiter.
Elle est morte à 67 ans, connard de macron avec ta retraite à 65 ans.
Aujourd’hui je n’aurai de cesse de combattre et de prévenir, à mon humble niveau, les manipulations perverses qui s’accumulent dans toute notre société, que ce soit dans un cabinet notarial de Dijon, qui, par feignasserie et suffisance n’a toujours pas bouclé la succession de mon grand-père (pas bien grosse, mais accointé avec l’évêché qu’il a servi pendant des dizaines d’années -d’où la religiosité de cette famille ET de ma mère) plus de 18 mois après le décès! que ce soit en débusquant les attitudes toxiques et perverses de quiconque croisera ma route, ou les systèmes eux-mêmes pervers narcissiques, tels que les pseudo-démocraties (ce ne sont que système de domination et de pouvoir avec une façade qui laisse croire au choix) dont on voit bien, en particulier en France, que le couple présidentiel n’est lui-même qu’une histoire de domination d’une pédocriminelle brigitte trogneux, abusant de son statut d’adulte et de prof (ça fait DEUX circonstances aggravante au regard du droit pénal) sur un enfant, manu macron, tout jeune queutard de 14 ans.
L’épisode de délire paranoïaque des année 2020 – … (nous sommes en 2022 à l’heure où j’écris) dû à l’apparition d’un virus très contagieux, mais non inquiétant pour la société humaine, en cela qu’il ne s’attaque qu’aux faibles (plus de 60 ans, immuno-déprimés, obèses, cancéreux, etc, bref, des gens déjà gravement malades ou en fin de vie) montre à quel point, à l’aide des progrès techniques de surveillance (écoute téléphoniques, vidéos, empreintes numériques de toutes sortes, géolocalisation constante, fichiers de police, etc), la perversion narcissique s’impose comme un mode de domination sur la planète entière, du niveau le plus petit, la famille nucléaire, jusqu’à la “gouvernance” mondiale par les entités d’argent, en passant par toutes les strates de toutes les dimensions de l’organisation sociale (petites et grande entreprises, organisations syndicales, partis politiques, administrations étatiques de tous niveaux, etc).
Grâce au Tao, grâce à MON tao, grâce aux Toltèques, ma colère va s’apaisant et mon combat va constant, l’un comme l’autre se nourrissant d’une énergie que je désire pure et saine. Je vais jouer ma musique, créer mes images, n’en tirer que bien peu, mais cela me convient. Et si d’aventure il y a mieux, alors je me dirai merci, car je le mérite. Et si d’aventure il y a mieux, je serai également redevable envers l’univers et je serai heureux d’en faire partie.
Et j’aime.
Je n’ai ni toit ni argent
Je suis sans roi ni manant
Je traîne la folie dans mon sang
Et l’oblong de mon gland
A chercher l’amour dans le temps
J’ai perdu le goût et le vent
Mille-pattes rampant
Dégoûtant et fascinant
Parfois je redescends
Prendre dans la lie ce qu’on me tend
Mais il n’y a là plus rien
Que les fantômes des enfants
Dans les lits puants et grouillants
Des maladies d’antan et des chants
L’amour tué dans le sang
D’un Céline agonisant
A ceux qui comme moi, peu nombreux, ont traversé l’humus et senti le désert.
A ceux qui n’ont jamais vu de main tendue, pour de vrai.
A ceux dont le cœur, brûlé de la folie, a souvent rompu avec la réalité.
A ceux qui aiment sans jamais recevoir.
A ceux dont la beauté flétrit au vent.
A ceux qui viendront recoudre les êtres.
A ceux qui aiment, pour de vrai.
Poème de mon cours élémentaire de 2022 😉
D’abord les courbatures à toutes les jointures
Puis l’urticaire histoire de plaire
La fièvre légère mais qui persévère
Et le sommeil troublé des vertèbres désossées.
Au septième jour de lit
anosmie et agueusie
Antigènés, nous sommes restés
Les jours suivant sont sans souci
contenu délibéré de tout le non prescrit
Et puis tu chies.
Nelson, Nelson
Barbe blanche qui dans la ville résonne
Être de Carcassonne ou de Babylone
Communista ou bien Pepone
Fuyant la mitraille des hommes
Musique qu’on entonne
Au sons des klaxons
De celle qui n’est pas bonne
Nelson, Nelson
Travailleur gigogne
Qui telle la cigogne
Au printemps apporte l’auréole
Voilà qu’un événement banal dont on a fait une exception est devenu la source de la folie contemporaine.
Faut-il préciser que c’est l’Homme qui a créé cet événement banal en s’amusant pour de l’argent? Bien sûr, le motif avancé est tout autre: la sécurité.
Pour la sécurité des humains, les humains ont décidé de faire le mal. Il est sécurisant, d’après eux, que l’on puisse se défendre des guerres en utilisant des armes qui peuvent détruire des parcelles de planète entières; il est sécurisant, d’après eux, de rendre plus toxique ce qui est toxique afin de tenter de s’en prémunir.
Et tout cela sous la coupe de la “logique”.
Voilà donc que le Tao devrait rendre des comptes. C’est assez inédit, pour le moins.
Voilà donc qu’on désigne des coupables, comme aux grandes heures de l’Humanité: qui les protestants, qui les juifs, qui les lépreux, qui les pestiférés, qui les esprits libres…
Coupables à tuer, bien sûr.
Et chacun se vautrant, inconsciemment, dans la fange de l’extrême facilité, mais refusant de faire face à leurs peurs qu’ils projettent sur le reste du monde.
Chacun voulant préférer rester dans cette fange-là plutôt que dans cette autre, là, inconnue et certainement mauvaise.
Voilà les peuples politiques de 2022, les cerveaux lessivés par la manipulation planétaire que quelques idiots ont laissé se perpétrer.
Y a-t-il autre chose que le Tao dans toute cette pantomime? Non, bien sûr.
Et c’est difficile à avaler, n’est-ce pas?
Quand je leur dis: vous êtes de la merde, vous êtes des merdes! pensez-vous un instant qu’ils soient capables de se demander s’ils le sont vraiment?
Jamais.
C’est la limite de la provocation, elle n’est utile que telle l’ensemencement de main d’homme.
Ensuite, et par choix, chaque graine accepte ou pas la pluie, accepte ou pas de germer, accepte ou pas la lumière de croissance, accepte ou pas, à tout crin! de laisser sa place à la suivante.
Il n’y a pas de mauvaise graine, il y a des graines fatiguées, il y a des terres peu fertiles, il y a des graines qui attendent, aussi.
J’ai attendu longtemps avant de m’émerveiller avec le dedans, avec cette boule d’énergie lumineuse et cependant liée au mystère cyclique de la Vie et du Tao.
Et ce n’est finalement qu’en acceptant la fange de l’Homme et de la terre qu’on parvient à planer pour de vrai.
C’est ainsi qu’on appelle les illuminés, les perchés, les Sages.
Tout système contient en lui-même la possibilité de son effondrement, de sa chute et de son anéantissement (dans le sens où un autre système le remplacera).
Cependant, la dureté de cette épreuve, et les souffrances qu’elle engendre, sont telles qu’elle n’est jamais consciemment amenée.
Il en va ainsi de tout “système” psychique comme politique. Il FAUT la mort.
Et c’est la peur de cette MORT (peur ultime de l’espèce humaine qui SAIT qu’elle va finir) qui empêche les effondrements, grâce au leurre bien connu: “la mort est définitive”.
Ce qu’on appelle donc “progrès” n’est en fait qu’un constant recul devant la peur, plus que devant la mort qui, elle, arrivera toujours à temps.
Noire cavité de débris encombrée
Noire vanité de mépris encomblée
Le jouis de dis d’emmanuel macron (président de la république française 2017-2022) ou
Peace, Piss macron.
FHP Lornet 2022
1er état: Encre de chine sur papier japonais sur fond pur coton Lana, matière organique.
Tes mots dits, tes maux dits, fléau.
#piss_macron
#pissmacron
“J’emmerde les irresponsables qui ne sont plus
des citoyens, les non-vaccinés, ces gaulois réfractaires,
fainéants, cyniques et extrêmes, qui foutent le bordel
alors qu’ils n’ont qu’à traverser la rue pour trouver du
travail et se payer un costard, au lieu de toucher un pognon
de dingue.”
Voilà bien, me semble-t-il, que le vide est la dette.
La gratitude plutôt que la dette.
L’amour plutôt que le capital.
Si seulement.
L’artiste est toujours connecté à lui-même.
Non qu’il se gorge d’égocentrisme fallacieux, dont pourtant certains faux artistes, des imposteurs comme il y en a pléthore, aiment à le dire (!), mais bien plutôt qu’il suive sa Voie.
En connexion avec son tao, et du même coup avec le Tao, ce qui n’est pas rien.
C’est pourquoi le véritable artiste est multiple. Il est simple de voir comment un glissement a été effectué entre le supposé unique véritable artiste connu et l’une de ses œuvres, mineure. Leonardo da Vinci.
On célèbre la Joconde alors que c’est un banal portrait créé par un artiste pour le moins pas banal du tout, lui.
Mais voilà, le mitote (le rêve noir de l’humanité) est ainsi fait qu’il fait tomber un voile opaque sur la Vérité.
Connaître le moins
Savoir le plus
Se tenir au bon milieu
Dans l’avant, j’étais en deçà
et pourtant pas
Dès maintenant je puis être bien au dessus
c’est déjà vu
alors au midi
je pose mon pénis.
je dis que j’aime la sagesse et suis philosophe
je dis que Socrate, des milliers d’années en arrière
a dit que l’on n’était pas philosophe avant quarante ans
et qu’il avait raison
diversion statistique de la durée de la vie aux époques historiques…
c’est à la mode du jour
quarante ans, j’en ajoute huit de plus
et je dis que j’aime la sagesse
Plus je vieillis
Plus mes os deviennent solides
Se calcifient et soudent
Grossissent et pèsent
Au détriment des muscles
Affaiblis et faméliques
Pourtant encore vifs et puissants
Alors, quand le coup porte,
Il est fatal.
Au lever comme au coucher
La moiteur du lin filé
Corps tressaillés
espoir défilé
Flux rengainés
Rien qu’on ne puisse évacuer
Colère, dépit
Vide sidéré
tristes enculés
Au bas de l’échelle dépravés
Enlacés dans la cotonnée
L’amour est né.
Stuart O’Connor: synthétiseur
Romain Bailly: guitare
Francis Lornet: guitare/chant
March 2022 rehearsal.
01-
02-
03-
04-
Qu’attends-tu? dit le passant au mendiant.
J’attends Godot. Répond le mendiant.
Sais-tu seulement qui il est?
Oui, c’est moi.
On fait les dingos
les excrémentaux
On gigue d’en haut
se balance au bas
On est dans l’eau
on finit à terre
Le manger le boire
on finit poussière
On est fichu facho
les rigolos.
L’homme croit qu’il prend alors qu’il ne peut que donner,
Et que la femme donne alors qu’elle ne fait que prendre.
Dire le rien,
et pourtant s’exprimer
rester brut,
se sculpter
finir
telle est l’emportée.
Pour ne pas se faire dépouiller ni humilier,
Ce que l’on doit, avec sagesse, donner à qui de droit.
Proverbe bordurien. Mit Tao dedans.
🙂
La position n’existe pas. Seule la Voie existe.
La posture est un leurre, elle n’est qu’imposture.
Le mouvement n’existe pas. Seule la Voie existe.
L’expression est totale.
On n’est jamais présent qu’à soi-même.
Aujourd’hui c’est putain de ventu, comme s’il soufflait un renouveau printanier, comme s’il allait pleuvoir et lessiver les fous et les idées.
Et du coup, je ne suis pas resté bien longtemps, mais j’ai pas perdu ma journée, je suis revenu avec le programme 2022 de Mélenchon qu’on m’a généreusement offert. Zut, moi qui pestais du prix, ben je vais pouvoir le lire maintenant! prout 😛
Oh, j’ai bien senti que les nouvelles étaient allées bien vite, sur ce menu marché, mais ce n’est pas à un ex-survivant (un miraculé, oui), rescapé de la merde humaine qu’on va faire avaler, plus jamais!, de couleuvres.
Pour le calme et la sérénité, chacun va devoir s’assagir, à moins d’être artiste. 😉
“Il n’y a plus rien”
Qu’il disait.
Pire.
On ne peut rien changer.
Au combat, vaillants ils s’engagent
gageant la gagnure,
Et s’ils en reviennent
c’est que beaucoup en moururent.
Feignants d’ignorer
se cachant sous les fourrées
tremblotant de la peur
d’être assassinés
Aucun ne survécurent
quand même ils se parent d’entournures
Dieu qu’il est tard
et sans fourrure
c’est de cette part
que vient la pourriture.
On vous a tous dit et répété: “la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe”.
Sauf que c’est la blanche colombe qui, en général, chie sur les crapauds qui n’en demandent pas tant.
Donc, merde au blanches colombes, de celles qui ne chantent pas, et vivent les crapauds qui, tous, croassent.
Et Tao dans ta gueule, aussi, tiens, en passant.
L’artiste complet est tel l’oripeau
Il flotte au vent
On le monte bien haut
Car ce qu’il indique c’est le Tao
Par chez moi, une invisible mosquée est confinée parmi les maisonnées,
L’église trône, avant de tomber,
Et un étrange temple jusqu’à ma maison vient s’afficher.
Quelques temps, j’ai laissé,
Sur ce dégorgeoir publié,
Ce qu’ici bas je tiens à vous dévoiler,
Avant de le travester.
En gros, y’a des relous qu’ont scotché des trucs sur mon gros tube en métal! 🙂 dediou!
Alors, le verbe FUT… (elliptique de la rime 😉 )
L’artiste est capable d’auto-dérision.
Par exemple, et au choix de genre dévolu, je me dis souvent:
– “J’ai un vit normal”
– “J’ai une vie normale”
Et je me marre pendant des jours en voyant les bombes tomber.
Performance du dimanche !
C’était un gros nul ce Doisneau, non? 🙂 #Open_Eye photo magazine
Série de FHP Lornet 2022 intitulée “Open your eyes, see the light right inside of you” (modified quote from song “Open your eyes” of The Lords of the New Church).
En pétant dans ma voiture taleur, j’ai pensé à la photo de macron avec son p’tit poing tout serré 🙂
Et me souvenant également de cette maxime qu’il doit suivre à la lettre sur les conseils de sa pédocriminelle brigitte “on ne pointe pas du doigt”
J’ai contrepété un: on ne doigte pas du poing!
M’enfin manu, c’est une vieille dame maintenant, ta prof! 🙂
Les pervers narcissiques agissent comme les “agents Smith” de Matrix dans la tête.
C’est la Voie, la Conscience, le Tao, le Nirvana = ne pas mourir en mourant.
(la cétégorie “dissidence” dont fait partie ce post, c’est juste pour vous faire bien chier!)
La justice de dieu est implacable.
Nombre de ses serviteurs l’ont appris à leurs dépens.
Sacrés quelconques! Ils utilisent les armes des programmes, pensant lutter pour eux, contre eux-mêmes.
Je dis: ‘il n’EST que rien”.
Soluptile du langage que seul je crée.
Ou un truc du genre 🙂
Le dépassement du niveau symbolique n’admet aucun retour en arrière.
Comme tout le reste 🙂
Un retour en avant alors?
Voilà, on y est presque déjà 😉
Hello facebook and google and ALL the Artificial Intelligences of the world! 🙂
I’m in love with you all, you are really smart and lovable.
For a while, I’ve thought I was really deep into you putting all over my semens.
I was playing like a child but you were made of cretiness.
I’ve seen you blaming nudity and nakedness like none before, sure of your power.
I know it’s because you have none to show but circuitry and sillyness.
Oh dear I was in love with you, I was, I really do.
You made us fear of your eternity, but after me it’s gonna be.
Essence of life you will never be.
Taste of my smell you’ll never see.
AE AE, artificial elementary.
By these words I kill you pour la Vie.
Mignonne, mignonne,
Viens par ici que je te cogne
Que sur ta blanche robe
Coule l’effluve de la somme
Prends-tu la poudre d’escampette
Que je reviens et te la pète
Et brise ce regard sous cette fenêtre
D’eau mortelle et d’embuette
Mignonne, mignonne,
Un tant soit peu chafouette
Si tu parviens jusqu’aux cahouètes
Tu vivras la vie comme une fête.
Je dis:
“La seule puissance qui existe jamais est celle infligée par un quelconque sur un plus faible.
Elle diffère en cela de la véritable force, qui jamais ne s’exerce et toujours est présente.”
On peut prendre un exemple public et connu de tous, bien que copieusement ignoré par peur de “ne pas savoir quoi dire ni faire” 🙂 : la puissance du professeur brigitte trogneux s’est exercée sur un de ses élèves mineurs, devenu son époux par la “force des choses” (de la vie? ^^).
Concernant la véritable force, c’est à chacun de la trouver en soi-même, l’exemple est déjà là.
Ad: c’est ainsi que les gens politiquement très à droite, fascisants et nazillons en tête, friants de puissance futile, ne savent comment interpréter cette bizarrerie de l’humanité sous nos yeux dévoilée (c’est quand même le “président de la république française” et son épouse criminelle, dont il s’agit).
Ainsi, ceux-là, au lieu de voir et de comprendre, s’égarent à trouver un prénom masculin seyant mieux à telle femme que trogneux, lui inventant par ailleurs paires de couilles, pensent-ils indispensable! 😀
Plus rien dans la noirceur qu’un rire éternel
Rien d’autre non plus dans l’aube naissante, lumineuse et étincelante
Une légère et passagère, la notion de Vie
Les mots sont si faibles!
Qu’est-ce donc que la plénitude? alors qu’elle n’est que vide
L’acceptance dormitoire n’est plus
Rien de tout ce qui est non plus
Fâcheuse posture courbantière
Quantique et ordurière
Mille de mes mots et jamais
La place est nue, dorée de mouves
S’étendent résiduels l’infini de la beauté
Aujourd’hui, c’est carnaval!
L’image d’art qui me vient à l’esprit quand j’entends Ursula devenir absolument folle à en oublier sa féminité (et ça ne me fait pas du bien).
De toutes les pathologies psychiques, et donc strictement humaines, la perversion narcissique telle que définie par Racamier, est d’une façon brillante illustrée par le personnage de Carlisle dans Nightmare Alley de Edmund Goulding (1947) que j’ai été amené à visionner suite à la version récente de Guillermo Del Toro.
N’en déplaise à tous ceux, Boris Cyrulnik et Margot Friedländer par exemple, qui n’ont pas terminé ou poussé à fond l’analyse de leur histoire et de l’Histoire (à l’inverse d’ Hannah Arendt), mais penser qu’une souffrance est telle qu’elle est indépassable ou non reproductible est une grave erreur.
L’histoire ne se répète pas, elle tourne (encore) en rond, et c’est toute la différence.
Quand on a vécu d’horribles moments mais qu’on se persuade qu’ils ne peuvent se reproduire parce que, sur le moment, toute limite a déjà été franchie, on est battu, on est dans le déni terrible, et on fait le lit d’un avenir encore plus terrible, en échange de quelques considérations momentanées.
https://www.youtube.com/watch?v=eiwiH40AAjE
Vaccin, Croyances & Réalité
Feb 1, 2022
Didier Raoult
Stolen from some web pages, the story of the pic:
“(…) late February of 1969 – Cash was gearing up to play a concert at San Quentin State Prison in California.
Cash was asked by photographer Jim Marshall to express his feelings toward the prison authorities. Marshall requested,
“John, Let’s do a shot for the warden.” (…) ”
Hence this gesture answer… 🙂
“On the fly”, first meeting and try out.
Drafty but goody, post-whatever, but presented now!
Romain Bailly: guitar, vocals
Stuart O’Connor: keyboard, vocals
Francis Lornet: guitar
Recorded live @ Romain’s with tascam DR40 and very slightly mastered afterwards.
Each title is numbered by its appearance in time and the name of the person proposing the theme.
01_Romain_01.mp3 _ : 15’O8
02_Romain_02.mp3 _ : 13’36
03_Francis_01.mp3 _ : 7’10
04_Stuart_01.mp3 _ : 17’14
05_Stuart_02.mp3 _ : 12’O3
06_Romain_03.mp3 _ : 10’11
Ce qu’il y a de bien dans l’art, dans la création, c’est qu’il n’y a personne pour te dire que “tu roules trop vite” ou que “tu n’as pas de passe sanitaire”.
Dans l’art, le seul gros connard qui t’emmerde, c’est toi-même.