Les grégaires

Ne point; ne jamais s’agglutiner avec les grégaires.
Non qu’on ne les fréquente par obligation quasi vitale, mais c’est le moindre des maux (originellement Mals).
En effet, le grégaire aime par dessus tout l’abstraction délirante qu’est l’argent, au delà d’un simple beneficium.
En échange de cette illusion le grégaire, souvent commerçant, troque quelques biens plus ou moins satisfaisants.
Il ne peut, mais surtout ne veut pas, devenir un être de pensée autre que celle dont il croit qu’elle est unique: la possession et bien sûr la domination, qu’il suppose au point d’y croire religieusement.

Comments are closed.