Baston et demi pour la flicaille.

Gandhi disait “œil pour œil rendra l’humanité aveugle”, dit-on.
Mais bastonner des condés à mort, avant de les exécuter, ou mieux de les laisser diminués (ce qu’ils sont déjà, zut) à vie, lorsque la violence qu’ils exercent sur les citoyens se fait insupportable, semble être une alternative plausible. Dans tous les cas, ça fait du bien de l’écrire, dans un contexte de folie perverse locale tout autant que mondiale.
Puisqu’ils nous font ce qu’on ne ferait pas à d’autres, comme disait le brave djizuss, pourquoi ne pas essayer?
Vaine tentative de rétablir un équilibre sain, à défaut d’une justice pesée. Quelle tristesse que d’avoir de telles pensées.

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