Il arrive un moment où les femmes esseulées qui furent engrossées se retrouvent bien seules.
Un âge où la vie bascule, s’entendent-elles dire; où les idiots gestalteux disent que ce qui compte désormais, c’est la progéniture car plus rien n’est bon dans sa propre vie, qu’il n’y a plus rien à espérer.
Ces femmes-là sont désemparées et pourtant fortes d’une énergie peu commune. Il est certain que les opposés mâles ne s’y retrouveraient pas.
Mais voilà, elles ont quand même loupé certains coches, par joventudismo et par orgueil. Tardivement, les qualités de certains leur apparaissent comme salvatrices et finalement, bonnes.
Mais le temps, mignonnes, a aussi fait son office; puisqu’il faut bien rendre la monnaie, très chère. Monnaie.
Se finissent les histoires d’amour dans les nénuphars, sous le pont courbé des carpes.
Koï, Koï, le rut est loin, maintenant…