Archive for the ‘PERFORMANCE’ Category

Making our own “police” ^^

samedi, juillet 29th, 2023

https://www.flickr.com/photos/154550824@N08/53078093889/
Thanks to Christopher.

Bout de failure :)

mercredi, juin 14th, 2023

Quelques titres joués à l’open mic de Noetika sous le nom (à retenir) de “Don Quijote de la Francesca”.
Foirage d’accords, etc, rien à voir avec la petite bière ingurgitée, mais tout avec la fatigue et le manque de sommeil. On ajoute les cordes vieilles de deux ans (d’où difficulté d’accordage) et un public pas très nombreux (on partage les fautes! 😀 ).
Sans compter que je joue sur un ampli inconnu, avec un micro jamais testé… BREF! 🙂
Pas grave, c’est un début, assez humoristique toutefois 🙂 … le coup “elle est plus longue que celle de Cohen” ^^ …
Pour la musique , ça commence à 3′ 50, le reste c’est du blabla 😛
Bella ciao / Partisan – La complainte du partisan / Proud Mary

Péter les ovaires et casser les couilles

jeudi, septembre 22nd, 2022

La posture du paranoïaque est celle pour qui le doute ne peut exister.

 

Piss macron

jeudi, avril 7th, 2022

Le jouis de dis d’emmanuel macron (président de la république française 2017-2022) ou
Peace, Piss macron.
FHP Lornet 2022
1er état: Encre de chine sur papier japonais sur fond pur coton Lana, matière organique.

 

Tes mots dits, tes maux dits, fléau.

#piss_macron
#pissmacron

“J’emmerde les irresponsables qui ne sont plus
des citoyens, les non-vaccinés, ces gaulois réfractaires,
fainéants, cyniques et extrêmes, qui foutent le bordel
alors qu’ils n’ont qu’à traverser la rue pour trouver du
travail et se payer un costard, au lieu de toucher un pognon
de dingue.”

Du doigté en photo, Doisneau dans le dos

dimanche, mars 6th, 2022

Performance du dimanche !

C’était un gros nul ce Doisneau, non? 🙂 #Open_Eye photo magazine
Série de FHP Lornet 2022 intitulée “Open your eyes, see the light right inside of you” (modified quote from song “Open your eyes” of The Lords of the New Church).

 

Ha, tu iras!

mardi, mars 1st, 2022

Elaborate stencil

jeudi, juillet 1st, 2021

Deux heures de boulot rien que pour la découpe au scalpel. Bordel de forclusion!

Suburban poster

vendredi, février 26th, 2021

En me baladant dans les banlieues sombres et insalubres (of course), je suis tombé sur l’expression de la colère terrible qui sourd dans nos contrées.
J’en ai fait de mémoire une reproduction assez fidèle, bien que j’aie ôté les résidus de déjections projetées contre les photos qui l’accompagnaient.
Les conséquences des restrictions totales des libertés des citoyens d’aller et venir  et de rencontrer qui ils veulent n’apparaissent encore que très peu au jour en cette fin de février 2021.
Cependant…

US (urban serie)

mardi, février 23rd, 2021

 

#photography #urban_serie #FHP_Lornet #2021

Liberté d’expression, chérie!

jeudi, novembre 5th, 2020

Ou de la misarchie réelle.

Face à l’absence totale de raison, d’honnêteté morale sinon de scrupules, une seule solution: la déraison.
Face à un “conseil” autocratique et anticonstitutionnel, une seule solution: la sécession.
La méthode: l’insurrection.
Le moyen: l’art, la création.

D’après une idée faussement originale d’Alain Acquebart, produit par Chimou Bénichou (apport de cachets et du cachet, on est en France) et Marie-Jo Gropierre (qui roule…etc), avec l’ascendant des suppôts religieux de toutes obédiences y compris putardes, une chanson punk et misarchique qui crache son venin…
Encore plus loin.

Désobéir c’est la santé!
… face aux crétins qui veulent nous éduquer.

Catharsis abréactionnelle fantasmatique: “égorger manu“. Ça fait du bien.

Crédits d’augmentation des cachets : guitares, chant, production, post-production, écriture, fausse basse, prise de son et de vue, montage, effets, mixage, création, interprétation, publication et tout le saint frusquin: FHP Lornet. 2020 under diktat.

MP3 (4 mb)

MP4 (48 mb)

http://www.lornet-design.net/wp-content/uploads/2020/11/égorger_manu_FHP_Lornet_2020_under_diktat.mp4

Texte lu au KMETH (quartier métisseur) sur le thème du confinement

dimanche, août 23rd, 2020

22 août 2020, à l’occasion de l’exposition “Entre parenthèses” du Quartier Métisseur, Lamure-sur-Azergues.
Texte écrit et dit par FHP Lornet.

Foot fucking avec brigitte

vendredi, août 14th, 2020

 

The big picture

lundi, juin 22nd, 2020

The Neurotics Dijon Acropole

mercredi, mai 20th, 2020

Charlie M.

dimanche, avril 19th, 2020

If I could I would exchange the childhood of polanski and Charles Manson, as to rewrite history of so many people.

Here’s a kind of poetry I wrote few days ago and some simple chords behind. I kind of like it when it’s RAW.

Lyrics, guitar, arrangements: F.H.P. Lornet 2020.

 

Nous y voilà…
Nous y voilà et cela me fait si plaisir d’être ferré
Un poisson dans l’eau, non!
Un croco amphibie, oui.

Et vous voilà avec moi, aujourd’hui
partageant enfin la peur que vous refusiez
la peur que j’étais seul à ranger
chaque soir, au fond de son panier

Est-ce que vous êtes prêts?
ha! … pas encore assez?
Il n’est plus temps de vous embarrasser
Plus temps de vous embrasser
laissez les mioches
laissez-les, vous dis-je

Vous allez les blesser…

Si bien éduqués, n’est-ce pas?
Quel gâchis de leur rendre la liberté
Si chèrement acquise au prix de leur volonté…

Ah oui, c’est salaud
Que vous ne vous êtes jamais données.

Une situation de stress intense, dites-vous?
Écouter la parole de l’ordonnateur?
Suivre docilement les ordres enrobés de conseils
le bâton au miel…

Maintenant que vous, moutons, êtes parqués de votre propre volonté,
maintenant que la sentez vous prendre sournoisement
maintenant que la route est peut-être bien terminée

Qu’en est-il de vos drapeaux?
Vous drapez-vous?
Entonnez-vous?
Ça ira, mon p’tit gars.

Tu les vois ceux-là, qui hier t’usaient
Tu les vois aujourd’hui comme ils sont laids
Elle suinte de partout
Elle vient jusqu’à nous

P’tit gars, on les a eus, nous aussi
On ne se laissera plus faire,
Jamais.
Tu m’entends, maman?

Non, personne n’entends plus rien
Plus rien le battement si inquiétant
ce battement qu’on voudrait finalement
Qu’il s’arrêtât ou continuât

Mais sans bruit, n’est-ce pas
Oh non, sans bruit
Sans un pas
Pas.

Car, tutti frutti est en lui
par lui et avec lui
Dans la cave des caves
terré au fond du terrain

Qu’en est-il de ceux-là qui sortent tous maintenant?
Vont-ils se briser entre eux, chaque instant?

Moi je jouis de voir sentir, je jouis de vous voir
Tremblez, manants, vous arrivez!
Tremblez de tous les temps!
Vous êtes ici chez moi, bienvenue chez Pan!

Du vin? non, il n’y a plus
Délices? encore un peu, viens…
Délire? des lyres, oui, c’est comme cela que ça finit.
En MUSI-QUEUE!

Mais… Mais avant…
C’est l’urgence de partir
C’est le tremblement de l’avenir.

Qui donc est le fou?
Qui sont-elles les horreurs, bergère?
Elles viennent combattre nos pensées…
Notre petite armée de penseurs virevoltants et joyeux

Les chiens et les chiennasses sont lâchés
Lâches, lâches, lèchent.
Chef de meute au rictus idiot et inconscient.
Magma de mamans et de dents…

Quel dommage que je sorte
Portes ouvertes, avorte!
Rentrez donc et tâtez l’aorte
C’est de cette sorte qu’on fait les sottes.

Adieu, adieu
Prenez ma place de libretin
Laissez-moi passer, ceci est mon chemin!

Kaléidoscope

vendredi, novembre 29th, 2019

Triptyque augmenté (2019)

mardi, novembre 12th, 2019

Le fameux triptyque de Bacon est privé de crucifixion. Qu’est-ce donc que je crucifie ici?

Krishnamurti me guide aimablement, bien que mort, en ce moment. Il est d’une grande aide à s’approcher de lui.
Il dit: la véritable paix est créatrice, donc destructrice.


Ci-dessous le texte initial devant accompagner cet article.

Voici donc l’expression de ma vulnérabilité, à la fois réponse à “L’origine de la guerre” d’Orlan, à “L’origine du monde” de Courbet et à tous leurs avatars -dont les miens font partie, évidemment.
[si je réponds à ma propre réponse, ça finit quand?]

Un des éléments du triptyque est donc intitulé “L’origine de la paix”, dans une sorte de sépia qui n’en est évidemment pas un.
L’élément fait de “off color material” est celui en violacé qui veut rappeler les procédés bizarroïdes de tirage argentique. Il est intitulé “No breed vanity”.
Ces deux clichés sont à la fois un hommage à Mapplethorpe, qui reprend ses amours picturaux, mais également une tentative spontanée d’exprimer mon propre ressenti (je n’avais pas connaissance de l’existence de Mapplethorpe il y a encore peu et ce n’est pas lui qui m’a montré la beauté des fleurs et des corps, des sexes).
Mapplethorpe n’est donc pas mon inspirateur (aspirateur?) mais un être photographe que je considère comme une sorte d’alter ego dans l’art.
C’est peut-être fort présomptueux (je sens bien les esprits chagrins qui pensent toutes ces bêtises), mais pour le coup, ses photos me sont proches dans ce qu’elles insinuent.
Il n’y a rien d’autre qu’une communauté de vision artistique, un quelque chose en soi commun, une sensibilité. Bien sûr, la provocation, aussi, mais qui vient seulement ensuite.

Je me fous de la cote de l’art et du marché, et j’adhère à ce que Romuald et PJ tournent en une simple question: “marché de l’art ou art du marché?”

Je pensais auto-censurer la vision directe de l’image en la cachant derrière un lien évocateur et de mise en garde. Finalement, non.
Il n’y a là qu’art et rien n’est répréhensible, pas plus du point de vue du droit que du point de vue médical (!).
Quand bien même la morale de certains serait choquée, qu’importe.

L’acte artistique permet la folie et la sublime et il est évident qu’à la manière d’Orlan, travailler son propre corps épargne de la souffrance de celui des autres.
De l’énergie gagnée.

La performance a duré le temps de la prise de vue, peu avant la clôture de l’exposition Arts Poncin 2019 donnée pour 19 heures.
Alors que déjà nombre d’artistes remballaient leurs œuvres, certains ayant eu la chance d’en vendre participant ainsi à la vie de l’association qui a permis l’exposition, j’ai substitué deux œuvres à deux autres afin de compléter le triptyque tout en l’augmentant d’une quatrième œuvre.

J’aime bien le terme d’ “augmenter”, il fait écho à ce qu’on appelle aujourd’hui l’humain augmenté, dans toute la bêtise du terme.

Nous ne sommes plus ni des hommes ni des femmes, mais des objets, des variables d’ajustement, des ressources.
Je dis non.

L’aspect symbolique est éradiqué des discours tout autant que l’aspect anatomique, physiologique, sans parler même de l’aspect psychologique.
Je dis non.

Le tarif Banksy

jeudi, octobre 24th, 2019

Pour se moquer du prix que l’on donne à l’art, mais surtout de ce que les capitalistes appellent le “marché” de l’art, Banksy a vendu (bradé, diraient les inconscients) certaines de ses œuvres à des prix symboliques. C’était dans les rues de New-York, je crois.
Alors, on dira que le gamin a de quoi voir venir, et c’est très probable. Mais est-ce là ce qui compte VRAIMENT?

Pour le finissage de l’expo à Arts Poncin, je prépare donc une surprise.
Ce sera le dimanche 3 novembre, mais pas avant 16 heures, j’en ai bien peur 🙂

A bientôt! 😉

https://www.thedailybeast.com/banksys-biggest-trick-yet-selling-his-art-on-the-street-for-dollar60

 

 

1993

jeudi, juillet 4th, 2019

Alors, c’est de l’enregistrement sur bande passé sur cassette puis sur PC (mais ya longtemps donc c’est pas du flac hein…)
J’ai toujours la bande magnéto (malgré mon grand âge ^^ cocotte) mais plus de lecteur, arf.
OSEF.
Donc Jimmy ( des Shtauss ) à la batterie (meilleur batteur du monde, tout petit, tout potelé hihi, ultra humain, ses petiots dansaient comme des fadas devant le groupe, ça restera un bon souvenir à jamais), Mika au lead guitar (on n’entend que lui, mais c’est aussi bien), Charles à la basse, et Francis au chant guitare rythmique (et pompier psycho 😉 )

Et vraiment “Pasqua tire-toi!” (connard).

🙂

 

Louie Louie

Psycho

Can’t seem to make you mine

Sympathy for the devil

Wild man

Fête de la musique 1993 Dijon, place Grangier.
Groupe: X-men.
Enregistrement: Lanternier.

FHP déverse 20 tonnes de sperme véritable sur l’obélisque parisien pour célébrer la jouissance de l’oligarchie et des dominants sur la populace engluée

vendredi, mai 17th, 2019

Geste artistique grandiôse!
Aux oubliettes la roberta de clitoris avec son petit pot de sang menstruel étalé sur une photo qu’elle n’a même pas créée!
Oublié le plug anal de kapour le petit et son vagin métallique (faudra lui dire que c’est la ceinture qu’est en métal cloutée^^)!
Fini à jamais le minuscule koons avec ses jouets de pédophile grandeur “adulte”!

Haha! 🙂 Le phallus de pierre a enfin éjaculé!

PS: et yen a partout 😉 … A quoi ça tient, l’ “art”.