De la merde

Vous dégustez avec grand appétit, déjà, la merde verbale des pervers politiciens, tels que le nains hongrois à talonnettes, le minuscule et vilain petit juif vociférant son remplacement, la progéniture d’un tortionnaire, grosse et blondasse à l’horrible faciès de porc breton industriel saturé de chimie pharmaceutique…
Et vous adulez un fou pervers dont le seul fait est d’avoir manipulé une incestuelle pédocriminelle impunie.
Tout cela dégouline, pue, et propage les maladies excrémentielles.
Et vous dites, tous: “c’est comme ça”, d’un air satisfait et supérieur.

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