14 juillet 2021, le président macron de la république française est abattu lors du défilé militaire annuel. Les auteurs de l’assassinat sont rapidement encerclés, mais ils sont les seuls à ne pas être chargés à blancs. Ils parviennent ainsi à se dégager non sans infliger d’importantes pertes chez les “loyalistes”.
La nouvelle se répand en moins de quelques minutes dans tout le pays, grâce aux réseaux de communications citoyens.
La foule jusque-là confinée par des obligations sanitaires dictées par le pouvoir autocratique sort en masse dans toutes les villes.
Ce sont scènes de liesse et de chaos joyeux: le tyran a été abattu.
Les réseaux de résistance se mettent en place et s’arment rapidement afin de traquer l’entièreté du gouvernement dont on apprend déjà qu’il s’est enfui en ordre dispersé avec les moyens du bord. Quelques-uns, avec de l’entregent et surtout des amis parmi les milliardaires, parviennent à échapper à ce que la propagande appellera les “comités”, grâce à des aéronefs.
Ceux qui n’ont pu échapper aux filtrages se retrouvent en geôle.
Une grande partie des gardiens de la paix rejoignent le mouvement populaire et parviennent à stopper et à neutraliser leurs “congénères” devenus fous.
Une sorte de chaos rénovateur règle, dans les premiers instants.