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For life and freedom

mercredi, mars 24th, 2021

COVID-19 : aux frontières de la folie

mardi, mars 23rd, 2021

French or english.

COVID-19 aux frontières de la folie (pdf)

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7305899/

Demain, c’est le printemps…

vendredi, mars 19th, 2021

Demain c’est le printemps… et plus personne ne le verra, pendant longtemps.

Après le confinement, quand ça ne marche pas, il y a l’extermination…
Curieusement, il sera plus aisé d’exterminer les quelques-uns, rupins et putards, que l’entièreté de la population.
Ce sera bien. Ce sera au couteau, manuel… @miky 😉

Kluson prison

lundi, mars 15th, 2021

You don’t need that much CASH to get out of a certain prison you’re in for more than 50 years…
Make the step.

… and enjoy!

Nu de dos

mardi, mars 9th, 2021

Le troufion

samedi, mars 6th, 2021

So briquet

vendredi, mars 5th, 2021

Le punk à seins

vendredi, mars 5th, 2021

Le président pervers

dimanche, février 28th, 2021

manu rotchild (“fils de pourriture”, signification symbolico-phonétique) macron est le président pervers, bien plus que le psychopathe donald trump.
C’est un enfant psycho-sexuellement traumatisé qui se prend pour un dieu. Rien que de normal en psychopathologie.
Mais il détient le pouvoir grâce à l’entregent (l’entre-jambe?) de sa marâtre.
Ce n’est qu’en cela qu’il existe bel et bien une “exception cultureuse” française… si dramatique.

Suburban poster

vendredi, février 26th, 2021

En me baladant dans les banlieues sombres et insalubres (of course), je suis tombé sur l’expression de la colère terrible qui sourd dans nos contrées.
J’en ai fait de mémoire une reproduction assez fidèle, bien que j’aie ôté les résidus de déjections projetées contre les photos qui l’accompagnaient.
Les conséquences des restrictions totales des libertés des citoyens d’aller et venir  et de rencontrer qui ils veulent n’apparaissent encore que très peu au jour en cette fin de février 2021.
Cependant…

US (urban serie)

mardi, février 23rd, 2021

 

#photography #urban_serie #FHP_Lornet #2021

Connaître la réalité covida

samedi, février 20th, 2021

Pour connaître la réalité au sens large, il faut d’abord connaître SA réalité à soi. C’est douloureux, long et très difficile.
Ensuite on peut espérer approcher, sans jamais l’atteindre, la vérité.

Plandemic.
https://plandemicvideo.com/

Fouché (anesthésiste réanimateur), Pavan (mathématicien enseignant chercheur), Carré (anesthésiste) <- ceux à voir, les trois premiers entretiens intégraux sans mise en scène (2h30).

NEW HOLD-UP+ LE BONUS
https://www.youtube.com/watch?v=ujWehztwa88

cru elle a

vendredi, février 19th, 2021

https://www.cairn.info/revue-cahiers-de-psychologie-clinique-2004-1-page-29.htm

sauvergarde/backup pdf file:

LA CRUAUTÉ ET LES AVATARS DE LA SUBJECTIVATION

Aphorisme

jeudi, février 18th, 2021

M’est venu cet aphorisme: L’amour ne coûte rien et pourtant il vaut plus que tout.
Je n’ai pas cherché à savoir s’il existe déjà car je m’en moque; il importe que je l’ai pensé.
Il résume convenablement à mon avis ce que ce brave Coluche disait de Freud et de la théorie psychanalytique: “a que y’a le cul a que y’a le fric”, dans une proposition erronée.
En effet, s’il y a bien le fric (et de nos jours, c’est exponentiellement criant) le cul est un raccourci peu à propos pour ce qui aurait dû être appelé l’amour, l’affection, la sensibilité, l’affect, la bienveillance, l’empathie, la sympathie. Bref, un “tas” de sentiments dont le “cul”, réalisation physique dans la sexualité génitale adulte de l’être humain, est un point de détail.

Alors, de cet aphorisme, que signifie-t-il? Car c’est un peu fourre-tout.
Et bien il met en relation d’opposition l’argent et les biens matériels, nécessaires mais vains, avec ce qui fait l’humanité, l’amour, pris dans son sens le plus générique qui soit.
Evidemment, on sait que l’humanité est également dotée de la possibilité de la plus grande perversion. Ainsi, ces deux objets sont souvent confondus, mélangés, embrouillés afin de créer un moyen de domination.
Quelles en sont les causes? Multiples et variées, dirais-je, mais toutes proviennent de l’élaboration de chaque être humain par son éducation et la vie qu’il a eu pendant son développement infantile, de sa procréation à… quelquefois à tout jamais, hélas.
Il y a pourtant des échappatoires, telles les névroses de vie, qui permettent, à moindre coût, selon une stratégie psychique d’économie, de survivre en regardant les trains passer. Celle-ci est la moins pire et la plus facile.
D’autres stratégies emploient la perversion et s’appuient sur les faiblesses des premières, elles s’en nourrissent et ne se préoccupent pas de savoir qu’elles meurent bien vite faute de courage. Il y a tant, peu importe donc.
Et il y a… autre chose.

manu macron ou la casse sociétale

mardi, février 16th, 2021

Il a pris la France pour la mettre à genoux, telle une vieille femme de sa connaissance, qu’il a même épousée.
Cependant, la République est figurée sous les traits d’une femme jeune et éprise de liberté, pas comme sa vieille rombière, malade mentale, qui ne pense qu’à changer pour des millions les tapisseries et la vaisselle d’un logis qu’elle ne mérite pas, afin d’y laisser une trace de son odeur pestilentielle.
C’est la mort déguisée qui rôde sur l’innocence de la jeunesse qu’elle détourne et avilit afin de compenser ses défaillances primordiales.
Quant à son pantin, il décharge son incapacité à gouverner sur la population, tantôt imitant les autres, tantôt prétendant être au devant des initiatives.
Il affaiblit, pense-t-il, la volonté de puissance (qu’il n’a pas, outre ses manigances et ses manières détournées) d’un peuple, de concert avec ses pairs par un hasard malheureux aussi débiles que lui.
On en est là.
Les intellectuels sont dépassés par l’ampleur de l’escroquerie, car ils sont déjà vieux et à l’abri du besoin.
La terreur instaurée par les dominants du monde entier sur les populations, en ce début de seconde décennie du XXIe siècle, est inédite.
Son ampleur est planétaire.
Le prix à payer pour ceux qui l’ont instaurée sera celui du sang.

NETS

dimanche, février 14th, 2021

 

Le gros manche du pouvoir

dimanche, février 14th, 2021

Comme l’aphorise Racamier “il se trouve toujours une femme pour tenir le manche du pouvoir”.
Evidemment, le fait de citer en ne retenant qu’une partie est volontaire; s’en trouveront des pseudo féministes pour piailler, c’est certain.
Peu me chaut car j’emploie ici le mot “manche” dans son acception péjorative tout autant que symbolique.

J’illustre ici ce qui se phénomènise au sein du pouvoir étatique et politique français depuis l’élection de manu macron en 2017, incapable et piètre banquier, époux de brigitte trogneux, bourgeoise nantie de richesses.
Voilà une femme qui, favorisée par une position sociale et financière avantageuse, ne s’en est pas laissé compter.
Elle a, d’une part, utilisé à des fins narcissiques son statut d’adulte et de professeur pour trouver chaussure à son pied en la personne d’un de ses élèves de 24 ans son cadet. Son précédent mari, banquier de son état, en est mort bien jeune, tout récemment, après lui avoir donné de biens beaux enfants. Mais c’était là commun et bien insuffisant pour un esprit malade d’ambition narcissique.
C’est donc qu’il fallait aller plus loin, et l’impétrant jeune vit devait lui aussi passer par une banque afin de jalonner ce parcours qu’elle voulait maximal, pour atteindre ensuite la plus haute position, magistrale, de chef de l’état.
La nature femelle de brigitte trogneux la protège encore un peu concernant sa déviance pédocriminelle, mais peut-être pas pour très longtemps, à l’aune des secousses sociales concernant les mœurs sexuelles de la société mondiale, mais surtout françaises.
De victimes sont garçons et filles, mais de prédateurs, pour le moment, la société patriarcale s’accommode fort bien d’hommes uniquement. Comme si les faits divers montrant les femmes infanticides, tortionnaires et perverses devait encore passer par le filtre puissant du déni: cela n’existe tout simplement pas.
La femme forcément bonne, mère, tendre et incapable de meurtre est le dernier pilier de la société patriarcale, qu’un brave Samson pourrait bien faire tomber.

Quant au jeune manu macron, tristement incapable, enthousiaste au point de paraître complètement débile, entouré de jeunes qui s’y croient tel attal, alors qu’ils ne savent même pas où ils se trouvent (ça se voit dans les discours et les attitudes) et de vieux qui profitent du moment, il s’est laissé manipulé et il aime ça.
Il ne dirige rien du tout et s’évertue à rendre rien ce qui pourtant est, sans lui.

Le cocon social de la bourgeoisie à cinq chiffres mensuels de revenus permet cette dérive psychopathologique, peu importante en elle-même si elle n’avait pour lieu les décisions politiques qui emmènent une population de plusieurs dizaines de millions de personnes dans la plus grande folie.

C’est inédit dans toute l’histoire de l’humanité.

Toujours deux fois, au moins

jeudi, février 4th, 2021

On n’entendra pas les railleries, les éventuelles moqueries cachant l’ignorance et la peur, pas plus que le déni de ceux qui ni n’ont vécu ni ne font l’effort d’entendre et de connaître.
Il faut évidemment, sur les conseils de Racamier, dénoncer et démasquer la perversion narcissique pour s’en défaire. Qu’il s’agisse d’un noyau pervers ou d’un individu, cela ne le touchera pas; il ira ailleurs se défouler dans son délire.
Dans mon cas, il me semble l’avoir déjà écrit, ma propre famille nucléaire a été mon malheur. Moins que pour ma mère qui a choisi la mort un peu trop jeune et s’est laissée abattre par son époux malade. Mais cela regarde les concernés.
Ce qui est plus grave, qui relève d’une maltraitance inouïe, c’est que les enfants sont eux-mêmes handicapés par le fléau d’une personne, qui plus est lorsqu’ils viennent à naître et que, toute leur vie de croissance, ils subissent le tort d’un malade incurable.
Comment, vous tiers, pourriez-vous vous imaginer que votre mère avec deux enfants de 1 et 2 ans, accepte que son mari décide d’acheter pour maison, et donc de s’endetter à vie, une étable afin de la transformer en une bâtisse enviable?
Bien peu enviable de fait pour qui a passé vingt années dans le froid et l’inconfort de travaux interminables. Pour un adulte malade et épris de grandeur délirante, mégalomaniaque, pervers narcissique au plus haut degré, passe encore; mais il s’agit là d’une famille avec enfants en bas âge.
Alors évidemment, si on ajoute la chambre placard… Faut-il s’étonner qu’au lycée on s’adonne aux drogues et déjà à l’alcool de façon à créer une dissociation pour supporter la souffrance terrible d’un tyran domestique?
Tout le monde sent bien que quelque chose ne tourne pas rond, mais au final, ça passe sous le couvert de la ‘recherche de limites’ inhérente à cette période de la vie. C’est faux dans le cadre d’une toxicomanie déjà avancée. C’est vrai si on se bourre la gueule une fois de temps en temps, pas si on s’enfile de quoi s’enivrer dès avant huit heures du matin… histoire d’arriver en cours sans cette peur terrorisante et paralysante. On se gorge de vanité.
Ceux qui n’ont pas vécu dans l’entourage d’un archétypal pervers narcissique ne peuvent pas comprendre. Nombreux sont les reportages qui pourtant parlent des conséquences de ces relations avec des personnes psychopathes perverses narcissiques, mais je dirais malgré les terribles conséquences de telles relations, qu’ici, dans ces reportages, elles ont déjà pris fin et c’est pour cela qu’on peut les exprimer; elles concernent également des personnes dont la toute petite enfance a permis d’être fragile à un point tel qu’elles sont tombés sous l’emprise de psychopathes.
Elles n’ont pas, pour autant, vécu l’atrocité d’une vie entière dans cet état; elles peuvent essayer de “retrouver” un état antérieur peut-être plus stable, ce que ne peut pas celui qui a souffert dès sa naissance de la folie d’un tout proche et dont les imagos parentales sont foutues d’avance puisque dès le départ et tout au long de la vie, de la croissance et de l’élaboration de la psyché.
Qu’on se le dise, les régimes politiques et les relations entre dominants et soumis (on le voit bien aujourd’hui, avec el covida, que ces mots sont réels et vrais de véracité, n’est-ce pas? en France, la population est soumise, VOUS êtes soumis: vous n’êtes pas malades à plus de 99% mais aimez croire qu’il vous faut porter un masque ridicule et inutile DANS LA RUE! …) sont du même ordre que les désastres qui arrivent autour des perversions narcissiques.
De même que l’argent tient une place prépondérante dans les relations toxiques qu’exerce le pervers narcissique sur un entourage soumis et sidéré, que ce soit par accaparation ou par dépossession, c’est également les finances qui tiennent les populations dans un stress constant, au point de trouver refuge dans les toxicomanies perverses telles que celles, acceptables socialement (!) du cachetonage anxiolytique. La France est championne du monde de la consommation de neuroleptiques et autres psychotropes.
Rester dans un brouillard rassurant, ne pas l’ouvrir, rester soumis car, au fond, que peut-on faire?
Il est vrai qu’on ne peut faire grand chose, le vote dit démocratique, symbole de la participation sociale, est une évidente foutaise: que change une voix, un bout de papier? Et oui, rien puisque démocratie ou pas, ce sont depuis “toujours” les dominants par filiation de richesse, directe ou pas, qui décident pour tous les autres.
L’émancipation est douloureuse et d’une difficulté extrême, bien plus que n’importe quel record, performance ou exploit, qui probablement n’en sont que tentative sublimée.
Les dominants ou la domination/soumission sont des procédés qui ne se laissent pas faire, jamais. Ils ont même force de nombre à voir combien, soumis pourtant, sont de leur côté!
Que voilà une chose terrible de voir que les affligés soutiennent les tortionnaires. C’est l’exact principe de la perversion narcissique: lier et humilier tout à la fois, soumettre et porter aux nues (le candidat au pouvoir dira toujours “nous”, mais une fois au pouvoir il décide seul -ou dans le cas de macron, sous le regard castrateur de sa marâtre, substitut incestuel socialement acceptable d’un ‘drôle d’œdipe’).
Fatigue.

La boîte de Pandipe

lundi, février 1st, 2021

C’est dans ce type de boîte (on a une version inverse dans l’excellent film qui fait suite à The Shining, Doctor Sleep) que sont enfermés les enfants victimes de violences et de négligences. Ils s’efforcent de la rendre jolie, peinte, incrustée, travaillée au repoussé avec de multiples ouvertures, mais c’est une boîte qui a une vie propre; elle est effrayante et terrorisante car elle tue en laissant vivant ce qu’elle contient.

#metooincestuel

mardi, janvier 19th, 2021

[Puisque je ne me retrouve dans aucun de ces putains d’hache tagueule, je crée le mien, en me basant sur les recherches de Racamier]

Je ne suis plus un enfant, je ne dois plus rien à personne.
Surtout pas à ceux qui ont profité de l’amour inconditionnel de leur enfant, mes parents.
Etant donné la durée de la relation non pas incestueuse, mais incestuelle (au sens de Racamier), on peut dire qu’il y avait une grande perversité psychopathologique à l’égard des enfants de la part de mes parents.

La violence sexuelle que j’ai subie, à caractère d’incestualité, est bien pire que ce que j’appelle les « petits viols » dont on parle à présent souvent, comme l’on fait Vanessa Spingora, Camille Kouchner en parlant de son frère, Sarah Abitbol, Flavie Flaman, ainsi que toutes les actrices du mouvement #metoo.
Sans diminuer l’importance du trauma que toutes ces personnes ont subi, il est aisé de s’apercevoir qu’elles ont toutes eu une carrière, un métier, un revenu et que le moment traumatique est intervenu après la période de latence décrite par Freud.
C’est un très grand avantage pour se reconstruire.
Dans mon cas, je n’ai plus (un temps on faisait semblant) ni vie sociale, ni professionnelle, c’est une suite d’échecs et d’isolements dus au conséquences terribles du syndrome post-traumatique.

Pour ma part, il n’y a pas eu de période de latence, dépourvue de sexualisation. J’étais enfermé dans la chambre placard -vaste à faire bien des jaloux ! et propice à l’excuse- et j’avais le spectacle auditif de la sexualité adulte sans possibilité d’y échapper.

Dans ces cas-là, la culpabilité qui se développe avec la réitération sans fin du trauma est acméique, paroxystique.
J’espère que ce sentiment mortel va se transmettre à qui de droit, car la peur, la psychose, la honte, la culpabilité et au final, la mort, doivent changer de camp.

Je n’ai eu aucun secours, de personne. Personne ne s’est posé la question d’une timidité excessive du petit enfant que j’étais, personne ne s’est affligé de ces ongles rongés parfois jusqu’au sang, si petit. C’est pourtant un signe de stress majeur, ô combien visible et qui doit alerter. Seule ma grand-mère s’en est émue, mais surtout pour le manque d’esthétisme de ce handicap par trop visible.

Mais cela n’est rien. Ce n’est rien comparé au gâchis de la vie entière du beau jeune homme que j’étais, qui voulait, vainement peut-être, devenir quelqu’un, profiter de la vie, en prendre sa part comme tout un chacun.
Cela n’est pas possible lorsqu’on est rongé par une culpabilité extrême que l’on  n’arrive même pas à identifier. On « est » fou, à la place de ceux qui ont mal agi, et peu importe qu’ils l’aient fait en conscience ou non.

La solution, c’est de s’autodétruire, sans même savoir pourquoi, avec toutes sortes de toxines, même celles censées désinhiber ou garantir une joie de vivre momentanée.

Je ne reviendrai pas en arrière pour vivre autre chose. C’est évidemment impossible.
Attendre quoi que ce soit de la « société » ou de l’ « humanité » est une foutaise.
La domination, consciente ou pas, est la règle et s’applique à tous, un peu moins quand le pouvoir de l’argent ou des relations vient arrondir les angles ; mais c’est la règle du règne animal humain.
Il y a quelques chanceux, une majorité heureusement, dont la plupart ne se rendent même pas compte de la chance qu’ils ont de subir un peu moins que d’autres.
Oui, il y a un sacré paquet de connards et de salopes, c’est vrai. Quoi qu’ils fassent, ils passent dans la vie comme des mirages, tantôt à leur profit, tantôt à celui des autres.