You almost had a naked self-portrait, but it’s gonna be a nature morte 😉
Cheers.
Archive for the ‘création’ Category
Nature morte
dimanche, juillet 14th, 2019De la niaiserie française
vendredi, avril 26th, 2019S’il est un terme pléonasmatique de ce qu’est l’essence ontologique de la France ou des Français et Françaises en général, c’est bien la niaiserie.
Oh, il y en a bien quelques-uns qui se départissent de cet engluage, c’est certain (Branco, Sauron, Lacan, Dolto, et moi ^^ hihi).
Je m’efforce de trouver, par moult messages et autres polies démarches, des modèles photographiques.
Bien sûr, il y a des déconvenues. Merde! Il n’y a QUE des déconvenues 🙁
Quelques jeunes foutrasses se permettent même de me dire qu’un blog n’est pas un book (en fransse il faut avoir un pseudo book sur une plate-forme de MERDE pour arriver à faire croire aux esprits couillons qu’il y a un brin de sérieux…).
Putaing! Ya vraiment des gourdasses niveau maternelle bac moins 500 et des crétins sans jugeote qui réclament un SIRET qu’ils sont infoutus (les salopards décérébrés) de trouver!
Ma patience n’a pourtant aucune limite, malgré les injures et le vocable peu choisi (?) que j’aime à employer.
Tout récemment, une jeune fraîchement arrivée dans le tout-petit-paris de la photo s’est même permise de remettre en doute ma culture punk.
Fausse féministe, probablement, qui doit voir dans le mot buzzcocks un outil de vibration sexuelle, au lieu d’un groupe d’étudiants en philo du nord de l’Angleterre qui a fait fureur à l’époque punk. Et ce n’est que l’un des plus connus.
J’en ai marre, les amis. Je vais sortir le tromblon et les coups vont partir pendant les nettoyages récurrents.
Ou tout simplement, je vais quitter ce pays de merde et ses connards de citoyens 🙂
Pour le peloton des attardés…
mardi, avril 9th, 2019Un matin calme
samedi, mars 30th, 2019L’art de la table
vendredi, novembre 30th, 2018
“L’art de la table” means, in french, both at the same time the way you cook and the way you appreciate the food, in a sense you may eventually find in japanese food art.
It’s not at all the matter, here, whatever categories this post may be in 🙂
“L’art de la table” signifie, en français, à la fois la façon dont on cuisine et la façon que l’on a d’apprécier la nourriture, au sens que l’on peut éventuellement retrouver dans la cuisine japonaise.
Ce n’est absolument pas le sujet ici, peu importe les catégories associées à ce billet 🙂
Nus 2018 onwards
vendredi, septembre 21st, 2018L’arsenal de Sun Tsu.
mercredi, septembre 5th, 2018Mes doux agneaux…
jeudi, août 30th, 2018Paris!
samedi, août 25th, 2018Une chanson pour chaque copine?
Textes et musiques originales ( 😉 ) bien sûr!
Là, je me mouille grave.
🙂
Hommage à Louise
mercredi, août 22nd, 2018Til min kære. 😉
PS: https://en.wikipedia.org/wiki/Louise_Bourgeois
Who is Arachné in greek mythology (in french 😉 )?
Le frondeur
jeudi, août 16th, 2018Réveillé à 4 heures 30 du matin, je décidai de faire quelques clichés vers 6 heures.
Cette superbe photographie sera tirée à quelques exemplaires seulement, sur un papier aquarelle de très haute qualité, au format plus ou moins A2, avec des encres pigmentaires dont Epson assure que la durée de vie minimale est d’un siècle. L’exemplaire vaudra 4000 euros.
Bande de veinards, vous la voyez avant 🙂
Le message est très clair: “on vous attend et on sait se défendre”.
Le sujet représenté est un jeune enfant qui tient non pas une fronde, tel David ou un Palestinien, mais bien un lance-pierre. Il est situé à l’entrée du village de Plogoff ou Plougon.
L’avertissement est sévère, mais ce n’est qu’une statue 🙂
Ne tentez pas le diable… quand même 😉
Poème
lundi, août 13th, 2018Après le célèbre plus court poème que j’ai jamais écrit, c’était sur le forum de la Roadeuse…
“Ô vie!”
En voici un autre plus explicite:
“Ma tête voyage plus loin que tes jambes
Quand bien même tu les prendrais à ton cou”
Francis Lornet, 2018.
Teaser PERF
lundi, août 6th, 2018Les entretiens presque imaginaires…
dimanche, août 5th, 2018CE: Bonjour F.H.P. Lornet, vous avez mis au vu et au su du monde entier vos genitalia en scène sur une photo, quel était le but de la manœuvre?
F.H.P.: C’est un acte artistique et d’abord une réponse à Déborah de Robertis qui m’a insulté en se voulant castratrice, elle a agit avec moi comme elle le fait avec le reste du monde. J’ai voulu mettre fin à cette période douloureuse pour elle autant que pour moi.
J’ai donc utilisé le même principe qui lui tient tant à cœur en le hackant: utiliser, non pas l’œuvre d’un autre à son profit, ce qu’elle fait, mais ses créations intellectuelles.
CE: Une querelle d’artistes?
F.H.P.: Oui, je l’ai exprimé ainsi, mais c’est bien plus une querelle philosophique à propos des relations humaines via un support artistique. Qu’y a-t-il d’autre dans la vie?
CE: Comment l’a-t-elle pris?
F.H.P.: Je n’en sais rien, mais je lui laisse le temps de répondre et la possibilité de ne jamais le faire. J’espère qu’elle apprécie autant mon geste que mon œuvre… et ce qu’elle représente, bien sûr 😉
CE: Sur les réseaux sociaux, elle a de nombreux suiveurs, vous n’en avez aucun. Pourquoi?
F.H.P.: je n’aime pas les suiveurs, j’exècre facebook, je n’utilise que LI et TW. Qu’ils vivent leur vie, tous, comme je la vis dorénavant avec amour et bonheur.
CE: Vous parlez d’amour et pourtant semblez distant.
F.H.P.: Et vous? 🙂
CE: Pour revenir aux suiveurs, vous suivez pourtant quelques personnes?
F.H.P.: C’est vrai, c’est donc que je ne suis pas si distant que ça et que je m’autorise à ne pas m’aimer autant que le contraire.
CE: Un mot à faire passer?
F.H.P.: Oui, je pense que son œuvre la plus réussie est la photo mimant l’Olympia de Manet, car d’abord c’est une photo et ensuite parce qu’elle est réussie.
Il manque cependant la servante noire et le chat. Si j’étais chafouin (vous verrez ça quand ma correspondance privée avec elle sera publiée, donc lorsque nous serons morts et que les ayants-droits l’auront autorisé), je dirais que cela fait écho à ce que je lui reprochais alors: ne pas payer ceux qui travaillent c’est de l’esclavagisme. Period.
Mais du coup, je lui proposerais bien une collaboration en tant que photographe, puisqu’elle aime ainsi exposer son corps.
Collaboration artistique et contractuellement écrite, évidemment 😉
On pourrait s’amuser! … Mais vaste est la matrice, disons-le ainsi, et nul ne peut enfreindre la liberté des uns, et le manque cruel qu’en ont tous les autres…
Heart ‘s not bad
jeudi, août 2nd, 2018To all my heart and sex girlfriends. They will know who they are (ain’t it @Nina and @Gaëlle? 😉 ). Sorry I’ve made an ordering… can’t do else with words 🙁 sorry to keep secret other names too 😉
Added ‘before’:
Sorry, I cannot give a list, as it would make a first and a last (at least ^^), and that’s not possible for me.
🙂
Le délit’âge
lundi, juin 26th, 2017Il y a ceux qui partent et qui reviennent
Il y a ceux qui partent et ne reviennent jamais vraiment
Il y a ceux qui partent pour oublier que ce sont les autres qui sont barrés
Il y a ceux qui n’existent pas
Il y a ceux du creux, du vide, du vain et qui refusent de s’en rendre compte
Il y a ceux qui au moins essayent
Il n’est que vanité
Et pourtant une humanité
Qu’il est triste de savoir
F.H.P. Lornet, le 26 juin 2017.
Un logo plus gros, bordel! :)
jeudi, juin 1st, 2017Mouhahahahahahahaha 🙂
Un étranger sur Terre (poëme de F.H.P. Lornet)
jeudi, mai 25th, 2017Le sens ou l’indifférence, esthétique du regard
dimanche, avril 2nd, 2017Il m’arrive d’avoir envie de remplir d’un signifiant personnel, d’un point de vue individué, une image. Mais quelquefois non. Quelquefois la simplicité de l’œuvre, la plastique de la composition ou la dynamique colorifère suffisent à l’expression d’un ineffable partagé.
Pourtant, la plupart du temps, j’aime signifier.
Je vais donc tâcher d’insérer un signifié dans une image qui s’y prête: “Pride… and its cost” série “META” œuvre “18 vues de Kyoto” par F.H.P. Lornet.
Le cliché est la capture d’un endroit tout à fait banal, un morceau de mur de l’un des nombreux passages couverts de Kyoto servant de galerie commerçante et de lieu de rencontre où sont disposés de nombreux restaurants et boutiques. Celui-ci est la rue Sanjo-dori et se trouve excentré par rapport aux très populaires allées couvertes du véritable centre historique de Kyoto, telles que le marché Nishiki.
Par cette position décalée, on peut y trouver ce qui est plus ou moins caché aux yeux des touristes bon teint.
Sur le pan de mur photographié sont disposées des affiches en papier: l’une concerne le club local de football, Kyoto Sanga, et les deux autres font la propagande de l’armée japonaise censée être la fierté du pays. Le slogan qui illustre ces deux affiches, l’une pour l’aviation, l’autre pour l’infanterie, est éloquent: Japan pride, la fierté du Japon.
En plus petit est inscrit qu’il s’agit des forces d’auto-défense japonaises (‘Japan air self-defense force’ et ‘Japan ground self-defense force’).
Il faut remettre ces affiches dans leur contexte historique de mai 2015. A l’époque, ce qui est aujourd’hui devenu une loi autorisant le Japon à intervenir militairement outre-mer n’était qu’un projet suggéré par les colonisateurs états-uniens.
L’œuvre est ici non pas une approbation de l’artiste à la glorification d’une société martiale mais un moyen de dénoncer la militarisation des sociétés, fussent-elles les plus pacifistes, ainsi que leurs dérives impérialistes généralement contingentes des rapports de forces internationaux.
Il faut, hélas, aller chercher à l’étranger un article de la presse indépendante et pourtant dominante pour se faire une idée assez globale de ce que le concept même d’engagement militaire peut créer comme confusion dans la société, en mettant également au jour le fait que de démocraties modernes il n’est pas, puisque seuls les souverains décident.
Pour approfondir ce débat éminemment politique, un film qui ne l’est pas moins: Shin Godzilla (l’humour n’y est pas absent) qui reprend la notion d’armée d’auto-défense et les débats qu’elle engendre, dans une situation toutefois bien différente de la réalité que nous vivons.
Rock @ la belle saison
dimanche, février 5th, 2017Naïves paroles, véridiques scansions.
C’est avec ce groupe de rock de Rouen que quelques-uns de mes amis et moi-même nous fîmes nos armes, avec toutefois moins de succès [première partie du ‘million bolivar quartet’ d’Antoine Masy-Perier à Chenôve]. Ceux qui ont eu le privilège de me suivre alors que je débutais sur l’internest ont pu écouter quelques morceaux sur mes sites perso d’alors; non, pas dégueux. On avait 17 ans, on avait la chance de pouvoir s’adonner à la musique et tâcher d’exprimer ce qui nous gonflait le cœur.
Oh oui, d’aucuns diront que c’était là occupation de bourgeois ou débauche satanique, mais ils n’ont ni vécu ni accepté.