Au lever comme au coucher
La moiteur du lin filé
Corps tressaillés
espoir défilé
Flux rengainés
Rien qu’on ne puisse évacuer
Colère, dépit
Vide sidéré
tristes enculés
Au bas de l’échelle dépravés
Enlacés dans la cotonnée
L’amour est né.
This entry was posted
on samedi, mars 26th, 2022 at 8:37 and is filed under Activisme, Art, Poésie.
You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
Both comments and pings are currently closed.