La normo-névrose, en gros, c’est “les emmerdes”, soit un gros tas de fumier(s) qui occupe(nt) la place de la création et du bien-être de chacun.
Curieusement, si l’on reprend la définition de la normo-névrose établie par Stoll et Hurni, passée à ma sauce, c’est ce qui permet ce que j’appellerais la “paisible normalité”, ce qui fait que l’humanité ne fornique ni ne tue constamment, chaque seconde et en tous lieux.
Et les emmerdes, les fumiers, je les laisse volontiers au plus grand nombre, ils n’en sentiront que moins l’infect dégoût — voyez comme je suis bienveillant…
Pour ma part, je m’occupe de mon propre séant.