Le bon?

A-t-on peur du bon?
Politiquement en hexagonie, on peut le dire: les masses ont choisi un fou pervers (Racamier, voir ici : http://www.lornet-design.net/la-folie-narcissique-racamier/ ) plutôt qu’une fasciste avérée et haineuse, mais ont refusé un certain humanisme, dont elles ont peur.
Finalement, et malgré quelques rares erreurs de Gustave Le Bon dans sa “Psychologie des foules” (c’était il y a quelques temps, quand même), les masses méritent d’être torturées, envoyées comme chair à canons ou combustible, cela ne fait qu’augmenter le niveau de Mal perdureur.
Pas qu’elles aiment vraiment cela, mais il y a comme une attraction délirante, irrésistible et presque naturelle… 🙁

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