Les printemps sont devenus des déluges, à moins qu’ils n’annoncent déjà le désertique et l’aridité féroce.
Les étés sont des fournaises infernales, des enfers réservés aux moins bien lotis qui pâtissent de la luxure indécente de quelques-uns.
Ceux-là qui continuent de piaffer et de bâfrer comme des monstres qui parviennent à jouir de l’image même que leur renvoie un miroir.
Une biopathie certaine mêlant névrose excessive et perversions diverses, pour précipiter une fin qui n’en devient que plus terrorisante et désirée, non pour soi-même, mais pour Tout.