La posture du paranoïaque est celle pour qui le doute ne peut exister.
Le jouis de dis d’emmanuel macron (président de la république française 2017-2022) ou
Peace, Piss macron.
FHP Lornet 2022
1er état: Encre de chine sur papier japonais sur fond pur coton Lana, matière organique.
Tes mots dits, tes maux dits, fléau.
#piss_macron
#pissmacron
“J’emmerde les irresponsables qui ne sont plus
des citoyens, les non-vaccinés, ces gaulois réfractaires,
fainéants, cyniques et extrêmes, qui foutent le bordel
alors qu’ils n’ont qu’à traverser la rue pour trouver du
travail et se payer un costard, au lieu de toucher un pognon
de dingue.”
Performance du dimanche !
C’était un gros nul ce Doisneau, non? 🙂 #Open_Eye photo magazine
Série de FHP Lornet 2022 intitulée “Open your eyes, see the light right inside of you” (modified quote from song “Open your eyes” of The Lords of the New Church).
En me baladant dans les banlieues sombres et insalubres (of course), je suis tombé sur l’expression de la colère terrible qui sourd dans nos contrées.
J’en ai fait de mémoire une reproduction assez fidèle, bien que j’aie ôté les résidus de déjections projetées contre les photos qui l’accompagnaient.
Les conséquences des restrictions totales des libertés des citoyens d’aller et venir et de rencontrer qui ils veulent n’apparaissent encore que très peu au jour en cette fin de février 2021.
Cependant…
#photography #urban_serie #FHP_Lornet #2021
Ou de la misarchie réelle.
Face à l’absence totale de raison, d’honnêteté morale sinon de scrupules, une seule solution: la déraison.
Face à un “conseil” autocratique et anticonstitutionnel, une seule solution: la sécession.
La méthode: l’insurrection.
Le moyen: l’art, la création.
D’après une idée faussement originale d’Alain Acquebart, produit par Chimou Bénichou (apport de cachets et du cachet, on est en France) et Marie-Jo Gropierre (qui roule…etc), avec l’ascendant des suppôts religieux de toutes obédiences y compris putardes, une chanson punk et misarchique qui crache son venin…
Encore plus loin.
Désobéir c’est la santé!
… face aux crétins qui veulent nous éduquer.
Catharsis abréactionnelle fantasmatique: “égorger manu“. Ça fait du bien.
Crédits d’augmentation des cachets : guitares, chant, production, post-production, écriture, fausse basse, prise de son et de vue, montage, effets, mixage, création, interprétation, publication et tout le saint frusquin: FHP Lornet. 2020 under diktat.
MP3 (4 mb)
MP4 (48 mb)
22 août 2020, à l’occasion de l’exposition “Entre parenthèses” du Quartier Métisseur, Lamure-sur-Azergues.
Texte écrit et dit par FHP Lornet.
If I could I would exchange the childhood of polanski and Charles Manson, as to rewrite history of so many people.
Here’s a kind of poetry I wrote few days ago and some simple chords behind. I kind of like it when it’s RAW.
Lyrics, guitar, arrangements: F.H.P. Lornet 2020.
Nous y voilà…
Nous y voilà et cela me fait si plaisir d’être ferré
Un poisson dans l’eau, non!
Un croco amphibie, oui.
Et vous voilà avec moi, aujourd’hui
partageant enfin la peur que vous refusiez
la peur que j’étais seul à ranger
chaque soir, au fond de son panier
Est-ce que vous êtes prêts?
ha! … pas encore assez?
Il n’est plus temps de vous embarrasser
Plus temps de vous embrasser
laissez les mioches
laissez-les, vous dis-je
Vous allez les blesser…
Si bien éduqués, n’est-ce pas?
Quel gâchis de leur rendre la liberté
Si chèrement acquise au prix de leur volonté…
Ah oui, c’est salaud
Que vous ne vous êtes jamais données.
Une situation de stress intense, dites-vous?
Écouter la parole de l’ordonnateur?
Suivre docilement les ordres enrobés de conseils
le bâton au miel…
Maintenant que vous, moutons, êtes parqués de votre propre volonté,
maintenant que la sentez vous prendre sournoisement
maintenant que la route est peut-être bien terminée
Qu’en est-il de vos drapeaux?
Vous drapez-vous?
Entonnez-vous?
Ça ira, mon p’tit gars.
Tu les vois ceux-là, qui hier t’usaient
Tu les vois aujourd’hui comme ils sont laids
Elle suinte de partout
Elle vient jusqu’à nous
P’tit gars, on les a eus, nous aussi
On ne se laissera plus faire,
Jamais.
Tu m’entends, maman?
Non, personne n’entends plus rien
Plus rien le battement si inquiétant
ce battement qu’on voudrait finalement
Qu’il s’arrêtât ou continuât
Mais sans bruit, n’est-ce pas
Oh non, sans bruit
Sans un pas
Pas.
Car, tutti frutti est en lui
par lui et avec lui
Dans la cave des caves
terré au fond du terrain
Qu’en est-il de ceux-là qui sortent tous maintenant?
Vont-ils se briser entre eux, chaque instant?
Moi je jouis de voir sentir, je jouis de vous voir
Tremblez, manants, vous arrivez!
Tremblez de tous les temps!
Vous êtes ici chez moi, bienvenue chez Pan!
Du vin? non, il n’y a plus
Délices? encore un peu, viens…
Délire? des lyres, oui, c’est comme cela que ça finit.
En MUSI-QUEUE!
Mais… Mais avant…
C’est l’urgence de partir
C’est le tremblement de l’avenir.
Qui donc est le fou?
Qui sont-elles les horreurs, bergère?
Elles viennent combattre nos pensées…
Notre petite armée de penseurs virevoltants et joyeux
Les chiens et les chiennasses sont lâchés
Lâches, lâches, lèchent.
Chef de meute au rictus idiot et inconscient.
Magma de mamans et de dents…
Quel dommage que je sorte
Portes ouvertes, avorte!
Rentrez donc et tâtez l’aorte
C’est de cette sorte qu’on fait les sottes.
Adieu, adieu
Prenez ma place de libretin
Laissez-moi passer, ceci est mon chemin!
Le fameux triptyque de Bacon est privé de crucifixion. Qu’est-ce donc que je crucifie ici?
Krishnamurti me guide aimablement, bien que mort, en ce moment. Il est d’une grande aide à s’approcher de lui.
Il dit: la véritable paix est créatrice, donc destructrice.
Ci-dessous le texte initial devant accompagner cet article.
Voici donc l’expression de ma vulnérabilité, à la fois réponse à “L’origine de la guerre” d’Orlan, à “L’origine du monde” de Courbet et à tous leurs avatars -dont les miens font partie, évidemment.
[si je réponds à ma propre réponse, ça finit quand?]
Un des éléments du triptyque est donc intitulé “L’origine de la paix”, dans une sorte de sépia qui n’en est évidemment pas un.
L’élément fait de “off color material” est celui en violacé qui veut rappeler les procédés bizarroïdes de tirage argentique. Il est intitulé “No breed vanity”.
Ces deux clichés sont à la fois un hommage à Mapplethorpe, qui reprend ses amours picturaux, mais également une tentative spontanée d’exprimer mon propre ressenti (je n’avais pas connaissance de l’existence de Mapplethorpe il y a encore peu et ce n’est pas lui qui m’a montré la beauté des fleurs et des corps, des sexes).
Mapplethorpe n’est donc pas mon inspirateur (aspirateur?) mais un être photographe que je considère comme une sorte d’alter ego dans l’art.
C’est peut-être fort présomptueux (je sens bien les esprits chagrins qui pensent toutes ces bêtises), mais pour le coup, ses photos me sont proches dans ce qu’elles insinuent.
Il n’y a rien d’autre qu’une communauté de vision artistique, un quelque chose en soi commun, une sensibilité. Bien sûr, la provocation, aussi, mais qui vient seulement ensuite.
Je me fous de la cote de l’art et du marché, et j’adhère à ce que Romuald et PJ tournent en une simple question: “marché de l’art ou art du marché?”
Je pensais auto-censurer la vision directe de l’image en la cachant derrière un lien évocateur et de mise en garde. Finalement, non.
Il n’y a là qu’art et rien n’est répréhensible, pas plus du point de vue du droit que du point de vue médical (!).
Quand bien même la morale de certains serait choquée, qu’importe.
L’acte artistique permet la folie et la sublime et il est évident qu’à la manière d’Orlan, travailler son propre corps épargne de la souffrance de celui des autres.
De l’énergie gagnée.
La performance a duré le temps de la prise de vue, peu avant la clôture de l’exposition Arts Poncin 2019 donnée pour 19 heures.
Alors que déjà nombre d’artistes remballaient leurs œuvres, certains ayant eu la chance d’en vendre participant ainsi à la vie de l’association qui a permis l’exposition, j’ai substitué deux œuvres à deux autres afin de compléter le triptyque tout en l’augmentant d’une quatrième œuvre.
J’aime bien le terme d’ “augmenter”, il fait écho à ce qu’on appelle aujourd’hui l’humain augmenté, dans toute la bêtise du terme.
Nous ne sommes plus ni des hommes ni des femmes, mais des objets, des variables d’ajustement, des ressources.
Je dis non.
L’aspect symbolique est éradiqué des discours tout autant que l’aspect anatomique, physiologique, sans parler même de l’aspect psychologique.
Je dis non.
Pour se moquer du prix que l’on donne à l’art, mais surtout de ce que les capitalistes appellent le “marché” de l’art, Banksy a vendu (bradé, diraient les inconscients) certaines de ses œuvres à des prix symboliques. C’était dans les rues de New-York, je crois.
Alors, on dira que le gamin a de quoi voir venir, et c’est très probable. Mais est-ce là ce qui compte VRAIMENT?
Pour le finissage de l’expo à Arts Poncin, je prépare donc une surprise.
Ce sera le dimanche 3 novembre, mais pas avant 16 heures, j’en ai bien peur 🙂
A bientôt! 😉
https://www.thedailybeast.com/banksys-biggest-trick-yet-selling-his-art-on-the-street-for-dollar60
Alors, c’est de l’enregistrement sur bande passé sur cassette puis sur PC (mais ya longtemps donc c’est pas du flac hein…)
J’ai toujours la bande magnéto (malgré mon grand âge ^^ cocotte) mais plus de lecteur, arf.
OSEF.
Donc Jimmy ( des Shtauss ) à la batterie (meilleur batteur du monde, tout petit, tout potelé hihi, ultra humain, ses petiots dansaient comme des fadas devant le groupe, ça restera un bon souvenir à jamais), Mika au lead guitar (on n’entend que lui, mais c’est aussi bien), Charles à la basse, et Francis au chant guitare rythmique (et pompier psycho 😉 )
Et vraiment “Pasqua tire-toi!” (connard).
🙂
Louie Louie
Psycho
Can’t seem to make you mine
Sympathy for the devil
Wild man
Fête de la musique 1993 Dijon, place Grangier.
Groupe: X-men.
Enregistrement: Lanternier.
Geste artistique grandiôse!
Aux oubliettes la roberta de clitoris avec son petit pot de sang menstruel étalé sur une photo qu’elle n’a même pas créée!
Oublié le plug anal de kapour le petit et son vagin métallique (faudra lui dire que c’est la ceinture qu’est en métal cloutée^^)!
Fini à jamais le minuscule koons avec ses jouets de pédophile grandeur “adulte”!
Haha! 🙂 Le phallus de pierre a enfin éjaculé!
PS: et yen a partout 😉 … A quoi ça tient, l’ “art”.
This is what you can call a cold revenge.
Some like 20 years ago I’ve been part of a pseudo artist work that ended in a bad manner (not for him of course), thanks to the pseudo artist himself, a bit like the story with Roberta de Clitoris.
Let’s make clear the very end: a 100 box instead of the 10% of the 6K previously promised (which is 600 box) for quite some amount of work with quite some hardware and at any time of day and night.
What reminded me about this story is the picture of some graph play on words tagged in a Cartier shop in Paris last saturday, during the 18th week of ‘yellow jackets’ protest (with some great destruction of riches’ symbols): it says “Pas de Cartier pour les bourgeois” which actually means “no mercy for the bourgeois” in with ‘mercy’ is ‘quartier’ in french which is pronuonced just like the famous luxury trademark ‘Cartier’.
The déchu artist I won’t name him (but you’ll easily find who he is…) was- as an ‘artist’ I mean-so, was at the time, early 2000’s, making me work on my computer to scan and develop photos and make some graphic artwork for him, of course as ‘tests’ (meaning non payed or ‘for the fun’ of it, for the most part of it …).
I’ve been through some pages about the guy’s new work as a gallery manager, after he left his pseudo artwork. I quote him:
“Deux ans plus tard, il raccroche ses ambitions artistiques. “J’ai eu un moment de lucidité, dit-il. Parfois, il est bon de persévérer, et parfois, non.” “( in )
“À l’origine il y a un changement brusque, existentiel : arrêter d’être artiste, faire les choses autrement, changer de vie. C’est un choix égoïste, pas politique. Je l’ai fait pour moi, pas contre le système. Et ça n’a rien à voir non plus avec le marché dont je ne connais alors rien, et dont je ne me soucie pas. Cela a plus simplement à voir avec une crise de lucidité un peu plus aiguë et longue que d’habitude : je ne suis pas un grand artiste, je ne vais pas le devenir et je vais crever de désespoir et d’amertume si je m’entête une minute de plus dans cette voie.” ( in )
As an art historian with quite some background, as an artist myself, and as an ex acquaintance, I can say: AT LAST!
But that’s not really my point here. He owes me 500 plus the 100 of interests. I don’t care much about such a money, but now, he will know that the past is NEVER forgotten, however people can live through some high difficulties. Furthermore, I know HE likes much money though… “I mean, we’re across the street from the Carlyle!” ( in )
What I care about is not being taken for an idiot.
Having passed by a quarter analysis doesn’t make you someone. Knowing you’re bad and making profit out of it using people’s weaknesses is really common.
That’s not a character trait. It’s just going deeper into the ‘sickness’ of humanity.
I wish him good luck in ‘la petitesse’ of his life. It’ll all end like ‘petits fours dans les raouts’: shit.
Plus, you can also give back the money and stop manipulating people with a stupid smile, thanks!
Farewell!
Vous l’attendez, n’est-ce pas? Bande de petites coquines, de petites chipies 😉
Ben c’est pas encore 🙁
J’ai quelques copines avec des prénoms bibliques et elles sont pas très fines. Je suis si déçu ^^
Enfin bon, si “ça” les amuse d’être plus bêtes qu’elles ne le sont en réalité…
Hihi.