Archive for the ‘Liberté’ Category

La bornitude

vendredi, mai 5th, 2023

En re regardant The Equalizer à l’occasion de la sortie du 3e opus (avec le fameux Denzel Washington, celui de The Book of Eli – https://www.imdb.com/title/tt1037705/ ) une citation de Mark Twain apparaît au tout début du film, que je traduis ainsi:
“Les deux jours les plus importants dans votre vie sont celui où vous êtes né et celui où vous comprenez pourquoi”.
La plupart n’ont de second jour que le dernier.

“En guerre” … sabotage

lundi, avril 17th, 2023

Lorsqu’un psychopathe à la tête d’un état, un pervers narcissique paranoïaque (au sens psychanalytique des termes, et c’est sévère) dit à la population qu’il dirige (plutôt qu’il gouverne): “nous sommes en guerre”, alors il faut retourner contre le cuistre sa logique afin de le faire taire et de l’humilier.
La toute première chose à faire lorsque l’on mène une guerre, c’est de couper toutes les communications (liaisons et transports terrestres, aériens et maritimes) et télécommunications (télévision, radio, internet) par les moyens du sabotage.
La guerre voulue par le cuistre pervers et totalitaire se retourne ainsi contre lui qui, sans parole ni audience, se retrouve nu et vide, seul face à son deuil et à sa dépression, sans pouvoir l’évacuer chez d’autres. Il en meurt.
La vie peut ainsi reprendre son cours, forte d’une expérience enrichissante bien que traumatisante.
L’eau du Tao ne peut être empêchée que temporairement.

2084

dimanche, mars 26th, 2023

Bientôt on aura un ministère de l’art. Oui.
Fini les termes circonvolants, alambiqués ou pseudo-philosophiques! finie la “culture”, ils ont choisi de détruire le mot lui-même.
Un ministère de l’art où la veuve d’un ex-président donnera le LA musical, comme le dit déjà, en guise de réclame, une banque du même pays.
Un ministère de l’art inconsistant, vide, tout à l’image abyssale de ceux qui le créent.
Un ministère totalitaire, comme tous les autres. Une sorte d’élaboration du dégoût, visible, palpable.
Un autre ministère “du sang et des larmes”, comme aiment à le dire ceux qui manipulent de loin, hors de tout danger.

Cependant, l’hubris vient toujours à point nommé pour rappeler que le bonzaï meurt si on n’y prend un soin extrême, quand bien même on l’obligerait à aimer sa propre image déformée d’arbre monstrueux, symbole évident d’une toute-puissance forcément avortée…
La nature, cosmique même, ne tolère pas, tout en hasard, certains désordres hubriques.
Et il n’y a là ni dieu ni pensée ni action. C’est la pure non-action.

Pénurie de lampes?

samedi, octobre 29th, 2022

Je viens de saisir le sens presque profond de ce titre, qui concerne à l’origine un hypothétique manque de ‘tubes’ (‘valves’, etc), éléments indispensables destinés aux amplis guitare et autre matériel audiophonique.
Le monde terrestre manque cruellement de lumière(s).
Les inconscients se ramassent à la pelle.
Mais, finalement, quoi de mieux qu’une obscure noirceur pour briller tranquilou? Me direz-vous? 🙂

La bonne société

lundi, octobre 17th, 2022

La “bonne société”, c’est évidemment celle que les dominants appellent ainsi, la leur.
On ne peut pas l’enlever, la bonne société est celle des riches, bourgeois ou nobles, qui s’entendent entre eux le plus simplement du monde.
Les véritables intellectuels ne font pas partie de ce monde, on peut s’en rendre compte aisément en écoutant les Pinçon-Charlot qui ont étudié leur vie durant les rouages de ce monde social à qui la planète appartient d’une manière ou d’une autre et que l’on peut considérer comme responsables de son anéantissement, à savoir celui de l’humanité. [ <- y’a un souci dans cette phrase, hein? 😉 ]
C’est là toute la difficulté de saisir ce qui est le mal dans un monde auquel on est habitué depuis la naissance. On peut même presque dire que les philosophes, dans leurs tentatives multiples, avancées mais toujours vaines, de caractériser l’humain ont participé également au déni qui caractérise l’absence de prise de conscience de ces drôles d’animaux qui parlent et prétendent être pourvus d’une conscience.

L’autorité folle

jeudi, septembre 29th, 2022

Cette période où la folie l’emporte au sein et au service des dominants fait confondre à certains esprits éveillés l’autorité et l’autoritarisme, maniaque et pervers.
C’est non seulement embêtant, mais très dangereux. Si l’on veut bien considérer les trois états psychiques principaux que sont la névrose, la psychose et la perversion, cette dernière, bien qu’ayant toujours existé, semble l’emporter sur les deux autres à la faveur du cours de l’humanité et des systèmes qu’elle met en place pour sa survie, économiques, politiques et donc sociaux.
Une grande masse de névrosés se contentent d’un déni inconscient de ce dont ils sont l’objet; c’est la vie pensée comme heureuse mais débilitante basée sur la reproduction et la consommation, afin de croire “qu’il en va ainsi”.
Cependant, et bien que ces signaux soient encore faibles et plutôt utilisés comme des outils pervertibles, le mouvement d’émancipation est toujours présent et semble s’attaquer désormais à certaines fondations de la perversion dominatoire, à savoir la sexualité: les femmes et les enfants dénoncent les tortures maltraitantes “communes” et ne se résolvent pas au déni. Une conscientisation du malheur dont l’art est la principale voie d’accès et qui prend la forme politique et sociale de rébellions, de révoltes et de séditions.
Les réponses à cette émancipation saine, dans les régimes politiques les plus variés, sont évidemment l’emploi de la force afin de mater toutes velléités de liberté et de préserver la domination des castes perverses.
Ce qui peut être plus grave encore pour la société, c’est que ceux qui entendent prendre soin d’autrui, afin de réduire la folie auto-destructrice des survivants de maltraitances, peuvent être amenés à confondre des mouvements d’autoritarisme pervers et toxiques avec une autorité saine. Cela est permis par la nature même de la perversion que Racamier et Caillot à sa suite ont tenté de définir avec un certain succès.
Cependant, et il faut y revenir, la nature même de la perversion est indissociable de la jouissance dont elle se nourrit, ce qui en fait un phénomène mouvant dans son immobilisme et insaisissable dans ses contours.
Eiguer tente de son côté de parvenir à cette même fin en s’appuyant sur le groupe plutôt que sur l’individu malade, car cet individu est jouir de folie et amour de la destruction de l’autre dans le cas de la perversion narcissique. La collusion de ces mots antagonistes montre à quel point la tâche est ardue.
Fût une époque où Freud pouvait encore fuir la folie destructrice de la perversion en s’échappant dans un autre pays que le sien où les gouvernants étaient moins sujets à la pédagogie noire qu’à l’amour de la liberté, mais surtout à une certaine modération (si l’on veut bien y croire encore).
Aujourd’hui, dans ces premières décennies du XXIe siècle, l’Homme a atteint sans encore le formuler ni le formater entièrement un régime planétaire.
L’expérience inédite (!) d’un virus de type coronavirus aux symptômes principalement grippaux, dont on ne sait rien de la genèse (c’est à la fois fort ennuyeux et de bien peu d’importance face aux phénomènes politiques construits sur et par sa présence bien réelle)  mais dont on sait qu’il a émergé près d’un laboratoire d’ingénierie génétique étudiant à des fins de modification précisément ces virus de chauve-souris, a montré à quel point la bascule dans un régime totalitaire mondial est aisée.
La perversion, disais-je, mène à la psychose. L’inertie de la névrose peut probablement pendant un temps faire contrepoids aux saillies qu’amènent les psychoses dans la société, mais c’est là un équilibre forcément fragile et qui ne repose en rien sur la raison.
Si la perversion s’étend de façon suffisamment globale, la psychose remplacera bientôt la banale névrose pour le malheur de tous.
La névrose est un pis-aller assez confortable et jusqu’à présent assez efficace également. Jusqu’à présent.
La psychanalyse, et par extension toutes les formes thérapeutiques bienveillantes (de celles qui permettent d’aborder la mort en paix, la vie durant), ne peuvent se laisser manier, subrepticement, par un autoritarisme rampant, fruit de la perversion.
J’admets que certaines contingences matérielles puissent, hélas, empêcher un instant les déroulements de cures, mais il faut impérativement et le plus vite possible, dire et montrer à la lumière de l’esprit le phénomène autoritaire en prenant conscience qu’il vient remplacer, de façon éminemment perverse, la saine autorité sans laquelle le sens est inversé pour devenir insensé.
Se dire que l’assurance psychique de l’homme sain est un rempart suffisant aux attaques perverses est un leurre. La fuite était, était!, un moyen terme pour garder une certaine sanité, mais les progrès techniques (surveillance de masse en toutes matières, sociale, médicale, politique, bref, physiologique à défaut d’être encore intégrée au psychisme mécaniquement) sont aujourd’hui mis à la disposition des pervers qui nous gouvernent.

Y a-t-il du beau, du bon et du sacré dans l’humanité, je le crois.
Cependant, et même à des fins personnelles, la foi, la saine lutte ne doit jamais se laisser amadouer par la face perverse de l’hubris.

 

Liquider les conséquences de la PN

mercredi, septembre 21st, 2022

La perversion narcissique des parents a pour effet délétère sur les enfants de les rendre psychotiques.
Il semblerait que le système capitaliste occidental, dans sa plus grande partie, au moment de l’après-guerre du milieu du XXe siècle ait favorisé l’emprise de cette maladie mentale structurelle qu’est la perversion narcissique en mettant entre les mains d’esprits malades de ce virus mortel, ceux qu’on appelle les ‘boomers’ (nés de la forte natalité de l’après-guerre), tous les moyens économiques que la planète ait jamais connus.
Il n’y aura plus jamais de telle période car nous vivons aujourd’hui les conséquences non seulement psychologiques mais également matérielles et écosystémiques d’un effondrement total bien que lent, mais s’accélérant, de l’hubris portée à son apogée.
Ce n’est pas tant la nature de cette passion qui est en jeu, car elle est et restera toujours la même, que les moyens totalitaires mis à sa disposition.
Chacun sait aujourd’hui que la planète Terre, qui abrite l’écosystème permettant la Vie ainsi que la vie humaine, est fini. Il n’est pas terminé, il est fini.
Les comparaisons faciles avec les ratatinages de civilisations passées ne sont d’aucune utilité intellectuelle, elles favorisent même les illusions hallucinatoires qui permettent de continuer sur le chemin de l’abîme et de mourir, si l’on peut dire, de façon inconsciente.
Il n’y aura pas de retour pour l’humanité, et le ‘great reset’ de quelques fous est une hallucination schizophrénique permise par l’état d’ébriété que procure l’apogée de l’hubris concomitamment à la conscience à la fois de la finitude des ressources et de la mort prochaine de ceux-là mêmes qui s’emploient à l’élaborer.
Il n’existe aucune solution satisfaisante de quelque point de vue.
La liquidation des affreux, violente ou non, fera ressurgir parmi les uns et les autres de plus grandes maladies.
Se perdre et s’oublier dans les pires plaisirs ne changera que la vitesse à laquelle la perte s’établira, tantôt la réduisant, tantôt l’accélérant.
Chacune des Idées, jadis élaborées et qui nous sont parvenues depuis quelques milliers d’années tout au plus, ne peuvent aujourd’hui se concevoir sans que l’on s’aperçoive (enfin?) qu’elles sont hélas concomitantes de la matérialité nécessaire (en tant que Nécessité) à la vie humaine.
Les affects, qui sont donc tous des ‘maladies mentales’, périront avec ce qu’ils produisent de Néant.
L’Humanité ne maîtrise absolument rien, tout au plus pourrait-elle tâcher de survivre en conscience, mais sa nature même l’en empêche férocement.
Le Sage comme le gredin partagent la même nature et sont tout autant responsables, l’un comme l’autre, chacun à sa manière.
Il n’y a rien; il n’y a pas plus de dieu que de quantique hors de l’esprit humain qui crée ces commodes hallucinations.
Pour se rassurer, chacun doit se soumettre, prendre sa part, faire corps avec lui-même et s’arrêter.
Il est si vrai que l’écriture est commode, tant elle permet d’oublier qu’il s’agit d’une auto-destruction dont seuls ceux qui créent peuvent jouir avant de finir, plutôt que d’en terminer.

lisbeth 2

lundi, septembre 12th, 2022

Mort de la reine d’Angleterre:
un apport d’engrais vintage (de qualité!) qui ne compense pas son humiliante fortune, mais que chacun de ses sujets aurait aimé continuer à agrandir.

Cantique des quantiques

samedi, septembre 10th, 2022

 

 

Rien de ce qui ne m’est arrivé n’est arrivé par hasard, il faut s’y résoudre.
Une lutte pour la véritable liberté, celle de l’âme, dans les pires conditions.
Pas autant que celles du Joker incarné par Joaquin Phoenix au grand écran, à savoir une mère incestuelle profondément psychopathe au point de le laisser faire sa toilette alors qu’elle a les capacités physiques de la faire elle-même, un père ou plutôt une brute d’une extrême maltraitance dont on ne connaît que l’aspect physique (on ne sait pas s’il exerce également des violences sexuelles).
Une famille d’une toxicité extrême qui explique le principal symptôme visible du Joker, un rire incontrôlable qui se déclenche de façon présentée comme aléatoire, seul symptôme reconnu par le maigre suivi médico-social dont il bénéficie: un traitement médicamenteux de type camisole chimique qui permet à la société de ne plus se préoccuper de l’essentiel, et des entretiens que le capitalisme de crise et la financiarisation de la société vont supprimer par “manque” d’argent.
Voilà pour les racines du mal, présentées comme le pouvoir destructeur d’un système exclueur basé sur la richesse financière et le système capitaliste consommatoire qui broie littéralement, tels des exemples de foire, ceux que l’on peut exhiber publiquement, alors que les fleurs du mal semblent préserver plus facilement de la folie, tel le jeune Bruce Wayne fils de milliardaire politique, dont l’exutoire de sa phobie infantile ne pourra être que présentée comme une vengeance, prétendue saine, au service d’une justice qui ne vise, sous couvert d’universalité — mensongère évidemment, à ne s’occuper que de points de détail, comme si le Monde et l’Humanité n’étaient au final qu’un décorum dont la seule fonction serait de valider la marche connue et acceptée d’une société terriblement malade.

Vrac

lundi, juillet 25th, 2022

Badass for a smartass asshole

samedi, juillet 9th, 2022

Hail to the king, CryBaby! 🙂
[*blink @Duke ;)*]

La gagne

vendredi, mars 11th, 2022

Aujourd’hui c’est putain de ventu, comme s’il soufflait un renouveau printanier, comme s’il allait pleuvoir et lessiver les fous et les idées.
Et du coup, je ne suis pas resté bien longtemps, mais j’ai pas perdu ma journée, je suis revenu avec le programme 2022 de Mélenchon qu’on m’a généreusement offert. Zut, moi qui pestais du prix, ben je vais pouvoir le lire maintenant! prout 😛
Oh, j’ai bien senti que les nouvelles étaient allées bien vite, sur ce menu marché, mais ce n’est pas à un ex-survivant (un miraculé, oui), rescapé de la merde humaine qu’on va faire avaler, plus jamais!, de couleuvres.
Pour le calme et la sérénité, chacun va devoir s’assagir, à moins d’être artiste. 😉

Ils ne veulent pas voir la réalité

mardi, février 1st, 2022

N’en déplaise à tous ceux, Boris Cyrulnik et Margot Friedländer par exemple, qui n’ont pas terminé ou poussé à fond l’analyse de leur histoire et de l’Histoire (à l’inverse d’ Hannah Arendt), mais penser qu’une souffrance est telle qu’elle est indépassable ou non reproductible est une grave erreur.
L’histoire ne se répète pas, elle tourne (encore) en rond, et c’est toute la différence.
Quand on a vécu d’horribles moments mais qu’on se persuade qu’ils ne peuvent se reproduire parce que, sur le moment, toute limite a déjà été franchie, on est battu, on est dans le déni terrible, et on fait le lit d’un avenir encore plus terrible, en échange de quelques considérations momentanées.

https://www.youtube.com/watch?v=eiwiH40AAjE
Vaccin, Croyances & Réalité
Feb 1, 2022
Didier Raoult

Sentence au marteau…

mercredi, août 4th, 2021

 http://www.lornet-design.net/une-gentillesse/

Prétendre à la non-aliénation

lundi, juin 28th, 2021

En tant qu’artiste, la liberté est encore totale. L’esprit ne peut être aliéné que par lui-même, en général avec l’aide d’Autres, eux-mêmes contents de leur aliénation, ou du moins qui en tirent quelques bénéfices, bien sûr, sans le savoir.
Imaginerait-on un philosophe, pire! un psychanalyste se mettre à nu, se laisser aller à la colère, se métamorphoser telle la chenille, chrysalide puis papillon pour enfin mourir en beauté? Non.
Et bien l’artiste est ce qui pourrait sembler manquer à ceux-là.
Des genitalia en gros plan? qui, semblerait-il, sont l’outrage le plus “dément” de notre période, l’artiste le peut. Et peu importe la raison qui ne regarde que lui et son inconscient.
Des meurtres fantasmés? de ceux qui font qu’on emprisonne des populations entières, l’artiste le peut également.
Penser. Utiliser ce qui fait l’humain dans un chaos organisé. Voilà ce qui fait l’artiste.
La lie de l’esprit est envahissante, le pulsionnel, bien qu’indispensable, est devenu la brute réalité acceptée par le nombre. Brutal.
Les moyens de diffusion de cette excrémentielle merde sont légion, ils sont effectivement partout, aujourd’hui, même lorsqu’on regarde ce qu’on croit être des étoiles et qui ne sont que les jouets volants d’un milliardaire.
Heureusement, il y a l’art sublime, tant qu’il reste; l’artiste, tant qu’il vit.
Hélas, parmi ceux-ci se faufilent des imposteurs, que l’on dit “maîtres”, en plus.
Mais voilà, il en est ainsi de la vérité mêlée de réalité, on n’en cueille pas les fruits sans dommages, on ne les atteint pas sans effort.

La guillotine

lundi, mai 10th, 2021

Ce qui me pousse à désirer la guillotine pour tous les gouvernants, dirigeants et dominants.
On pourrait dire un juste retour naturel du mal infligé aux populations mondiales, car en effet, le sentiment est probablement mondial.
Le capitalisme associé à l’hubris de l’humanité, mais qui ne précipite que pour une infime partie de celle-ci, mène au désastre que l’on connaît.

L’apparition d’un virus covida est le catalyseur de cette chimie.

Les éléments, les ingrédients étaient prêts, ils se sont précipités et ont précipité dans une alchimie diabolique. Comme tous ceux qui ont conscience et dénoncent les perversions humaines, à l’échelle mondiale, planétaire, chacun peut se rendre compte que l’argent et la domination totale qu’il permet, en est le principal détonateur.
Si l’on revient sur la situation de la France, un pays extrêmement riche, dont certains citoyens sont parmi les plus fortunés milliardaires du globe, possédant l’arme totale, nucléaire, une terre fertile et permettant facilement l’autarcie, il est frappant de s’apercevoir que les politiques mises en place par les voraces de l’argent ne lui permettent pas de soigner une petite poussée de patients dans ses hôpitaux, en raison d’un système de santé défaillant.
Cette défaillance est due à la doctrine capitaliste dont le seul but est de faire peser sur la masse des faibles le faux bonheur de quelques ultra riches.

Entre 2020 et 2021, seules les vies de la population la moins fortunée sont passées de vie à trépas. Une année complète à n’être plus rien. Le désastre économique, social et psychologique et médical viendra par la suite.
Mais on ne rattrape pas une année de vie. Ces vies brisées, anéanties, sont le seul fait des dominants et des gouvernants.
Personne n’a voulu priver les autres, et surtout les enfants, des visages et des émotions. Personne n’a voulu s’enfermer pour des prétextes fallacieux, en lieu et place d’une raisonnable et rationnelle gestion d’une maladie somme toute très peu mortelle en regard de toutes les autres.
Et surtout, seuls les dominants et les gouvernants, par bêtise et fatuité, ont refusé les soins à ceux qui en avaient besoin: retrait de médicaments peu chers et les seuls efficaces pour tenter de soigner, dispositions amenant à l’affaiblissement des défenses immunitaires naturelles du corps et des esprits, distribution, dans une logique capitaliste, de l’argent nécessaire à la société (systèmes sociaux et médicaux) aux industries non indispensables (aviation).

Une gestion de la population telle un troupeau de l’ère biblique, avec des méthodes de tortionnaires, le confinement, et probablement l’extermination désirée.
Cela, c’est le président macron qui en est le seul responsable, pour la France, décidant seul avec les pleins pouvoirs d’un dictateur immature, s’appuyant sur un conseil nommé par lui, dirigeant par décrets autoritaires et sous état d’urgence, avec une cour d’idiots utiles et autoritaires autrement appelés ministres ou majorité parlementaire, et soutenu par ces mêmes milliardaires qui l’ont hissé au pouvoir dans un décor de carton-pâte.

On ne reviendra pas sur le temps perdu, il est passé, et la colère d’aujourd’hui ne sera que fortifiée par les suites sociales catastrophiques des années suivantes.
La vie, par son inarrêtable cheminement, possède intrinsèquement une résilience que l’on pourrait appelée automatique. A quel prix?
L’Humanité, son essence, sa nature, se laissera-t-elle posséder et détruire plutôt que de faire table rase des parasites qui prétendent la gouverner et la conduire à sa perte à leur profit?

L’assassinat des dominants serait un trauma terrible pour bien des âmes, mais faut-il renoncer à l’Humanité pour n’en sauver que quelques cuistres?
Guillotine.

La guerre des fous

mercredi, mai 5th, 2021

Dans un présent peu futuriste, ceux qui ne ressentent pas la peur bourgeoise mais celle de l’effondrement passé, bien réel, mènent un combat sans issue.
Enthousiastes et débridés, dépressifs et accablés, seule la vie les tient comme par magie, capables d’être.
Point d’empire auquel faire face, tout n’est que cérébral. Cependant un système semble contenir quelques clefs, qui n’ouvrent d’ailleurs rien d’autre que des espaces exigus, sans horizon aucun, à l’infini.
On pourrait se penser dans un labyrinthe de laboratoire destiné aux bêtes. C’est ainsi que s’est renversé ce qui était et se transforme.
Il ne reste que les idiots utiles, télévisuels de la propagande sur tous supports, auxquels sans cesse se réfèrent les jugeurs, criant n’en rien faire au même moment.
C’est par ce biais d’une folie de bas étage qu’est née la guerre des fous. Elle a créé une véritable folie qui ne s’en laisse pas compter, une sorte d’hydre maternelle sortie tout droit d’un hymen en quelque sorte divin et boueux.
Une guerre sans merci qui laisse des pâtés d’esprits accumulés et scindés, étouffés et mouvants, sans lieu.
La place n’est pas prise avant d’être attribuée, c’est une non-place, une inexistence pour l’âme qui s’en trouve, avant même d’être, brisée.
Cette guerre des fous ne cesse jamais.

Bescond et trogneux, le compromis mortel

jeudi, septembre 24th, 2020

Récemment, Andréa Bescond, victime de viol dans sa jeunesse, a participé à un entretien avec brigitte trogneux la pédocriminelle dans le magazine “elle”.
Ces deux femmes s’engagent “POUR les enfants maltraités”, comme le dit le titre. Rien que le titre montre déjà l’ambigüité des propos, à savoir qu’il aurait été fort à propos, justement, de dire “contre la maltraitance des enfants” plutôt que “POUR les enfants maltraités”, qui signifie que l’on aime bien ces enfants que l’on maltraite, n’est-ce pas?
Mais il est vrai que ces femmes et ce magazine de caniveau ne sont pas très portés sur le langage ni sur la bienveillance en général.

Alors que Muriel Salmona et Bescond se sont déjà accointées avec la pédocriminelle brigitte trogneux par le passé ( “juin 2018: Rendez-vous avec Andréa Bescond, comédienne, Mie Kohiyama, journaliste et Muriel Salmona, psychiatre” dans l’agenda de la coupable sur le site de l’élysée!) je note cependant que Salmona n’a pas osé participer à cette pantomime dégueulasse de pleurniche pour femelles en manque de sensations du magazine “elle”.

Ces compromis, qui se révèlent compromission, ne peuvent que servir le déni de la société et l’acceptation de la violence faites aux plus faibles, car il est de notoriété publique que brigitte trogneux, en position d’autorité, a abusé de son élève manu macron alors qu’il avait 15 ans et elle 39.

Quelle puissance peut avoir ce combat s’il est pipé dès le départ?
Que viendrait même faire la “cause” (des enfants) dans cette débauche de fausseté?

Non, tout n’est pas bon pour servir la cause des plus faibles, surtout de pactiser avec ceux qui, JUSTEMENT, ont abusé de ces enfants et qui veulent se refaire une virginité en prétendant les défendre.
Que brigitte trogneux dise la vérité, qu’elle a, elle aussi, été abusée et qu’elle a abréagi avec son élève mineur manu macron, et on en rediscutera.
Qu’elle accepte, cette salaude, de s’ostraciser pour montrer l’exemple à l’humanité, et on en rediscutera.
Ce serait là une femme d’honneur, pleinement consciente de ce qui se trame dans l’humanité, bien que victime elle-même.
Hélas, ce n’est toujours qu’une femme du déni bourgeois, car, oui, l’argent permet de se passer d’une partie de son humanité.

Moi qui ai été victime de maltraitance depuis que je suis venu au monde jusqu’à ma majorité, ce n’est pas une pseudo volonté de changer la loi, en passant par une criminelle dont on suppose qu’elle a une influence sur quoi que ce soit (c’est terrible, il faut en passer par une pédocriminelle femme pour penser qu’elle a encore une influence sur sa victime devenu époux et président de la république! se rend-on bien compte de ce que cela signifie? … ) qui me fera changer de point de vue.
S’il y a une loi d’imprescriptibilité de ces crimes, il faut qu’elle soit entièrement rétroactive.
Je ferai mon affaire de mon histoire et poursuivrai ma famille comme il se doit. Dans l’état actuel du droit, je ne peux que me masturber en attendant que ça passe; et bien qu’instruit plus que la moyenne, je suis réduit à n’être que rien pour la société, plutôt à sa charge qu’à la servir.

Car moi, oui, moi, je n’ai pas pu faire carrière comme Salmona ou Bescond ou Springora (que par ailleurs je ne n’accable pas, je connais trop les conséquences des traumas) ou toutes ces personnes qui ont subi un viol et qui se prétendent porte-parole d’une cause en faisant gros sous et grand bruit.
Cela me déplaît.
Il y a une gradation dans les traumas psychiques, comme dans les traumas physiques.
Toutes ces femmes, qui par ailleurs ont bien raison de faire avancer la cause des victimes de maltraitance, ont pu faire carrière et vivre de leurs savoirs, connaissances ou métiers. Pas moi.

Les #metoo millionnaires de l’industrie du cinoche, ça va bien. Non qu’elles n’aient pas raison de se plaindre de violences sexuelles, mais celles-ci ont été finalement peu handicapantes d’un point de vue extérieur; et l’on sait bien que lorsqu’il y a de l’argent, la dénonciation est plus aisée.
Toutes ces actrices sont bien vivantes et jouissent de la vie dans le luxe.
Non que leur combat ne soit pas juste et justifié, mais la colère s’empare de moi quand je vois Bescond jouer à touche-pipi avec la pédocriminelle trogneux POUR la cause des enfants maltraités – comme si c’était un FAIT inéluctable et qu’il faille s’en préoccuper plutôt que de s’en tenir à son macramé.

Cela cause une confusion totale, cela remet à la place d’honneur le déni de toute la population française concernant la sexualité et les comportements déviants des adultes avec les enfants.

Bescond, sous prétexte de servir une cause, se fourvoie et participe au déni collectif.
Alors oui, je pense qu’elle n’a pas compris son trauma et que l’argent et une sorte de bonheur de notoriété parisienne ont eu raison de ce qui faisait l’humanité chez cette personne. J’espère me tromper.

La pédocriminalité ordinaire à la présidence de la république

mercredi, août 26th, 2020

L’épouse du chef de l’état français, brigitte trogneux, est une pédocriminelle.
Son attirance amoureuse et sexuelle pour le jeune emmanuel macron alors qu’il n’avait que 15 ans et elle 39 et qu’elle était sa professeuse de français font de cette femme une pédocriminelle qui aurait dû être jugée afin de payer sa dette envers la société, selon le droit pénal français de l’époque, et accessoirement rendre sa dignité au jeune manu.
Comment croire que tous les efforts des universitaires et des scientifiques que l’on retrouve dans l’article ci-dessous puissent être balayés par le déni qui maintient chaque citoyen français dans l’acceptation de tels crimes?
Que c’est-il passé dans la vie de brigitte trogneux lorsqu’elle avait 15 ans? Un viol incestueux dans cette famille bourgeoise? Une séduction perverse par une personne de 40 ans?
On ne jette pas son dévolu sexuel et sentimental sur un élève de 15 ans lorsqu’on a 39 ans, qu’on est professeur et qu’on a déjà trois enfants adolescents.

Comment ceux qui constituent la société, qui approuvent en n’en disant mot, vont se comporter face à des enfants qu’il faut protéger pour l’avenir de l’humanité?
Est-il étonnant que la flicaille rigole en recevant les plaintes pour viol ou harcèlement?
N’est-on pas assez proche du souhait de mariage entre violeur et violé, comme l’exemplaire brigitte trogneux et son poulichon de manu, finalement?

Puisque ça se passe comme ça chez les riches et les puissants, ceux qui dominent, pourquoi donc s’embêter à vouloir faire mieux?

Pourquoi interdire les punitions corporelles et les autres violences éducatives au sein de la famille est une priorité humaine et de santé publique ?

 

 

Texte lu au KMETH (quartier métisseur) sur le thème du confinement

dimanche, août 23rd, 2020

22 août 2020, à l’occasion de l’exposition “Entre parenthèses” du Quartier Métisseur, Lamure-sur-Azergues.
Texte écrit et dit par FHP Lornet.

De l’esprit et de l’âme

samedi, juillet 4th, 2020

Les êtres d’intelligence supérieure sont à tout jamais seuls dans une connaissance qui leur pèse et face à la cruauté de leurs congénères stupides.

Fransse, pays de merde

mardi, juin 2nd, 2020
Faut aller jusqu’au bout de la vidéo pour comprendre le cheminement.
Ainsi, on comprend facilement pourquoi, sans être moi-même une élite (loin s’en faut), je parle avec mépris de la FRANSSE.
J’ai juste l’intelligence d’avoir reconnu, à mes dépens, ce que le système franssé en général et universitaire franssé en particulier a de POURRI.
 

Evidemment, ce genre de constatation ne s’applique pas seulement à des sous-systèmes, mais hélas, à celui caractérisant l’humanité entière dans son organisation générale et ses mécanismes.

On pourrait même faire l’économie de la critique du système éducatif et de la psychologie, dis donc, que ça suffirait pour mettre à bas toute velléité d’envie.
La jouissance, on n’en parle même pas!

Bref, ça pue, ça pue mondialement, ça pue dans l’hubris parce que l’hubris, C’EST la merde des petites merdes qui prétendent diriger les masses sur la planète.

 

 

Conséquences

dimanche, mai 24th, 2020

La relation entretenue par les dominants, qui ne dominent que par et grâce à un système dont l’origine est floue (#archéologie des sociétés sans écriture), se montre dans les crises; de la même façon que les crises psycho-physiologiques, certains états renseignent plus que d’autres.
A cet effet, deux films sont éloquents quant à la possession de la vie des uns par certaines autres, en raison d’un pouvoir ou d’une richesse économique.
Les films Oldboy et Diaz en sont deux exemples qui illustrent ce qui se joue dans la peur d’une maladie et, partant, de la mort et les conséquences terribles que la domination permet de mettre en place.
Les “rois” se divertissent des faibles.

Jewish prick fags

jeudi, mai 14th, 2020

Le crocodile bouffe le tigre et chie sur le fromage et le jambon. T’es une petite merde, littéralement une chiure, une raclure, président.
Sinon, ça va les députées et porte-parole fifilles de nègres engrossés de quelques générations de colonisateurs bien blancs?
Mieux que la branlette de griveaux? #caniveaux

 

Un gouvernement de jeunes dictatrices et consorts

jeudi, mars 19th, 2020

“Qu’il s’agisse d’évaluer les signalements ou de détecter les sites illicites, un tel système marque une rupture frontale avec la neutralité du Net. Les FAI sont extirpés de leur rôle passif pour endosser, de force, une mission de surveillance et de modification active des informations qu’ils acheminent, hors de tout encadrement judiciaire.
(…) Le délire autoritaire d’Aurore Bergé (…)”

https://www.laquadrature.net/2020/03/06/loi-audiovisuelle-aurore-berge-sattaque-a-la-neutralite-du-net/

aurore bergé est celle-là même qui : https://www.lepoint.fr/politique/aurore-berge-lrem-va-signaler-au-procureur-les-propos-incitant-a-la-violence-de-cadres-de-lfi-09-01-2019-2284297_20.php

(“Il y a pire que celui qui menace, que celui qui tabasse, que celui qui intimide, il y a ceux qui arment les esprits pour légitimer ces violences dans notre pays”, a dénoncé la députée des Yvelines.)

Elle a dû en baver avec son père, celle-là, au point même d’exécrer la pensée… Haaaa, oui… uniquement “les mauvaises pensée”… selon elle, of course…