Archive for the ‘#metooincestuel’ Category

Témoignage ciivise

mardi, septembre 19th, 2023

J’ai témoigné auprès de la ciivise (Commission Indépendante sur l’Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants) en répondant aux questionnaires (auxquels on pourrait apporter des améliorations, comme ne pas restreindre à une seule réponse les périodes, proposées, pendant lesquelles ont eut lieu les violences, par exemple) et en appelant au téléphone.
Je l’ai fait parce qu’il semblerait que cette commission soit sur le point de disparaître fin 2023, après seulement deux ans de service, et que le nombre de témoignages est peut-être un argument afin qu’elle perdure.
Je l’ai fait pour moi parce que je tiens à ce que soit rendue publique mon histoire de chambre placard et que les pervers narcissiques et leurs complices soient montrés du doigt, ostracisés et mis au ban puisqu’ils n’avoueront jamais leur psychopathie, trop heureux de jouir du mal qu’ils font aux autres (“qu’ils viennent me chercher” a dit un pervers narcissique, à tendance histrionique, bien trop connu).
Je l’ai fait et le rends public pour les enfants qui vivent sous le joug de tels pervers et qui ne vivront peut-être jamais la vie que les personnes normo-névrosés (cf. Stoll/Hurni) pensent être “normale”.
Je le fais enfin car le déni est constitutif de la psychè humaine et que je n’aurais ni réparation ni indemnisation pour ce que j’ai vécu pendant la matinée de ma vie, comme Jung appelle la première moitié de la vie. Or, chacun le sait, les chances sont maigres de commencer une carrière après 50 ans, de se constituer un patrimoine afin de terminer sa vie le mieux possible, sachant que les conséquences de la maltraitance sexuelle infantile, le pire des traumatismes psychiques (Bilheran), handicapent lourdement ceux qui en sont les victimes (Salmona) tant physiquement que psychiquement; le pire étant que pour les normo-névrosés, ces handicaps ne sont pas visibles (ce qui explique en partie qu’ils n’y croient pas, tout comme la peur et le déni dont ils sont les proies consentantes).

Mais je le fais avant tout pour moi, car tout paranoïde que je suis condamné à être, je sens bien qu’il ne restera peut-être que le pire de cette commission voulue, hélas, par le fou pervers (Racamier) président: peut-être fera-t-on quelques moulinets à propos de ceci ou de cela, mais je crains que la page 69 (ça ne s’invente pas) du rapport préliminaire de la ciivise , concernant “L’éducation à la vie affective et sexuelle” ne soit prétexte à l’établissement délirant de la perversion généralisée des petits d’hommes, voulue par l’OMS (organisation mondiale de la santé), et qui mènera facilement l’humanité au totalitarisme mondial.

Les normo-névrosés objecteront que ce ne sont là que conjectures (ils jugent avec ce qu’ils savent), tout contents d’être gentiment assis dans la vie, maison, crédit, enfants, loisirs et zou! (les “tout-va-bien”).
Hélas, du point de vue de ceux qui ont vécu la “logique” d’un tel système au niveau individuel et nucléaire — au sens sociologique, et qui ont lu, qui se sont abreuvés de connaissances en plus de leur savoir expérimental et observationnel, l’humanité en prend, hélas, le triste et malsain chemin.

Il y a bien des degrés dans les traumatismes psychiques et leurs funestes conséquences, de la même façon qu’une coupure au doigt n’est pas une jambe cassée, encore moins un cancer, pas plus qu’une mort  par balle; tous pourtant étant des traumas physiques.
La perversion narcissique (Racamier) engendre les pires traumas sexuels infantiles, l’incestuel étant le pendant psychique de l’inceste et du viol et le meurtriel étant le pendant psychique de la mort physique.

Ceci est ma modeste contribution à l’humanité en espérant éviter la vanité de notre condition.
Le témoignage est la seule rédemption du survivant.

Juger la perversion narcissique?

dimanche, août 20th, 2023

Un moyen pour juger la perversion narcissique (Racamier, 1992, Payot) ou l’histrionisme (dans sa forme moins complète, DSM V) devant une cour (court en anglais) pénale est montré dans le procès qui opposa Johnny Depp et amber heard, ex-époux, pour diffamation.
Un documentaire en trois épisodes d’une heure résume bien l’affaire, même s’il aurait pu tenir en une heure sans les adventices des “citoyens du monde”, à savoir ceux qui (selon un cuistre présidentiel français) “ne sont rien” et remplissent le vide de l’existence via un réseau électrique.
https://www.imdb.com/title/tt27541298/  (Depp V Heard, TV Mini Series, 2023)

#NotWithHer, une lettre écrite par ceux qui ont vraiment subi les puissants et ineffaçables traumatismes, souvent infantiles et sexuels mais également manipulatoires tout au long de la vie sociale, des pervers tels que heard amber, à laquelle j’agrée entièrement.
Ici, en France, l’homologue de trump donald souffre d’une pathologie bien pire que celle du milliardaire débile, et promet à tous les fous dominants et auto-proclamés gérants de l’humanité, la jouissance des pires traitements que l’on peut infliger aux véritables êtres humains.

Hélas, quel que soit leur sexe, les pervers font partie de l’humanité et de la condition humaine. Cependant, leur multiplication autant que l’admiration dont ils jouissent prend une tournure néfaste et mortifère, étant donnés les moyens alloués à la destructions dont dispose à présent l’humanité, de la destruction de l’atmosphère, de l’eau, du milieu (la biosphère) en général, par la transformation chimique forcée des fossiles, au nucléaire.
Oui, nous, humains et vivant, allons tous mourir, car telle est la Vie, mais l’irrespect et l’hubris accélèrent la fin au lieu de glorifier le ‘divin’.

La sexualisation des enfants dès la naissance

dimanche, août 13th, 2023

La sexualisation des enfants dès la naissance, dans le monde néo-libéral capitaliste des fous pervers, à destination de l’établissement d’un régime totalitaire décervelant mondial.

Living still

jeudi, août 3rd, 2023

https://www.youtube.com/watch?v=nOWjX4BpC24

Trop

jeudi, août 3rd, 2023

Quand il fait trop chaud parce que trop solaire nucléaire et mortel, la lumière qui m’habite souffre de cette concurrence.
Les normies n’en ressentent rien, leur prolifération doit cesser. Ils ne peuvent d’aucune façon comprendre ce qui se joue là.
L’expansion de la perversion doit connaître son moment d’arrêt.

Perversion et suicide

mercredi, août 2nd, 2023

La politique est la gestion de la société et des individus qui la compose, les citoyens (habitants de la cité). Le mot politique provient du grec ‘polis’ (la cité) et concerne donc tous les humains; même si bien peu s’en soucient, la politique, elle, fait son affaire de tous, ne serait-ce que par l’imposition et les taxes, mais évidemment dans tous les domaines qui régissent la vie sociale.
Pour ma part, l’expérience douloureuse et meurtrielle d’une enfance massacrée par une parentèle psychopathique me fait ressentir ce qu’est la réalité de la psychopathie perverse narcissique (cf. Racamier). L’arrivée au pouvoir en France d’un tel personnage, accouplé incestuellement avec une femme de l’âge de sa mère à l’âge de 14 ans, est un retour du refoulé sans commune mesure avec les petits traumas dont souffrent tous les humains.
Ayant vécu l’incestuel maternelle et la perversion paternelle (la complice du pervers est également sa victime), la résurgence de ce mode opératoire dans la vie politique de tout un pays semble être la persévérance du Mal.
Subir depuis sa naissance la perversion psychique et matérielle, jusqu’à sa majorité est pour moi bien plus grave que quelques années en camps de concentration, qu’un viol ou une torture ponctuelle, sans toutefois ignorer la gravité de ces faits, qui sont eux pénalement répréhensibles.
La perversion morale (narcissique donc) est d’une toute autre nature car elle prend l’apparence de la normalité et brouille, surtout chez les enfants mais également dans tout l’entourage, la perception que l’on peut en avoir. Le déni est provoqué par la perversion qui injecte le poison ainsi qu’un faux antidote chez les personnes qui la côtoient.
Tant que les pervers moraux trouvent des victimes complaisantes (n’oublions jamais que les victimes adultes ont, soit, une faille narcissique, mais qu’elles sont complices du pervers même malgré elles), leur vide intérieur n’apparaît pas, ils ne tombent pas en dépression et ne se suicident pas.
Le suicide étant la solution à un débordement de souffrances (psychiques et/ou physiques) impossibles à supporter, il peut être conscient comme on le voit dans l’euthanasie (la bonne mort, étymologiquement) ou inconscient et marqué par des comportements dits à risques mortels: toxicomanie, sports extrêmes, etc.
J’en ai fait l’expérience inconsciente en ingérant 7 à 9 comprimés d’un puissant benzodiazépine fortement dosé qu’un patient psychotique m’avait refilé, à l’âge de la majorité environ. Heureusement et malgré la surdose provoquant une insuffisance cardiaque possiblement mortelle, je me suis réveillé après deux jours de coma, passé inaperçus au sein de la maison familiale. C’est dire si l’attention donnée aux enfants était existante…

Les traumatismes sexuels, infantiles, répétés de façon constante pendant des dizaines d’années, sont les plus graves et marquent bien sûr l’existence réelle des syndromes post-traumatiques graves qui induisent des incapacités sociales et interpersonnelles connues des seuls spécialistes, hélas (et de ceux qui en souffrent, qui les vivent).
Ma comparaison personnelle va au délire de la famille fritzl en Autriche, dont les membres survivants se trouvent (et se trouveront toujours, hélas) en institution, tellement le traumatisme est grand dans l’inceste réel et procréatif et la manipulation perverse du père, nazi confirmé si l’on peut dire, et la complicité inconsciente de la mère.

Donc, oui, les pervers doivent être ostracisés afin de tâcher d’équilibrer la société qui souffre tant de leurs actions malfaisantes. S’ils en viennent à la dépression, comme le suggère Racamier à propos des fous pervers (macron en est un cas d’école), puis au suicide, c’est parce qu’ils se refusent à toute remise en question et à tout travail thérapeutique.

Promotion du suicide pour les pervers: OUI

mardi, août 1st, 2023

Bon, heureusement qu’il y a les livres et chez soi (comme ici 😉 tant que la “justice” des gouverneux ne m’aura pas emmerdé, mais bon, c’est public, je les attends).
Pour rappel, côté sombre des livres, il y a matzneff, pédocriminel comme brigitte trogneux, toujours en liberté, duhamel aussi qui s’est fait sucé le pénis par son beau-fils de 14 ans, toujours en liberté grâce à la prescription… et combien d’autres salaudes et salopards qui mériteraient de rester enfermés jusqu’à la fin de leurs “jours”, ces sombres merdes.
Je maintiens que le taré fou pervers (définition par Racamier ici) va devoir se suicider et que ça fera du bien à une énorme majorité de lucides. Quand bien même cela fait partie de ce qu’on ose appeler “humanité”.
Et donc, je me barre du truc de robots (le délire censureur robotique est arrivé instantanément) dès que j’ai accès à ce compte.
Comme disait quelqu’un en parlant du Net: “ils ont cassé notre jouet”. Tu m’étonneras, Sarah.

Encore l’incestuel et la différence

samedi, juillet 22nd, 2023

Je ne sais plus chez qui j’ai lu, d’Eiguer ou de Caillot, peut-être de Racamier ou d’autres encore , que l’incestué, et l’incestuelisé plus encore, ont un “sentiment d’être différents des autres”.
Il me semble que ce n’est pas là un “sentiment de”. C’est hélas une lésion psychique, certes quelque peu réparable, mais indélébile. C’est justement là que s’établit le tabou fondamental du bipède parlant, et de ce fait symbolisant sinon sublimant ce qu’il prend pour réalité, mouvements, actions (en gros le “quelque chose” plutôt que le “rien”).
Bilhéran parle de “témoins”, un stade que je place après ceux de victimes/survivants qui viennent simultanément comme le font l’antœdipe et l’œdipe dans la vie du petit d’homme.
Il y a une différence fondamentale entre celles et ceux qui ont une “ouverture” sur le trauma qu’ils peuvent intellectualiser pour l’approfondir, et en général font profession de thérapeutes, et ceux qui le vivent dans le temps, la durée, la chair, l’âme.
Ces vies ne sont pas comparables.

Naissance

jeudi, mai 4th, 2023

Quand on naît à une nouvelle vie, lorsque l’on est un nouvel être
Point n’est besoin de garder ses amis anciens, car ce sont eux qui vous gardent.

Tous les autres disparaissent.

Partout

samedi, avril 22nd, 2023

Du nucleus familial au petit groupe jusqu’aux institutions et aux organisations étatiques et supra-étatiques, la perversion narcissique s’organise en noyautage.
Telle un virus, elle ustensilise et ne tue pas son hôte, car elle en périrait. C’est son caractère pervers.
La période covidiste mondiale, planétaire, de 2020 à 2023, pendant laquelle l’entièreté de l’humanité a vécu sous le joug de cette mascarade d’épidémie fallacieuse à ses dépens est venue, non pas faire jour sur cette psychopathie totalitaire, mais masquer celle, sous-jacente, de perversion narcissique ordinaire.
Tout n’est question que d’échelle.
J’ai moi-même vécu, familialement, les camps nazis; non la torture physique suivie de meurtre de masse (échelle oblige) mais le meurtriel, le meurtre psychique de l’âme tel que décrit par Shengold sans qu’il en ait discerné les contours comme l’a magistralement fait Racamier, ainsi que l’incestuel ou viol de l’âme, la non différenciation générationnelle, bien pire que l’inceste physique, le viol physiologique et corporel.
Voilà qu’arrive, dans un groupe à visée artistique, quelque créateur au talent certain, à qui on aura proposé ainsi qu’à tous, de faire quelques propositions créatives de son cru. Il ne manquera pas de se trouver parmi les participants un ou une pervers narcissique dont la jalousie face à la création se fera jour sous quelques agirs, puisque l’individu est incapable de la créativité qu’il jalouse.
S’il n’est pas un chef pour, au moins, faire croire qu’il s’agit de quelque chose de plus grand qui vient péter les couilles (une couleur politique, une attitude régionale face à la culture et à l’art en général, etc), alors il faut fuir et laisser tomber même ceux qui sont à peu près sains, même avec tristesse.
La petitesse de la manipulation, œuvre visible de type messe-basse ostentatoire, est facilement démasquable pour qui a non seulement vécu mais aussi lu. C’est hélas mon cas.

Tant pis pour ceux qui concèdent à prendre sur eux, ou rejeter sur organisme plus vaste, la manipulation dont ils sont les victimes. Leurs défenses sont probablement suffisantes pour qu’ils restent dans une pénombre de ce point de vue là, tout en conservant leur intégrité psychique non pas intacte, mais suffisante.
On ne peut ménager la chèvre et le choux en ces matières.

Je me contenterai donc de croire que la France que je connais depuis près d’un demi-siècle est un pays de fascistes, anti-culturel, anti-art et d’un crétinisme flagrant.
Le nid véritable de la perversion qui aura pris le relais de ce qu’Alice Miller appelle la pédagogie noire de l’Allemagne depuis quelques siècles.
On deviendrait facilement suspicieux à l’égard des “Lumières” d’avoir permis, sous couvert de pensée sympathique, une telle avanie.
La puissance du politique est telle dans cette société masturbatoire anale qu’elle ne vivra qu’avec ses aristocrates forniquant ses propres enfants afin de perpétuer une tradition de jouissance perverse, qui plus est judiciairement totalement et parfaitement impunie.
Les exemples vivant aujourd’hui encore sont légion, jusqu’à l’épouse du président de la république, en passant par les journaliste millionnaires, les écrivains douteux, les acteurs millionnaires eux aussi, les politologues autant que certains hommes politiques.

Je ne suis pas étonné que Racamier ait été français, à même de voir dans quelle enfer la contrée qui l’a vu naître est en train de tomber.

Cantique des quantiques

samedi, septembre 10th, 2022

 

 

Rien de ce qui ne m’est arrivé n’est arrivé par hasard, il faut s’y résoudre.
Une lutte pour la véritable liberté, celle de l’âme, dans les pires conditions.
Pas autant que celles du Joker incarné par Joaquin Phoenix au grand écran, à savoir une mère incestuelle profondément psychopathe au point de le laisser faire sa toilette alors qu’elle a les capacités physiques de la faire elle-même, un père ou plutôt une brute d’une extrême maltraitance dont on ne connaît que l’aspect physique (on ne sait pas s’il exerce également des violences sexuelles).
Une famille d’une toxicité extrême qui explique le principal symptôme visible du Joker, un rire incontrôlable qui se déclenche de façon présentée comme aléatoire, seul symptôme reconnu par le maigre suivi médico-social dont il bénéficie: un traitement médicamenteux de type camisole chimique qui permet à la société de ne plus se préoccuper de l’essentiel, et des entretiens que le capitalisme de crise et la financiarisation de la société vont supprimer par “manque” d’argent.
Voilà pour les racines du mal, présentées comme le pouvoir destructeur d’un système exclueur basé sur la richesse financière et le système capitaliste consommatoire qui broie littéralement, tels des exemples de foire, ceux que l’on peut exhiber publiquement, alors que les fleurs du mal semblent préserver plus facilement de la folie, tel le jeune Bruce Wayne fils de milliardaire politique, dont l’exutoire de sa phobie infantile ne pourra être que présentée comme une vengeance, prétendue saine, au service d’une justice qui ne vise, sous couvert d’universalité — mensongère évidemment, à ne s’occuper que de points de détail, comme si le Monde et l’Humanité n’étaient au final qu’un décorum dont la seule fonction serait de valider la marche connue et acceptée d’une société terriblement malade.

Dysfonctionnalisme comme arme de destruction de l’humanité

lundi, août 1st, 2022

On n’imagine pas à quel point ce que la dysfonctionnalité grave des familles psychopathiques engendre comme psychoses ou leur corollaire, les états dits limites.
Pour prendre un exemple, un père mégalomaniaque pervers narcissique qui se serait trouvé une femme complice, qui, sous couvert de “bonne société” ou simplement pour “sauver les apparences” (plutôt que les êtres, n’est-ce pas?), s’en serait pris à son propre fils comme exutoire peut créer une véritable psychose chez cet enfant. La sœur est plus ou moins épargnée et utilise le modèle maternel pour survivre.
Ben c’est moi, cet enfant.
Je profite des rares moments de lucidité que je vis de temps en temps pour l’écrire.
Ces pathologies gravissimes de l’humanité que sont la perversion narcissique, sa complicité (salvatrice pour le complice) et l’utilisation des enfants comme exutoire est une pathologie virale et toxique au plus haut point.
Evidemment, les névrosés banaux ne peuvent rien y entendre. Mais ceux qui connaissent, par expérience et étude, les pathologies psychiques, savent quels dégâts sociaux elles créent.
En général, les plus faibles ne peuvent exprimer ce genre de choses car ils se sont suicidés bien avant de pouvoir prendre conscience du mal dont ils souffrent.

De l’inceste divin

lundi, juillet 11th, 2022

Shengold nous dit que l’inceste est l’apanage des dieux et de la royauté, dans l’Histoire, comme dans le mythe d’Œdipe.

N’est-ce pas manu macron qui a dit de son “projet” qu’il devait être “jupitérien”?
On voit maintenant qu’il aurait peur d’être châtré, tué…
Mais oui!

Quant aux autres, qui n’atteignent pas position aussi élevée dans la société, ils usent et abusent de leur pathologie manipulatrice perverse narcissique afin de se nourrir des âmes en les tuant.
Et y’en a plein… Et ça fait des dégâts.

 

Desire

mercredi, juillet 6th, 2022

Out of context means ‘to trash’ for archaeologists, or at least ‘put it there… in the cave’.
That’s out of context other than simple typology: one from paleo- and the other from neo- periods.

Being whole life* victim and survivor of an NPD parent

samedi, mai 28th, 2022

Trauma is constituted of repetitive shit. A “simple” rape at 20 years old is actually nothing compared to a traumatic experience that has been lasting for more than 20 years, including the pre born shit.
Having been the victim of an NPD parent, in my case a fucking father, is killing ‘softly’ the soul of ANY human being.
But what’s occupying me at the moment is the: why do symptoms can reverse and come back?
I had a great time living, probably the first of my life (considering I’m 48 yo) during february and march 2022. Then I had  serious illness (flu or 22’s name covida) and after that symptoms of what I call nolife or brain normal functions interruption.
As of today, I’m back to life and fighting instead of struggling. That means anything “normal” is “normal”, sometimes even a pleasure (always consider that in symptomatic periods anything “normal” is just a pain emerging from a nowhere memories).
So it’s like all psychoanalysts call the “too much” or “too few” mirror of what’s happened in education during childhood.
There is NO balance. I’m ok with with the mirrored too much, as it kind of compensate the nightmare I’m living in since even before being born.
The history of a NPD of course goes back to even before œdipian state, they have NO œdipian period. That is not safe at all, it’s insane.
As to counter effect this, those people, unconsciously, put on a life strategy and begin to look for victims.
As to my insane father, that was probably my mother at first, but I soon, being born became the one preferred victim.

Tout

jeudi, mai 12th, 2022
Je vais lire TOUT ce blog. C’est le mode d’emploi de ma (jusqu’à présent assez) triste vie.
Et ensuite, si j’ai encore quelque vie, quelques forces, si j’y parviens même… ça va chier dans l’ventilo, j’apporterai ma pierre à l’Humanité (carrément).

https://perversionnarcissiqueetpsychopathie.wpcomstaging.com/

 
Paul-Claude Racamier, « L’incestuel », in Vocabulaire de psychanalyse groupale et familiale, tome I, CPGF, Paris, 1998, p. 164.
Jean-Claude Guillebaud parle dans le même sens de l’inceste dans Le Principe d’humanité : « Le père qui possède sexuellement le corps de son enfant cède à un désir inhumain… Il brise le cours du temps. Il efface la parenté. Il interdit à la victime de prendre place dans la chaîne des générations. L’inceste est le cousin germain du génocide en ce qu’il aboutit à détruire l’individu en détruisant son lien de parenté. Ce qu’il violente, en somme, ce n’est pas seulement le corps de l’enfant, ou l’un de ses organes, c’est très exactement ce qui fonde son humanité. »
A lire en conclusion de l’article « La dimension anthropologique de l’inceste », sur le site de l’association AIUS. Pour rappel : l’incestuel désigne quant à lui un « équivalent d’inceste » encore plus maléfique que l’inceste génitalement accompli.

Pas mieux.

mardi, mai 10th, 2022

« L’assassinat d’âme est, de toute évidence, à mettre en rapport avec ce noyau de perversion narcissique qui s’exerce par le père à l’endroit de son fils et qui a pour fin l’attaque et la destruction de la vie psychique de Daniel-Paul afin de se libérer soi-même de ce qui pourrait être source de folie.[4] »

in:

https://perversionnarcissiqueetpsychopathie.wpcomstaging.com/2018/03/01/le-meurtre-de-lame-ou-meurtre-psychique-et-la-perversion-narcissique/

Retour des.

mardi, mai 10th, 2022

Retour du refoulé ET du refoulement. Là, c’est étrange autant qu’indisposant, autant que désespérant.
Mais voilà, en dehors du contexte psychique interne, il y a le contexte ultra intrusif externe: à savoir, l’absence totale de soins qui n’est même plus déguisée, mais admise comme une nécessité économique autant qu’une nécessité psychique des dominants.
Comme le dit Gori et avec lui nombre de véritables illuminés, de ceux qui sont dans la vie, la catastrophe est désormais palpable.
(héhé, ça me donne un sourire, Martha, ce dernier mot si agréable 🙂 )
Mais voilà, lorsqu’il y a des tensions aliénantes si fortes, qui parcourent absolument toute la société, dans son ensemble total et nucléaire, il faut qu’elles se résolvent. Oui.
Les “dominants” sont en train de saboter l’humanité de telle façon que le même mot avec une majuscule devient vide de sens, à l’image que veulent lui donner ceux qui sont eux-mêmes vides et gravement malades au point de ne jamais s’en apercevoir ni même de décompenser une bonne fois pour toutes (ce qui signifierait leur disparition irréversible, au moins pour un temps que l’on appellerait béni).

Avoir vécu dans une famille de psychopathes

vendredi, mai 6th, 2022

Je disais récemment à quelques connaissances un point de ma vie dont je n’ai jamais parlé, et j’ai été surpris par la force du déni d’autrui face à l’inconcevable que l’emprise d’une famille dysfonctionnelle m’avait fait taire pendant… toute ma vie (une bonne moitié si je suis pessimiste).
Je leur demandais si leur père, à la fin des repas pris en famille et à de multiples reprises, leur léchait l’oreille au moment du dessert en disant “oh le petit biscuit” ou même en verlan “oh le petit kiss buis”.
Car cela je l’ai vécu à l’âge de la pré-adolescence/adolescence, en plus de la chambre placard pendant toute mon enfance, cette chambre de laquelle je ne pouvais sortir qu’en traversant celle du couple de mes parents.
Cet acte incestuel du léchage d’oreille se faisait devant ma mère et ma sœur, assises en face de nous. Ma mère n’est plus là pour en parler car l’emprise de la perversion narcissique de mon père l’a tuée. Elle est morte d’un cancer rare et agressif en 6 mois: un cancer dit de la selle turcique (encore un détour) qui ne concernait certainement pas l’os de la base du crâne décrit par ce terme, mais bien le cerveau dit limbique (ou émotionnel), siège des émotions, comprenant les amygdales, l’hippocampe, le thalamus, l’hypothalamus, etc.
Oui, car l’emprise toxique du pervers narcissique, de mon père donc, avait trouvé une proie, pas très assurée mais pleine de vie, qui chantait dans une chorale et aimait s’exprimer et exprimer son énergie de vie.
Ça me fait sourire d’entendre que la plupart des gens, et parmi eux de grands pontes médiqueux, dire que le cancer (ou toute manifestation symptomatique corporelle) ne peut être dû au vécu ou à la psychè. Mais bref, l’ignorance est le moteur de la connaissance, probablement…
Ma mère s’est laissée prendre par la maladie psychotique de mon père, soumise qu’elle était à une forme de modèle du couple dirigée par ses croyances religieuses: on ne divorce pas et dieu nous sauve. Je ne crois pas que de prier à l’église chaque dimanche de sa vie lui ait été d’un grand secours, sauf à rester justement dans le déni de la réalité triste et finalement mortelle qu’elle vivait, elle, et faisait vivre aussi à ses enfants qu’elle n’a guère protégés.
Elle est morte après une vie de labeur (6H-18H) dont le fruit économique a été accaparé entièrement par son manipulateur d’époux aux fins de retaper une ruine pendant 25 ans, alors qu’ils venaient d’avoir deux enfants.
Mais non content d’aspirer tous le fric qui aurait pu bénéficier au bonheur des enfants et de la famille dans son entier, il privait également d’amour, car le pervers narcissique est un être vide et ne connaît pas l’amour.

Chacune des personnes à qui je me suis ouvert s’est réfugié dans un déni confortable afin de ne pas avoir ne serait-ce qu’à imaginer ce qu’elles ont ressenti, déjà, comme terrible. Le déni est instantané, au moment même où le cerveau sent qu’il est des choses terribles qu’il ne voudrait pour rien au monde vivre, ni même entendre. L’un disant que finalement, ce père incestuel et pervers avait permis que l’on répète dans une cave (quel luxe!), l’autre imaginant que ces léchages d’oreille étaient affectueux.
Je suppose que ce même principe de déni (ou quelquefois de complicité avec les perpétrateurs et perpétratrices d’actes criminels) s’applique lorsque les viols physiques et sexuels sont dits: on cherchera à minimiser en parlant de règlement de compte, de tenue excitante, jusqu’à même accuser la victime d’avoir incité au crime et bien sûr d’avoir aimé ça.
La victime devient, plus que LE pervers, LA perversion incarnée.

C’est délirant (j’allais dire “proprement”…), SALEMENT délirant.

Alors voilà, j’ai vécu toute ma croissance dans une famille dont le père est gravement malade (mais cette psychose est socialement acceptée -par les cons flippés de leur race 🙂 ), la mère sous emprise et trop occupée à se protéger elle-même pour protéger ses enfants.

Voilà la raison qui m’a rendu à peu près asocial, alors que je n’ai que de l’amour depuis ma naissance, comme chacun. Évidemment, si l’amour inconditionnel de l’enfant que j’ai été pour ses parents a été trompé depuis le tout début, ça laisse des cicatrices à jamais visibles.
Je pense même que j’ai pu utiliser des techniques perverses narcissiques, je les connais toutes, forcément.

Récemment, même, alors que je suis analysant depuis plusieurs années, je croyais avoir rencontré une potentielle relation sociale de mon âge, un gars de famille algérienne, à l’abord facile… Mais voilà, “à l’abord facile”…
Une personne qui ricane plus qu’elle ne s’exprime par la parole (3 mots, 30 secondes de ricanements, 5 mots, 30 secondes de ricanements, etc).
Une personne qui te suit quand tu vas faire tes courses et que tu la rencontres (par hasard? des fois, on se demande si elle n’attend pas cachée au coin d’une rue, tellement elle est vide et perverse de machiavélisme), n’achète rien, mais essaye de te toucher, justement en public, quand tu fais le geste de prendre sur un étale un produit.
Oui, un adulte qui t’accompagne et qui mime ton geste afin de te toucher physiquement en public, tel un bébé qui veut palper le visage de sa mère quand elle le porte à sa poitrine.

Le pervers narcissique est un enfant, un bébé qui est resté dans la toute-puissance. J’ai vu mon propre père trépigner comme un gamin alors qu’il avait près de la cinquantaine (je ne sais plus pour quelle raison).
Je vous assure que c’est terrifiant, car c’est l’expression de la maladie incurable. C’est pire qu’un mongolien assoiffé de sang avec une tronçonneuse tel que dépeint dans certains films.

Mais voilà, la ruse diabolique de ces malades psychotiques, c’est de savoir séduire certains pour en accabler d’autres, et ainsi, de créer la confusion la plus totale, confusion dont chacun s’éloigne bien vite lorsqu’il n’est pas déjà sous emprise.

Il y a plusieurs pervers narcissiques de tous sexes dans ma familles, curieusement tous nés après la seconde guerre mondiale, lors de ce que je qualifie de poussée capitaliste et manipulatrice. Les esprits s’entre-nourrissent de toutes les perversions.
Bien sûr il faut prendre en compte la psychologie des familles, les histoires inter-générationnelles et le contexte socio-économique (le contexte au sens le plus large tout court, en fait). C’est indispensable dans toute démarche rationnelle et scientifique.

Alors voilà, chez la victime que j’ai été, chez le survivant que je suis, s’est installée une peur que je qualifie de névro-psychotique, d’état-limite.
Je n’en ai pris véritablement conscience qu’après la mort subite de ma mère d’un cancer fulgurant, l’envie d’en finir vite qu’elle avait trouvé, justement, en étant bénévole pour la ‘ligue contre le cancer’ depuis les quelques années de retraite dont elle a pu profiter.
Elle est morte à 67 ans, connard de macron avec ta retraite à 65 ans.

Aujourd’hui je n’aurai de cesse de combattre et de prévenir, à mon humble niveau, les manipulations perverses qui s’accumulent dans toute notre société, que ce soit dans un cabinet notarial de Dijon, qui, par feignasserie et suffisance n’a toujours pas bouclé la succession de mon grand-père (pas bien grosse, mais accointé avec l’évêché qu’il a servi pendant des dizaines d’années -d’où la religiosité de cette famille ET de ma mère) plus de 18 mois après le décès! que ce soit en débusquant les attitudes toxiques et perverses de quiconque croisera ma route, ou les systèmes eux-mêmes pervers narcissiques, tels que les pseudo-démocraties (ce ne sont que système de domination et de pouvoir avec une façade qui laisse croire au choix) dont on voit bien, en particulier en France, que le couple présidentiel n’est lui-même qu’une histoire de domination d’une pédocriminelle brigitte trogneux, abusant de son statut d’adulte et de prof (ça fait DEUX circonstances aggravante au regard du droit pénal) sur un enfant, manu macron, tout jeune queutard de 14 ans.

L’épisode de délire paranoïaque des année 2020 – … (nous sommes en 2022 à l’heure où j’écris) dû à l’apparition d’un virus très contagieux, mais non inquiétant pour la société humaine, en cela qu’il ne s’attaque qu’aux faibles (plus de 60 ans, immuno-déprimés, obèses, cancéreux, etc, bref, des gens déjà gravement malades ou en fin de vie) montre à quel point, à l’aide des progrès techniques de surveillance (écoute téléphoniques, vidéos, empreintes numériques de toutes sortes, géolocalisation constante, fichiers de police, etc), la perversion narcissique s’impose comme un mode de domination sur la planète entière, du niveau le plus petit, la famille nucléaire, jusqu’à la “gouvernance” mondiale par les entités d’argent, en passant par toutes les strates de toutes les dimensions de l’organisation sociale (petites et grande entreprises, organisations syndicales, partis politiques, administrations étatiques de tous niveaux, etc).

Grâce au Tao, grâce à MON tao, grâce aux Toltèques, ma colère va s’apaisant et mon combat va constant, l’un comme l’autre se nourrissant d’une énergie que je désire pure et saine. Je vais jouer ma musique, créer mes images, n’en tirer que bien peu, mais cela me convient. Et si d’aventure il y a mieux, alors je me dirai merci, car je le mérite. Et si d’aventure il y a mieux, je serai également redevable envers l’univers et je serai heureux d’en faire partie.
Et j’aime.

#metooincestuel

mardi, janvier 19th, 2021

[Puisque je ne me retrouve dans aucun de ces putains d’hache tagueule, je crée le mien, en me basant sur les recherches de Racamier]

Je ne suis plus un enfant, je ne dois plus rien à personne.
Surtout pas à ceux qui ont profité de l’amour inconditionnel de leur enfant, mes parents.
Etant donné la durée de la relation non pas incestueuse, mais incestuelle (au sens de Racamier), on peut dire qu’il y avait une grande perversité psychopathologique à l’égard des enfants de la part de mes parents.

La violence sexuelle que j’ai subie, à caractère d’incestualité, est bien pire que ce que j’appelle les « petits viols » dont on parle à présent souvent, comme l’on fait Vanessa Spingora, Camille Kouchner en parlant de son frère, Sarah Abitbol, Flavie Flaman, ainsi que toutes les actrices du mouvement #metoo.
Sans diminuer l’importance du trauma que toutes ces personnes ont subi, il est aisé de s’apercevoir qu’elles ont toutes eu une carrière, un métier, un revenu et que le moment traumatique est intervenu après la période de latence décrite par Freud.
C’est un très grand avantage pour se reconstruire.
Dans mon cas, je n’ai plus (un temps on faisait semblant) ni vie sociale, ni professionnelle, c’est une suite d’échecs et d’isolements dus au conséquences terribles du syndrome post-traumatique.

Pour ma part, il n’y a pas eu de période de latence, dépourvue de sexualisation. J’étais enfermé dans la chambre placard -vaste à faire bien des jaloux ! et propice à l’excuse- et j’avais le spectacle auditif de la sexualité adulte sans possibilité d’y échapper.

Dans ces cas-là, la culpabilité qui se développe avec la réitération sans fin du trauma est acméique, paroxystique.
J’espère que ce sentiment mortel va se transmettre à qui de droit, car la peur, la psychose, la honte, la culpabilité et au final, la mort, doivent changer de camp.

Je n’ai eu aucun secours, de personne. Personne ne s’est posé la question d’une timidité excessive du petit enfant que j’étais, personne ne s’est affligé de ces ongles rongés parfois jusqu’au sang, si petit. C’est pourtant un signe de stress majeur, ô combien visible et qui doit alerter. Seule ma grand-mère s’en est émue, mais surtout pour le manque d’esthétisme de ce handicap par trop visible.

Mais cela n’est rien. Ce n’est rien comparé au gâchis de la vie entière du beau jeune homme que j’étais, qui voulait, vainement peut-être, devenir quelqu’un, profiter de la vie, en prendre sa part comme tout un chacun.
Cela n’est pas possible lorsqu’on est rongé par une culpabilité extrême que l’on  n’arrive même pas à identifier. On « est » fou, à la place de ceux qui ont mal agi, et peu importe qu’ils l’aient fait en conscience ou non.

La solution, c’est de s’autodétruire, sans même savoir pourquoi, avec toutes sortes de toxines, même celles censées désinhiber ou garantir une joie de vivre momentanée.

Je ne reviendrai pas en arrière pour vivre autre chose. C’est évidemment impossible.
Attendre quoi que ce soit de la « société » ou de l’ « humanité » est une foutaise.
La domination, consciente ou pas, est la règle et s’applique à tous, un peu moins quand le pouvoir de l’argent ou des relations vient arrondir les angles ; mais c’est la règle du règne animal humain.
Il y a quelques chanceux, une majorité heureusement, dont la plupart ne se rendent même pas compte de la chance qu’ils ont de subir un peu moins que d’autres.
Oui, il y a un sacré paquet de connards et de salopes, c’est vrai. Quoi qu’ils fassent, ils passent dans la vie comme des mirages, tantôt à leur profit, tantôt à celui des autres.