La torture des enfants

Quelques médecins (le sont-ils vraiment, au final?) proposent de “siffler la fin de la récréation” aux populations, concernant l’épidémie de grippe actuelle de 2020, c’est-à-dire de faire en sorte qu’aucun rassemblement, même privé, se fasse.
En gros, il faut démonter ce qui fait la société humaine pour n’avoir plus que des robots consommateurs, bien DOCILES aux ordres.
Peut-on parler d’infantilisation des populations sans justement se rapporter au fait que l’enfant, l’adulte humain en devenir, est un être qui doit être dressé?
C’est un problème, en effet. Parler d’infantilisation suppose que l’enfant ne ressent rien, alors que c’est tout le contraire. Que l’enfant ne sache pas ce qui lui arrive quand des émotions se font jour en lui, c’est vrai. Mais qu’il faille le dresser, souvent au prix d’une torture, là… seuls les dominants exploiteurs pensent que c’est une méthode louable et agissent en fonction.

La société de la mort par la chaleur climatique et pyrolytique se dessine: les populations qui arrivent, les enfants d’aujourd’hui, sont matés par la répression policière et la domination des idiots en charge de gouverner. Obligation de porter un bâillon masquant le visage, inutile face à un virus lorsque celui-ci est déjà installé de longue date sur toute la planète, vérification policière armée de cette obligation dans les établissements scolaires ou commerciaux, obligation de confinement inutile également (la comparaison avec certains pays non confineurs est éloquente), désocialisation à l’échelle mondiale, appauvrissement généralisé (sauf pour les ultra riches)…

Ce n’en est qu’une petite, mais elle a toutes les caractéristiques possibles de la connerie humaine, cette apocalypse.

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