Pour tous les poupins et les poupignes! Ça vous fera un souvenir phallique et narcissique tout à la fois 🙂
Allez au diable au diable manu macron et ta mouman brigitte trogneux, vous ne valez pas mieux, et probablement moins, qu’un tito ou qu’un nixon.
Vous êtes la lie de la société humaine, issus pourtant d’une classe qui n’a manqué de rien, vautré dans le fric et l’opulence, mais fat et inculte tels ses produits, tel un sarkozy et sa bruni.
Vous êtes le fruit d’une éducation honnie, et le pire… vous ne vous en rendez même pas compte.
Vous faites payer ceux qui n’y sont pour rien et que vous considérez comme rien.
Allez au diable! débarrassez le plancher, neutralisez-vous, vous ne valez RIEN.
Sur face de pouk (facebook) et sur instagram (le gramme de coke instantané) ya des cons, des connes, des blaireaux, des enculés et des enculées de crétins.
Bon ya ceux qui essayent de gagner du fric par linking, comme les profils de femmes ou d’hommes menant à des sites payés aux clics avec des photos cochonnes.
C’est pour les crétins évidemment, tout le monde connaît les adresses pour les régalades de porno gratuit, ce qui énerve bien sûr les fournisseurs officiels et payants.
Et puis il y a les gros gros relous comme j’ai pu en rencontrer une fois sur un groupe mettant en relation modèles et photographes.
Un idiot qui est allé jusqu’à poster un commentaire diffamatoire sur ma page pro FHP et pour qui j’ai dû aller déposer une main courante pour diffamation reçue comme il se doit, face de pouk ayant déjà fait ce qu’il fallait. Il paraît que si face de pouk fait le taf, c’est que c’est vraiment justifié. Ben sans blague!
C’est un pseudo photographe qui bosse pour des boîtes de nuits et prends des cagoles seins nus, et qui utilise un pseudo complètement débile de brice wullus, croyant faire un bon mot avec un anagramme à même pas deux balles. On imagine la taille de ce qu’il croit être un argument de virilité pour choisir ce genre de pseudo ^^
Alors, j’ai toutes les captures d’écran, au besoin. Ya vraiment des pov’ glands.
I found this activist poster as a well known image on the web. So I decided to make it more readable with a tiny change on colors.
I let you read and think, of course.
It says:
Everything is okay
Just keep on shopping
Just keep on watching TV
Just keep on working 9-5
Just keep on voting our puppets
And thank you for beLIEving
in the GREAT ILLUSION.
– The management
Excellent documentaire (incroyable pour une production destinée à la tévé) avec des films et des images d’archive, les voix de Mapplethorpe et de ceux qui l’ont connu, etc. A voir obligatoirement pour comprendre l’ambition de ce jeune homme, mais également son talent.
Disponible jusqu’en octobre 2020.
https://www.arte.tv/fr/videos/067833-000-A/mapplethorpe-look-at-the-pictures/
Hors-série du Monde Diplomatique juin-juillet 2020 numéro 171 “Musique et politique”. Articles concernant les mouvements musicaux punk et oï!
Pour lire les images en plein format, il y a une icône “loupe” en haut à droite de l’interface de la galerie.
Sinon, c’est simple, on ne peut pas lire dans le format automatiquement redimensionné à la taille de l’écran, à moins d’avoir un 200 pouces 🙂
What to do when you do a rehab? I guess you upgrade yourself as sometimes some of your gear.
#one_life_only
Just a few pictures of an Orange Rocker 32 update with all new TAD tubes (surprise when unmounting older J&J and Ruby tubes, there was an ECC83 instead of an ECC81 on the preamp… well, it worked ok like that, but NOW it’s set up properly) and Alnico Gold drives.
Too bad my sound test has been fucked up with input level way too high. Let’s say it sounds just like the pictures tell ^^
C’est douloureux, c’est très douloureux. Cela l’a été pour moi plus que pour tout autre concerné.
Non seulement j’ai moi-même vécu l’histoire de la chambre placard (peut-être que d’autres aussi, qui sait, sinon eux-mêmes?) mais j’ai subi également les foudres d’une autre famille sans aucune possibilité de réponse ou d’argumentation, et avec la complicité de toutes les autres plus ou moins concernées.
En fait, c’est incroyable de folie.
Cela fait quelques années que l’idée de relater cette histoire de fous me trotte dans la tête, parce qu’il semblerait que j’en sois quasiment l’unique dépositaire, face au silence pédagogié (lire Alice Miller pour tenter de comprendre ce néologisme) de tout mon entourage dit amical d’alors.
Oh, on les a ici dépictés, encore que pas tous. Seul une personne, une seule, a répondu sincèrement à mes envois d’alors.
Tous les autres, pour de multiples raisons probablement, s’y sont refusés. Il faut que ce soit dit, dans l’hypothétique version où un quelconque inutile succès viendrait me barrer la route du silence.
C’était donc un jour de fin novembre 1990 ou 1989, les souvenirs sont confus mais c’était autour du baccalauréat de cette bande de copains, plutôt que d’amis, qui jouait de la musique punk psychédélique avec ferveur.
Pas grand chose à faire dans une ville pourtant vaste mais défaite par la politique d’absence culturelle de la droite de robert poujade pendant des années. Dijon.
Probablement de graves troubles familiaux et psychologiques, évidemment inconsciemment partagés dans cette bande. Tu m’étonnes.
Alors, avec le N. L., on s’enfile un micron. Le micron, c’est du LSD qui a l’apparence exacte d’une pierre à briquet, d’un bout de mine de crayon.
C’est extra puissant, ultra dosé, limite flippant, mais bon, c’est comme ça. On descend en ville, ça monte. On roule dans une guimbarde de tôle merdique mais qui nous sustente. Un tour au bar de nos habitudes, l’Iceberg. Fermé, je crois. On rencontre quand même quelques personnes dont une fille un peu trop extravertie et contente qu’on se rencontre et qui surprend ce pauvre N. en lui criant “hey salut!”. Il dira par la suite qu’il a été terrorisé par cet événement.
Il flippe sa race. Incompréhensible sauf à connaître l’effet du LSD sur certaines âmes défaillantes et traumatisées de long.
Pour ma part, j’attends quelque chose, mais rien ne vient vraiment, je suis depuis si longtemps habitué à la dissociation que ce type de drogue n’a pas vraiment d’effet sur moi, quelle que soit la dose et la puissance de la chimie. Il s’agit bien plus de sensations que d’hallucinations ou autres choses extraordinaires que la plupart des “normaux” relatent dans leurs expériences psychédéliques de petits bourgeois.
Bon, il faut se rendre à l’évidence, ce soir-là, il n’y avait rien à faire, la pédagogie noire nous interdisait même d’improviser une quelconque partie sexuelle façon hippie. Le temps froid aussi, et le cruel manque de sexe opposé, c’est pas négligeable. 🙂
Alors quoi faire, je ne sais plus, on rentre. J’héberge dans la maison familiale N. qui préfère cela à rentrer chez lui. On va tenter de dormir malgré l’effet puissant du produit. Lui, dans l’antichambre du placard -devenue chambre d’amis…- et moi, toujours dans ce placard. Il ne se sent pas bien, je le rejoins au lit, mais sa demande d’amour infantile ne peut trouver écho chez moi. Même s’il s’agissait là seulement d’un besoin de réconfort physique, cela ne me plaît pas. Nous sommes trop loin l’un de l’autre, psychiquement, socialement, pour que je puisse servir de guide. C’est pourtant le rôle qu’il m’aurait fallu jouer à ce moment-là.
Je retourne dormir, et moi, je dors. Lui probablement pas, cauchemardant jusqu’au lever du jour.
Pas de bol, malgré mes encouragements et mes questionnements pour savoir si tout va bien, il rentre dans sa maison familiale.
Mais là, surprise d’anniversaire ou de je ne sais quoi, un panel de gens bien intentionnés l’attend et au lieu d’aller tranquillement se reposer, digérer cette nuit difficile, il est contraint de faire face à la bienséance des stupidités familiales pour des occasions factices.
Cela n’ira tellement pas qu’au bout d’un moment il deviendra “fou”. Le bad trip explose. Plus moyen de suivre les cours, d’envisager le bac, plus que la peur au ventre et dans la tête. Une seule personne sera autorisée à le voir parmi la bande de copains, la moins qualifiée et surtout la plus opportuniste.
A partir de ce moment-là, aucune nouvelle sinon que la famille entière, à qui N. raconte sa prise de LSD de façon coupable (mon dieu, la bourgeoisie de province ne s’attend pas à cela) me met sur le dos la faute entière de son bad trip…
Il est bien connu que le fournisseur est responsable des actes du consommateur.
Comme si j’avais été le bourreau nazi d’un pauvre juif homosexuel tzigane des camps à qui j’aurais injecté un produit de force… la comparaison est tout à fait appropriée, mais c’est privé, et c’est surtout comme cela que je l’ai ressenti.
Disons plutôt: comme si johnny halliday devait au cartel de Medellín se s’être fait refaire la cloison nasale chirurgicalement pour abus de cocaïne.
Bien sûr, personne ne moufte. Sympas, les potes. Et moi j’encaisse ça, en plus de tout le reste bien sûr, dans la peur et la culpabilité qu’occasionne l’injustice des silences commodes.
Je ne suis pas sûr qu’ils sachent ou veuillent même savoir, encore aujourd’hui, pourquoi ils ont agi de la sorte plutôt que d’une autre, pourquoi ils ont tous choisi la facilité tels des collabos de leurs propres bourreaux. Marrant. Triste surtout.
Alors aujourd’hui je comprends mieux que tous ceux-là qui se sont soumis docilement à la pédagogie noire (on ne peut guère faire autrement lorsque l’on est dépendant et faible) aient fondé une famille avec maison, boulot, enfants et toute la panoplie des innocents qui reversent sur plus faible leur propre histoire non digérée.
Parce que c’est bien les descendants qui accusent le coup et payent les erreurs de leurs parents dans une perverse passation névrotique sans fin. Espérons que non, sans se faire trop d’illusions.
[sz-video url=”https://www.youtube.com/watch?v=n_LD6alcsn0″]
Les êtres d’intelligence supérieure sont à tout jamais seuls dans une connaissance qui leur pèse et face à la cruauté de leurs congénères stupides.
Entraînement: Mouvement irréfléchi par lequel quelqu’un est poussé à agir sous l’effet d’une influence irrésistible.
Bon. En l’église, ça adoucit les erreurs. Ya encore du boulot… mais vu le niveau planétaire, on publie quand même.
Longue introduction, passa lenta et caida rapida.
Bueno, buenas 🙂
Il s’agit là d’un maquereau (deux exactement), forcément acquis chez un meilleur ouvrier de France, mariné au mirin, au vinaigre de riz et à la vinaigrette à sushis (tous de haute obédience, forcément²) et découpé avec un couteau acquis chez Aritsugu, frappé au nom du maître sushi, moi, fouranssisseu :).
Nouvelle traduction en français de 1984 de George Orwell.
Audition de Raoult par la commission de l’assemblée nationale, 24 juin 2020. Durée 3h15.
Épisode final de la série saison une, avec brio 🙂
Ce gars est un véritable universitaire, comme on en trouve encore si peu, sauf peut-être à l’Université Libre de Bruxelles…
[sz-video url=”https://www.youtube.com/watch?v=HKwTKwjhkoA”]
En France en 2019, il y a eu 612000 morts ( source INSEE, c’est assez sérieux 🙂 https://www.insee.fr/fr/statistiques/2383440 )
Cela fait 1676 morts chaque jour, en France, en 2019, pour une population d’environ 67 millions de personnes.
Imaginons un instant que les journalistes, au service inconscient des milliardaires qui détiennent 90% de la presse française et forniquent allègrement avec les politicards ( https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA ) fasse la revue de tous les morts quotidiens, des causes de mortalité et (si possible) de ce que cela montre d’un système social exsangue en raison des lacunes (que dis-je! des abysses!) qui gangrènent tous les services publics auxquels la population a DROIT, puisqu’elle les finance par l’impôt (rappelons ici qu’absolument tout le monde paye l’impôt grâce au système de la TVA -taxe sur la valeur ajoutée- qui s’applique à TOUS les produits que l’on peut acheter.
La peur de la mort et de son cortège de souffrances physiques, de douleurs psychiques, LA PEUR…
Dedans tu as peur, dehors t’attendent les bien mal nommées dans la novlangue “FDO” (ou forces de l’ordre)…
Tiens, ce ne sont plus les “gardiens de la paix”, mais des brutes dont la mission est de maintenir l’ordre, indiqué par les dominants, par la force.
Et donc, cette ambiance sympathique, c’est la république, c’est la démocratie des droits de l’homme, c’est la vie en France…
Ha… Ha… Ha…