Archive for the ‘Contre toutes les violences’ Category

Balance

vendredi, janvier 3rd, 2020

À écouter:

https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-idees/pour-une-psychanalyse-politique

À lire:

https://www.memoiretraumatique.org/violences/combattre-les-violences.html

 

L’excrément de l’humanité

mercredi, janvier 1st, 2020

Un article fort bien documenté où l’on s’aperçoit que la sape de l’humanité commence par celle de ses plus jeunes éléments.
Les dégâts cérébraux physiques sont pourtant documentés (article de Salmona, concis et définitif, excellent https://www.memoiretraumatique.org/assets/files/v1/Articles-Dr-MSalmona/201508-reconnaissance-des-consequences-psychotraumatiques-sur-les-enfants-victimes.pdf )

Les pourris sont partout:

https://lesobservateurs.ch/2013/11/15/la-rts-celebre-le-pedophile-matzneff/

De la vulnérabilité.

jeudi, décembre 5th, 2019

Kamel Daoud "Le peintre dévorant la femme".

 

 

Irina

lundi, novembre 4th, 2019

Irina Ionesco déclare à propos de son travail de photographe :

“La photographie est pour moi un élément essentiellement poétique, je l’envisage comme une écriture théâtrale, où je fixe dans un déroulement obsessionnel et incessant tous mes fantasmes. Chaque séance, mise en scène, est conçue comme une séquence théâtrale, intègre la femme dans un univers de rêve, où elle-même est mythique, multiple, inventée, et revêt tour à tour les facettes des mille miroirs dans lesquels l’artiste se plonge. Je ne conçois l’érotisme qu’à travers une dimension métaphysique. J’aime l’excès, l’onirisme, l’insolite. Aussi, je fais mienne cette phrase de Baudelaire : “Dans l’art, il n’y a que le bizarre qui soit beau”.

https://irina-ionesco.com/biographie/

Je viens de voir “my little princess” de Eva Ionesco, la fille d’Irina, qui raconte une partie de sa vie, la vie de la fille de la célèbre photographe.
Gratuitement, il va sans dire puisqu’Internet permet un accès quasi total à ce que les simplets du système appellent la “culture” (en fait l’art). Bon, la plupart des gens n’utilisent le réseau que pour s’envoyer des messages dans un style papier hygiénique, m’enfin, ça, je n’y peux rien.
Je reste dubitatif face à l’écrit d’Irina (également dispo sur le web) et au film de sa fille.
Il est évident qu’Irina a développé un talent artistique certain, mais il semblerait que ce soit aux dépends de sa fille, pour compenser ce qu’elle-même avait subi étant plus jeune.

C’est terrible.
L’époque l’a permis.
Eva dit de sa mère qu’elle est le fruit d’un inceste.

Il semblerait que l’écriture soit plus à même d’être tolérée que l’image. L’image fait peur. Elle semble la réalité alors qu’elle n’est, tout autant que la peinture, qu’un pâle reflet d’une symbolique et d’un indicible.
Mais l’image est d’un accès instantané, inévitable.

Je n’excuse pas, ce faisant, l’attitude d’Irina, mais je la comprends. Elle a pu, à sa façon, blessante pour sa fille, soit, mais à sa façon, créer à partir de traumas.
Évidemment, combattre ou sublimer un trauma en en créant un autre, qui plus est sur une personne fragile et vulnérable, en profitant de son état, n’est pas souhaitable.

Mais comme le disait Paul Claudel, la résilience (resiliency qu’il ne parvenait pas à traduire) a surtout été un trait des Américains.

“En 1936, le Français Paul Claudel, alors ambassadeur à Washington, pouvait écrire à propos de la crise financière de 1929 : « Il y a dans le tempérament américain une qualité que l’on traduit là-bas par le mot resiliency, pour lequel je ne trouve pas en français de correspondant exact, car il unit les idées d’élasticité, de ressort, de ressource et de bonne humeur. […] Et si quelques financiers se jetaient par la fenêtre, je ne puis m’empêcher de croire que c’était dans l’espérance fallacieuse de rebondir » (Claudel, 1965, p. 1205).”
https://journals.openedition.org/sociologies/6633 ( La résilience comme attitude face au malheur : succès et usages des ouvrages de Boris Cyrulnik, Nicolas Marquis)

Voir également – comme il n’y a pas de hasard! –

Sublimation et résilience : Paul et Camille Claudel
Silke Schauder
Dans Bulletin de psychologie 2010/6 (Numéro 510), pages 445 à 448

https://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=BUPSY_510_0445

La seule chose qui vaille la peine dans toute l’humanité, ce sont les enfants et la liberté.

C’est facile à dire, mais voilà ce qui est dans la balance.
Et finalement Greta Thunberg est un très bon exemple, bien qu’utilisé par des adultes sans scrupules, de ce qu’est la conscience et la liberté.

https://www.telerama.fr/scenes/irina-ionesco-photographe-libre-mere-perverse,130438.php

https://next.liberation.fr/livres/2017/08/28/eva-ionesco-l-innocence-retrouvee_1592523

https://next.liberation.fr/culture/2010/07/22/eva-ionesco-tombee-des-nus_667609

Hashtag mitout les salopes

jeudi, octobre 31st, 2019

La condition humaine ne changera jamais. C’est un grand malheur.
J’aimerais cependant que la plupart prennent conscience que certaines des femmes qui, avec raison, se plaignent des comportements exécrables de certains hommes, sont peut-être les congénères de véritables tortionnaires, coupables de crime contre l’humanité, contre les bébés et les enfants.

Même si quelques menues preuves ne peuvent être généralisées, il est bon de prendre conscience qu’outre la brutalité des hommes, celle des femmes est tout aussi dévastatrice pour le futur de l’humanité.

Il est également aussi évident que la connerie des mâles (et des femelles) est directement dérivée de ces maltraitances ignobles dont personne ne doit détourner les yeux.

Il est temps de songer, autant que faire se peut, à briser ce cercle vicieux de la violence et de la maltraitance.
L’une des multiples solution est l’abolition totale de la domination des uns sur les autres par le pouvoir de l’argent, ainsi que par tout autre moyen.
Doux rêve, puisque ceux qui possèdent ne pensent qu’à une seule chose: posséder plus et maintenir ceux qui possèdent moins dans leur condition.
N’est-ce pas brigitte?

Ni pute ni soumise, c’est un choix respectable quand on n’est pas non plus le ou la tortionnaire d’un petit ou d’une petite d’homme et de femme.
Il faut briser le cercle pervers de la violence.

PS: petit clin d’œil aux défenseurs des animaux, l’être humain en est un aussi.

 

https://www.bestgore.com/torture/toddler-child-care-center-beating-drop-choke-employee/

https://www.bestgore.com/torture/abusive-mother-film-self-beat-child/

https://www.bestgore.com/torture/kindergarten-teacher-caught-beat-child-johannesburg-south-africa/

 

 

https://www.bestgore.com/torture/woman-caught-cctv-brutal-beat-torture-sexual-abuse-children/

https://www.bestgore.com/torture/woman-beat-3-year-old-child-leather-belt-drop-glass-soda-table-honduras/

https://www.bestgore.com/torture/woman-beat-body-slam-child-not-give-shit-film/

 

L’accent

dimanche, juillet 28th, 2019

Non, on ne parlera pas de l’accent anglais de merde de macron le gérontophile, le guignol dont il usurpe le nom tel un BHL ou n’importe quel autre crétin médiatique souffrant du vide sidéral de sa pensée au point de faire croire qu’il en a une, non.
On parlera de ce que signifie la domination dans l’humanité.
La domination politique est celle de personnes qui ne peuvent se défaire d’une réalité qu’elles croient réelle.
Il en va de même pour celle que l’on inflige aux plus faibles, les enfants.
La population, communément appelée le “peuple” est tels ces enfants avec lesquels on joue jusqu’à ce que je jouet soit brisé. Peu importe, il y en a encore… plein!

C’est dégueulasse. Mais ce jeu-là perdure depuis que, disons, l’animal parle.

PS: contre la crasse de l’humanité, contre sa structure institutionnalisée dans le vecteur de venin que sont les médias de masse…

 

Pleurer.

vendredi, juillet 26th, 2019

Il n’y a qu’une seule communauté, c’est celle du vivant. Que toutes les autres, divisantes, soient détruites.

De nos jours, avec l’incroyable changement, finalement dévoyé, qu’a apporté internet, chacun peut s’exprimer dans son narcissisme le plus pervers.
Le progrès technologique de l’écrit, au sens élargi à la vidéo, permet à la fois de témoigner et de falsifier. Cependant, la falsification en est encore à ses balbutiements et la véracité des films suivants est éloquente quant à ce qu’on appelle la nature humaine.
Ces vidéos montrent la cruauté de femmes envers des enfants. Les hommes ne sont pas en reste, ne vous inquiétez pas, et probablement que des mi-couilles mi-vagins seront prochainement tout aussi bien représentés, puisque chacun pourra bientôt prétendre à AVOIR une bestiole domestique, autrement appelée “enfant”, sans même avoir à se soucier de ce qu’est l’humanité et l’acte procréatif, ce qu’il implique en matière d’éducation.
Bon, c’est une manière comme une autre pour les puissants enculés de continuer à exploiter la masse des plus faibles, tel un mâle dominant dans une horde d’animaux. Après tout, l’Humanité fait partie du règne animal, pourquoi ne pas sophistiquer un peu la façon de faire, n’est-ce pas?

Alors voilà ce qu’on pourrait visionner spécialement le jour de la fête des mères (on peut aussi le faire le jour de la fête des pères, n’est-ce pas, il suffit de changer un terme dans le moteur de recherche).

Ces liens sont désactivés (ce n’est pas mon habitude, mais bon) parce qu’ils nécessitent un “+18”.
Est-ce que ce sont ces liens, ces vidéos atroces ou bien ce qu’elles montrent qui obligent ceux qui ont éventuellement subit de telles tortures à attendre la prescription des faits pour pouvoir s’en rendre compte?
Une volonté de sélection peut-être? certains s’en tireront, d’autres souffriront à tout jamais…
La question ne semble pas vraiment réglée malgré le bonheur de la philosophie et la jouissance que ceux qui ont échappé à ces traitements odieux se permettent.
Bien sûr, ils aident, mais aussi louable que ce genre d’acte puisse être, une certaine fatalité s’abat sur le monde et l’humanité qu’il abrite.

-https://www.bestgore.com/torture/abusive-mother-film-self-beat-child/

-https://www.bestgore.com/torture/argentina-woman-beat-daughter-pick-up-hair/

-https://www.bestgore.com/torture/woman-caught-cctv-brutal-beat-torture-sexual-abuse-children/

-https://www.bestgore.com/torture/woman-uganda-video-brutal-beating-child/

 

Miroir aux scorpions

samedi, juillet 20th, 2019

Technique de préservation ultime en cas de débordement intime.
Pour le reste on va faire plus soft, mais tout aussi efficace.

La danse de la colère

vendredi, juillet 19th, 2019

J’ai regardé un très bon film; et un film français qui plus est. Ça ne court pas les rues.

NB: munissez-vous au minimum d’un U-block Origin, d’un WebRTC, d’un HTTPS everywhere en guise de plugin pour votre Firefox, hein… sinon, c’est le grand capital qui arrive sur votre bécane sans crier gare ^^

Comme je suis bien navré que la licence globale soit prohibée en hexagonie des connards! :’) Du coup, ben ils peuvent tous se brosser, quoi… (ah oui, sauf les 40 guignols qui se partagent 4 millions aux frais du contribuable crétin, c’est vrai…).

En avance.

jeudi, juillet 18th, 2019

Comme en toutes matières, l’esprit anglo-saxon (pas celui des connards, qu’ils soient juifs (ou de n’importe quelle religion), américains (ou de n’importe quelle nationalité) ou que sais-je encore) est largement en avance sur le reste de la planète.
C’est une grande chance que je comprenne, parle et écrive la langue de ceux qui surpassent tous les autres (même dans la connerie).

https://thequeenandking.blogspot.com/

(probablement une forte similitude avec ce que j’ai enduré pendant toute ma vie)

En retard, bien malgré moi, je n’entretiendrai plus aucune relation avec ma famille. Terminé.

 

Pour les moyens QI ^^

mardi, juillet 16th, 2019

– Rhoo, ce titre 🙂 pas très gentil, ça!
– Ta GL, je l’ai regardé aussi, ce documentaire 🙂

C’est très accessible, c’est “vu à la tévé”, ça conviendra à ceux qui aiment ce genre de format, de montage et de mise en scène.

 

PN et HP

lundi, juillet 8th, 2019

Pour ceux que la lecture rebute. Mais attention, ça va vite.
L’exemple choisi n’est pas celui que j’ai vécu, mais c’est kiff.

Et puis pour tous ceux qui dénient (ceux qui ont peur de continuer une relation, en gros tous ceux que j’ai connus jusqu’à présent à quelques exceptions près), allez juste vous faire foutre et rethink your life too, if you can, bastards 🙂

Love. My door‘s always open anyway.

Me comprendre, moi.

samedi, juillet 6th, 2019

http://trommenschlager.f-psychanalyste.over-blog.com/article-etre-fils-ou-fille-de-pervers-122105684.html

C’est un article un peu long, mais il résume vraiment très bien ce qu’est de vivre avec un père manipulateur et une mère qui n’a jamais su dire stop pour se protéger elle et ses enfants.
Vivre toute sa vie sous la coupe d’un tyran, dans un monde perverti, un système sans lumière, donne ce qui m’arrive aujourd’hui: une situation extrêmement fragile et une psychologie brisée dans les relations sociales et interpersonnelles.
C’est la disparition d’un élément familial, ma mère, qui a fait remonter encore plus fortement qu’au cours d’autres moment de ma vie, une terrible sensation d’horreur qui n’est pas la mort en elle-même, inéluctable et lot de tous, mais un système pervers mis en place par mon père destiné à anéantir autrui sans AUCUNE émotion et en trompant tout son petit monde (qui aura bien du mal, même en connaissant tous les acteurs de ce drame à se dire que lui aussi, elle aussi s’est fait berné).
Imaginez ce qu’il en est pour un enfant, celui que l’on retrouve dans l’adulte brisé…

Dramatic

mercredi, juin 12th, 2019

Catching a rainbow usually makes the first shoot perfect, as the rainbow fades away quickly, like a dancer.
That also means you had already the polarizing filter on the camera if you want to make it a bit dramatic.
Otherwise you go post-production (anyway you will have to develop the picture, as usual) and work out the photo to make it fit your desire.

You’ll find out or just buy the great movie ‘Parada‘. I love it. It’s an intelligent dramatically life-like movie. And you will Roll Over (the) Floor Laughing.
That’s what matters in dark ages.

Des mères de toi

mardi, juin 4th, 2019

Les mères sont avant tout des femmes, et surtout des êtres humains aussi salauds et donc salopes que peut l’être ce ‘genre humain’.

https://www.europe1.fr/societe/exclu-e1-violee-pendant-son-enfance-elle-attaque-letat-tout-ce-que-jai-subi-est-incomprehensible-3699869

PS: une fois n’est pas coutume, c’est un lien… dont chacun saura ce qu’il y a à en penser.

Une liberté

mardi, juin 4th, 2019

“Toute information figurant sur sa plate-forme est accompagnée d’une source brute qui permet à chacun de la vérifier et de s’en emparer, ce qui supprime les privilèges que la caste journalistique s’est octroyés.

Un tel pari sur l’intelligence collective renverse les principes de notre temps. Au-delà de l’effet de révélation immédiat, il permet l’émergence d’un regard critique partagé, éloigné de toute forme de connivence. Devenu une sorte de métamédia, WikiLeaks écrase toute concurrence et suscite d’intenses jalousies.”

https://www.monde-diplomatique.fr/2019/05/BRANCO/59876

The french dictature (EN subs)

samedi, juin 1st, 2019

The structural system of neoliberal capitalist pseudo democratia is made out of oligarchic power.
System has people to serve it. Killing (make them out of order-ing) those ones won’t change the system, but it’s a first step to decent life.
Let’s make them drink few liters of roundup from monsanto, as they say it’s very safe, for example.

Ma mère maltraitante

vendredi, mai 24th, 2019

C’est extrêmement difficile d’en parler, mais ma mère a été maltraitante envers l’enfant que j’ai été.
Issue d’une famille par trop catholique et forcément bien sous tous rapports, elle est probablement restée très infantile et ne voulait probablement pas d’enfant. Mais c’est un passage obligé, les enfants, c’est ce con de dieu qui l’a dit.
Du moins, s’il fallait lui trouver une excuse (c’est bien là le trait du maltraité d’excuser lorsqu’il s’agit de parler d’une figure d’attachement) elle n’a pas su faire.
Ce n’est pas excusable, aucune maltraitance n’est excusable, même celles affligées aux croulants dont on pourrait penser que la vie est derrière eux.
Mais la négligence, l’absence de maturité nécessaire pour élever un bébé, un enfant est catastrophique et je vis aujourd’hui les conséquences terribles de ce vide complet d’affection que je ne pourrai plus jamais combler.
Et c’est moi le seul qui ai dit une sorte d’oraison funèbre lors de ses funérailles. Quel con.
Relire mon texte prend aujourd’hui un tout autre sens, particulièrement les paroles de Brel qui l’encadrent.
Elles disent l’amour que j’éprouvais pour elle et dont elle était incapable pour moi: “Quand on n’a que l’amour / A offrir en prière(…)”
Elles disent la névrose dans laquelle on s’enfonce en raison de l’absence d’amour que l’on croit pourtant exister; une mère aime forcément ses enfants, n’est-ce pas? « Parce que c’est tellement beau [tout cela] / Quand on croit que c’est vrai. »

Les pattes

lundi, mai 20th, 2019

On m’a cassé les pattes alors que je n’en avais pas encore.
Ça ne se voit pas, mais ça se sent. Ça fait peur aux gens. Ils se disent “je ne le comprends pas”, “il y a quelque chose qui ne va pas”.

Le fait d’avoir les pattes cassées n’a qu’un intérêt qui n’en est évidemment pas un: il permet de reconnaître les salauds et les salopes. J’entends par là les maltraitants et les maltraitantes, les toxiques, les profiteurs et les profiteuses, les méchants et les méchantes.
Ces individus sont en effet ceux qui aiment à profiter des plus faibles, pour compenser leur inaccomplissement définitif.

J’aime bien les mots d’argots parce qu’ils se rapprochent de la vérité vécue des victimes. L’argot devrait être réservé aux victimes pour qualifier ceux qui commettent  des exactions.
Ce sont des mots forts qui permettent à la fois d’exprimer la colère ressentie par une injustice et de qualifier l’auteur de cette injustice avec une certaine exactitude, qui plus est compréhensible par tous.
Dans un monde technologique de science-fiction, un monde évidemment sans liberté, on verrait les salauds/salopes se balader avec en guise d’auréole au dessus de la tête le mot “salaud” ou “salope”. Personne n’aurait le droit de les appeler ainsi, mais ils auraient leur bonnet d’âne pendant une période variable, afin que chacun puisse savoir que ce sont là des parias.
Dans la vraie vie, hélas, c’est le contraire, ce sont évidemment les justes qui sont accusés d’en vouloir à ceux qui savent par trop bien manipuler les masses.
Ce sont les victimes qui doivent combattre les mauvais, et en général elles n’obtiennent jamais réparation. On le voit de plus en plus dans la société néo-libérale qui élimine les services publics: la justice n’a plus les moyens de rendre la société vivable. A défaut de laisser la loi du plus fort (et donc du plus con) s’exercer, cette société fait le lit de la loi du plus riche. Quand on voit le gamin Lagardère on se demande qui, du plus fort ou du plus riche, est vraiment le plus con…

Les gens dits “normaux” avec une intelligence moyenne voire basse trouveront toujours des moyens de réfuter les évidences. Ils penseront que, même condamné par la justice par exemple (alors que c’est en général déjà un miracle quand cela arrive avant la mort de l’inculpé), tel ou telle homme ou femme politique trouve encore grâce à leurs yeux.
Que justement la condamnation efface, en quelque sorte, le mal accompli.
Telles les racailles qu’ils ne peuvent pas sentir, ils se comporteront pourtant comme elles, glorifiant ceux qui ont défié le droit et qui se trouvent finalement auréolés d’une condamnation.

Le commun semble rassuré par ce genre de monde à la ramasse qui marche sur la tête.

Un enculé de salaud

lundi, mai 20th, 2019

J’ai bien envie de vous raconter la vie d’un enculé de salaud que j’ai un peu connu, à mes dépens.
Enculé parce que c’est un homosexuel mâle. Et salaud pour l’ensemble de son œuvre.
Il s’appelle David G. Comme Gogol ou Grossemerde.
Quand on était ado ou jeunes adultes, c’était celui qui, ayant infiltré la petite bande qu’il pensait bourgeois d’une ville de même acabit, avait déjà eu plusieurs voitures alors qu’il n’avait même pas le permis. Il avait même emmené au tribunal un vendeur de fiat uno pour vice caché. Alors qu’il n’avait pas le permis!
Je crois bien qu’il avait gagné.
C’est dire le niveau de saloperie de l’individu.
Plus révélateur encore, alors qu’il avait acheté une 2CV de collection pour ne pas avoir à payer la vignette (les voitures de collection en étaient dispensées) et qu’il nous emmenait faire un tour en campagne, il s’est subitement arrêté. Se retournant vers les passagers, il escroqua 10 francs par-ci par-là “pour payer l’essence”…
Sous peine de nous lâcher à quelques kilomètres de nos foyers et surtout de gâcher la promenade.
C’est ainsi que les salauds agissent. Leur petitesse d’esprit se nourrit de la menace et du chantage.

Ce simple portrait démontre déjà quelle est l’attitude des pervers envers l’argent.
Il habitait un quartier dit pourri, de pauvres. Pourtant, que ce soit vrai ou pas, il avait hérité de plusieurs dizaines de milliers de francs de je ne sais qui, alors à peine adulte. C’est vrai qu’il pouvait dépenser sans compter pour acheter des disques. Pas autant que d’autres véritablement plus fortunés, mais beaucoup plus que la plupart de ceux qu’ils considérait comme “plus avantagés” que lui.

Sa perversion était de faire croire qu’il était dépourvu face à ceux qu’il croyait nantis alors que c’est probablement le contraire dont il s’agissait.
De plus, cette perversion s’ancrait dans des objets, à savoir l’argent, sans aucun rapport avec la réalité vécue, celle forcément psychologique.
Comme c’est plus simple, n’est-ce pas?

Cette individu donc, dont la veulerie est la marque de fabrique, avait menti en prétendant que c’était sa tante (plutôt que sa mère) qui était venu nous voir jouer à une fête de la musique. Bon. Il en avait honte parce qu’elle était en longue maladie, en surpoids, etc.
C’est le même individu qui m’avait dit que “on ne juge pas ses parents, jamais!”
Un sacré connard, non? pour dire le contraire de ce qu’il faisait de façon non justifiée d’ailleurs.

Mais le geste qui restera à jamais un motif valable pour l’éliminer vient ensuite.

Son père est mort, cachetons, alcool, tout seul dans sa bicoque, on ne sait pas trop.
C’est à la crémation que j’ai rencontré sa mère et du peu que j’en ai connu, je pense qu’elle ne méritait pas la honte qu’il avait d’elle. Mais comment savoir?
Là n’est pas l’importance.
Pour soutenir cet enculé de salopard, je m’étais fait beau pour honorer la mémoire de son père que je ne connaissais pas d’ailleurs.
Bon.

Quelques jours après, lui qui n’arrêtait pas de chier sur la compagne d’un de mes amis d’enfance, qui tenait un magasin de vêtements, a fait croire que c’était moi qui critiquait cette pauvre femme.
Oh, non qu’elle était exempte de défauts, c’est certain. Je me rappellerai toujours qu’elle disait à sa fille de 2 ans “t’es une petite pute”, confondant sans doute ce qu’elle était elle-même ou ce qu’elle pensait d’elle-même dans un sursaut de lucidité avec ce que sa fille, évidemment, ne pouvait être.
[Oui, c’est une mère toxique et mauvaise, quand bien même elle le disait avec le sourire, mais, et surtout, devant un couple d’amis]

C’était en 2007, je commençais à peine mon activité de graphiste.

Par cet acte odieux de salaud, David G. a détruit une amitié datant de la maternelle que j’avais avec Mathieu M.
Lui qui était plus ou moins également graphiste (en se vantant de ne pas payer ses cotisation sociales bien qu’étant à la MDA, il faisait ainsi son balkany ou son cahuzac, bref, il se reconnaissait dans les pires salauds que la terre ait porté, il est de cette race de vermine) a dû penser qu’ainsi, et cela advint, il pourrait tirer quelques fric de la communication graphique d’un magasin de vêtements puis du restaurant que le couple allait bientôt acheter et monter.
Mais plus que cela, il enviait les relations affectives et d’amitié, s’amusant à les détruire comme un rat dont il a d’ailleurs la tête.

La plupart des gens du cercle d’amis (peut-on parler d’amis, je ne le crois plus) avaient une haine de cet individu qu’ils cachaient, faisant croire que “tout allait bien”. C’est hélas comme cela que les perversions psychologiques s’ancrent et s’enracinent dans la vie: parce qu’on n’ose pas dire que la merde, ça pue.

Raconter les saloperies de tous ceux qui méritent qu’on les passe à la roue me fait le plus grand bien.
Je n’ai rien contre eux, mais ils méritent qu’on sache qu’ils sont mauvais.
C’est pour ma santé. Suite au prochain numéro.