Archive for the ‘Littérature’ Category

(grosse) bande de cons

mardi, février 13th, 2024

 

De la merde

jeudi, août 3rd, 2023

Vous dégustez avec grand appétit, déjà, la merde verbale des pervers politiciens, tels que le nains hongrois à talonnettes, le minuscule et vilain petit juif vociférant son remplacement, la progéniture d’un tortionnaire, grosse et blondasse à l’horrible faciès de porc breton industriel saturé de chimie pharmaceutique…
Et vous adulez un fou pervers dont le seul fait est d’avoir manipulé une incestuelle pédocriminelle impunie.
Tout cela dégouline, pue, et propage les maladies excrémentielles.
Et vous dites, tous: “c’est comme ça”, d’un air satisfait et supérieur.

Ièch’

vendredi, juillet 15th, 2022

Mais qu’est-ce donc qui m’empêche
de te mettre une pêche sur la tête?

Est-ce le con, belon, que l’on pêche?
Lui met-on un coup de bêche, revêche?

Psukè et Phusis, jeunes pimbêches
Écartées à la lèche; ouaich’ ouaich’?

Fait ièch’.

Buzz

jeudi, juin 2nd, 2022

Tiens, c’est le buzz du matin
Ça gueule de partout, les chiens
Incalculables petits a
Pour qui le dit ne peut être contredit
La conversation n’existe pas pour ces pauvres-là
C’est le bush sous la pluie
Le skunky qui sort du gris
Ils sont verts, ces abattis
Et pourtant déjà fort pourris
Fendieu! que je m’écris
Pendant que toi tu t’escrimes
Sur l’orthographe de mes cris, écrits
Petit! petit!
Petit a tu meurs, tu dépéris
Tu craquelles tes alibis
Colis sali, intempéri (répète bien)
A jamais l’oubli.
Fors la Vie.

Le désobligeant

jeudi, mai 5th, 2022

Je n’ai ni toit ni argent
Je suis sans roi ni manant
Je traîne la folie dans mon sang
Et l’oblong de mon gland

A chercher l’amour dans le temps
J’ai perdu le goût et le vent
Mille-pattes rampant
Dégoûtant et fascinant

Parfois je redescends
Prendre dans la lie ce qu’on me tend
Mais il n’y a là plus rien
Que les fantômes des enfants

Dans les lits puants et grouillants
Des maladies d’antan et des chants
L’amour tué dans le sang
D’un Céline agonisant

Folie de l’interdiction

vendredi, avril 15th, 2022

Voilà qu’un événement banal dont on a fait une exception est devenu la source de la folie contemporaine.
Faut-il préciser que c’est l’Homme qui a créé cet événement banal en s’amusant pour de l’argent? Bien sûr, le motif avancé est tout autre: la sécurité.
Pour la sécurité des humains, les humains ont décidé de faire le mal. Il est sécurisant, d’après eux, que l’on puisse se défendre des guerres en utilisant des armes qui peuvent détruire des parcelles de planète entières; il est sécurisant, d’après eux, de rendre plus toxique ce qui est toxique afin de tenter de s’en prémunir.
Et tout cela sous la coupe de la “logique”.
Voilà donc que le Tao devrait rendre des comptes. C’est assez inédit, pour le moins.
Voilà donc qu’on désigne des coupables, comme aux grandes heures de l’Humanité: qui les protestants, qui les juifs, qui les lépreux, qui les pestiférés, qui les esprits libres…
Coupables à tuer, bien sûr.
Et chacun se vautrant, inconsciemment, dans la fange de l’extrême facilité, mais refusant de faire face à leurs peurs qu’ils projettent sur le reste du monde.
Chacun voulant préférer rester dans cette fange-là plutôt que dans cette autre, là, inconnue et certainement mauvaise.
Voilà les peuples politiques de 2022, les cerveaux lessivés par la manipulation planétaire que quelques idiots ont laissé se perpétrer.
Y a-t-il autre chose que le Tao dans toute cette pantomime? Non, bien sûr.
Et c’est difficile à avaler, n’est-ce pas?

Quand je leur dis: vous êtes de la merde, vous êtes des merdes! pensez-vous un instant qu’ils soient capables de se demander s’ils le sont vraiment?
Jamais.
C’est la limite de la provocation, elle n’est utile que telle l’ensemencement de main d’homme.
Ensuite, et par choix, chaque graine accepte ou pas la pluie, accepte ou pas de germer, accepte ou pas la lumière de croissance, accepte ou pas, à tout crin! de laisser sa place à la suivante.
Il n’y a pas de mauvaise graine, il y a des graines fatiguées, il y a des terres peu fertiles, il y a des graines qui attendent, aussi.

J’ai attendu longtemps avant de m’émerveiller avec le dedans, avec cette boule d’énergie lumineuse et cependant liée au mystère cyclique de la Vie et du Tao.
Et ce n’est finalement qu’en acceptant la fange de l’Homme et de la terre qu’on parvient à planer pour de vrai.

C’est ainsi qu’on appelle les illuminés, les perchés, les Sages.

L’ “assimilé”

vendredi, octobre 22nd, 2021

L’assimilé a le nez crochu
Une tête de rat toute pointue
L’assimilé est un bossu
Malingre et maigre, et mal foutu
L’assimilé est un têtu
C’est dans sa tête, surtout, que c’est tordu
L’assimilé n’a pas de cul
Car de papa il n’a pas connu
L’assimilé est-il cocu?
On ne saura pas, il est cossu
L’assimilé n’a pas une once de vertu
Il n’est que malin et bourru, c’est une verrue
L’assimilé n’est en rien couillu
On le retrouvera tel quel pendu
L’assimilé, tu l’as reconnu
Il signe d’un Z qui veut dire zébu.

Ni tas ni tatum!

samedi, septembre 18th, 2021

Homme-grenouille et femme sous marin
Vanitas et tarte tatin.

Prêt pour la rentrée!

jeudi, août 26th, 2021

Prêt pour la rentrée avec la poupée “macron l’enculé”!
La poupée “macron l’enculé”, tu peux la percer, tu peux la découper, tu peux la trouer! à ta guise!
La poupée “macron l’enculé” c’est le jouet rêvé par tous ceux qui font le rentrée!
La poupée “macron l’enculé” c’est un souvenir à garder! Munie d’orifices, tu peux lui mettre un doigt dans le périnée!
La poupée “macron l’enculé”, c’est une poupée non genrée! Munie d’un pénis et d’une cavité, chacun peut y exercer toutes ses perversités!
La poupée “macron l’enculé”, c’est la poupée première de cordée!
Grâce à ses cheveux filoche, elle sert aussi de balais de chiottes!
La poupée “macron l’enculé” tout le monde veut la garder!
La poupée “macron l’enculé” tout le monde aime la torturer!
La poupée “macron l’enculé” tout le monde veut la trucider!

Un jouet ben alla! Ne convient pas aux fœtus de moins d’une semaine.
Pour tout achat de la poupée “macron l’enculé”, la poupée “brigitte la sodomite” offerte aux 500 premiers clients!
Retrouve toute la collection de poupées enculeuses sur gouvernement.fr.

II

jeudi, août 5th, 2021

Depuis trois à quatre années, l’été n’est que sécheresse et canicules pendant les six mois de beau temps.
Mais cette année, depuis mai, il pleut énormément.

La situation climatique, plus que météorologique, est devenue étrange et effrayante. Et l’humanité sait qu’il n’y a rien à faire contre ce changement mortel. Les ultra riches pensent qu’ils pourront se confiner du reste du monde en s’appropriant des terres supposément à l’abri, au nord, mais ils ne savent pas plus que d’autres ce qu’il adviendra. Certains croient en l’espace et jouent comme des enfants avec des fusées, comme s’il était possible de vivre sans air ni protection contre les rayons cosmiques.

Une épidémie à coronavirus s’est déclenchée en Chine en 2019. Peu importe qu’elle ait été créée par l’homme, même par erreur ou par orgueil, ou qu’elle soit le résultat plus global de l’action humaine sur la planète ayant engendré une sorte de réponse naturelle.

Les déplacements de populations étant planétaires, l’épidémie s’est très vite propagée et les dominants de la plupart des pays du monde se sont comme mis d’accord sur le profit qu’ils pouvaient en tirer, par l’asservissement des populations comme on l’a fait avec les bêtes.

Les peuples d’hier sont devenus le cheptel d’aujourd’hui : la liberté est un mot qui n’a plus de sens ; l’intimité n’existe plus.
La raison, surtout, semble avoir déserté le champs de la conscience humaine.
Avec des petits rien, inoffensifs d’abord ; de la politique de plateau tévé, de faux grands hommes pourtant présentés comme tels, une fascination pour la loterie et l’argent en masse.

De raison d’être il n’y a plus car l’art a été banni.
Une épidémie si pratique pour éradiquer non la souffrance, non la maladie et encore moins le vivant, symbolisé par ce virus, mais l’essence caractéristique de l’humanité : la futilité de son existence même.

Même la constitution d’un gouvernement mondial des oligarques est impossible à réaliser tant son existence est tributaire de la survie de tous les autres, tout ceux qu’ils aimeraient supprimer.

Ce n’est pas tant les fastes dénoncés depuis des millénaires, depuis le fameux veau d’or en passant par les lois funéraires, mais leur désormais irréversibilité, tant le pouvoir octroyé à quelques-uns est aujourd’hui destructeur.

Jamais l’Homme n’avait eu la possibilité matérielle de détruire son environnement, mais c’est maintenant possible, simplement, depuis moins d’un siècle. L’arme nucléaire, militaire ou civile, permet de ruiner la vie soit par la mort, soit par l’impossibilité de vivre.

Il me faut comprendre, même avec surprise, que la marche « normale » de l’humanité, celle que la majorité des deux tiers entend instinctivement, est la soumission à une autorité, un chef, une imago nécessaire dont il est trop tôt encore pour s’en défaire.
C’est un peu comme si, arrivé au jour de sa mort, chacun regrette de n’avoir pas plus de temps. L’humanité entière est ainsi, mortelle et insouciante.

La guerre des fous

mercredi, mai 5th, 2021

Dans un présent peu futuriste, ceux qui ne ressentent pas la peur bourgeoise mais celle de l’effondrement passé, bien réel, mènent un combat sans issue.
Enthousiastes et débridés, dépressifs et accablés, seule la vie les tient comme par magie, capables d’être.
Point d’empire auquel faire face, tout n’est que cérébral. Cependant un système semble contenir quelques clefs, qui n’ouvrent d’ailleurs rien d’autre que des espaces exigus, sans horizon aucun, à l’infini.
On pourrait se penser dans un labyrinthe de laboratoire destiné aux bêtes. C’est ainsi que s’est renversé ce qui était et se transforme.
Il ne reste que les idiots utiles, télévisuels de la propagande sur tous supports, auxquels sans cesse se réfèrent les jugeurs, criant n’en rien faire au même moment.
C’est par ce biais d’une folie de bas étage qu’est née la guerre des fous. Elle a créé une véritable folie qui ne s’en laisse pas compter, une sorte d’hydre maternelle sortie tout droit d’un hymen en quelque sorte divin et boueux.
Une guerre sans merci qui laisse des pâtés d’esprits accumulés et scindés, étouffés et mouvants, sans lieu.
La place n’est pas prise avant d’être attribuée, c’est une non-place, une inexistence pour l’âme qui s’en trouve, avant même d’être, brisée.
Cette guerre des fous ne cesse jamais.

manu macron enfant de putain

lundi, avril 5th, 2021

*poême*

emmanuel macron, enfant de putain
permets-moi de te dire, fils de catin
que ce qui me retiens, progéniture de chien
ne te semblera rien, baiseur de coins

Moutons sanglés

lundi, septembre 14th, 2020

Ils ont le museau bleu.
Ils ont la force de la bêtise.
Ils sont la masse informe.
Facilement manipulables.
Ils sont gauches et violents.
Ils sont adultes, même petits.
Ils ne pensent pas.
Ils ne parlent pas.
La discussion, la dispute, on n’en parle même pas.
Ils sont la majorité écrasante.
Ce sont des bêtes.

Texte lu au KMETH (quartier métisseur) sur le thème du confinement

dimanche, août 23rd, 2020

22 août 2020, à l’occasion de l’exposition “Entre parenthèses” du Quartier Métisseur, Lamure-sur-Azergues.
Texte écrit et dit par FHP Lornet.

Under the volcano

vendredi, juillet 31st, 2020

Il arrive un moment où les femmes esseulées qui furent engrossées se retrouvent bien seules.
Un âge où la vie bascule, s’entendent-elles dire; où les idiots gestalteux disent que ce qui compte désormais, c’est la progéniture car plus rien n’est bon dans sa propre vie, qu’il n’y a plus rien à espérer.
Ces femmes-là sont désemparées et pourtant fortes d’une énergie peu commune. Il est certain que les opposés mâles ne s’y retrouveraient pas.
Mais voilà, elles ont quand même loupé certains coches, par joventudismo et par orgueil. Tardivement, les qualités de certains leur apparaissent comme salvatrices et finalement, bonnes.
Mais le temps, mignonnes, a aussi fait son office; puisqu’il faut bien rendre la monnaie, très chère. Monnaie.
Se finissent les histoires d’amour dans les nénuphars, sous le pont courbé des carpes.
Koï, Koï, le rut est loin, maintenant…

Les putards

lundi, juin 29th, 2020

Nouvelle traduction en français de 1984 de George Orwell.

Jewish prick fags

jeudi, mai 14th, 2020

Le crocodile bouffe le tigre et chie sur le fromage et le jambon. T’es une petite merde, littéralement une chiure, une raclure, président.
Sinon, ça va les députées et porte-parole fifilles de nègres engrossés de quelques générations de colonisateurs bien blancs?
Mieux que la branlette de griveaux? #caniveaux

 

Weirdest weirderings

jeudi, mars 19th, 2020

It’s weird to see the country empty. It gives you a feeling of zombieland.
Not that you like it much when stupid drivers cross your road or anything, But it’s just empty.
All of a sudden, you realize that if anything happens, you’re all by yourself.
You realize how fearful is the world, and how an animal you are.
But you’ve lost this part of animal, you’re not at all a crocodile, fearless, thinking top of the chain…

You’re done, and you know it’s quite the same for a great part of the world.
You know a change is made up yet.