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L’art est forcément politique

mercredi, mai 22nd, 2019

Marisa Papen. Photo by Gary Breckheimer.

Très belle série de noir et blanc.
Marisa Papen et son équipe, et son (ses) photographes font vraiment un excellent travail.

https://www.marisapapen.com/stories/the-day-after-purim-by-gary-breckheimer

[Hey! brice willis de nice, tavu tavu? c’est un détail de nu didonc, hein? pov’ guignol]

Les pattes

lundi, mai 20th, 2019

On m’a cassé les pattes alors que je n’en avais pas encore.
Ça ne se voit pas, mais ça se sent. Ça fait peur aux gens. Ils se disent “je ne le comprends pas”, “il y a quelque chose qui ne va pas”.

Le fait d’avoir les pattes cassées n’a qu’un intérêt qui n’en est évidemment pas un: il permet de reconnaître les salauds et les salopes. J’entends par là les maltraitants et les maltraitantes, les toxiques, les profiteurs et les profiteuses, les méchants et les méchantes.
Ces individus sont en effet ceux qui aiment à profiter des plus faibles, pour compenser leur inaccomplissement définitif.

J’aime bien les mots d’argots parce qu’ils se rapprochent de la vérité vécue des victimes. L’argot devrait être réservé aux victimes pour qualifier ceux qui commettent  des exactions.
Ce sont des mots forts qui permettent à la fois d’exprimer la colère ressentie par une injustice et de qualifier l’auteur de cette injustice avec une certaine exactitude, qui plus est compréhensible par tous.
Dans un monde technologique de science-fiction, un monde évidemment sans liberté, on verrait les salauds/salopes se balader avec en guise d’auréole au dessus de la tête le mot “salaud” ou “salope”. Personne n’aurait le droit de les appeler ainsi, mais ils auraient leur bonnet d’âne pendant une période variable, afin que chacun puisse savoir que ce sont là des parias.
Dans la vraie vie, hélas, c’est le contraire, ce sont évidemment les justes qui sont accusés d’en vouloir à ceux qui savent par trop bien manipuler les masses.
Ce sont les victimes qui doivent combattre les mauvais, et en général elles n’obtiennent jamais réparation. On le voit de plus en plus dans la société néo-libérale qui élimine les services publics: la justice n’a plus les moyens de rendre la société vivable. A défaut de laisser la loi du plus fort (et donc du plus con) s’exercer, cette société fait le lit de la loi du plus riche. Quand on voit le gamin Lagardère on se demande qui, du plus fort ou du plus riche, est vraiment le plus con…

Les gens dits “normaux” avec une intelligence moyenne voire basse trouveront toujours des moyens de réfuter les évidences. Ils penseront que, même condamné par la justice par exemple (alors que c’est en général déjà un miracle quand cela arrive avant la mort de l’inculpé), tel ou telle homme ou femme politique trouve encore grâce à leurs yeux.
Que justement la condamnation efface, en quelque sorte, le mal accompli.
Telles les racailles qu’ils ne peuvent pas sentir, ils se comporteront pourtant comme elles, glorifiant ceux qui ont défié le droit et qui se trouvent finalement auréolés d’une condamnation.

Le commun semble rassuré par ce genre de monde à la ramasse qui marche sur la tête.

Un enculé de salaud

lundi, mai 20th, 2019

J’ai bien envie de vous raconter la vie d’un enculé de salaud que j’ai un peu connu, à mes dépens.
Enculé parce que c’est un homosexuel mâle. Et salaud pour l’ensemble de son œuvre.
Il s’appelle David G. Comme Gogol ou Grossemerde.
Quand on était ado ou jeunes adultes, c’était celui qui, ayant infiltré la petite bande qu’il pensait bourgeois d’une ville de même acabit, avait déjà eu plusieurs voitures alors qu’il n’avait même pas le permis. Il avait même emmené au tribunal un vendeur de fiat uno pour vice caché. Alors qu’il n’avait pas le permis!
Je crois bien qu’il avait gagné.
C’est dire le niveau de saloperie de l’individu.
Plus révélateur encore, alors qu’il avait acheté une 2CV de collection pour ne pas avoir à payer la vignette (les voitures de collection en étaient dispensées) et qu’il nous emmenait faire un tour en campagne, il s’est subitement arrêté. Se retournant vers les passagers, il escroqua 10 francs par-ci par-là “pour payer l’essence”…
Sous peine de nous lâcher à quelques kilomètres de nos foyers et surtout de gâcher la promenade.
C’est ainsi que les salauds agissent. Leur petitesse d’esprit se nourrit de la menace et du chantage.

Ce simple portrait démontre déjà quelle est l’attitude des pervers envers l’argent.
Il habitait un quartier dit pourri, de pauvres. Pourtant, que ce soit vrai ou pas, il avait hérité de plusieurs dizaines de milliers de francs de je ne sais qui, alors à peine adulte. C’est vrai qu’il pouvait dépenser sans compter pour acheter des disques. Pas autant que d’autres véritablement plus fortunés, mais beaucoup plus que la plupart de ceux qu’ils considérait comme “plus avantagés” que lui.

Sa perversion était de faire croire qu’il était dépourvu face à ceux qu’il croyait nantis alors que c’est probablement le contraire dont il s’agissait.
De plus, cette perversion s’ancrait dans des objets, à savoir l’argent, sans aucun rapport avec la réalité vécue, celle forcément psychologique.
Comme c’est plus simple, n’est-ce pas?

Cette individu donc, dont la veulerie est la marque de fabrique, avait menti en prétendant que c’était sa tante (plutôt que sa mère) qui était venu nous voir jouer à une fête de la musique. Bon. Il en avait honte parce qu’elle était en longue maladie, en surpoids, etc.
C’est le même individu qui m’avait dit que “on ne juge pas ses parents, jamais!”
Un sacré connard, non? pour dire le contraire de ce qu’il faisait de façon non justifiée d’ailleurs.

Mais le geste qui restera à jamais un motif valable pour l’éliminer vient ensuite.

Son père est mort, cachetons, alcool, tout seul dans sa bicoque, on ne sait pas trop.
C’est à la crémation que j’ai rencontré sa mère et du peu que j’en ai connu, je pense qu’elle ne méritait pas la honte qu’il avait d’elle. Mais comment savoir?
Là n’est pas l’importance.
Pour soutenir cet enculé de salopard, je m’étais fait beau pour honorer la mémoire de son père que je ne connaissais pas d’ailleurs.
Bon.

Quelques jours après, lui qui n’arrêtait pas de chier sur la compagne d’un de mes amis d’enfance, qui tenait un magasin de vêtements, a fait croire que c’était moi qui critiquait cette pauvre femme.
Oh, non qu’elle était exempte de défauts, c’est certain. Je me rappellerai toujours qu’elle disait à sa fille de 2 ans “t’es une petite pute”, confondant sans doute ce qu’elle était elle-même ou ce qu’elle pensait d’elle-même dans un sursaut de lucidité avec ce que sa fille, évidemment, ne pouvait être.
[Oui, c’est une mère toxique et mauvaise, quand bien même elle le disait avec le sourire, mais, et surtout, devant un couple d’amis]

C’était en 2007, je commençais à peine mon activité de graphiste.

Par cet acte odieux de salaud, David G. a détruit une amitié datant de la maternelle que j’avais avec Mathieu M.
Lui qui était plus ou moins également graphiste (en se vantant de ne pas payer ses cotisation sociales bien qu’étant à la MDA, il faisait ainsi son balkany ou son cahuzac, bref, il se reconnaissait dans les pires salauds que la terre ait porté, il est de cette race de vermine) a dû penser qu’ainsi, et cela advint, il pourrait tirer quelques fric de la communication graphique d’un magasin de vêtements puis du restaurant que le couple allait bientôt acheter et monter.
Mais plus que cela, il enviait les relations affectives et d’amitié, s’amusant à les détruire comme un rat dont il a d’ailleurs la tête.

La plupart des gens du cercle d’amis (peut-on parler d’amis, je ne le crois plus) avaient une haine de cet individu qu’ils cachaient, faisant croire que “tout allait bien”. C’est hélas comme cela que les perversions psychologiques s’ancrent et s’enracinent dans la vie: parce qu’on n’ose pas dire que la merde, ça pue.

Raconter les saloperies de tous ceux qui méritent qu’on les passe à la roue me fait le plus grand bien.
Je n’ai rien contre eux, mais ils méritent qu’on sache qu’ils sont mauvais.
C’est pour ma santé. Suite au prochain numéro.

Aphorisme #001

samedi, mai 18th, 2019

Quand une mère n’aime pas son enfant, qu’elle ne lui parle pas, qu’elle ne le considère pas…
Voici comment l’enfant voit le monde, parfois toute sa vie:

Tumeur vulvo-vaginale. Photo d’écran.

Bon appétit les broutte-minous! 🙂

PS: pour ceux qui ne jurent que par les conneries pour débiles, du style la patrie, le drapeau, l’armée, la police, etc, reportez-vous sur les paquets de cigarettes dont le graphisme est fabriqué par l’état français. Montrez-les bien à vos gosses, aussi.
Et apprenez à penser, surtout 😉

Refusé, deuxième.

samedi, mai 18th, 2019

J’ai répondu qu’il ne fallait pas oublier le salon des refusés.
Qui se souvient des artistes et des œuvres de ceux qui ont précédés les impressionistes? Pas grand monde. Et on ne parle même pas de la valeur marchande des œuvres produites, puisque c’est la seule valable à notre époque néo-libérale capitaliste.
Qui se souvient de ceux qui étaient en bonne place au salon des acceptés? Oui, ceux-là même qui ne sont plus rien, tandis que les refusés ont aujourd’hui toutes les faveurs et toute l’attention.

Alors oui, ce fameux salon des refusés, c’est une sacrée idée.

En tout cas, je viens d’économiser mille balles en me faisant refuser du off libre d’Arles. J’avais vu ça, qu’une association, le collectif du hérisson (avec un excellent logo, bravo au graphiste) proposait pour 1040 euros (adhésion + 950 € de frais) l’exposition de photographes dans quelques galeries à Arles pendant le festival de la photo. J’étais prêt à payer bien que cela m’aurait ruiné.
Je reste donc très riche.

Je suis également assez en colère car je m’aperçois que le monde est vraiment un triste ramassis.
Mais baste! je prends cela comme une bienveillance qui m’épargne de côtoyer ceux qui n’en valent pas la peine. Bon, j’aurais bien aimé visiter Arles quand même. Zut quoi.
Aller, je me remets à mes prints et à mes contre-collés.
Le monde est vaste et l’art le multiplie à l’infini. Et il me reste, je crois, quatre amis.

FHP déverse 20 tonnes de sperme véritable sur l’obélisque parisien pour célébrer la jouissance de l’oligarchie et des dominants sur la populace engluée

vendredi, mai 17th, 2019

Geste artistique grandiôse!
Aux oubliettes la roberta de clitoris avec son petit pot de sang menstruel étalé sur une photo qu’elle n’a même pas créée!
Oublié le plug anal de kapour le petit et son vagin métallique (faudra lui dire que c’est la ceinture qu’est en métal cloutée^^)!
Fini à jamais le minuscule koons avec ses jouets de pédophile grandeur “adulte”!

Haha! 🙂 Le phallus de pierre a enfin éjaculé!

PS: et yen a partout 😉 … A quoi ça tient, l’ “art”.

De la menace.

vendredi, mai 10th, 2019

Il n’y a aucune analyse à faire, la réalité est triste et merdique (sic).

Paris, paradis des vendus, ville de merdes.

mardi, mai 7th, 2019

 

[sz-video url=”https://www.youtube.com/watch?v=3KkpTQFy5S8″]

Excellent!
http://www.icidailleurs.com/index.php?route=product/category&path=121

Action.

lundi, mai 6th, 2019

Mayday

mercredi, mai 1st, 2019

Favorite audio and video creative band of young lovers 🙂

[sz-video url=”https://www.youtube.com/watch?v=evwkrcL8P6g”]

Le refusé

lundi, avril 29th, 2019

Depuis une gestation humaine que je recherche des modèles photographiques, je n’ai presque essuyé que des raclures de plâtre.
A l’exception de deux modèles femmes, correctes, éduquées et discutantes, et avec lesquelles hélas aucune session photographique n’a pu être faite en raison d’empêchements indépendants de la volonté des parties engagées -empêchements qui ne peuvent être que d’un caractère définitif, tant la relation artiste modèle est ténue et fragile, les autres modèles et les photographes (peut-on même les appeler ainsi?) avec qui j’ai eu des relations ne méritaient pas que je perde mon temps.

Il y a parmi les modèles femmes défrayées ou rémunérées plusieurs types:

Il y a celles qui recherchent de l’argent facile quitte à vous emmener dans un hôtel -sous le prétexte d’avoir à y déposer des affaires, par exemple- alors que le but d’une première rencontre est de se connaître.
Un shooting de nu réunit en général un photographe et un modèle qui ne se connaissent pas. Une discussion préalable est donc indispensable. Mais pour l’avoir vécu, il semblerait que certaines modèles se moquent pas mal de la discussion et recherchent l’argent avant tout, que ce soit pour une session photo ou pour tout autre prestation d’ordre plus intime.
Bon, c’est très dommage, mais je ne recherche pas de prestations de ce type et je dois avouer que j’ai encore moins le profil à payer pour ces menus plaisirs.
C’est comme ça, désolé, mesdames 🙂

Il y a celles qui se permettent un jugement a priori alors qu’une sollicitation polie a été faite et qu’elles sont publiquement en demande de shooting.
Je mettrais cela sur le compte de la jeunesse et de la tête qui tourne sitôt qu’arrivées à Paris et avec pour tout bagage une ou deux années de “beaux-arts”, tout en se targant d’avoir un book (avec, en général, des photos prises dans des boîtes à partouzes), elles commencent à se poudrer le nez et à imiter le comportement insultant et malheureusement caractéristique des habitants de la capitale française, qui ne sont effectivement pour la majorité que des culs-terreux venus de province. Il suffit de voir l’arrogance et la niaiserie des présidents de la république pour s’en rendre compte (doit-on rappeler les “ceux qui ne sont rien” prononcé par un de ceux-là, justement; ou encore les “sans-dents” par un qui, s’il n’en avait pas, aurait sûrement conservé son poids de forme, etc, c’est VOS élites et VOS exemples, bande de nazes 😉 , pas les miens, pour sûr ).
Ces adoptés de la pollution décadente d’une capitale mourante sont l’affaire du monde puisqu’ils prétendent (et sont pris pour) la vitrine d’une “culture”.
De rayonnement il n’y a plus, obfusqué par la pollution des âmes autant que par celle de la bêtise.

Heureusement, il y a de rares exceptions qui confirment ces tristes règles. Des mecs biens, des gonzesses bien. Oui, y’en a. Mais pas beaucoup 🙁
Ces perles rares parmi les modèles sont de celles qu’on aimerait solliciter à nouveau, puisque les rendez-vous manqués ne l’ont été, d’un côté comme de l’autre, qu’indépendamment de la bonne volonté des parties.
Mais s’il y une règle à respecter dans toute relation, surtout naissante, c’est de ne jamais s’imposer.
Je n’insiste jamais auprès d’inconnus. J’aurai à découvrir bien d’autres perles. Le temps n’existe pas.

Côté photographes:

Il y a ceux qui, rongés par le désir fantasmatique de viol qui empreint chacun de leurs clichés, s’amusent à jouer aux chevaliers blancs en accusant d’autres de leurs vices propres.
On a déjà parlé trop longuement de ceux-là.
Il y a ceux également qui s’adonnent ouvertement et avec l’aide de moult subventions parisiennes à une pornographie prostitutive dont le caractère artistique, que l’on chercherait vainement, ne tient qu’à la médiocrité des images, de la mise en scène et de tout le reste.
Ceux-là sont adoubés par à peu près toutes les institutions étatiques finançantes à tous les niveaux politiques géographiques.

Que reste-t-il aux très peu nombreux artistes dont la sensibilité est dégradée, brutalisée, utilisée à des fins viles et crasseuses par tous ces médiocres qui n’existent que dans un temps et un espace tout aussi vains que l’est leur nullité?
Il n’y a plus d’artistes, et ma tour d’argent est bien plus rouge et turgescente que l’ivoire d’un sceptre artificiel et maléfique, brandi par les muets de l’âme.

Monde, je ne t’écoute plus, je te donne et tu ne pay (EN) aucune attention (EN/FR).
Je ne regrette aucune de mes insultes, réfléchies ou sous le coup de la colère.
Monde, je t’emmerde, ad vitam and with much love 🙂 … ’cause you are my sunshine!  https://www.youtube.com/watch?v=E5_j91FjsXM

Light yellow

samedi, avril 27th, 2019

Le premier de mai 2019

vendredi, avril 26th, 2019

[sz-video url=”https://www.youtube.com/watch?v=cHNKL7dWd-I”]

De la niaiserie française

vendredi, avril 26th, 2019

S’il est un terme pléonasmatique de ce qu’est l’essence ontologique de la France ou des Français et Françaises en général, c’est bien la niaiserie.
Oh, il y en a bien quelques-uns qui se départissent de cet engluage, c’est certain (Branco, Sauron, Lacan, Dolto, et moi ^^ hihi).
Je m’efforce de trouver, par moult messages et autres polies démarches, des modèles photographiques.

Bien sûr, il y a des déconvenues. Merde! Il n’y a QUE des déconvenues 🙁

Quelques jeunes foutrasses se permettent même de me dire qu’un blog n’est pas un book (en fransse il faut avoir un pseudo book sur une plate-forme de MERDE pour arriver à faire croire aux esprits couillons qu’il y a un brin de sérieux…).
Putaing! Ya vraiment des gourdasses niveau maternelle bac moins 500 et des crétins sans jugeote qui réclament un SIRET qu’ils sont infoutus (les salopards décérébrés) de trouver!

Ma patience n’a pourtant aucune limite, malgré les injures et le vocable peu choisi (?) que j’aime à employer.

Tout récemment, une jeune fraîchement arrivée dans le tout-petit-paris de la photo s’est même permise de remettre en doute ma culture punk.
Fausse féministe, probablement, qui doit voir dans le mot buzzcocks un outil de vibration sexuelle, au lieu d’un groupe d’étudiants en philo du nord de l’Angleterre qui a fait fureur à l’époque punk. Et ce n’est que l’un des plus connus.

J’en ai marre, les amis. Je vais sortir le tromblon et les coups vont partir pendant les nettoyages récurrents.
Ou tout simplement, je vais quitter ce pays de merde et ses connards de citoyens 🙂

[sz-video url=”https://www.youtube.com/watch?v=QoYiQ8Qsozk”]

Aux gros cons

vendredi, avril 26th, 2019

J’attends toujours un mail ou un coup de fil d’une petite tarlouze sudiste, histoire que je le backtrace du header…
Mais il semblerait que ces paltoquets soient dépourvus de couilles et qu’ils sachent toutefois, malgré leur intelligence proche du néant, que l’on peut vraiment les emmerder et rendre visible leur nullité crasse, sauf s’ils utilisent une plate-forme de guignols ricains…

Tiens, c’est pour toi ma tafiole merdeuse:


PS: et là, je suis très gentil.

Nude art #1 (detail)

jeudi, avril 25th, 2019

Un combat dont je suis témoin

dimanche, avril 21st, 2019

Bien peu le savent ici, sauf ceux auxquels je m’en prends après m’en avoir pris plein jusqu’à presque mort.
Je tiens de l’autiste, mais pas vraiment, je tiens de l’intellectuel, mais pas vraiment, je tiens surtout de l’artiste, en raison des deux premières propositions.

Comme je disais donc, je m’en suis tenu jusqu’à présent à ceux qui, par leur comportement, se sont rendus ennemis à force de mauvais comptes.
Pour ceux-là, point de rémission, quand bien même les comptes seraient à jour, ce dont je doute qu’il advienne.

Mais à lire le Lasganerie mal écrit chez mediapart, j’ai fait un bond. J’ai acheté un de ses bouquins et je n’en étais pas peu fier lorsque j’écrivais deux articles:
http://www.lornet-design.net/combattre-les-cretins/
http://www.lornet-design.net/la-revolte-a-mon-gout/

Et voilà que celui dont les idées m’apparaissaient assez dignes de confiance vient salir le dernier Branco…

Je ne suis pas exempt de fautes, et, là, j’en ai fait par ignorance.
C’est vraiment chiant de devoir suivre ceux qui, au final, les uns comme les autres, ont suffisamment de fric pour se tenir à l’abri, même en vivant quelques instants sous le seuil de pauvreté.
Mais là n’est pas vraiment le souci. Tant qu’on écrit, tant qu’on crée, c’est qu’on survit, et cela vaut pour moi comme pour tous.

Je suis extrêmement jaloux de leur condition, celle qui leur a permis de n’avoir pas les jambes cassées et la tête brisée dès le départ.
Si j’avais eu cette chance, je serais probablement au moins à leur hauteur au lieu de frayer avec le vide du rien et l’absence sidérante d’aucune récompense.

Ça pourrait tourner vilainement. On verra… si c’est la seule liberté qu’il me reste.

Je me suis fait arnaqué par lagasnerie.

DTC TM

vendredi, avril 19th, 2019

Voir: http://www.lornet-design.net/le-300e/

Toutes règles d’or.

jeudi, avril 18th, 2019

Mosrite inspiration

mardi, avril 16th, 2019

 

http://www.lornet-design.net/les-7-erreurs/

http://www.lornet-design.net/prendre-la-lumiere/

http://www.lornet-design.net/enfiler-un-manche/

http://www.lornet-design.net/category/musique/

 

Compilation of posts about the history of MIJ Mosrite guitars