Je viens de lire les propos du gérontophile marital à propos de la femme septuagénaire gravement blessée au crâne par la police à Nice.
D’une part, on peut dire que sa gérontophilie s’arrête à ses petits intérêts personnel (sa vieille à lui), étant donné avec quelle suffisance et quel mépris il traite une concitoyenne blessée gravement par le bras armé de sa politique inconsciente.
Je cite le cuistre: “Elle s’est mise en situation d’aller dans un endroit interdit (…) Je lui souhaite un prompt rétablissement, et peut-être une forme de sagesse.”
Petit rien du tout vantard, comme si tu étais sage, toi! Tu te sens plus pisser, hein? Et si on te faisait rentrer la sagesse à coups de plots, qu’en dirais-tu, toi?
Tu rejoins ainsi, médiocre, les propos fous de Streisand qui affirme que les violences psychologiques et sexuelles qu’a infligées Michael Jackson à de nombreux enfants “ne les ont pas tués”.
Je vous dirais bien d’aller au diable, mais vous y êtes déjà, et ça suinte, ça dégouline. Vous êtes des salauds.
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Streisand et Macron, deux têtes de gonds
lundi, mars 25th, 2019A touch of Japan
vendredi, mars 22nd, 2019For sale 50 grands each 🙂
Hemispheric touch of japan.
Les 7 erreurs
vendredi, mars 22nd, 2019Et il manque queuwoua?
Be RITE ^^
Mapplethorpe, mon amour.
jeudi, mars 21st, 2019Well, ok, now it’s time to confess.
( 🙂 @froggies playing with words’ sounds)
I am very aware I’m still in the beginning of my art, as, watching some websites about the great photographer Mapplethorpe (like this one, this one, or that one) I was stuned about the way I follow, unconsciously, quite the same path. Making it short: flowers and penises.
Do not focus on those. The best part is always the one you don’t notice at first sight.
Let the flow goes.
Dessin de ma presse
mardi, mars 19th, 2019NSFW: froggies!
lundi, mars 18th, 2019Kiss my ass @ OK Corral
dimanche, mars 17th, 2019This is what you can call a cold revenge.
Some like 20 years ago I’ve been part of a pseudo artist work that ended in a bad manner (not for him of course), thanks to the pseudo artist himself, a bit like the story with Roberta de Clitoris.
Let’s make clear the very end: a 100 box instead of the 10% of the 6K previously promised (which is 600 box) for quite some amount of work with quite some hardware and at any time of day and night.
What reminded me about this story is the picture of some graph play on words tagged in a Cartier shop in Paris last saturday, during the 18th week of ‘yellow jackets’ protest (with some great destruction of riches’ symbols): it says “Pas de Cartier pour les bourgeois” which actually means “no mercy for the bourgeois” in with ‘mercy’ is ‘quartier’ in french which is pronuonced just like the famous luxury trademark ‘Cartier’.
The déchu artist I won’t name him (but you’ll easily find who he is…) was- as an ‘artist’ I mean-so, was at the time, early 2000’s, making me work on my computer to scan and develop photos and make some graphic artwork for him, of course as ‘tests’ (meaning non payed or ‘for the fun’ of it, for the most part of it …).
I’ve been through some pages about the guy’s new work as a gallery manager, after he left his pseudo artwork. I quote him:
“Deux ans plus tard, il raccroche ses ambitions artistiques. “J’ai eu un moment de lucidité, dit-il. Parfois, il est bon de persévérer, et parfois, non.” “( in )
“À l’origine il y a un changement brusque, existentiel : arrêter d’être artiste, faire les choses autrement, changer de vie. C’est un choix égoïste, pas politique. Je l’ai fait pour moi, pas contre le système. Et ça n’a rien à voir non plus avec le marché dont je ne connais alors rien, et dont je ne me soucie pas. Cela a plus simplement à voir avec une crise de lucidité un peu plus aiguë et longue que d’habitude : je ne suis pas un grand artiste, je ne vais pas le devenir et je vais crever de désespoir et d’amertume si je m’entête une minute de plus dans cette voie.” ( in )
As an art historian with quite some background, as an artist myself, and as an ex acquaintance, I can say: AT LAST!
But that’s not really my point here. He owes me 500 plus the 100 of interests. I don’t care much about such a money, but now, he will know that the past is NEVER forgotten, however people can live through some high difficulties. Furthermore, I know HE likes much money though… “I mean, we’re across the street from the Carlyle!” ( in )
What I care about is not being taken for an idiot.
Having passed by a quarter analysis doesn’t make you someone. Knowing you’re bad and making profit out of it using people’s weaknesses is really common.
That’s not a character trait. It’s just going deeper into the ‘sickness’ of humanity.
I wish him good luck in ‘la petitesse’ of his life. It’ll all end like ‘petits fours dans les raouts’: shit.
Plus, you can also give back the money and stop manipulating people with a stupid smile, thanks!
Farewell!
Complice
dimanche, mars 17th, 2019C’est vrai ça,quoi! La réjouissance n’est que pour lui! [‘ré’ parce qu’il n’en a jamais assez, le cuistre]
Quel plaisir de voir le Fouquet’s attaqué, démoli, saccagé, en feu!
Il aurait bien aimé que ce soit la Rotonde, en fait. Haha. Le jaloux qui trépigne.
C’est égal, c’est inadmissible, cela ne doit plus advenir, il en décide ainsi – l’impuissance est terrible pour qui ne la supporte pas.
Qui sont donc ceux-là qui, vivant d’expédients, osent emmerder sa majesté qui prend quelque menu repos sur les hauteurs enneigées, après avoir vendu sans répit armes et bagages aux banques et aux dictatures? Il se donne tant de mal afin que ruisselle sa majestueuse fiente qu’il prend pour de l’or, et que les gueux devraient prendre pour argent comptant… Alors, contents?
Comme le dit Lordon (et d’autres) nous sommes dans le 1984 d’Orwell, où les mots n’ont plus prise avec la réalité tout en disant leur exact contraire: “la guerre, c’est la paix”, etc.
Pour que tout cela cesse, les causes, comme les conséquences, le psychopathe (et tous ses sbires) doit se retirer, et l’on aura, avec quelque chance, une opportunité de retrouver une marche saine. A tout le moins on aura l’espace de penser sans devoir subir les hérésies stériles des moulins et des venteux (avec un ‘a’ si vous voulez).
Qu’il persiste dans la fatuité de sa folie et un funeste destin ne peut que lui être promis, sans même qu’il soit souhaité pas plus que souhaitable.
Fin du grand débat, début du grand débarras ! Frédéric LORDON Bourse du Travail Paris 14/03/2019:
https://www.youtube.com/watch?v=wjYwlNN0DlI
De l’art manipulatoire en politique
jeudi, mars 14th, 2019On peut dire aujourd’hui que l’essence même de la politique est la manipulation des dominants sur la masse des populations, “aujourd’hui” signifiant probablement au moins quelques millénaires.
D’aucuns diront que plus personne n’est dupe… sauf une écrasante majorité qui, hélas, continue de croire aux bobards et élit conséquemment ses bourreaux.
Deux exemples du jour:
– un combat de manipulation entre un syndicats de gynécologues, qui menace de ne plus pratiquer d’interruption volontaire de grossesse s’il n’est pas reçu par la ministre de la santé Buzin, et celle-là qui leur répond que c’est “une prise en otage” des femmes. On ne sait pas vraiment pourquoi ce combat de coquelets, on se doute qu’il s’agit d’argent, forcément, mais on note que dans l’histoire, les sujets -à savoir les patientes, mais aussi le système de sécurité sociale- sont évincés dès le départ. Les dindes de la farce ne servent qu’à servir les intérêts de ceux qui les utilisent tels de simples instruments.
On s’aperçoit par ailleurs que seuls les dominants aux émoluments conséquents aiment à travailler cet art de la manipulation aux fins de profits exclusifs, et que d’altérités ils croient ne pas avoir.
– la réponse “ne soyez pas impatients” du président macron (je ne l’aime vraiment pas, il n’aura pas de majuscule, s’il est chef, c’est pour prendre pour tous les autres , bien fait) aux demandes de justice climatique d’une jeunesse qui aimerait bien vivre sa vie sans avoir à souffrir ni mourir trop précocement en raison des multiples pollutions toxiques. On note ici que la réponse n’en est pas une puisqu’il s’agit d’un jugement sur la partie adverse afin d’éviter de répondre aux attentes bien concrètes et au sujet bien précis de la requête des nouvelles générations. Cette technique de l’évitement ainsi que l’attention portée sur un trait de la partie adverse est typique de la manipulation. Elle montre en outre la ferme volonté de ne prêter aucune attention aux demandes faites et encore moins d’y faire suite.
Il faut se rendre compte que la manipulation ne fonctionne que s’il y a un public, car c’est le public, la population en l’occurrence, qui est directement visée par ces mouvements stratégiques. C’est bien la population (ou certaines de ses parties) qui est concernée au premier chef par ces sujets, et c’est encore elle qui pâtit directement du petit jeu dominatoire délétère de ces gens qui se disent élite.
En politique, cette manipulation est relayée aux foules par les médias qui, eux aussi, s’échinent à obtenir une partie du gâteau en faisant montre de leur soumission aux manipulateurs tout en essayant de faire croire à la fois et en même temps aux deux parties -les dominants manipulateurs et leur population manipulée- qu’ils voient très bien ce qui se trame. Cette posture est censée leur permettre de se positionner en arbitres, mais en arbitres partiaux, car ils ont bien sûr choisi le camp des dominants.
La machine est bien rodée.
Que les dominants aiment à dominer, c’est d’une logique imparable. Mais alors pourquoi diable les dominés se laissent-ils faire? Aimeraient-ils être dominés, au final?
L’ordre est-il à ce prix? Et surtout de quel ordre, justement, s’agit-il?
“Chacun à sa place”? Quelle folie!
Quelle peur micte donc de cet adage?
Moi, je sèche 🙂
Before the cut.
mardi, mars 12th, 2019On vient te chercher chez toi
vendredi, mars 8th, 2019C’est l’une des chansonnettes poussées gaiement dans les manifestations politiques des gilets jaunes contre toutes les injustices: “emmanuel macron, ô tête de con, on vient te chercher chez toi”. Le bon sens populaire près de chez vous 🙂
Pour peaufiner ma petite analyse présidentielle je voudrais citer un passage du livre “La Manipulation affective dans le couple: Faire face à un pervers narcissique” de Pascal Couderc et Pascale Chapaux-Morelli paru aux éditions Albin Michel.
On y découvre un portrait saisissant et fort ressemblant aux profils psychologiques des hommes de pouvoir -tous les dominants, en fait, en particulier de certains des premiers magistrats français, et qui sied à merveille à l’actuel président français.
Attention, ce genre de lecture n’est pas à conseiller aux consensuels de tous poils 🙂
“Le Tout-Puissant
Le Tout-Puissant (son envergure vaut bien des majuscules…), que nous choisissons de peindre sous les traits d’un homme bien que nombre de femmes aient ce type de personnalité, est celui qui pense être le centre du monde et croit pouvoir agir sur ce dernier en monarque suprême. Ne dit-on pas : « Dieu Tout-Puissant » ?
Le Tout-Puissant est resté dans ce que l’on nomme le « Moi idéal », soit le Moi narcissique du petit enfant pour qui le monde, c’est lui-même, et son modèle, également. Les autres ne sont pas pris en compte ; il reste centré sur lui et se nourrit de lui-même, contrairement au pervers narcissique qui cherche l’autre pour s’en nourrir. Le Tout-Puissant n’a que faire de l’autre et ne saurait s’en nourrir : il est déjà plein de lui-même et se considère comme étant riche de toute la substance du monde ! Il a en commun avec le pervers narcissique cette constatation : l’autre ne peut avoir le même statut que lui à ses yeux. Tous deux se considèrent comme supérieurs…
Si le pervers narcissique manipule par l’envahissement, la dépréciation, l’isolement et la destruction, le Tout-Puissant manipule, lui, par la tyrannie. Très exigeant non seulement envers lui-même, mais aussi envers les autres, son entourage, ses collègues, il peut ressembler au pervers narcissique. Toutefois, le Tout-Puissant n’est pas pervers, il n’a pas l’intention ou le besoin de détruire. Il anticipe donc moins par rapport à l’autre : ce qui l’intéresse, c’est dominer. Il est donc aussi plus conscient et plus stratège. La destruction de l’autre est présente malgré tout, mais en tant que conséquence de ses agissements plus que comme objectif. La destruction intervient « de surcroît » car elle est nécessaire pour asseoir la tyrannie.
Toute cette force qui se dégage du Tout-Puissant laisse évidemment penser que justement il est profondément vulnérable sur ce point. C’est un grand impuissant et son comportement exprime une attitude défensive : il domine par peur d’être dominé… On ne critique pas le Roi : il règne, et l’homme Tout-Puissant veut rester intouchable. Il est dans l’angoisse de la perte de son pouvoir (et en cela il se différencie du pervers narcissique, lequel, rempli de néant, est avide d’acquérir de la substance par « objet » interposé).
Le Tout-Puissant manipule donc pour installer son pouvoir et rendre sa tyrannie « opérationnelle ». Il passe ainsi le plus clair de son temps à prouver aux autres que ce qu’il accomplit est mieux fait, que ses idées sont les meilleures. Par essence, il est ambitieux, souvent hyperactif. Il déteste évidemment être pris en faute ou en flagrant délit d’imperfection. Son orgueil, alors blessé au plus haut point, l’amène à réagir par l’attaque : il accuse en retour (éventuellement de tout autre chose) pour détourner l’attention de sa propre culpabilité. Si, par exemple, on lui fait remarquer qu’il laisse traîner ses vêtements, il répond : « J’ai, moi, rangé tes chaussures de tennis pas plus tard qu’hier ! ». Comme personne n’est parfait, il trouve toujours comment « déplacer » le reproche et le faire translater vers l’autre.
« Mon mari est un homme intelligent, et il se met en quatre pour la famille… mais il nous écrase un peu ; je trouve qu’il s’impose trop, confie Ghislaine, 48 ans, employée de bureau. Auparavant, je ne m’en rendais pas compte, mais maintenant ses reproches m’étouffent ; il n’arrête pas de critiquer. D’après lui, ce que font les autres est toujours mal fait. Il est trop perfectionniste. Il a tout le temps de quoi redire. J’ai l’impression d’être constamment prise en défaut, comme coincée contre un mur. Avant, j’essayais de le contenter et de lui faire plaisir. Depuis quelques mois, je ne le supporte plus. Pourtant je l’aime… mais il exa gère. Il dirige tout, fait la loi sur tout. Quand nous partons en vacances, il prépare d’abord une liste de ce que chacun doit faire : moi, mon fils, sa sœur. On dirait qu’il dirige sa petite armée. Après, il fait un “check” de tous les points de sa liste pour vérifier que tout a été fait dans les règles – vous savez, comme les pilotes à bord des avions avec leur check-list. Notre fils, Vincent, est en général chargé de changer les piles des boîtiers d’arrosage automatique, pour le jardin, de préparer les vélos que nous chargerons ensuite derrière la caravane, ainsi que le matériel à emporter pour les éventuelles réparations. Eh bien, je crois que depuis cinq ans qu’il a cette haute responsabilité, il n’a jamais réussi à faire ce que son père lui demandait. Mon mari repasse derrière et pointe du doigt les “erreurs” ou ce qu’il juge comme tel. Les bicyclettes ne sont jamais assez bien nettoyées, les pneus pas assez ou trop gonflés. Les boîtiers d’arrosage sont mal réglés et Vincent oublie – selon mon époux – les trois quarts de ce qu’il faut emmener : trois paires de rustines au lieu de cinq, une huile spéciale, etc. Cette année, Vincent s’est soustrait à ces contraintes. Mon mari l’a traité de fils ingrat, de dégénéré… »
Ce genre d’homme (ou de femme) agit d’égale façon avec son conjoint. Le Tout-Puissant se comporte ainsi avec toutes celles et tous ceux qui l’approchent.
Ce type de personnalité provoque dans l’entourage, soit un réflexe de rejet et de rébellion, soit un état de dépendance et d’assujettissement, selon les circonstances et le caractère des individus. Le Tout-Puissant choisit généralement un conjoint qui l’admirera et saura lui obéir mais, comme il aime flatter son ego et exhiber une compagne de choix, il peut aussi s’attacher à une personne « remarquable », dotée d’une certaine personnalité, auquel cas il s’expose à des obstacles dans l’affirmation de sa tyrannie…”
Auteur: Pascal Couderc.
Source: https://www.pervers-narcissique.com/episode-11-la-manipulation-ordinaire/
Le psychopathe manipulateur
vendredi, mars 8th, 2019Un témoignage éloquent et frais du jour à écouter sur France Culture:
https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/dans-deux-heures-je-te-defonce-0
Celui-là dont la victime parle est un genre psychopathe (il passe à l’acte violent) manipulateur (il retourne contre sa victime les effets de sa manipulation) et présente un léger nappage de perversion narcissique pour couronner le tout (bien qu’en général le pervers narcissique soit un psychopathe qui ne sait que trop bien se cacher et échapper ainsi à toute découverte).
Une lecture sérieuse pour les plus courageux: https://www.cairn.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2003-3-page-925.htm
Il y a ceux-là.
mercredi, mars 6th, 2019Il y a ceux et celles qui, jamais ennuyés d’une quelconque façon qui dépasserait une démangeaison légère ou une poussière dans l’œil, se targuent de ne pas être des intellectuels.
C’est encore heureux!
Rechignant à la lecture d’un Lordon, expliquant fort bien, avec son biais inimitable, la philosophie -indigeste pour moi- de Spinoza à sa sauce, ils préfèrent se plonger dans les lectures viciées d’un prix à l’accession au monde des millionaires tels les Houelbec à sa mémère, les Piketti à son Duce, prêts même à défendre d’indéfendables idéologues tels que Finkelkraut à sa choucroute, Onfray mieux d’se barrer (à la Vogonstyr) ou encore des bhl aux initiales finalement fort proches de celles de magasins fourre-tout pour consommateurs décérébrés.
Il y a ces gens-là, mais parmi eux, on peut encore affiner les catégories.
Certains sont véritablement des cuistres. En dehors des apparences, ils ne désirent absolument rien. Une pseudo culture rassasiée d’Inrockuptibles banquiers, aux ordres d’une bienséance trash-chic tragique, de magazines en vogue leur faisant dégouliner un soupçon de ce qu’il faut absolument savoir pour remplir le vide de leurs vies et les soirées sociales obligatoires.
D’autres s’épuisent à la conquête d’apparences strictement vidéo-sociales, comme si ce qu’on voyait était l’unique et vrai reflet d’une vérité partagée, enviée, et finalement absolue.
D’autres encore, et ceux-là sont peut-être sauvables, s’accommodent d’un saupoudrage des précédents vices pour masquer quelques questionnements dont ils repoussent l’idée même jusqu’à un hypothétique plus tard. Plus tard.
Pourtant tous ces gens-là ont une chance dont ils ne seront jamais pleinement conscients.
Est-ce, au final, une chance que d’être et de rester aveuglé tels les imbéciles heureux que l’on rencontre parfois -au détour d’un coin de rue, au hasard, pendant une manifestation des gilets jaunes, telle une peste vicelarde- en se persuadant qu’il n’y a pas plus grand bonheur?
Ceux qui profitent éhontément de la masse de ces ignorants savent bien, quelquefois inconsciemment – en témoignent leurs lapsus- que leur salut à eux est dans cette masse informe que revêt la bêtise, si commune à l’humanité. Ceux-là sont les dominants, quels que soient leurs moyens.
Et pourtant!
Et pourtant il existe une sorte de force qui poussent les malchanceux à se dépêtrer de l’ignorance qui caractérise le plus grand nombre.
Cette force c’est la souffrance et la douleur, dans leur infinité de formes et de chemins. Cette force, c’est l’unique chose admirable concernant l’humanité.
Cette force, c’est le majeur tendu sur un poing fermé, seul dépassant de la surface où l’Être se noie.
I testify
vendredi, février 22nd, 2019Propos liminaire
J’aurais pu intituler cet article « pour en finir avec ‘le plus con que la moyenne’ », en référence au bouquin de je ne sais plus qui.
Je risque fort d’en écrire un, de bouquin, c’est même commencé.
Une fois qu’il aura été terminé, j’envisagerai ou non de le proposer à des éditeurs, mais point de précipitation. Il n’a toujours qu’une seule page et même pas de plan défini.
Du calme ! donc !
Ce blog faisant ma publicité personnelle et choisie, son but est peut-être atteint aujourd’hui : une reconnaissance.
Vastitude des personnalités, certains s’y refuseront catégoriquement. Ils pourront se poser quelques questions. D’autres ne sauront.
Peu me chaut. C’est avant tout pour moi que cela importe et je n’envisage aucune sorte de relation non consentie avec qui que ce soit pourvu qu’elle soit saine.
Je badine aisément, mais seuls les zèbres reconnaîtront la difficulté à s’exprimer de la sorte de façon définitive : toute donnée de quelque nature qu’elle soit, importée sur Internet, est copiée et conservée de façon infinie et perpétuelle.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Perversion_narcissique
Oh pour ceux qui seraient tentés de glousser à la victimisation, je leur dirais d’abord de se mettre à nu… hein ?
Et ensuite, on causera d’esprit.
Je m’attends à un déferlement de silences. Et le silence, en tant que musicien zèbre, j’adore ça.
Le film ‘Irréversible’ est terrible, n’est-ce pas ?
Mais l’irréversibilité n’est et ne sera jamais que celle de la mort.
C’est d’ailleurs pour cela que l’on vit : pour se donner l’illusion de laisser une trace qui vaincrait la mort. Foutaises !
7 milliards d’individus humanoïdes sur la planète ? Ya le choix, n’est-ce pas ?
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Comment mon père a tué ma mère.
Quand ma mère m’a dit, sur son lit de mourante, complètement aveugle, la boîte crânienne envahie par une tumeur rhabdoïde teratoïde atypique métastasant dans la moelle épinière, paralysée de toute la moitié du corps inférieure, ne pouvant se soulager qu’à l’aide de sondes sans même contrôler quoi que ce soit, quand ma mère m’a dit : « ton père ne m’a jamais dit ‘je t’aime’ de toute ma vie », un mécanisme s’est mis en route.
Quel poids me mettait-elle alors sur les épaules, mais aussi quelle formidable porte de sortie elle me laissait là, avant de s’éteindre probablement par asphyxie, puisque le système nerveux central était complètement envahi par les tumeurs. Deux heures avant sa mort, je n’entendais via le portable de ma sœur qui m’appelait de la chambre mortelle, que son râle épuisé cherchant à retenir la vie. Un râle terrible – et curieusement d’un volume sonore bien plus élevé que le discours téléphonique- que mon père, qui venait la nourrir en lui donnant la becquée à chaque repas, avait pris ce midi-là pour des ronflements… Elle n’avait pas pu manger.
C’est lorsque ma mère m’a fait cette triste révélation qu’a rejailli en moi toute la souffrance que j’avais endurée pendant plus de quarante ans.
« Il est jaloux de nous, ses propres enfants », « il préfère son chien à ses enfants »…
Toxique est un bien faible mot.
Et je n’avais pas vu que ma mère subissait elle aussi cette violence psychologique inhumaine dont je pense aujourd’hui qu’elle est la raison de sa mort.
C’est probablement aussi cela qui est responsable de mes pneumothorax spontanés.
Deux pathologies dites épigénétique pour l’une et congénitale pour l’autre.
Mais puisque, quand même, j’avais demandé à mon père qu’il fasse preuve positive d’amour auprès de ma mère mourante, le manipulateur s’est efforcé de faire un bisou après la becquée… m’a-t-on dit.
Mais je n’ai jamais eu de réponse à mon courriel.
Le pervers narcissique est tout simplement incapable de sentiments.
C’est foutu, c’est torché, Racamier l’a montré.
Le stratagème est terrifiant. Capable de tout pour ne pas se faire démasquer, pour continuer d’être l’unique centre de toutes les attentions, alors que sa propre femme est en train de mourir.
Ma mère, dénigrée malgré sa cécité, préférait être à l’hôpital parce qu’alors on s’occupait d’elle, disait-elle. Oui, le personnel médical, plutôt que de s’absenter une grande partie de la journée pour aller au jardin comme le faisait mon père, faisait son travail.
Faut-il souffrir autant pour croire que les aides-soignants ont une quelconque empathie ?
Mon père est un pervers narcissique de la pire espèce, il a tué sa femme et brisé la vie de ses enfants.
Maintenant, le tri est fait. Je n’en sais encore rien, mais il est fait.
Je vous rends l’humanité que vous avez perdue, tous.
Je ne vous hais même pas, je peux vous voir et vous déceler en un regard, folcoche de tous poils.
Et quant aux autres, ceux pour qui la cécité cruelle et criminelle semble être une qualité, je vous laisse dans la médiocrité de vos petites vies rangées, entre famille, boulot et flouze…
Contentez-vous de prendre fait et cause pour tous ces sujets si importants que tous font consensus.
Croyez vos dominants, croyez vos maîtres, qui sont aussi simples que vous l’êtes, et dont les discours vous ravissent.
Je ne veux plus rien de vil, de bas, de médiocre. Je m’extirpe de vos caniveaux.
Je vis.
Je suis zèbre et, amicalement, je vous emmerde.
Tasty humans
mercredi, février 20th, 2019A need for a first amendment
mardi, février 19th, 2019https://en.wikipedia.org/wiki/First_Amendment_to_the_United_States_Constitution
There’s a great need of something ressembling the first amendment of the US constitution in a small country that lives in a constant domination of any kind of cretins and keep doing so after sabotaging ANY little step of enlightment through ages.
Maybe something better than the first amendment could be found, but as always, human condition is so well done that it will stay the same for eternity.
Sad tasty humans.
Zebra IE vs PN, the beginning.
lundi, février 18th, 2019Une amie m’avait glissé à l’oreille ce mot animalier et voilà qu’il me permet d’avancer; enfin.
Une longue route se dessine dorénavant devant moi, pavée d’emmerdes bien sûr, mais plus confortable, à coup sûr.
https://cvpcontrelaviolencepsychologique.com/2013/02/02/le-lourd-secret-du-manipulateur-pervers/
Brouillon
jeudi, février 7th, 2019Prologue
A la lecture du dossier médical de ma mère que j’ai demandé en tant qu’ayant-droit, le parcours n’apparaît pas si terrible. Même les délais pourraient passer pour raisonnables.
Un an et demi presque, avant de pouvoir le lire de façon intelligente et posée… et encore.
Cependant, le texte ci-dessous me permet d’introduire le profond malaise d’un fils qui n’a aucun droit auprès du parent, direct ascendant, patient, comme du personnel médical, d’après le droit médical (ça existe ce genre de connerie?). Un seul référent, appelé personne de confiance, a accès au dossier pendant la durée des traitements.
A la différence du droit fiscal et patrimonial, le reste de la famille directe est mis de côté. Et je ne pense pas que ce soit pour le bien de tous, mais plutôt par commodité.
Je garderai toujours le sentiment que l’on écarte du patient tout étranger au domaine médical, quels qu’en soient les conséquences.
C’est sûrement dans un but de pédagogie populaire…
La discussion étant le meilleur des remèdes, je ne saurais que trop enjoindre les médecins à exiger le nombre et le budget suffisant afin de pouvoir vivre leur métier et non pas vivre de leur métier, quand bien même ils seraient rétribués. Cela vaudrait bien sûr pour toute la société, et si je digressais, je dirais qu’un milliardaire ou un vendeur de bagnoles à 40000 euros par jour est une insulte à l’humanité et la négation de toute société. Heureusement que les seuls à avoir subi la bombe atomique ont plus de droiture en certaines matières que les nouzautres, hein, carlos?
Au moins, à ceux qui savent être critiques au lieu d’être moutons, l’accès à l’information est depuis peu possible. Encore faut-il ne pas en avoir peur et se donner la peine d’y accéder. Il faut encore hélas savoir l’anglais pour ce faire, et disposer d’une intelligence libre et critique, de celle que les dominants abhorrent.
On ne vous parlera jamais de ceci, puisque les équipements ne se trouvent pas en France (mais toutefois en Europe) : https://sites.google.com/site/tpetraitementscontrelecancer2/hadrontherapie
On vous vendra du rayon x bien pourri qui fait d’énormes dégâts dans les tissus sains, au moins autant que sur les tumeurs. Demandez donc à nos amis nippons.
Je ne parle même pas de la réponse du professeur lorsque j’ai parlé de l’utilisation du THC dans la thérapie, qui est pourtant autorisée : « il faudrait des mois et un calvaire administratif pour pouvoir obtenir l’autorisation ».
Peine perdue que de vouloir ce qui existe. L’humanité est lente. L’humanité françoise est soumise à de terribles tabous.
C’est pour cela que la seule littérature médicale disponible et sérieuse (il faut toutefois faire le tri) n’est disponible qu’en anglais sur des sites américains.
Cependant, je conçois la condition humaine de tous ces acteurs ; comment pourrais-je en faire autrement, moi qui y suis tant soumis par ailleurs ?
Mais alors que je songeais à étouffer ma colère, je crois qu’il est de meilleur aloi qu’elle s’exprime de façon pacifiste. Et tant pis pour ceux qui préfèreraient qu’elle soit pacifique.
Dans la France martyrisée des gilets jaunes, quelques salauds puissants continuent d’essayer de persuader leurs faire-valoir, en fait ceux qu’ils exploitent éhontément, que l’argent, le budget, le financement, blabla etc, est ce qui fait société, ce qui la crée même, alors que c’est toujours plus et uniquement un moyen de domination.
A unique experience of quick death.
Journal d’une mort.
10 mai 2017
Aujourd’hui j’ai 67 ans, et je suis aux urgences.
Cela fait deux semaines que j’ai un mal de crâne terrible dont mon pauvre médecin généraliste pense qu’il est dû à un problème de sinus.
A tout hasard, la consultation dentaire n’a rien donné.
Aucune prescription d’imagerie malgré mon âge, la durée et la localisation de la douleur intense.
Mais ce matin, au réveil, je vois double. Le nerf optique est touché.
Ce n’est certainement pas une sinusite banale.
Les urgences sont remplies. La gestion médicale est déplorable, mais on se dit que d’autres sont plus malades. La logique inverse de celle qui devrait être adoptée pour guérir.
Un IRM montre une masse tumorale située à la base du crâne, dite selle turcique, là où se trouvent les glandes hormonales et le début des nerfs optiques.
Ce sont les services d’endocrinologie et de neuro-chirurgie qui s’occupent de ce genre de pathologie.
L’endocrinologue pense qu’il s’agit d’un bénin adénome hypophysaire que l’on peut soigner chimiquement, alors que du côté neurologue, le diagnostic n’est pas aussi affirmatif et bien moins encourageant.
Pour tout dire, les neuro pensent qu’il ne s’agit pas d’une tumeur hypophysaire.
Dans tous les cas, lorsqu’on a affaire à une tumeur possiblement cancéreuse, l’unique et meilleur moyen de guérison est la résection totale, lorsque c’est possible.
Alors que le scandale public du changement de formule du lévothyrox (https://www.sciencesetavenir.fr/sante/les-principales-etapes-de-l-affaire-du-levothyrox_118282 et https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/video-levothyrox-la-nouvelle-formule-est-une-aberration-pharmacologique-selon-un-ancien-chercheur-du-laboratoire-merck_2748953.html ) se fait jour au même moment, on me le prescrit de façon préventive. J’en prendrai ma dose quotidienne jusqu’à la fin. Des fois que…
Je suis crédule et je fais confiance aux médecins.
Il semblerait que, même pour une tumeur bénigne de l’hypophyse, l’opération soit à faire en urgence, dès lors que le nerf optique est touché, ce qui est mon cas puisque la consultation en urgence a pour cause une diplopie.
Voir le dépliant du CHU de Rennes, prendre conseil auprès du neuro-chirurgien O. Bousquet.
On y lit : « Cette opération est rarement urgente, sauf dans les cas où l’adénome est responsable de troubles visuels importants. »
Tiens donc, je souffre de diplopie. Cette pathologie est donc à traiter d’urgence et l’opération à programmer très rapidement.
On me fixe donc rendez-vous pour l’opération trois (3) semaines plus tard…
21 jours de souffrance en plus, « rentrez chez vous, ma brave dame ».
L’urgence médicale, dans le système néo-libéral médical français n’est pas la même qu’on soit chef d’état ou simple patient ayant cotisé et travaillé toute sa vie.
Il est vrai que de retraite je n’aurai finalement pas à en demander beaucoup, malgré toutes ces cotisations.
Pourtant, handicapée par la perte de la vue en moins de deux mois, devenue aveugle, j’irai quand même voter pour macron, parce que je suis crédule.
Je serai opérée du mieux possible, mais la tumeur, qui s’avère être une ATRT (tumeur atypique tératoïde rhabdoïde) est agressive et a déjà envahi une partie des sinus, détruit le plancher osseux, refoule le nerf optique droit vers le haut et comprime le cerveau.
Les adhérences ainsi que la proximité des artères, des veines, des nerfs et de l’hypophyse n’ont pas permis la résection totale de cette masse informe et envahissante de plus de 3 cm de dimensions patateuses.
En l’espace de six mois, je suis passée de vie à trépas.
Heureusement que mon fils a demandé l’hospitalisation deux semaines avant mon départ définitif alors que mon médecin traitant disait qu’on pouvait attendre la prochaine consultation oncologique.
Tout le SNC était alors métastasé et la prolifération des tumeurs atteignait la moelle épinière. Je ne sentais plus la moitié inférieure de mon corps, membres comme organes internes qui l’un après l’autre tombaient en désuétude définitive.
C’est par un râle terrible, transporté par le téléphone de ma fille que mon fils a su, bien loin de moi, que c’en était fini.
Deux heures plus tard, je n’étais plus.
Fourre-tout
On lira avec attention un billet de Lordon qui commence à se rendre compte que, hélas, je n’avais pas tort de fustiger un malade mental à la pathologie extraordinaire en la personne du gérontophile à sa maman symbolique, mettant là en scène un oedipe tout nu. C’est si trogneux !
« (…)l’absence complète de limite, de censure, de reprise de soi. C’est une compulsion venue de trop loin (…) »
« (…) livre sur l’entendement, il faudrait plutôt dire sur la psyché présidentielle des aperçus proprement vertigineux (…) »
« (…)c’est le héros (…) qui décompense (…) »
Et surtout, le meilleur pour la fin :
« Peut-être fallait-il l’extrémité d’un grand malade (…) »
Rhoo ! J
https://blog.mondediplo.net/le-complotiste-de-l-elysee
Les actions sont portées par les individus fort pourvus d’affects. En cela, mais aussi dans leurs passions, ils ne sont pas dissociables des actions qu’ils dirigent.
Et, oui, la psychè n’est pas séparée du corps qu’elle habite.
https://www.youtube.com/watch?v=kAO5OuFBIe8
https://www.youtube.com/watch?v=VjW7AKYmlrg
True.
jeudi, janvier 17th, 2019Monster love
mardi, janvier 8th, 2019Ain’t got no money…
Got my pretty tail 😉
This is the caterpillar of the now famous butterfly appearing in “The silence of the lambs” movie.
Shot on some potatoes plants at home. The damn beast eats quite a lot but I’ve let it do. No harm. Thanks for the pics buddy worm 😉
It is said that the butterfly itself has a cry like one would have read in Edgar Allan Poe short novel “The sphinx” (here in french audio, here in english text).
I wouldn’t believe it if I had not heard myself the cry of the caterpillar…
That’s a audio/video bonus of the cry, when someone -me- shake the branch the damn beast sits on 😀
A weird defensive “tak tak tak” sound.
About the photo title itself, one will look at this below video of Nina Simone song (and of course read carefully the lyrics):
[sz-video url=”https://youtu.be/L5jI9I03q8E”]
Just like in Poe’s novel, my aim is not the main subject, but what I can tell through some commonly ‘common’ said pictures.
If one jumps freely from an idea to antoher, it’ll get soon to a famous Dali photography.
And will find a bit of its meaning too (and how it was created with women’s bodies).
Then, do not stop.
And let’s stay friends, girlfriends 😉