Archive for septembre, 2020

Bescond et trogneux, le compromis mortel

jeudi, septembre 24th, 2020

Récemment, Andréa Bescond, victime de viol dans sa jeunesse, a participé à un entretien avec brigitte trogneux la pédocriminelle dans le magazine “elle”.
Ces deux femmes s’engagent “POUR les enfants maltraités”, comme le dit le titre. Rien que le titre montre déjà l’ambigüité des propos, à savoir qu’il aurait été fort à propos, justement, de dire “contre la maltraitance des enfants” plutôt que “POUR les enfants maltraités”, qui signifie que l’on aime bien ces enfants que l’on maltraite, n’est-ce pas?
Mais il est vrai que ces femmes et ce magazine de caniveau ne sont pas très portés sur le langage ni sur la bienveillance en général.

Alors que Muriel Salmona et Bescond se sont déjà accointées avec la pédocriminelle brigitte trogneux par le passé ( “juin 2018: Rendez-vous avec Andréa Bescond, comédienne, Mie Kohiyama, journaliste et Muriel Salmona, psychiatre” dans l’agenda de la coupable sur le site de l’élysée!) je note cependant que Salmona n’a pas osé participer à cette pantomime dégueulasse de pleurniche pour femelles en manque de sensations du magazine “elle”.

Ces compromis, qui se révèlent compromission, ne peuvent que servir le déni de la société et l’acceptation de la violence faites aux plus faibles, car il est de notoriété publique que brigitte trogneux, en position d’autorité, a abusé de son élève manu macron alors qu’il avait 15 ans et elle 39.

Quelle puissance peut avoir ce combat s’il est pipé dès le départ?
Que viendrait même faire la “cause” (des enfants) dans cette débauche de fausseté?

Non, tout n’est pas bon pour servir la cause des plus faibles, surtout de pactiser avec ceux qui, JUSTEMENT, ont abusé de ces enfants et qui veulent se refaire une virginité en prétendant les défendre.
Que brigitte trogneux dise la vérité, qu’elle a, elle aussi, été abusée et qu’elle a abréagi avec son élève mineur manu macron, et on en rediscutera.
Qu’elle accepte, cette salaude, de s’ostraciser pour montrer l’exemple à l’humanité, et on en rediscutera.
Ce serait là une femme d’honneur, pleinement consciente de ce qui se trame dans l’humanité, bien que victime elle-même.
Hélas, ce n’est toujours qu’une femme du déni bourgeois, car, oui, l’argent permet de se passer d’une partie de son humanité.

Moi qui ai été victime de maltraitance depuis que je suis venu au monde jusqu’à ma majorité, ce n’est pas une pseudo volonté de changer la loi, en passant par une criminelle dont on suppose qu’elle a une influence sur quoi que ce soit (c’est terrible, il faut en passer par une pédocriminelle femme pour penser qu’elle a encore une influence sur sa victime devenu époux et président de la république! se rend-on bien compte de ce que cela signifie? … ) qui me fera changer de point de vue.
S’il y a une loi d’imprescriptibilité de ces crimes, il faut qu’elle soit entièrement rétroactive.
Je ferai mon affaire de mon histoire et poursuivrai ma famille comme il se doit. Dans l’état actuel du droit, je ne peux que me masturber en attendant que ça passe; et bien qu’instruit plus que la moyenne, je suis réduit à n’être que rien pour la société, plutôt à sa charge qu’à la servir.

Car moi, oui, moi, je n’ai pas pu faire carrière comme Salmona ou Bescond ou Springora (que par ailleurs je ne n’accable pas, je connais trop les conséquences des traumas) ou toutes ces personnes qui ont subi un viol et qui se prétendent porte-parole d’une cause en faisant gros sous et grand bruit.
Cela me déplaît.
Il y a une gradation dans les traumas psychiques, comme dans les traumas physiques.
Toutes ces femmes, qui par ailleurs ont bien raison de faire avancer la cause des victimes de maltraitance, ont pu faire carrière et vivre de leurs savoirs, connaissances ou métiers. Pas moi.

Les #metoo millionnaires de l’industrie du cinoche, ça va bien. Non qu’elles n’aient pas raison de se plaindre de violences sexuelles, mais celles-ci ont été finalement peu handicapantes d’un point de vue extérieur; et l’on sait bien que lorsqu’il y a de l’argent, la dénonciation est plus aisée.
Toutes ces actrices sont bien vivantes et jouissent de la vie dans le luxe.
Non que leur combat ne soit pas juste et justifié, mais la colère s’empare de moi quand je vois Bescond jouer à touche-pipi avec la pédocriminelle trogneux POUR la cause des enfants maltraités – comme si c’était un FAIT inéluctable et qu’il faille s’en préoccuper plutôt que de s’en tenir à son macramé.

Cela cause une confusion totale, cela remet à la place d’honneur le déni de toute la population française concernant la sexualité et les comportements déviants des adultes avec les enfants.

Bescond, sous prétexte de servir une cause, se fourvoie et participe au déni collectif.
Alors oui, je pense qu’elle n’a pas compris son trauma et que l’argent et une sorte de bonheur de notoriété parisienne ont eu raison de ce qui faisait l’humanité chez cette personne. J’espère me tromper.

Serviette hygiénique de la domination

mardi, septembre 22nd, 2020

 

 

Pourquoi seuls les fascistes semblent se préoccuper de la pédocriminalité de brigitte trogneux?

lundi, septembre 21st, 2020

Il est certain qu’à part mes articles, tous les autres que l’ont trouve sur le web en clair à propos de la pédocriminalité de brigitte trogneux épouse de manu macron, sont le fait de fascistes, de royalistes et d’individus d’extrême-droite. Les pseudo-écolo-gauchistes sont absents de la dispute ou l’expédient sous couvert de “haine” (le déni dans sa plus grande splendeur), le mot magique pour stopper toute discussion. C’est quand même pratique, ces facilités de pleutres, non? on dirait la loi gayssot… une loi inique qui réduit la capacité à penser au bon vouloir de dominants auto-décrétés.
Quand un professionnel dûment diplômé en fait état, le discrédit vient non de son analyse, mais du fait que ce sont les fascistes qui reprennent les premiers ces analyses, sans savoir pourquoi au fond, évidemment.

Il y a plusieurs raisons à cela.

D’une part, le pouvoir bourgeois en place favorise en coulisse la reprise d’arguments (bien que sensés) en premier lieu par des fascistes. C’est la petite ruse des dominants et de la bourgeoisie mise au pouvoir avec la révolution de 1789 qui s’exerce ainsi. Sans marine le pen et un troupeau de populassière bien dressé, manu macro n’aurait jamais été élu. N’oublions pas dans cette histoire les médias à la solde des milliardaires, ils représentent 90% de la presse française et manipulent ou au moins dirigent les opinions du susdit troupeau avec une facilité déconcertante.
Le complot des dominants de la petite bourgeoisie fortunée est assez facile à voir, quand on le veut bien. Car de complot, il ne peut y avoir sans volonté de domination.
Si cela fonctionne, c’est parce que la plupart du troupeau, contrairement à la bourgeoisie, est occupé à gagner sa pitance et n’a pas le loisir de s’informer; quand il l’a, il est déjà soumis et préfère rester dans son ignorance – merde, quoi! ya du sport à la tévé, c’est sacré.

C’est donc avec la confusion instaurée chez les faibles d’esprits que les dominants parviennent à conserver leur pouvoir et leurs places: faire en sorte que les fascistes (l’extrême-droite de la mort) et les humanistes (l’extrême-gauche de la vie) soient confondus, non par les solutions qu’ils proposent (diamétralement opposées), mais par la similitude de leurs constats, en général assez réalistes.

Il y a également une raison culturelle, de mœurs (coucou Mme Lespinne! une aparté pour te dire que t’es une vieille conne, probablement morte aujourd’hui, mais que je n’ai pas oublié ton refus de corriger un devoir au collège pour lequel j’avais passé une après-midi à travailler sur la bête du Gévaudan, ainsi que pour te dire que le mot “mœurs”, j’en comprenais le sens déjà à l’époque, oui, et qu’il était bien de moi dans un autre devoir. Pauvre merde #je règle mes comptes 🙂 ) qui tend à faire croire qu’une femme, forcément mère, est, de toute obligation, bonne.
La réalité est toute autre: les femmes, autant que les hommes, peuvent être cruelles, despotiques et inconscientes. Il n’y a aucune différenciation cérébrale entre femmes et hommes, autre que culturelle et donc acquise. Oui, on peut ajouter une différence hormonale et génétique (1 seul chromosome, wow!).
La femme salaude, telle que la mère de Jurgen Barscht parmi tant d’autres, est commune. Se demander et chercher à savoir pourquoi marc dutroux a eu la mère qu’il a eu ( https://www.rtl.be/info/belgique/societe/les-revelations-de-jeannine-la-mere-de-marc-dutroux-pour-moi-il-est-enterre-a-la-prison-de-nivelles-il-est-raye-de-ma-memoire–728522.aspx ) et qui protège facilement la femme de dutroux, comme elle met uniquement en cause, non ce qu’elle a donné ou pas à son fils, mais ce qui lui a manqué du fait de l’absence du père…
On peut facilement comparer brigitte trogneux avec Agrippine, mère de Néron (j’ai une déférence mal placée pour l’antiquité, d’où les majuscules 😉 … putes et salauds de l’arrière-temps! )

De même, les fascistes font feux de tout bois, et tournent chaque phénomène dans le sens de leur cause. Attaquer brigitte trogneux pour sa pédocriminalité, on le remarque facilement, ne revient pas à s’étonner de sa non condamnation pénale; le fasciste n’ira même jamais jusqu’à se demander quelle sont les conséquences psychiques pour la victime (ces conséquences sont depuis longtemps avérées par la psychanalyse et confirmées par les neurosciences qui viennent leur donner une réalité physiologique visible aux IRM fonctionnels, par exemple).
C’est le simple fait qu’on puisse attaquer par cet angle qui suffit au fasciste, peu importe l’importance de l’acte. Le fasciste est à peu près aussi bête que son détracteur anti-fasciste 🙂

Le fasciste ou le nazi a été battu à toutes forces pendant son enfance afin de réduire à néant sa créativité et sa liberté. C’est ce qui a conduit la majorité des Allemands à suivre un chef tel qu’hitler, lui-même roué de coups, car ils étaient tous dressés comme des bêtes selon les préceptes de la pédagogie vénéneuse (voir C’est pour ton bien, Alice Miller).

Au final, il s’avère que les fascistes et la plupart de ceux qui les combattent, hélas sans conscience, se rendent coupables de cacher la vérité. C’est une évidence revendiquée pour les fascistes, un peu moins tout de même pour les autres. Cependant, les anti-fascistes ne pensent en général pas par eux-mêmes, mais en réaction à une autre pensée (aussi inexistante soit-elle en tant que “pensée” bien sûr) et s’épargnent ainsi tout travail “philosophique” et tout libre arbitre.

Pourquoi donc alors les fascistes et brigitte trogneux sont si intéressés par les violences pédocriminelles qu’ils semblent ne pas supporter?
De la même façon que moi-même, ils ont également subit des violences pendant leur enfance, ce qui rend insoutenable de voir qu’elles existent, surtout chez les autres.
Cependant il y a une différence fondamentale entre eux et moi: je n’ai ni l’envie ni l’intention d’exercer à mon tour cette violence pour me débarrasser de celle que j’ai vécue.
brigitte trogneux a passé cette violence en manipulant et en violant le jeune manu macron, camouflant ce crime par le marriage et la prescription inique; les fascistes passent cette violence en la projetant sur ceux qu’ils disent différents quels qu’en soient les motifs.
Il est plus aisé de faire subir ce qu’on a subit et qu’on ne veut pas voir ni entendre, dont on ne veut pas prendre conscience afin de préserver les parents maltraitants en suivant le 4e commandement, que de savoir quels sont les coupables terribles qui ont eux-mêmes fait subir la violence de la maltraitance à leurs enfants pour se décharger de celle qu’ils ont vécue.
De la même façon, mais à l’inverse des fascistes, les antifas qui eux aussi ont subit des violences qu’ils ne peuvent dénoncer en raison du 4e commandement et de l’intouchabilité des parents, sont prompts à dénoncer le manque de respect pour des vieux et des vieilles comme trogneux, étant donné que ces critiques viennent de ceux qu’ils combattent.
Bien sûr ils se trompent de cible.

C’est d’ailleurs le défaut de toute l’humanité: les soldats qui font la guerre pour des nantis dominants ne se retournent que très rarement contre eux, figures de parentalité de substitution.

 

 

 

En résumé:

– il faut que ce soient les méchants fascistes qui reprennent un argument pour le discréditer de façon définitive et qu’il n’occassionne pas matière à réflexion. Les fascistes sont utiles à la pseudo-démocratie occidentale, c’est un tremplin facile.
– protéger à tout prix les femelles de toute causalité (êtres inférieures, elles en seraient bien incapables, n’est-ce pas? 🙂 ). Le fasciste aime protéger sa mère (par extension sa famille) au mépris de tous les autres qu’il xénophobe un max, jusqu’à l’extérmination physique.
– attaquer d’un point de vue moral mais sans fondement une personne pour arriver à la disqualifier simplement, elle et par extension un système -système qui permet par ailleurs aux fascistes d’exister (les électeurs et les écoutants du discours fasciste ne sont pas regardants à la véracité des propos, ils ne lisent ni ne s’instruisent, et encore moins pensent).

Les salissures que provoquent les fascistes en s’emparant de certains sujets servent aux antifas ainsi qu’aux dominants pour éliminer ces sujets de toute réflexion.

What happen to the shining ones?

jeudi, septembre 17th, 2020

The shining ones are told not to shine: it bothers those who dont shine or don’t know they could shine.
That won’t be done.
Those who shine are the preys of the idiots mass.
The shinings need protection and they can find tools for that.
A day or another, justice has to be done against the numbers of ‘evil’ ones living out of the shining ones.

Doctor Sleep.

De la pétoire

jeudi, septembre 17th, 2020

Certains individus s’opposent à être qualifiés de personnes. Ce faisant, ils nient également la qualité d’humanité qui peut caractériser la nature des Autres.
Cependant, la violence est fort bien partagée, et bien qu’elle soit souvent associé à l’absence de surmoi, elle est proche de la perfection chez le “psychopathe”.
On peut le voir très bien dans le personnage du Joker traité dans le film Joker de Todd Phillips.
Non que ce soit enviable d’une quelconque façon, mais il s’agit d’un avertissement à la bêtise humaine: le châtiment peut être tout à fait et complètement mortel.
Bien que condamnable, il est entièrement justifié.
Voilà ce à quoi il faut prêter attention, voilà ce qui guette les imprudents.

La norme de la violence.

mardi, septembre 15th, 2020

“On ne peut pas parler de violences policières” a dit manu macron, victime présidentielle de l’imposteur brigitte trogneux, pédocriminelle et rombière bourgeoise de son état.
Il n’y a donc pas de violences, aucune, puisque ceux qui y sont autorisés par la loi des dominants servants un système qui ne profite qu’à eux, n’en sont jamais coupables.
Pourquoi donc cela est-il accepté et validé par la masse, femelle ou mâle, des individus?
La réponse est simple: ils sont tous faits sur le même moule, dépourvu tout jeunes de toute créativité et soumis entièrement au diktat d’une raison inhumaine.

Cette logique fagocytante s’empare de tous les domaines et il n’est hélas pas rare de voir que certains artistes (des imposteurs et usurpateurs également) y sont également soumis.
Il n’y a pas d’artiste, aujourd’hui, car ils ne font que remplir des caisses, se donnant bonne conscience de patamonculchiens et hébergeant en eux le plus terrible fascisme.

La simple pensée n’est plus accessible au prolétaire pas plus qu’au milliardaire et l’artiste contemporain veut les satisfaire tout deux.

Le monde est en cendres et il se voit comme une forêt luxuriante.

Au Japon, la flicaille n’est pas armée

lundi, septembre 14th, 2020

Cela évite de donner le pouvoir de torture et de meurtre à des psychopathes, comme ces condés etats-uniens.

https://www.bestgore.com/police-brutality/man-mental-health-problem-brutalize-cop-glendale-yes-he-was-white/

Moutons sanglés

lundi, septembre 14th, 2020

Ils ont le museau bleu.
Ils ont la force de la bêtise.
Ils sont la masse informe.
Facilement manipulables.
Ils sont gauches et violents.
Ils sont adultes, même petits.
Ils ne pensent pas.
Ils ne parlent pas.
La discussion, la dispute, on n’en parle même pas.
Ils sont la majorité écrasante.
Ce sont des bêtes.

Le culterrisme

dimanche, septembre 13th, 2020

La populassière est heureuse, elle le croit; elle obéit.
Elle obéit instantanément. La populassière ne pense pas.
Soumise entièrement à ses émotions, agressive, sans aucun humour ou sens comique, sans recul sur sa condition.
Le troupeau de populassière emmène malgré eux les conscients dans un mouvement de foule à la fois psychique et forcément physique.
C’est très embêtant.
La populassière n’écrit pas, ne lit que rarement, et encore une fois délègue sa pensée à d’autres qui tirent leurs gras revenus de ce commerce.
La populassière est passive; elle ne joue pas d’intelligence, elle aime à croire que son intelligence est celle de la répartie chanceuse.

J’ai grandi et été “éduqué” là-dedans.

Pas de chance.

La torture des enfants

dimanche, septembre 13th, 2020

Quelques médecins (le sont-ils vraiment, au final?) proposent de “siffler la fin de la récréation” aux populations, concernant l’épidémie de grippe actuelle de 2020, c’est-à-dire de faire en sorte qu’aucun rassemblement, même privé, se fasse.
En gros, il faut démonter ce qui fait la société humaine pour n’avoir plus que des robots consommateurs, bien DOCILES aux ordres.
Peut-on parler d’infantilisation des populations sans justement se rapporter au fait que l’enfant, l’adulte humain en devenir, est un être qui doit être dressé?
C’est un problème, en effet. Parler d’infantilisation suppose que l’enfant ne ressent rien, alors que c’est tout le contraire. Que l’enfant ne sache pas ce qui lui arrive quand des émotions se font jour en lui, c’est vrai. Mais qu’il faille le dresser, souvent au prix d’une torture, là… seuls les dominants exploiteurs pensent que c’est une méthode louable et agissent en fonction.

La société de la mort par la chaleur climatique et pyrolytique se dessine: les populations qui arrivent, les enfants d’aujourd’hui, sont matés par la répression policière et la domination des idiots en charge de gouverner. Obligation de porter un bâillon masquant le visage, inutile face à un virus lorsque celui-ci est déjà installé de longue date sur toute la planète, vérification policière armée de cette obligation dans les établissements scolaires ou commerciaux, obligation de confinement inutile également (la comparaison avec certains pays non confineurs est éloquente), désocialisation à l’échelle mondiale, appauvrissement généralisé (sauf pour les ultra riches)…

Ce n’en est qu’une petite, mais elle a toutes les caractéristiques possibles de la connerie humaine, cette apocalypse.

Le masque, signe distinctif apposé à la populasse façon nazis.

samedi, septembre 12th, 2020

Vive “la-démocratie”.

Pro païdon

jeudi, septembre 10th, 2020

La seule façon qu’on la plupart des gens que je connais de s’épargner la violence de leur vérité, c’est d’avoir des enfants qui prennent pour eux.
Les conséquences sont terribles, mortelles, mais ils n’ont ainsi “pas de problèmes”.

La maltraitance et le fascisme sous couvert pseudo médical

mercredi, septembre 9th, 2020

Confinés puis bâillonnés

mercredi, septembre 2nd, 2020

Les névrosés de vie, comme je les appelle, se soumettent facilement -d’apparence- à toute sorte de contraintes.
Les névrosés de vie sont ceux qui, ayant pourtant subi les traumas habituels, s’en sortent en s’auto-persuadant de diverses façons que la normalité non seulement existe, mais qu’ils en font partie.
Ils n’ont pas accès à la vérité car ils sont dépourvus de la leur propre.
Ceux-là, donc, ont trouvé qu’il y avait “un petit peu d’abus” dans le confinement généralisé et militarisé des populations. Mais, au final, comme disaient papa et maman “c’est pour ton bien que je te frappe, c’est ainsi que l’on éduque de la bonne façon”, ils ont trouvé que leurs exploiteurs et dominateurs avaient eu bien raison, pour leur bien, de décider qu’il fallait éliminer toute liberté, même sans raison valable (rappelons que rien de tangible n’étayait un confinement général des populations, seules quelques vagues suppositions non étayées et encore moins vérifiées).
Ben voyons.
Aujourd’hui, et avec un manque cruel de symbolisme, on musèle avec entrain ces névrosés de vie, on les bâillonne physiquement.

Les ressorts de toute domination sont simples: l’ignorance, la peur et la culpabilité.
Voilà dans quoi les névrosés de vie sont englués depuis qu’ils vivent, savamment éduqués à répondre à ces stimuli dès leur plus tendres babils, voire même un peu avant…

Et tout va bien! semblerait-il. Si l’on regarde avec tant d’admiration et de bienveillance une femme de président pédocriminelle puisqu’elle a su échapper à la justice, pourquoi ne pas faire de même avec les pires crasses de l’humanité?
Pourquoi donc les victimes ne s’engagent-elles pas elles aussi dans ces sympathiques névroses de vie? Cela leur éviterait bien des souffrances de rester aveugles à la réalité, de nier pour toujours la vérité!
Porter son mouchoir morveux directement devant les orifices excrétants, c’est pratique!
Et puis on voit moins vos sales gueules, quand même, et franchement, pour tout ce qui concerne le capitalisme néo-libéral, c’est pratique, la déshumanisation.