Que je l’aime

Que je l’aime ce virus de type grippal, d’obédience mondiale et qui, grâce à l’inanité de l’humanité, permet à icelle de vivre la véritable peur, la véritable terreur, telle que moi et mes camarades l’ont vécue, peu ou prou pendant de si longues décennies.
Elle n’a rien à voir avec ce qu’on appelle terrorisme, cette terreur. Le terrorisme, c’est une action ponctuelle, meurtrière et politique, et religieuse éventuellement, c’est la même chose (ce sont deux systèmes de domination identiques, au final).

Ce que vous vivez maintenant, bien que politiquement inacceptable puisque c’est le résultat de la nonchalance de “ceux qui sont tout”, des ultra méga riches à milliards, d’un système par eux développé et imposé à tous, c’est une petite partie de ce qu’on vit, nous.

Vous allez comprendre pourquoi la Suisse a l’histoire de pseudo neutralité qu’elle a, pourquoi elle est, parmi d’autres, un paradis fiscal et pourquoi elle accueille un certain roman polanski, par exemple.

Extrait de C’est pour ton bien, Alice Miller, 1980. Quelques retranscriptions du Sorgentelephon.

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