Archive for the ‘Liberté’ Category

Bidoches d’un esthète

dimanche, février 11th, 2024

 

 

Témoignage ciivise

mardi, septembre 19th, 2023

J’ai témoigné auprès de la ciivise (Commission Indépendante sur l’Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants) en répondant aux questionnaires (auxquels on pourrait apporter des améliorations, comme ne pas restreindre à une seule réponse les périodes, proposées, pendant lesquelles ont eut lieu les violences, par exemple) et en appelant au téléphone.
Je l’ai fait parce qu’il semblerait que cette commission soit sur le point de disparaître fin 2023, après seulement deux ans de service, et que le nombre de témoignages est peut-être un argument afin qu’elle perdure.
Je l’ai fait pour moi parce que je tiens à ce que soit rendue publique mon histoire de chambre placard et que les pervers narcissiques et leurs complices soient montrés du doigt, ostracisés et mis au ban puisqu’ils n’avoueront jamais leur psychopathie, trop heureux de jouir du mal qu’ils font aux autres (“qu’ils viennent me chercher” a dit un pervers narcissique, à tendance histrionique, bien trop connu).
Je l’ai fait et le rends public pour les enfants qui vivent sous le joug de tels pervers et qui ne vivront peut-être jamais la vie que les personnes normo-névrosés (cf. Stoll/Hurni) pensent être “normale”.
Je le fais enfin car le déni est constitutif de la psychè humaine et que je n’aurais ni réparation ni indemnisation pour ce que j’ai vécu pendant la matinée de ma vie, comme Jung appelle la première moitié de la vie. Or, chacun le sait, les chances sont maigres de commencer une carrière après 50 ans, de se constituer un patrimoine afin de terminer sa vie le mieux possible, sachant que les conséquences de la maltraitance sexuelle infantile, le pire des traumatismes psychiques (Bilheran), handicapent lourdement ceux qui en sont les victimes (Salmona) tant physiquement que psychiquement; le pire étant que pour les normo-névrosés, ces handicaps ne sont pas visibles (ce qui explique en partie qu’ils n’y croient pas, tout comme la peur et le déni dont ils sont les proies consentantes).

Mais je le fais avant tout pour moi, car tout paranoïde que je suis condamné à être, je sens bien qu’il ne restera peut-être que le pire de cette commission voulue, hélas, par le fou pervers (Racamier) président: peut-être fera-t-on quelques moulinets à propos de ceci ou de cela, mais je crains que la page 69 (ça ne s’invente pas) du rapport préliminaire de la ciivise , concernant “L’éducation à la vie affective et sexuelle” ne soit prétexte à l’établissement délirant de la perversion généralisée des petits d’hommes, voulue par l’OMS (organisation mondiale de la santé), et qui mènera facilement l’humanité au totalitarisme mondial.

Les normo-névrosés objecteront que ce ne sont là que conjectures (ils jugent avec ce qu’ils savent), tout contents d’être gentiment assis dans la vie, maison, crédit, enfants, loisirs et zou! (les “tout-va-bien”).
Hélas, du point de vue de ceux qui ont vécu la “logique” d’un tel système au niveau individuel et nucléaire — au sens sociologique, et qui ont lu, qui se sont abreuvés de connaissances en plus de leur savoir expérimental et observationnel, l’humanité en prend, hélas, le triste et malsain chemin.

Il y a bien des degrés dans les traumatismes psychiques et leurs funestes conséquences, de la même façon qu’une coupure au doigt n’est pas une jambe cassée, encore moins un cancer, pas plus qu’une mort  par balle; tous pourtant étant des traumas physiques.
La perversion narcissique (Racamier) engendre les pires traumas sexuels infantiles, l’incestuel étant le pendant psychique de l’inceste et du viol et le meurtriel étant le pendant psychique de la mort physique.

Ceci est ma modeste contribution à l’humanité en espérant éviter la vanité de notre condition.
Le témoignage est la seule rédemption du survivant.

Le musée

samedi, août 12th, 2023

On rentre au musée quand on est mort. Certains morts n’y rentrent jamais, et cela en raison du fait qu’ils n’ont jamais été vivants.
Par contre on ne vit que dans le spectacle et quand c’est vide, c’est que l’on dort.
A-t-on besoin d’autres choses, je n’ose dire objets, d’autres libidos que celles des mots?
C’est déjà un fort léger fardeau!

Quand bien même les idiots voudraient nous clouer le bec au pilori, et à moins qu’ils ne nous tuent, les mots vivent.
Et c’est une jolie couleur les mauvives!
Une ivresse dont on se sert avec parcimonie avec ses rugosités, son velours et de très jolis yeux qui ne vont jamais seuls.

On va donc créer une mini pièce de théâtre pour la prochaine scène ouverte de Noétika, je crois que c’est en octobre 2023 (y’a un morceau de toltèque, là-bas; petit, mais y’en a un).
Oh! on aura toujours une guitare à disposition, je crois, au cas où trop de spectacle vivant, trop de mots, viendraient pousser à la création.

Qu’il est bon de délaisser le thanatique pour l’érotique, au moins un temps, un temps révoltant, un temps révolutionnaire…
Mmm?

Toutes des putes sur tous les réseaux

vendredi, août 4th, 2023

Toutes des putes sur tous les réseaux, toutes des putains, mâles ou femelles aux petits pouvoirs de kapos nazis.

De toutes obédiences et de toutes origines, tous des blaireaux wannabe-on-ne-sait-pas-quoi_mais-ils-en-veulent-les-crétins.

https://www.youtube.com/watch?v=ZvLKTSVRPfs

Baston et demi pour la flicaille.

vendredi, août 4th, 2023

Gandhi disait “œil pour œil rendra l’humanité aveugle”, dit-on.
Mais bastonner des condés à mort, avant de les exécuter, ou mieux de les laisser diminués (ce qu’ils sont déjà, zut) à vie, lorsque la violence qu’ils exercent sur les citoyens se fait insupportable, semble être une alternative plausible. Dans tous les cas, ça fait du bien de l’écrire, dans un contexte de folie perverse locale tout autant que mondiale.
Puisqu’ils nous font ce qu’on ne ferait pas à d’autres, comme disait le brave djizuss, pourquoi ne pas essayer?
Vaine tentative de rétablir un équilibre sain, à défaut d’une justice pesée. Quelle tristesse que d’avoir de telles pensées.

Trop

jeudi, août 3rd, 2023

Quand il fait trop chaud parce que trop solaire nucléaire et mortel, la lumière qui m’habite souffre de cette concurrence.
Les normies n’en ressentent rien, leur prolifération doit cesser. Ils ne peuvent d’aucune façon comprendre ce qui se joue là.
L’expansion de la perversion doit connaître son moment d’arrêt.

Perversion et suicide

mercredi, août 2nd, 2023

La politique est la gestion de la société et des individus qui la compose, les citoyens (habitants de la cité). Le mot politique provient du grec ‘polis’ (la cité) et concerne donc tous les humains; même si bien peu s’en soucient, la politique, elle, fait son affaire de tous, ne serait-ce que par l’imposition et les taxes, mais évidemment dans tous les domaines qui régissent la vie sociale.
Pour ma part, l’expérience douloureuse et meurtrielle d’une enfance massacrée par une parentèle psychopathique me fait ressentir ce qu’est la réalité de la psychopathie perverse narcissique (cf. Racamier). L’arrivée au pouvoir en France d’un tel personnage, accouplé incestuellement avec une femme de l’âge de sa mère à l’âge de 14 ans, est un retour du refoulé sans commune mesure avec les petits traumas dont souffrent tous les humains.
Ayant vécu l’incestuel maternelle et la perversion paternelle (la complice du pervers est également sa victime), la résurgence de ce mode opératoire dans la vie politique de tout un pays semble être la persévérance du Mal.
Subir depuis sa naissance la perversion psychique et matérielle, jusqu’à sa majorité est pour moi bien plus grave que quelques années en camps de concentration, qu’un viol ou une torture ponctuelle, sans toutefois ignorer la gravité de ces faits, qui sont eux pénalement répréhensibles.
La perversion morale (narcissique donc) est d’une toute autre nature car elle prend l’apparence de la normalité et brouille, surtout chez les enfants mais également dans tout l’entourage, la perception que l’on peut en avoir. Le déni est provoqué par la perversion qui injecte le poison ainsi qu’un faux antidote chez les personnes qui la côtoient.
Tant que les pervers moraux trouvent des victimes complaisantes (n’oublions jamais que les victimes adultes ont, soit, une faille narcissique, mais qu’elles sont complices du pervers même malgré elles), leur vide intérieur n’apparaît pas, ils ne tombent pas en dépression et ne se suicident pas.
Le suicide étant la solution à un débordement de souffrances (psychiques et/ou physiques) impossibles à supporter, il peut être conscient comme on le voit dans l’euthanasie (la bonne mort, étymologiquement) ou inconscient et marqué par des comportements dits à risques mortels: toxicomanie, sports extrêmes, etc.
J’en ai fait l’expérience inconsciente en ingérant 7 à 9 comprimés d’un puissant benzodiazépine fortement dosé qu’un patient psychotique m’avait refilé, à l’âge de la majorité environ. Heureusement et malgré la surdose provoquant une insuffisance cardiaque possiblement mortelle, je me suis réveillé après deux jours de coma, passé inaperçus au sein de la maison familiale. C’est dire si l’attention donnée aux enfants était existante…

Les traumatismes sexuels, infantiles, répétés de façon constante pendant des dizaines d’années, sont les plus graves et marquent bien sûr l’existence réelle des syndromes post-traumatiques graves qui induisent des incapacités sociales et interpersonnelles connues des seuls spécialistes, hélas (et de ceux qui en souffrent, qui les vivent).
Ma comparaison personnelle va au délire de la famille fritzl en Autriche, dont les membres survivants se trouvent (et se trouveront toujours, hélas) en institution, tellement le traumatisme est grand dans l’inceste réel et procréatif et la manipulation perverse du père, nazi confirmé si l’on peut dire, et la complicité inconsciente de la mère.

Donc, oui, les pervers doivent être ostracisés afin de tâcher d’équilibrer la société qui souffre tant de leurs actions malfaisantes. S’ils en viennent à la dépression, comme le suggère Racamier à propos des fous pervers (macron en est un cas d’école), puis au suicide, c’est parce qu’ils se refusent à toute remise en question et à tout travail thérapeutique.

Promotion du suicide pour les pervers: OUI

mardi, août 1st, 2023

Bon, heureusement qu’il y a les livres et chez soi (comme ici 😉 tant que la “justice” des gouverneux ne m’aura pas emmerdé, mais bon, c’est public, je les attends).
Pour rappel, côté sombre des livres, il y a matzneff, pédocriminel comme brigitte trogneux, toujours en liberté, duhamel aussi qui s’est fait sucé le pénis par son beau-fils de 14 ans, toujours en liberté grâce à la prescription… et combien d’autres salaudes et salopards qui mériteraient de rester enfermés jusqu’à la fin de leurs “jours”, ces sombres merdes.
Je maintiens que le taré fou pervers (définition par Racamier ici) va devoir se suicider et que ça fera du bien à une énorme majorité de lucides. Quand bien même cela fait partie de ce qu’on ose appeler “humanité”.
Et donc, je me barre du truc de robots (le délire censureur robotique est arrivé instantanément) dès que j’ai accès à ce compte.
Comme disait quelqu’un en parlant du Net: “ils ont cassé notre jouet”. Tu m’étonneras, Sarah.

Making our own “police” ^^

samedi, juillet 29th, 2023

https://www.flickr.com/photos/154550824@N08/53078093889/
Thanks to Christopher.

Kill french perv-in-chief

samedi, juillet 8th, 2023

 

La purge

jeudi, juin 22nd, 2023

La purge façon staline, mais pas pour instaurer un autre délire, pour rétablir un équilibre précaire (qui risque bien de ne rien changer à “l’histoire de l’humanité”, mais bon, qui ne tente rien…etc).
Pour la France (rance) des pervers gouverneux, l’élimination physique est obligatoire. La population asservie, méprisée, avilie, rejetée, prend les armes et élimine physiquement par assassinats tout le gouvernement et les méprisantiels, actuels et potentiels.
Du sang.
Bien peu comparé au sang qui serait versé à continuer dans une telle folie, dans une contrée dirigée par des fous psychopathes confinant à la psychose (ce qui est inédit, par ailleurs).
L’heure est grave, l’élimination est obligatoire, sauf à vouloir tous accepter un suicide obligé.

La purge devient mondiale, envahit tous les continents de pervers gouverneux, ils en sont éliminés. Quelques îles y échappent.

Ensuite? Ensuite, les soulèvements prennent le pouvoir avec à leur tête les sages, maniant aussi bien la kalashnikov que les auteurs antiques.
Arrêt de style “covidisme totalitaire” (oui, hélas, mais éh!… ça marche! :O ) de tous les transports polluants par air, terre et mer, arrêt de toutes les industries non essentielles à la nourriture de la population, gratuité de cette nourriture, compensée par les services rendus les uns aux autres.

Dans un premier temps, redistribution des richesses, continuité de la monnaie, pour arriver ensuite à l’abolition de ce système monétaire illusoire et pervers.

L’unique besoin des animaux, dont l’homme, est la nourriture. On revient à cela, et on recommence tout, sans oublier bien sûr l’art et la pensée, essentiels parce que sinon, on s’emmerde vachement avant de crever (vu qu’on sait qu’on va crever, bande de glands, on est les seuls êtres vivants à le savoir, croyons-nous).

Mais d’abord on tue les gouverneux pervers et psychopathes.

La ponérologie à l’heure du pervers nucléaire

lundi, juin 19th, 2023

La France vit depuis l’élection de 2017 et la réélection de 2022 du même pervers à la tête de l’Etat, une période de ponérogenèse politique ( https://fr.wiktionary.org/wiki/pon%C3%A9rologie ).
Comparativement aux autres chefs d’état plus ou moins fascistes et xénophobes, eux-mêmes assez sévèrement atteints de tares mentales comme bolsonaro au Brésil ou trump aux USA, celui que l’on appelle désormais le “méprisantiel de la raie publique” en raison de sa perversion totale, fait vivre à la population française une lente agonie psychique de décervelage ainsi qu’un meurtre de masse des esprits.
La folie envahit désormais chaque foyer, l’apathie et la méfiance s’emparent de chaque individu.
Ce sont là les conséquences d’une relation toxique au plus haut point, surtout lorsqu’il s’agit d’un “fou pervers narcissique” (concept élaboré par Racamier, voir la définition en 4 pages ici: http://www.lornet-design.net/la-folie-narcissique-racamier ) à la tête d’un état.
Hier, l’ex président de l’assemblée nationale (constituée par ceux qui sont élus et censés représenter le peuple, au pouvoir législatif) a émis l’idée, tel medvedev en Russie, de changer la constitution afin d’autoriser plus de deux mandats présidentiels. On sait ce que cela a donné en Russie avec poutine et medvedev, au pouvoir sans partage depuis plus de 20 ans.
Et voilà que le crétin français, le pervers neuneu, l’incapable de rien faire sauf à jouir du mal infligé aux autres, l’inhumain narcissique terrorisé par son deuil jamais effectué, a provoqué cet agir chez un de ses fervents admirateurs.
L’idée est lâchée, il reste 4 années de mandat pour détruire complètement la société française, son système politique (le fameux “en même temps” ne signifie pas une sorte de fusion-réunion de la gauche et de la droite, mais bel et bien un vide total du politique) ses services publics d’état, ainsi que la santé mentale et physique de tous les citoyens, hommes, femmes, enfants, et cela sans merci.

Un fou pervers narcissique n’a absolument aucune limite, il ne s’arrête que lorsqu’il est mort, tel le dictateur ceaucescu en Roumanie.

Le cuistre méprisantiel de la raie publique est encore jeune et ne lâchera JAMAIS le pouvoir. Plus il est humilié, et c’est quotidiennement et sur toute la planète tellement son vide et sa bêtise perverse sont visibles, plus il désire remplir ce vide qui le terrifie par aspiration de l’humanité de tous les autres humains véritables.
Sa conquête d’une pauvre femme professeur de province de 39 ans aux failles narcissiques évidentes, alors qu’il avait 14 ans, montre à quel point déjà il manipulait les faiblesses des autres pensant éviter les siennes, bien plus terrifiantes. Les élèves normo-névrosées fantasment l’accouplement sexuel avec un ou une professeur; lui l’a réalisé, mais non pour le sexe, pour la domination manipulatoire. Le résultat en a été la mort rapide (cancer) de l’ex-mari ainsi cocufié et père des trois enfants du couple âgés alors d’une quinzaine d’années.
La pseudo-réalité dans laquelle il s’est enfoncé, lui, mais aussi le reste de la société française virusée et décervelée par ses agirs, est un déni planétaire de l’idée même d’Humanité.
Bien peu s’aperçoivent du caractère irréversible de sa psychopathologie (une psychopathie sévère et incurable) et des dégâts qu’elle occasionne pour longtemps, sauf à effectivement se rendre compte que la destruction des biens publics est en marche (tous les services publics ne doivent penser qu’à la rentabilité via la fameuse “dette” — concept néolibéral, mais jamais à leur raison d’être: l’hôpital en est un exemple flagrant, mais tous les autres services sont également touchés). Ceux-là trouvent l’excuse du néolibéralisme, mais il est vrai que le capitalisme néolibéral est un système pervers qui sied aux pervers comme un préservatif à notre étron national.

Que disais-je donc déjà il y a quelques semaines: que les élections présidentielles françaises de 2027 n’auront pas lieu, car le cuistre s’arrange pour qu’une insurrection ou une guerre civile ait lieu, afin de s’octroyer les pleins pouvoirs, instaurer un état d’urgence sinon martial, voire un empire — la France a déjà connu cela, et délirer plus encore tel un hitler jouissant de sa folie, un staline paranoïaque au dernier degré, un enfant terrorisé à qui on a confié l’arme nucléaire…

L’humiliation de la population la plus faible est patente chez cet individu: pas d’augmentation des aides logements, aucune augmentation d’aucune sorte des moyens de subsistance — salaires, ni dans le secteur privé ni dans les services publics (sauf à entretenir ceux qui le protègent d’une mort certaine s’il se baladait dans la rue), réduction de la vitesse à 80 km/h sur les routes nationales (ainsi les jets privés pourront continuer de polluer sans que le bilan écologique global en soit trop affecté!), augmentation en flèche des prix de l’énergie et des biens alimentaires. Bref, j’en oublie, mais l’ambiance générale en France, aujourd’hui, est celle d’un malade au bordFje de la liquéfaction.

Alors comment lutter contre un tel malade mental, un tel handicapé psychique, un tel psychopathe qui gouverne par décrets et autres manipulations constitutionnelles afin qu’il soit le seul à légiférer et à gouverner?
Je vous laisse imaginer d’honorables solutions, il y a encore quelques millions d’armes dans le pays.
Car hélas, la constitution de la Ve république a été écrite par un militaire putschiste, qui avait cependant encore ses esprits, et qui protégeait les intérêts d’alors (colonies, guerre et invasion de 1939-45, etc).
Un esprit incurablement malade a pris le pouvoir et se sert de ces constructions législatives pour rendre l’Autre fou, afin de ne pas voir son propre malheur, lui aussi incommensurable. Les vies de millions de concitoyens sont en jeu, il n’en a cure, seule sa jouissance ponéronique le satisfait, et encore! jamais assez.
Seule la mort de l’être maltraitant et vide peut sauver ce qu’il reste de vie chez la multitude.

 

Le vol par ruse

lundi, juin 5th, 2023

J’avais confié cette guitare à un guitariste que je connaissais à peine, afin qu’il la vende pour moi.
Plutôt un gars du genre toxico, pseudo métalleux pas vraiment dans son assiette… bizarre, quoi. Un guitariste quoi. Ptète même pas un bon. Ou alors un couillon qui fait de la quantité de notes au lieu de la qualité (oui, j’aime Miles Davis et je vous emmerde 🙂 )…
Je lui laisse en dépôt-vente, en quelque sorte, mais lorsque je venais pour m’enquérir de la progression de la vente… l’appartement était vidé de ses occupants.
C’était rue d’Auxonne à Dijon, un appartement miteux, pour pauvres ou normo-névrosés dans la dèche.
Un vol par ruse, à l’époque d’avant la démocratisation d’internet et du web et bien sûr sans smartphones.
Dans mon cul! Dis-donc!
Pas que ce soit une guitare qui vaille beaucoup (aujourd’hui une 175 Paul Beuscher, c’est dans les 300 euros, à l’époque c’était en francs, soit 50 ou 60 euros!) mais bon, se faire enculer par un couillon, ça fait toujours mal au cul.
L’amour et la vie n’ont que faire des petits malfrats. Le Tao trouve son chemin, peu importe le temps 😉
J’ai retrouvé une CHAUDASSE 🙂

La bornitude

vendredi, mai 5th, 2023

En re regardant The Equalizer à l’occasion de la sortie du 3e opus (avec le fameux Denzel Washington, celui de The Book of Eli – https://www.imdb.com/title/tt1037705/ ) une citation de Mark Twain apparaît au tout début du film, que je traduis ainsi:
“Les deux jours les plus importants dans votre vie sont celui où vous êtes né et celui où vous comprenez pourquoi”.
La plupart n’ont de second jour que le dernier.

“En guerre” … sabotage

lundi, avril 17th, 2023

Lorsqu’un psychopathe à la tête d’un état, un pervers narcissique paranoïaque (au sens psychanalytique des termes, et c’est sévère) dit à la population qu’il dirige (plutôt qu’il gouverne): “nous sommes en guerre”, alors il faut retourner contre le cuistre sa logique afin de le faire taire et de l’humilier.
La toute première chose à faire lorsque l’on mène une guerre, c’est de couper toutes les communications (liaisons et transports terrestres, aériens et maritimes) et télécommunications (télévision, radio, internet) par les moyens du sabotage.
La guerre voulue par le cuistre pervers et totalitaire se retourne ainsi contre lui qui, sans parole ni audience, se retrouve nu et vide, seul face à son deuil et à sa dépression, sans pouvoir l’évacuer chez d’autres. Il en meurt.
La vie peut ainsi reprendre son cours, forte d’une expérience enrichissante bien que traumatisante.
L’eau du Tao ne peut être empêchée que temporairement.

2084

dimanche, mars 26th, 2023

Bientôt on aura un ministère de l’art. Oui.
Fini les termes circonvolants, alambiqués ou pseudo-philosophiques! finie la “culture”, ils ont choisi de détruire le mot lui-même.
Un ministère de l’art où la veuve d’un ex-président donnera le LA musical, comme le dit déjà, en guise de réclame, une banque du même pays.
Un ministère de l’art inconsistant, vide, tout à l’image abyssale de ceux qui le créent.
Un ministère totalitaire, comme tous les autres. Une sorte d’élaboration du dégoût, visible, palpable.
Un autre ministère “du sang et des larmes”, comme aiment à le dire ceux qui manipulent de loin, hors de tout danger.

Cependant, l’hubris vient toujours à point nommé pour rappeler que le bonzaï meurt si on n’y prend un soin extrême, quand bien même on l’obligerait à aimer sa propre image déformée d’arbre monstrueux, symbole évident d’une toute-puissance forcément avortée…
La nature, cosmique même, ne tolère pas, tout en hasard, certains désordres hubriques.
Et il n’y a là ni dieu ni pensée ni action. C’est la pure non-action.

Pénurie de lampes?

samedi, octobre 29th, 2022

Je viens de saisir le sens presque profond de ce titre, qui concerne à l’origine un hypothétique manque de ‘tubes’ (‘valves’, etc), éléments indispensables destinés aux amplis guitare et autre matériel audiophonique.
Le monde terrestre manque cruellement de lumière(s).
Les inconscients se ramassent à la pelle.
Mais, finalement, quoi de mieux qu’une obscure noirceur pour briller tranquilou? Me direz-vous? 🙂

La bonne société

lundi, octobre 17th, 2022

La “bonne société”, c’est évidemment celle que les dominants appellent ainsi, la leur.
On ne peut pas l’enlever, la bonne société est celle des riches, bourgeois ou nobles, qui s’entendent entre eux le plus simplement du monde.
Les véritables intellectuels ne font pas partie de ce monde, on peut s’en rendre compte aisément en écoutant les Pinçon-Charlot qui ont étudié leur vie durant les rouages de ce monde social à qui la planète appartient d’une manière ou d’une autre et que l’on peut considérer comme responsables de son anéantissement, à savoir celui de l’humanité. [ <- y’a un souci dans cette phrase, hein? 😉 ]
C’est là toute la difficulté de saisir ce qui est le mal dans un monde auquel on est habitué depuis la naissance. On peut même presque dire que les philosophes, dans leurs tentatives multiples, avancées mais toujours vaines, de caractériser l’humain ont participé également au déni qui caractérise l’absence de prise de conscience de ces drôles d’animaux qui parlent et prétendent être pourvus d’une conscience.

L’autorité folle

jeudi, septembre 29th, 2022

Cette période où la folie l’emporte au sein et au service des dominants fait confondre à certains esprits éveillés l’autorité et l’autoritarisme, maniaque et pervers.
C’est non seulement embêtant, mais très dangereux. Si l’on veut bien considérer les trois états psychiques principaux que sont la névrose, la psychose et la perversion, cette dernière, bien qu’ayant toujours existé, semble l’emporter sur les deux autres à la faveur du cours de l’humanité et des systèmes qu’elle met en place pour sa survie, économiques, politiques et donc sociaux.
Une grande masse de névrosés se contentent d’un déni inconscient de ce dont ils sont l’objet; c’est la vie pensée comme heureuse mais débilitante basée sur la reproduction et la consommation, afin de croire “qu’il en va ainsi”.
Cependant, et bien que ces signaux soient encore faibles et plutôt utilisés comme des outils pervertibles, le mouvement d’émancipation est toujours présent et semble s’attaquer désormais à certaines fondations de la perversion dominatoire, à savoir la sexualité: les femmes et les enfants dénoncent les tortures maltraitantes “communes” et ne se résolvent pas au déni. Une conscientisation du malheur dont l’art est la principale voie d’accès et qui prend la forme politique et sociale de rébellions, de révoltes et de séditions.
Les réponses à cette émancipation saine, dans les régimes politiques les plus variés, sont évidemment l’emploi de la force afin de mater toutes velléités de liberté et de préserver la domination des castes perverses.
Ce qui peut être plus grave encore pour la société, c’est que ceux qui entendent prendre soin d’autrui, afin de réduire la folie auto-destructrice des survivants de maltraitances, peuvent être amenés à confondre des mouvements d’autoritarisme pervers et toxiques avec une autorité saine. Cela est permis par la nature même de la perversion que Racamier et Caillot à sa suite ont tenté de définir avec un certain succès.
Cependant, et il faut y revenir, la nature même de la perversion est indissociable de la jouissance dont elle se nourrit, ce qui en fait un phénomène mouvant dans son immobilisme et insaisissable dans ses contours.
Eiguer tente de son côté de parvenir à cette même fin en s’appuyant sur le groupe plutôt que sur l’individu malade, car cet individu est jouir de folie et amour de la destruction de l’autre dans le cas de la perversion narcissique. La collusion de ces mots antagonistes montre à quel point la tâche est ardue.
Fût une époque où Freud pouvait encore fuir la folie destructrice de la perversion en s’échappant dans un autre pays que le sien où les gouvernants étaient moins sujets à la pédagogie noire qu’à l’amour de la liberté, mais surtout à une certaine modération (si l’on veut bien y croire encore).
Aujourd’hui, dans ces premières décennies du XXIe siècle, l’Homme a atteint sans encore le formuler ni le formater entièrement un régime planétaire.
L’expérience inédite (!) d’un virus de type coronavirus aux symptômes principalement grippaux, dont on ne sait rien de la genèse (c’est à la fois fort ennuyeux et de bien peu d’importance face aux phénomènes politiques construits sur et par sa présence bien réelle)  mais dont on sait qu’il a émergé près d’un laboratoire d’ingénierie génétique étudiant à des fins de modification précisément ces virus de chauve-souris, a montré à quel point la bascule dans un régime totalitaire mondial est aisée.
La perversion, disais-je, mène à la psychose. L’inertie de la névrose peut probablement pendant un temps faire contrepoids aux saillies qu’amènent les psychoses dans la société, mais c’est là un équilibre forcément fragile et qui ne repose en rien sur la raison.
Si la perversion s’étend de façon suffisamment globale, la psychose remplacera bientôt la banale névrose pour le malheur de tous.
La névrose est un pis-aller assez confortable et jusqu’à présent assez efficace également. Jusqu’à présent.
La psychanalyse, et par extension toutes les formes thérapeutiques bienveillantes (de celles qui permettent d’aborder la mort en paix, la vie durant), ne peuvent se laisser manier, subrepticement, par un autoritarisme rampant, fruit de la perversion.
J’admets que certaines contingences matérielles puissent, hélas, empêcher un instant les déroulements de cures, mais il faut impérativement et le plus vite possible, dire et montrer à la lumière de l’esprit le phénomène autoritaire en prenant conscience qu’il vient remplacer, de façon éminemment perverse, la saine autorité sans laquelle le sens est inversé pour devenir insensé.
Se dire que l’assurance psychique de l’homme sain est un rempart suffisant aux attaques perverses est un leurre. La fuite était, était!, un moyen terme pour garder une certaine sanité, mais les progrès techniques (surveillance de masse en toutes matières, sociale, médicale, politique, bref, physiologique à défaut d’être encore intégrée au psychisme mécaniquement) sont aujourd’hui mis à la disposition des pervers qui nous gouvernent.

Y a-t-il du beau, du bon et du sacré dans l’humanité, je le crois.
Cependant, et même à des fins personnelles, la foi, la saine lutte ne doit jamais se laisser amadouer par la face perverse de l’hubris.

 

Liquider les conséquences de la PN

mercredi, septembre 21st, 2022

La perversion narcissique des parents a pour effet délétère sur les enfants de les rendre psychotiques.
Il semblerait que le système capitaliste occidental, dans sa plus grande partie, au moment de l’après-guerre du milieu du XXe siècle ait favorisé l’emprise de cette maladie mentale structurelle qu’est la perversion narcissique en mettant entre les mains d’esprits malades de ce virus mortel, ceux qu’on appelle les ‘boomers’ (nés de la forte natalité de l’après-guerre), tous les moyens économiques que la planète ait jamais connus.
Il n’y aura plus jamais de telle période car nous vivons aujourd’hui les conséquences non seulement psychologiques mais également matérielles et écosystémiques d’un effondrement total bien que lent, mais s’accélérant, de l’hubris portée à son apogée.
Ce n’est pas tant la nature de cette passion qui est en jeu, car elle est et restera toujours la même, que les moyens totalitaires mis à sa disposition.
Chacun sait aujourd’hui que la planète Terre, qui abrite l’écosystème permettant la Vie ainsi que la vie humaine, est fini. Il n’est pas terminé, il est fini.
Les comparaisons faciles avec les ratatinages de civilisations passées ne sont d’aucune utilité intellectuelle, elles favorisent même les illusions hallucinatoires qui permettent de continuer sur le chemin de l’abîme et de mourir, si l’on peut dire, de façon inconsciente.
Il n’y aura pas de retour pour l’humanité, et le ‘great reset’ de quelques fous est une hallucination schizophrénique permise par l’état d’ébriété que procure l’apogée de l’hubris concomitamment à la conscience à la fois de la finitude des ressources et de la mort prochaine de ceux-là mêmes qui s’emploient à l’élaborer.
Il n’existe aucune solution satisfaisante de quelque point de vue.
La liquidation des affreux, violente ou non, fera ressurgir parmi les uns et les autres de plus grandes maladies.
Se perdre et s’oublier dans les pires plaisirs ne changera que la vitesse à laquelle la perte s’établira, tantôt la réduisant, tantôt l’accélérant.
Chacune des Idées, jadis élaborées et qui nous sont parvenues depuis quelques milliers d’années tout au plus, ne peuvent aujourd’hui se concevoir sans que l’on s’aperçoive (enfin?) qu’elles sont hélas concomitantes de la matérialité nécessaire (en tant que Nécessité) à la vie humaine.
Les affects, qui sont donc tous des ‘maladies mentales’, périront avec ce qu’ils produisent de Néant.
L’Humanité ne maîtrise absolument rien, tout au plus pourrait-elle tâcher de survivre en conscience, mais sa nature même l’en empêche férocement.
Le Sage comme le gredin partagent la même nature et sont tout autant responsables, l’un comme l’autre, chacun à sa manière.
Il n’y a rien; il n’y a pas plus de dieu que de quantique hors de l’esprit humain qui crée ces commodes hallucinations.
Pour se rassurer, chacun doit se soumettre, prendre sa part, faire corps avec lui-même et s’arrêter.
Il est si vrai que l’écriture est commode, tant elle permet d’oublier qu’il s’agit d’une auto-destruction dont seuls ceux qui créent peuvent jouir avant de finir, plutôt que d’en terminer.