C’est pas une photo pour les tarlouzes, et encore moins pour celles qui se reconnaîtront.
😉
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Penseuse
mardi, avril 16th, 2019Le 300e
lundi, avril 15th, 2019Un peu de lecture politique avec Juan Branco.
“Ce que ce texte entend démontrer, c’est que ce sont ceux qui réclament le départ du Président, et non ceux qui le défendent au nom des institutions, qui se sont mus en les défenseurs de notre République et la démocratie” (sic, mais OSEF, c’est le brouillon)
[sz-video url=”https://www.youtube.com/watch?v=yEtmZKE5jhw”]
Passage choisi:
“Il faut mesurer l’assurance, la certitude d’être unique et particulier qu’offre la réussite en un système aveuglé à sa violence et son injustice, l’ayant mise à ce point sous le boisseau qu’il nourrit l’une des sociétés les plus rigides et figées sans que personne ne songe, autrement qu’intuitivement à la contester. La capacité de ces lieux de conformation à vous faire croire en votre propre qualité pour peu que vous adhériez à ses dogmes est telle qu’il devient difficile, lorsque l’on n’est jamais confronté à d’autres milieux – et tout est organisé à cette fin – de ne pas croire à ces fables, et de ne pas considérer comme siens des succès d’un système qui n’aura fait que vous porter.
L’idéologie républicaine se révèle en cela néfaste, faisant croire, par la supposée universalité objectivante du baccalauréat et de ses concours, qu’il y aurait en la réussite gloire individuelle là où le système se contente de faire de vous un soldat à son service, victoire sur l’ensemble de la société là où seule une concurrence entre gens bien nés a été organisée. Les statistiques les plus féroces démontrant à quel point l’éducation nationale est devenue une machine à triturer ne suffiront jamais à convaincre ceux qui auront été sacrés par le système, et a fortiori les rares qui, provenant des milieux des plus modestes, seront mis en avant pour démontrer « qu’il est possible de s’en tirer », devenant parfois par ignorance et avec une ferveur redoublée les défenseurs d’un système qui écrase les leurs, mais qui leur aura permis de se distinguer et de mettre à distance la misère qui les cernait – en sacrifiant pour cela tout ce qui constituait leur identité.
Loin des angoisses ou préventions que l’accumulation de privilèges fait naître parfois chez les êtres les mieux occupés, Gabriel Attal a pu se reposer sur ce capital initial pour devenir le soldat inconditionnel d’un ordre pourtant pétri d’injustices et de violences, se faisant le chantre de ce système qui l’a couronné. Sa nomination, auprès d’un ministre de l’Education dont les politiques rances visent à renforcer encore plus les inégalités produites par notre éducation nationale, après avoir défendu une réforme d’une violence insigne pour une grande partie de la jeunesse de la population, n’est le fruit d’aucun hasard – et il faudrait être bien naïf pour protester du fait que cet individu n’ayant jamais connu ni l’université ni l’école publique ait aujourd’hui à les réguler.”
One way or another, you gonna pay for nude ^^
dimanche, avril 14th, 2019”La morale n’est indispensable qu’à ceux qui pensent bas.”
L’autre Monde ou le cadran stellaire. Maurice Maeterlinck
C’est toujours embêtant les citations, même celles qu’on reçoit sympathiquement et qui conviennent si bien à certains moment, dans un contexte précis.
Mais baste! 🙂 Vive Nasredin, le coquin, et sa coquine!
Enfiler un manche
dimanche, avril 14th, 2019- Cale originale
- Epaisseur cale originale
- fabrication nouvelle cale
- Montage à blanc
- Epaisseur nouvelle cale
- Perçage cale
- Mesure
- Cale terminée
S’il est une partie délicate concernant la lutherie des instruments à cordes, c’est bien l’association du manche avec le corps de l’instrument.
Dans le cas précis qui m’occupe à présent, il s’avère que la découpe de la caisse a été faite trop profondément pour que l’inclinaison du manche corresponde au plan des cordes et permette un réglage de leur hauteur (par rapport à la touche) seulement via celle du pontet.
Afin de corriger ce défaut, j’ai découvert que le manche avait été calé avec un bout de bois ridicule (épaisseur 2 mm) qui ne permettait pas une symbiose suffisante entre les deux éléments que sont le corps et le manche. De plus, le manque de résistance du vide ainsi créé entre le talon du manche et le corps n’a pas arrangé le vissage et le filetage intérieur en a pris un coup…
Je ne sais pas s’il s’agit du réglage du manche d’origine, mais le travail a été véritablement salopé 🙂
Le meilleur système connu pour régler un manche est celui des guitares acoustiques Taylor qui consiste à insérer de très fines lamelles de bois entre la caisse et le manche afin que celui-ci soit parfaitement aligné. Ce réglage est permis grâce au fait que les manches Taylor sont démontables SANS devoir démonter la caisse.
Chez Taylor, ça se joue au nanomètre mesuré au laser, ce sont des guitares créées et fabriquées industriellement et numériquement.
Et ça marche carrément bien, quand même 😉
Le système de cale utilisé chez Taylor permet donc un réglage ultra précis de l’angle du manche, afin de le positionner sur le point d’équilibre qui donnera le son parfait de l’ensemble à cordes.
Voyez la chose expliquée par Bob Taylor : https://www.youtube.com/watch?v=-2XnmKePcUE
C’est ce qui est appelé le NT neck: https://www.youtube.com/watch?v=sguFTS-Fruc
Pour les fans, toute la fabrication est expliquée en vidéo… n’oubliez pas d’aller voir celles de Larrivée et autres Martin too 😉
C’est donc en m’inspirant du système de Taylor que je vais caler ce manche de façon propre et efficace quant à la transmission du son entre le manche et le corps et tâcher de remédier à ce défaut grossier indigne d’une Mosrite (quand bien même c’est une Avenger MiJ) 🙂
Ayant conservé les chutes de contreplaqué de mon modèle en bois du drakar d’Oseberg, je vais pouvoir les utiliser.
Trouver du contreplaqué de 1,5 mm doit être possible, mais baste, pourquoi ne pas recycler?
Il va s’agir de coller deux parties entre elles, de les percer aux endroits destinés à recevoir les vis, puis de poncer la pièce selon un angle allant de 2 mm environ à 0 d’un bout à l’autre de la pièce.
La continuité de cette planitude inclinée (shim = tapered wedge) de la cale en coin assurera la solidité du montage tout autant que son efficacité mécanique et acoustique.
Une fois le collage effectué avec une colle à bois vinylique sous presse (deux planches et un gros serre-joint, un vieux Canard pour la macule), on ponce selon l’angle désiré, commandé par l’angle fourni par les deux plaques de dimensions différentes.
Le marquage des trous à percer est aisément fait à l’aide d’une cartouche de stylo à bille récupérée dans un stylo palstique cassé et qui passe facilement dans les trous du corps.
On perce à l’aide d’un pointeau pour avant-trous, doucement pour tâcher de ne pas éclater le contreplaqué, on finit à l’aide d’une pointe abrasive conique (meule à rectifier…) sur un Dremmel, afin d’arriver au 4,5 mm de diamètre des vis bois.
Un essai est indispensable, et un ponçage de réglage fin vient terminer le travail 🙂
L’avantage du contreplaqué, c’est évidemment la visualisation facile des épaisseurs lors du ponçage grâce aux couches. l’inconvénient, c’est le risque d’éclatement comme on le voit du côté fin.
Si les vis ont un jeu ou tournent à vide dans le manche, on découpe de fines cales de bois que l’on placera dans les trous afin que les vis retrouvent leur effet de serrage et pour s’assurer de la solidarité effective des éléments.
Pour ceux qui aiment le travail bien fait et l’ingéniosité requise pour se dépêtrer de situations inextricables en matière de lutherie…
https://www.youtube.com/channel/UCdr6rJVSSx54ByuY5U2ohTQ
Pour vendre le matériel de lutherie que Stewart-MacDonald crée et fabrique, la meilleure solution, c’est de former gratuitement à leur utilisation. Bravo et merci pour toutes ces vidéos 🙂
Excellency for sashimis
samedi, avril 13th, 2019Best salmon ever. And like whisky, it’s Scot.
Comme pour chaque mets auquel on doit respect lorsqu’on les fabrique, la création de makis requiert des matières premières de qualité.
Le riz, les feuilles de nori, l’algue kombu (pour la cuisson du riz), le poisson, les légumes, j’en passe car s’il y a plusieurs sorte de poisson, quelques lamelles de gingembre marinées au vinaigre sont indispensables.
Lorsque l’on pratique l’art des sushis, avec le temps, il est nécessaire d’acquérir également des outils de qualité: un rice cooker en métal (ou le pot en terre utilisé dans le foyer central des maisons japonaises!), des couteaux d’excellente facture, un hangiri qui se révèle essentiel pour la préparation du riz.
La cuisson du riz est délicate car la quantité d’eau et la durée de cuisson dépend de l’âge du riz, qui sèche avec le temps.
Si le riz parfumé thaï qui accompagne les plats en sauce n’a besoin que d’être recouvert d’eau, le riz à sushis nécessite le double d’eau ainsi qu’un lavage préalable plus conséquent, en raison de son taux d’amidon. Les pots de rice cookers comportent des marques qui aident le novice. Seules l’expérience et la sensibilité du cuisinier lui permettent toutefois de réussir à chaque fois cette cuisson.
Une fois cuit, le riz est placé dans le hangiri afin d’y être éventé et refroidi, tout en séparant les grains. On y verse une juste quantité de vinaigrette à sushis (vinaigre de riz, sucre, sel, saké, mirin…) préparée ou toute faite. Un linge mouillé conserve le riz ramené sur un côté du hangiri.
De la découpe du poisson et du choix des parties plus ou moins grasses dépend le goût (les parties grasses sont les plus goûteuses).
Je conseille la sauce de soja Yamasa et le wasabi en poudre S&B, la panacée étant toutefois la racine de wasabi, mais elle ne se conserve qu’une semaine non entamée et coûte très cher. Je n’ai pas encore eu la chance d’y goûter alors qu’il y a dans le village tout proche de Poisson un maraîcher qui en cultive (mais comme avec les modèles photos, je n’ai encore jamais pu le rencontrer malgré mes nombreuses tentatives 🙁 ).
Après 20 ans de plaisir à préparer des makis, sushis et sashimis, j’essaye à présent de les réaliser plus vite afin de pouvoir nous permettre de nous délecter sans avoir à passer une demi-journée à travailler 🙂
Tant il est vrai que si la préparation est une méditation, la dégustation est un plaisir.
Pour éviter que le riz colle aux doigts? utiliser des gants latex ou tremper les mains dans un mélange d’eau et de vinaigre de riz (de qualité puisqu’il sera en contact avec le riz).
Sur ce, et vu que je viens de réceptionner mes pâtes japonaises, je dois aller préparer ma canne bouillie dont le bouillon fera une excellente base pour mes somen, agrémentées d’ail frais et de jeune oignons finement ciselés par exemple.
De la vacuité.
vendredi, avril 12th, 2019La plupart des gens qui ne connaissent d’Internet que l’aspect ‘réseau social’ ont une vue extrêmement étriquée de ce que peuvent être les outils de la connaissance.
C’est le travers de ceux qui ne sont pas curieux.
Des pecnaudes et des pecnos qui, outre le fait d’être stupides, s’en targuent et s’amusent des rares qui ne le sont pas! :O
Ce n’est que très récemment que je me suis aperçu, plus ou moins à mes dépens, de ce que signifie “Internet c’est google facebook”.
J’avais connaissance de ce phénomène, mais je ne le concevais pas entièrement étant donné que j’y étais totalement étranger, et cela, depuis les débuts de ces programmes à ramollir le cerveau que j’ai vu naître, et dont l’absolu majorité croit aujourd’hui que c’est là la panacée (sisi! encore today).
Autant vous dire que ça fait mal 🙂
Bon, ça colle bien avec la crétinerie de l’humanité, ya pas de souci de ce côté-là.
Bah, du moment que j’arrive encore à me préserver, plus ou moins, de l’odeur pestilentielle de ce ramassis peu ragoûtant, ça va.
Continuez d’être bons dans des jobs d’esclaves, de consommer à outrance tout en vous affligeant des malheurs du monde, cela vous emmènera par le plus sûr chemin droit dans le trou final – ainsi que pas mal d’autres qui n’auront rien demandé, d’ailleurs (c’est le syndrome de la cordée… 😉 ).
Tiens, ça me rappelle le titre d’une expo des années 1980 “Du lange au linceul”… On pourrait penser bien plutôt que du trou vaginal dont on sort on revient au trou dans la terre-mère dans lequel on rentre définitivement, n’est-ce pas?
Bien à vous, j’ai tant à faire 🙂
C’est la fête.
mercredi, avril 10th, 2019Pour le peloton des attardés…
mardi, avril 9th, 2019A tribute to George Carlin ;)
dimanche, avril 7th, 2019I hereby quote (photo title) George Carlin using a popular expression I like much when going through some justified anger moment. 🙂
“Shit, piss, fuck, cunt, cocksucker, motherfucker, and tits.” You can add quite some MORE, too! :’D
Damn pricky twats! ^^
Contre l’inculture…
samedi, avril 6th, 2019La vie d’artiste
vendredi, avril 5th, 2019Afin de se prévenir des paltoquets et des cuistres en tous genres, l’artiste doit parfois se rendre auprès des services publics afin d’y faire constater de graves infractions.
Dépolitisation
vendredi, avril 5th, 2019“Un essai qui dénonce la répression exercée par l’Etat sur l’indignation politique, notamment par un processus de dépolitisation.” (écrit par extuel, 2019)
https://www.franceculture.fr/oeuvre/repression-letat-contre-les-contestations-politiques
A écouter (30 minutes): https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-2eme-partie/maintien-de-lordre-ou-criminalisation-de-la-contestation
Giant sushis
jeudi, avril 4th, 2019Dans l’adversité de la bêtise humaine, il faut savoir appétit garder.
J’ai tout récemment trouvé un poissonnier, par ailleurs meilleur ouvrier de France, qui soigne ses produits et qui propose du véritable thon rouge méditerranéen!
Je n’aurai donc plus à faire 11000 kilomètres pour en savourer 🙂
J’ai également craqué pour quelques Gillardeau, et moi qui suis, au fond, anglo-saxon, j’ai compris pourquoi ce sont les préférées des Britanniques pourvus d’un palais.
Si jamais un modèle photo se propose concernant mon annonce, et que je l’accepte, et que ça se passe forcément bien, j’ajouterai en bonus une dégustation de sushis, makis, sashimis, selon mon humeur et le temps disponible 🙂
Je rappelle que mes dates de disponibilités sont du 13 au 19 avril 2019.
Un kapo con
mercredi, avril 3rd, 2019Je suis tombé sur un bon, sur mon premier haineux (ou connard) de réseau social 🙂
C’est le genre de personne qui a toujours du mal à s’accepter si elle n’a pas un souffre douleur, surtout lorsqu’elle n’a pas fait son caca du matin, je pense.
Décidément je les attire 🙁
Je ne le connais pas, mais il s’amuse à jouer les inquisiteurs, les sheriffs avec les deux neurones qui se battent en duel dans sa petite tête de cinglé.
Encore un con procédurier frustré qui a manqué sa vocation, probablement.
Non que je sois irrespectueux des règles régissant les activités artistiques, mais il y a l’art et la manière de le dire et c’est révélateur, surtout dans ce cas précis, de la personnalité qu’on a en face de soi.
Et le gars se dit “artiste”… Au secours! 🙂
Alors forcément, ça s’est passé dans un groupe fermé. Les idiots pervers aiment la confidentialité que leur procurent les cercles restreints où ils s’épanouissent aux dépens des autres.
Tout récemment, j’ai donc posté une annonce de recherche de modèle pour de la photographie de nu destinée à être exposée et afin de participer au FEPN (festival européen de la photo de nu) à Arles.
Bien mal m’en a pris 🙂
Partout où je l’ai fait, je n’ai eu ni critique, ni aide, ni de quelconque ennuis tel que celui-ci. Il n’y a donc pas que des gros cons sur cette planète, ouf! 🙂
Peut-être maladroite et imparfaite (surtout pour les fascistes qui se préoccupent plus des détails administratifs que de l’action créative, bien sûr), l’annonce propose une compensation financière au modèle qui servira de base au projet artistique.
C’est de là, je pense, qu’est parti un déchaînement de violence et d’agressivité sans pareil, venant de personnes qui, soit ne rémunèrent pas les modèles (travail en collaboration) soit payent les modèles à des tarifs très bas. On devine déjà la considération qu’ont ces personnes pour les modèles…
Mon offre doit être si incroyable que les esprits faibles et jaloux n’ont pu y voir qu’anguille sous roche, à travers le prisme déformant de leurs esprits malades.
Il est vrai qu’il y a beaucoup de cinglés dans le milieu, tant du côté photographes que modèles. La preuve, je viens de tomber sur un taré 🙂
J’ai donc subi un déchaînement de violences et d’agressions écrites sans pareil, au prétexte que je rémunérais au lieu de défrayer, sachant que le montant reste identique et qu’au final, c’est exactement la même chose… mais soit!
A toute chose malheur est bon, je ne propose donc plus qu’un défraiement. C’est bien le seul bénéfice que j’ai pu tirer des tombereaux de bile qu’on m’a infligés.
On m’a accusé d’être un pornographe, un proxénète, d’inciter à la débauche et j’en passe. On m’a accusé de ne pas avoir d’activité déclarée, de ne pas avoir mes papiers (un siret) et d’être un faiseur de photos pour des sites type porn revenge et autres… J’arrête là 🙂
C’est surtout une personne en particulier qui s’est acharnée avec des propos qui rentrent dans le cadre de la diffamation publique tout en me menaçant de diverses délations à tous les services juridiques de l’univers 🙂
Toute contente de pouvoir poster des extraits de mes sites et de mes activités sur les réseaux sociaux (dont je rappelle qu’ils sont publics et pour lesquels j’ai donc une attention toute particulière) dans le but unique d’étayer son propos fallacieux, elle a sorti de leur contexte certaines images et autres textes, arguant toujours d’un manquement à la légalité ou d’une intention mauvaise de ma part.
Je comprends que les métiers artistiques soient difficiles, mais de là à n’avoir rien d’autre à faire que d’emmerder le monde de son cerveau malade pour sauver l’estime qu’on n’a pas de soi-même, c’est rude.
Il y a des personnes toxiques et qui aiment le montrer, en jouant les vertueux chevaliers, toutes fières qu’elles sont d’être un poids pour le monde 🙁
Ceux qui me connaissent un tant soit peu savent très bien que mon propos artistique n’a absolument rien à voir avec les allégations diffamatoires faites par ce genre de psychopathe en mal de reconnaissance et au “talent” douteux.
Il y a des photographes qui n’ont effectivement rien d’ artistes et qui se bornent à appuyer sur le déclencheur pour gagner quatre sous ou justement pour se rincer l’œil, le tout en étant (j’ose espérer) parfaitement en règle avec la gestapo administrative qu’ils vénèrent comme si cela devait combler leurs manques.
Le reste du temps ces piètres faiseurs d’images, pardon, ces remplisseurs de vide, semblent apprécier de dénigrer le travail d’autres personnes qui viendraient, pensent-ils, marcher sur leurs plate-bandes.
Bon, avec ce genre d’énergumène il n’y a absolument rien à faire, une fois que l’on a tenté, même longuement, de prouver sa bonne foi.
Ce genre de personnes est à classer avec les le pen, les morano, les finkelkraut, les estrosi, les houellebec, les bhl, les sarkozy, les macron et autre zemour, dans le même fût de fange qui les contient tous.
Ce sont des personnes qui, bien qu’ayant un certain intellect, l’utilisent à des fins de domination perverse et de subversion malsaine, qui aiment la haine de l’autre et ne peuvent supporter les sentiments positifs que procurent les esprit vifs et aimants.
Ils sont à la fois dépourvus de la plus simple rationalité (hors leurs automatismes de travailleurs médiocres) mais également de l’accès à un niveau symbolique qui pourrait leur permettre d’être sinon bons, au moins de se mettre à distance.
Ils ne pensent pas, ils sont faits d’une énergie de désespoir et de noirceur qui les ronge de l’intérieur sans même qu’ils en soient conscients -c’est là leur problème.
Ils ne savent rien de l’art. Ils croient qu’une activité artistique (un loisir pour eux, finalement, comme le macramé) leur permet d’accéder à ce qu’ils ne comprennent pas.
Mais cela est insuffisant et ils aiment souiller ce qui est beau, la liberté, la vérité, avec des prérogatives administratives dont ils croient qu’elles peuvent leur donner le sentiment de puissance qu’ils n’auront jamais.
Ils en font des tonnes, ça compense le vide et la nullité qui les habite et leur permet de déverser en toute bonne foi leur haine:)
C’est très triste.
Je les ignore donc.
NB: j’ai bien sûr suffisamment de matériel archivé pour prouver la diffamation publique, si l’on devait en arriver là. J’ai légalement trois mois.
Invite
samedi, mars 30th, 2019The great ART swindle
samedi, mars 30th, 2019-http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/pyramide-du-louvre-decouvrez-l-incroyable-trompe-l-oeil-de-jr-30-03-2019-8042928.php
Un pseudo artiste a voulu, grâce aux subventions publiques grasses et nombreuses -mais j’attends confirmation par le Canard, faire un coup d’éclat: mettre en scène la pyramide du Louvre (pour la seconde fois) dans un trompe-l’œil géant.
Le point de vue choisi pour regarder ce trompe-l’œil n’est pas accessible au public (étage des réserves du musée), c’est donc sur un écran que l’on peut voir, via une caméra, l’effet produit.
Ce genre de performance “artistique” peut être effectuée par simple montage de compositing 3D vidéo pour, aller, 5000 euros, et ensuite diffusé sur des écrans, aller 10000 €, matériel compris. A la limite on peut même faire en sorte, réalité augmentée aidant, que les nigauds rampants puissent faire coucou en live et prendre leurs selfies via l’écran. Aller 5000 de plus.
Combien a coûté au contribuable l’impression et la pose de saloperies synthétiques recouvrant toute la cour du Louvre? Quel est le budget total de cette arnaque?
Alors, ok, Môssieur JR, pourquoi pas, l’idée.
Mais maintenant que les subventions pleuvent et que vous servez le pouvoir en place, glorifiant ses petites personnes en même temps que les dominants morts (la pyramide, c’est la folie de Miterrand, hein, et il y avait déjà des gens qui crevaient de froid sur les trottoirs de Paris à l’époque…), êtes-vous content de vous et de votre âme?
Fini les cavalcades avec les grapheurs du métro? vous avez réussi? le fric, c’est chic?
Ouais, je sais, ad hominem. Mais putain, l’œuvre est tellement NULLE que cette nullité ne me donne même pas envie de la critiquer.
Ah si, tiens: étant donné que le seul point de vue possible pour cette œuvre est un point haut interdit à la population… ne serait-ce pas là une façon de dire que l’œuvre n’est accessible qu’à ceux d’en haut? Genre les dominants? Ou les pigeons… 😀
Se baser sur la controverse de la création de la pyramide pour en faire son gagne-pain… ya pas mieux et plus utile à dénoncer, au final?
Bon, c’est l’air du temps, le zeitgeist, le jetable, bien nul, bien pourri et qui aime se dire “improbable”. Typique parigo nigaud.
Tu m’étonnes. Et ça dure depuis le début… *soupirs*
Un matin calme
samedi, mars 30th, 2019Prendre la lumière
jeudi, mars 28th, 2019Ah, voilà que l’on recauserait de photographie, avec un tel titre?
Point! nenni! 🙂
On va causer chromes. Et le chrome pour briller, c’est un peu comme pour ces piteux êtres humains, il lui faut de la lumière et même du soleil, dis donc 🙂
Et pour avoir du soleil, il faut éliminer tout ce qui peut faire de l’ombre… A bons entendeurs… Et ils sont nombreux les nezdbeux (voir post précédent, tiens).
🙂
Donc, pour redonner une jeunesse relative aux pièces d’accastillage d’une guitare électrique vintage, il faut la démonter entièrement et tout nettoyer.
Outre l’utilité d’un démontage pour s’assurer de la vintagité de l’objet et d’éventuelles modifications ainsi que de la bonne santé de tous les éléments, cela permet de trouver de tout aussi éventuels numéros de série ou autre marquages gage de… gage de rien du tout, en fait 🙂
Même la signature d’un artiste est falsifiable, c’est tout dire 😉
Le manche:
– une fois démonté, le manche doit être examiné de près. Il est possible qu’il faille recoller de petits éléments comme les marquages de cases, incrustées façon marqueterie sur la touche du manche. Une bonne colle forte, de la dextérité (je ne le répéterai plus), éventuellement une presse pour les marquages bombés de grande taille. Prendre soin de faire un essai à blanc et de calculer la quantité de colle nécessaire pour qu’elle ne bave pas hors du logement.
– les parties vernies du manche, le dos, la tête, le talon peuvent être dégraissées, avec grand soin, à l’aide d’une éponge et de produit vaisselle que l’on éliminera avec un chiffon humide puis un chiffon sec.
Si la touche n’est pas vernie:
– utiliser de la laine de fer 000 (triple zéro) ou 0000 (quadruple zéro) pour nettoyer les frets ainsi que la touche elle-même, en y allant très doucement.
Ces laines de fer ne rayent pas (sauf au microscope à balayage électronique, of course), ce sont les plus fines qui existent dans l’univers. Mais il ne faut pas en abuser et suivre la veine du bois lors du nettoyage.
S’il y a beaucoup de saletés accumulées sur la touche, on peut enlever d’abord le surplus avec un morceau de bois tendre de type balsa, qui fera office de raclette.
Le tout en douceur. Mettre au rebut ces restes de sucres de bière, crotte de nez et autres peaux mortes et poussières diverses délicatement englués dans l’acide urique faisant liant…
Nourrir la touche avec quelques gouttes d’huile de pépins de citron ou plus simplement avec une excellente huile d’olive première pression à froid (certains aiment lécher leur manche, voire jouer leurs cordes avec les dents, tel le fameux Jimmy Hendrix) dont on imbibera un chiffon en coton et que l’on appliquera dans le sens de la veine du bois.
Les mécaniques:
– les mécaniques semi fermées sont démontables. Un dégraissage éventuel est nécessaire, on utilisera du liquide vaisselle et/ou du liquide nettoyant frein (anciennement trichloréthylène) qui dissout les graisses. On prend soin de bien sécher toutes les parties.
Les saletés (vieille graisse collée, par exemple) seront éliminées avec des cure-dents dans les engrenages et autres parties inaccessibles. Le coton-tige est aussi un outil fort pratique.
– les parties chromées peuvent être nettoyées avec du bicarbonate de soude (ne raye pas) que l’on utilise avec une brosse à dent préalablement plongée dans du vinaigre blanc (petit effet effervescent rigolo). On fignole avec de la laine de fer 000 ou 0000. On termine avec un soin pour chrome de type Belgom, que l’on ne rince pas (c’est la partie délicate) mais qu’on élimine avec un chiffon doux, qui nourrit et protège les chromes en même temps qu’il les nettoie.
Cure-dents et coton-tige pour rendre parfaitement propres tous les recoins.
– en cas de rouille sur des éléments en acier, plonger les éléments dans de l’huile mécanique, brosser.
– si les engrenages laitons présentent une usure trop grande et que les mécaniques présentent un jeu néfaste pour l’accordage, il faut se résoudre à changer les mécaniques complètes. Les meilleures sont les Grover et les Schaller, qui ont une gamme vintage autant que moderne.
Ou travailler son oreille et savoir accorder toujours en tension 🙂
Le tremolo/vibrato et le pontet:
– en général chromées, ces pièces recevront le même traitement que les parties chromées des mécaniques. Il faut noter que les vibratos moulés en aluminium puis chromés, s’ils ont cloqué, retrouveront leur éclat mais pas le lissé parfait d’un chromage original. De même, l’attaque acide de la sueur (acide urique) peut décolorer certains métaux… [on est forts, hein?]
C’est le petit côté vieillerie/vintage qui fera tout le charme de la belle, qui brillera cependant de mille feux sous les projos [coucou les copines] 😉
Les consommables:
– bien que certaines marques vendent de la visserie dite vintage, avec fausse rouille etc, je conseillerais de renouveler toute la visserie de la plaque en neuf, nickelé ou zingué ou inox (du moment que ça brille ^^), ainsi que celle des micros et du pontet/vibrato. La visserie Fender est grosse (3 mm de diamètre), celle de Gibson plus petite (2,5 ou 2,8 mm de diamètre). Evidemment, pour trouver de la visserie identique à celle vintage (2 mm de diamètre par 12 de long, tête fraisée/bombée Phillips, tu peux courir…).
La visserie Gibson ira donc parfaitement, malgré ses 8 à 10 mm seulement de longueur, on visse dans du bois.
– certains vibratos de type Bigsby sont montés sur roulements. Si ceux-ci présentent un jeu et une usure trop importante, on les changera par des neufs type SKF assurant une qualité largement suffisante et un prix raisonnable (toujours éviter les plus bas prix des marques génériques).
Les plastiques:
– la plaque (pickguard), les boutons de potentiomètres et autres parties plastiques sont lavables et dégraissables avec du produit vaisselle et une éponge. Rincer, sécher 🙂
Nudité, morale, société et réseaux.
jeudi, mars 28th, 2019Le réseau social de zukerbieber, que j’utilise depuis peu, censure toute nudité. Plus exactement il censure les images d’organes génitaux externes, ainsi que les caractères sexuels secondaires comme les tétons/aréoles des femmes. Il ne censure pas les formes dépourvues de contraste pigmentaire et de système pileux.
Une anecdote connue est celle d’un utilisateur ayant affiché le tableau L’origine du monde de Courbet, représentant le bas d’un corps de femme dont le sexe est au centre et bien visible.
Facebook a depuis changé sa politique et accepte les photographies d’œuvres d’art montrant une nudité ( 14. Adult Nudity and Sexual Activity: (…) We also allow photographs of paintings, sculptures, and other art that depicts nude figures).
Il aurait donc fallu que je prenne une photographie de l’autoportrait de Mapplethorpe pour ne pas être censuré puis banni temporairement 🙂
La photographie d’art n’est donc pas, pour la machine à fric et à flicage de zuker, une œuvre d’art. On a les standards qu’on peut se permettre. Et si, comme j’adore le faire par pure provocation, j’allais du côté ad hominem, je dirais qu’il est jaloux, rien qu’à voir sa face (pour le reste, je ne peux me prononcer) 🙂
Ce qui est fort intéressant, c’est que l’on a une liste non exhaustive mais cependant fournie, de mots décrivant de façon précise et réaliste de ce qu’il est interdit de faire chez le milliardaire voleur. Les mots seraient donc autorisés dans le règlement, mais pas dans l’expression de ses congénères et surtout pas lorsque cette expression se fait de façon picturale.
Mais sinon, prendre publiquement la défense d’un pédophile notoire lui aussi milliardaire tel la star michael jackson (hop! plus de majuscules non plus pour ce cas), ça, c’est possible dans le monde parfait de zuker bieber.
Ouais, 1984.
Alors, il faut nuancer le propos, évidemment.
C’est dans une logique de domination perverse que facebook établit son règlement: l’attrait qui lui a permis de faire fortune en volant les données de la plupart des habitants de la planète sans en dire mot lui permet aussi de se dispenser de trouver des solutions intelligentes aux problèmes rencontrés dans l’expression des êtres humains constituant son sérail.
Le vol des données est inscrit dans son règlement. L’anthropophilie, non. La philanthropie, oui, bien sûr… surtout pour lever des fonds et se donner bonne conscience.
Il vous a donc séduit, vous vous dites que c’est finalement bien pratique, utile… et cela devient indispensable, petit à petit. C’est là qu’est la perversion.
En quoi un réseau de communication devrait obliger ses usagers à utiliser une application qui fabrique elle-même ses règles pour, sous couvert de rendre service, phagocyter littéralement ceux à qui elle prétend rendre ce service de “lien” social?
Ah tiens, update! Il paraîtrait que FB veuille censurer également les suprémacistes blancs.
La plupart des crétins, politiques, éditorialistes, journalistes et autres penseurs du commun ou pseudo intellectuels vont voir cela d’un bon œil: “enfin! que l’on se débarrasse de cette partie de l’humanité qu’on ne saurait voir!” diraient-ils en cœur.
Sauf que, sauf que… d’une, Fb ne respecte pas le premier amendement américain. Ah, ils vont dire que “ouiii, mais bon, FB c’est mondial et donc, pour ce coup-là, ptète ben que la loi des zôtres est mieux que celle de not’ brave contrée!”
Ah.
Mais pas pour le reste hein! En cas de conflit juridique avec zuker bieber, hopla! faut se déplacer en Californie pour voir Monsieur le Président, “votre Honneur” qu’on dit là-bas 🙂 [bon, l’affaire de l’Origine du monde a été traitée en France, une exception qui confirme leurs règles]
On ne peut pas, on n’a jamais pu et on ne pourra jamais, par quelque moyen que ce soit, éviter que l’Humanité penche plutôt du bon côté que du mauvais.
Les deux en sont l’essence même. [tip: c’est l’équilibre insaisissable qu’il faut tâcher de désirer sans jamais l’atteindre]
Ce n’est donc pas à coup de censure, qui au mieux rendra invisibles les mauvais côtés et leur permettra de se faire jour en actions violentes et meurtrières plutôt qu’en mots, que l’on peut espérer rendre le monde meilleur… “Weyland Company, for a better world” comme on le voit dans Alien predator numéro chéplukoi.
Que signifient donc ces tentatives de cacher sous le tapis ceux que les pseudo pensants appellent impies?
C’est ultra simple: la domination, le maintien d’une hiérarchie sociale, économique et politique à caractère religieux qui leur profite, au détriment d’une grande masse qui n’a pas les mêmes capacités de réflexion qu’eux, tout en psalmodiant “le vivre ensemble”. Non que ceux-là soient dépourvus d’intelligence, non!
Mais les cerveaux malades d’une grande partie de l’Humanité créent sans relâche des ersatz d’intelligence que la vie entière des Hommes s’échine à remettre dans un “droit chemin” convenable, afin d’éviter les emmerdes et de, si possible, mourir le plus tard possible tranquilou au crochet de ceux qu’ils auront dominés de toutes les façons toute leur vie durant.
Sisyphe.
On digresse? Déjà, non. Et puis de toute façon, et alors?